Post de Coopérative Biocoop

Avant l’essor de l’agrochimie, l’agriculture biologique était la norme. Pendant des milliers d’années, les agriculteurs ont nourri la terre avec de la matière organique, sans recourir aux méthodes chimiques. Cette approche respectueuse de l’environnement a permis de cultiver des aliments sains et de préserver la biodiversité. L’argument de l’agrochimie prétendant que nous avons besoin de produits chimiques pour nourrir le monde est contestable. Voici pourquoi : Famine persistante : Malgré l’utilisation généralisée d’engrais chimiques et de pesticides, la famine persiste dans certaines régions du monde. L’agrochimie n’a pas résolu ce problème de manière globale. Bénéfices des gros acteurs de l’agrochimie : Les grandes entreprises agrochimiques prospèrent, mais cela ne signifie pas que leurs méthodes sont optimales pour la planète ou pour la santé humaine. Leur priorité est souvent le profit, pas la durabilité. Alternatives viables : L’agriculture biologique, reconnue officiellement par de nombreux États dans le monde depuis les années 80, offre une alternative durable. Elle privilégie la santé des sols, la biodiversité et la qualité des aliments. En somme, l’agrochimie n’est pas la seule voie pour nourrir la planète. Il est temps de réévaluer nos pratiques agricoles et de promouvoir des méthodes plus respectueuses de l’environnement et de notre santé.

Le bio c’est pour les riches ? 🤔 ➡️ Faux, le bio c’est pour les motivés ! Car oui, manger bio demande de changer certaines habitudes ! C’est pour ça qu’il existe les 6 leviers : 🔸 On réduit le gaspillage alimentaire 🔸 On achète de saison 🔸 On achète directement auprès du producteur 🔸 On pense au vrac 🔸 On cuisine des produits bruts 🔸 On mange mieux de la viande L'enjeu de ces changements au quotidien ? Soutenir les producteurs en mettant un petit peu plus de bio au menu chaque semaine. 🍽 #SIA2024 #AgricultureBiologique #Bio

(bis) Une rentrée à Prix Engagés pour une bio à la portée de tous !: Les prix engagés Biocoop : la bio accessible à tous, toute l'année ! Chez Biocoop, afin de vous aider à adopter ou conserver un mode de vie bio, nos prix sont volontairement attractifs sur une sélection de 150 produits du quotidien ! Nos prix engagés sont bien plus que des bas prix ! Ils incarnent les valeurs de Biocoop en matière d'économie sociale et solidaire et d'agriculture bio. Afin de pratiquer des prix justes toute l'année, Fournisseurs, Coopérative et magasins Biocoop, chaque membre de la chaîne de distribution s'engage à ne pas dépasser un prix maximal pour pouvoir offrir au consommateur un produit en moyenne 9,2% moins cher par rapport au marché spécialisé bio (source : panel prix de Mars 2024 mandaté par Biocoop SA sur une sélection comparable de produits du quotidien établie à partir d'un panel réduit d'enseignes du marché spécialisé (...) - Biocoop / Agriculture, production, distribution et Consommation biologiques, Biocoop, Jeunes ESS, grand public

Une rentrée à Prix Engagés pour une bio à la portée de tous !: Les prix engagés Biocoop : la bio accessible à tous, toute l'année ! Chez Biocoop, afin de vous aider à adopter ou conserver un mode de vie bio, nos prix sont volontairement attractifs sur une sélection de 150 produits du quotidien ! Nos prix engagés sont bien plus que des bas prix ! Ils incarnent les valeurs de Biocoop en matière d'économie sociale et solidaire et d'agriculture bio. Afin de pratiquer des prix justes toute l'année, Fournisseurs, Coopérative et magasins Biocoop, chaque membre de la chaîne de distribution s'engage à ne pas dépasser un prix maximal pour pouvoir offrir au consommateur un produit en moyenne 9,2% moins cher par rapport au marché spécialisé bio (source : panel prix de Mars 2024 mandaté par Biocoop SA sur une sélection comparable de produits du quotidien établie à partir d'un panel réduit d'enseignes du marché spécialisé (...) - Biocoop / Agriculture, production, distribution et Consommation biologiques, Biocoop, Jeunes ESS, grand public

🥛 La dernière vidéo Food du Parisien porte sur les laits végétaux, quelques compléments : Hadrien Gonzales décrypte le système alimentaire et questionne les produits consommés quotidiennement. Pour Le Parisien il revient dans cette vidéo (lien en commentaire) sur le boom des ventes de lait d'avoine. 🟢 Aujourd'hui, presque 20 % des Français·es achètent du lait d’avoine et des coffee shop comme celui présenté dans la vidéo servent autant de lait végétal que de lait animal. 🟠 La question du prix supérieur des laits végétaux revient plusieurs fois mais sans contexte : élevage laitier massivement subventionné, marges plus importantes des distributeurs sur les produits végétaux, etc. 🟠 Les laits végétaux commerciaux sont présentés comme 10 fois plus cher que le fait maison : attention au double standard, cette remarque peut s'étendre à nombre de produits commerciaux... et est absente des autres vidéos du Parisien sur les produits carnés. 🟠 Un additif alimentaire (le phosphate de calcium) est évoqué, ainsi que le fait que les laits Oatly ne sont pas bio, sans précision que cela n'est pas dû à un manque d'engagement de la marque mais à la règlementation qui interdit la certification bio aux produits enrichis en calcium (une demande du lobby laitier) ou en vitamine B12. 🟠 Il aurait été intéressant de préciser que les laits végétaux permettent également des progrès significatifs en termes de bien-être animal et d'inclusivité des personnes intolérantes au lactose. 🔴 Le soja est présenté comme “décrié pour ses possibles effets néfastes sur la santé et son impact sur l’environnement”, un discours trompeur dans les deux cas. Le soja est reconnu comme sûr pour la santé humaine (comme les autres légumineuses) et celui dont la culture engendre de la déforestation est destiné à l'élevage.

(ter) Une rentrée à Prix Engagés pour une bio à la portée de tous !: Les prix engagés Biocoop : la bio accessible à tous, toute l'année ! Chez Biocoop, afin de vous aider à adopter ou conserver un mode de vie bio, nos prix sont volontairement attractifs sur une sélection de 150 produits du quotidien ! Nos prix engagés sont bien plus que des bas prix ! Ils incarnent les valeurs de Biocoop en matière d'économie sociale et solidaire et d'agriculture bio. Afin de pratiquer des prix justes toute l'année, Fournisseurs, Coopérative et magasins Biocoop, chaque membre de la chaîne de distribution s'engage à ne pas dépasser un prix maximal pour pouvoir offrir au consommateur un produit en moyenne 9,2% moins cher par rapport au marché spécialisé bio (source : panel prix de Mars 2024 mandaté par Biocoop SA sur une sélection comparable de produits du quotidien établie à partir d'un panel réduit d'enseignes du marché spécialisé (...) - Biocoop / Agriculture, production, distribution et Consommation biologiques, Biocoop, Jeunes ESS, grand public

Le bio est en crise. Pourtant, La Fourche est en plein boom. Et Nathan Labat, son CEO, se fait discret sur les réseaux. L'alimentation de qualité est réservée à une minorité. Le bio n'est bon que pour les bobos.  Mais ce n'est pas une fatalité. Des solutions se mettent en place. Nathan Labat, Boris M. et Lucas Lefebvre ont fondé La Fourche. Une épicerie bio en ligne, avec les prix du conventionnel. Et ça marche ! Alors que le bio s’écroule en raison de l’inflation, Les magasins bio ferment les uns après les autres, Le chiffre d’affaires de La Fourche explose comme jamais. Sa force ? Leurs prix. Sa recette ? Un abonnement annuel. Son ambition ? Rendre le bio accessible à tous. La Fourche est présente en France et en Allemagne. Et ce n'est que le début ! Cette foodtech vient de lever 24 millions d’euros. C'est le moment pour Nathan Labat de prendre la parole. D’incarner une vision pour l’alimentation bio en France. Alors, j’ai imaginé une stratégie Linkedin pour lui 👇

🌼🫘La campagne « futur is légumineuses » de la Chaire ANCA qui avait pour objectif de promouvoir la consommation de légumes secs, vient de se terminer et affiche un bilan très positif en terme de communication! Mais il faut véritablement poursuivre à ancrer davantage la consommation de ces aliments stars de la durabilité dans nos modèles alimentaires. En France, la consommation de légumineuses (lentilles, pois, haricots, fèves…) a été divisée par 4 en 20 ans et comme l’indique Elie Perraud qui travaille avec l’EREN, dans les dernières études représentatives, on ne comptait que 15 % de consommateurs réguliers de légumes secs, avec une consommation moyenne d'environ 8 grammes par jour, pour l'ensemble des individus de la population. Des perspectives confirmées par Emily Mayer de chez Circana qui rapporte que sur les 5 dernières années les volumes ont progressé de 5% mais, sur la dernière année, ils fléchissent de plus de 5%, soit davantage que la moyenne des produits alimentaires. Faut-il insiter sur leurs nombreux atouts? Elles sont économiques, ont un impact environnemental faible et sont dotées d’un grand potentiel nutritionnel. Sûrement des objectifs à prioriser et c’est justement l’objet du dernier article de StripFood par Stéphane BRUNERIE 👉🏻 https://lnkd.in/gZ9Qsrfu #santépublique #alimentation #durabilité #PNNS #onehealth Source:circana ScanUp GOÛM ⬇️