Post de Département des Landes

🤝🏻 Le jeudi 18 avril 2024 a eu lieu la première réunion d'éleveurs du POCTEFA Know N Cheese. La réunion s’est déroulée à Hasparren, où 12 éleveurs de brebis laitière du territoire ont collaboré avec l'Interprofession du lait de brebis des Pyrénées-Atlantiques, Institut de l'Elevage (idele) et la Chambre d’Agriculture 64 pour adapter les pratiques de la filière au changement climatique. 📄 Quatre points ont été abordés : - Une présentation globale du projet Know N Cheese et de ses partenaires. - Un rappel sur le changement climatique avec ses causes et conséquences. - La présentation de simulations climatiques sur le territoire d’Hasparren et d’Iholdy. - Les résultats d’une enquête sur la perception du changement climatique par les éleveurs (issu d’une enquête sur 160 producteurs du 64). Après une mise en contexte, les éleveurs ont sélectionné trois thématiques clés concernant l'élevage de brebis laitières. Ils ont ensuite établi un inventaire des leviers potentiels pour chaque thématique, en tenant compte de leur faisabilité, de leur coût et de leur impact sur leurs exploitations. Nous remercions les éleveurs présents pour cette réunion enrichissante. 👏 📆 Rendez-vous à l'automne pour le bilan des 6 réunions dans les 6 microrégions agricoles des Pyrénées-Atlantiques, avec pour thématique prioritaire qui a émergé : la ressource fourragère et l’assolement. #POCTEFA #Brebis #Eleveurs #BrebisLaitière #Interprofession #Hasparren #ChambreAgriculture

Dans une démarche résolue vers l'#autosuffisance_alimentaire et le développement #économique, le président togolais Faure Essozimna GNASSINGBE a lancé officiellement, ce jeudi à #Avétonou (préfecture d’Agou), un ambitieux projet de développement de la filière #avicole intégrée. Ce programme ambitionne de métamorphoser de manière significative l'industrie avicole du Togo en garantissant la sécurité alimentaire, en modernisant le secteur et en améliorant les conditions de vie ainsi que les revenus des producteurs. Au cœur de cette initiative réside l'objectif majeur d'assurer la #sécurité_alimentaire au Togo. En mettant l'accent sur la production locale, le programme vise à rendre les volailles de qualité plus accessibles à la population togolaise à des tarifs abordables. Cette démarche répond à un besoin crucial de réduire la dépendance aux importations tout en favorisant la consommation des produits locaux. Le projet prévoit l'aménagement et l'exploitation de 100 000 hectares dédiés à l'aviculture, ce qui entraînerait une augmentation significative de la capacité de production nationale. En outre, avec la mise en place d'une unité de fabrication de volaille pouvant produire 450 tonnes par jour, d'une unité d'accouvage dotée d'une capacité de 1 200 000 poussins et d'un abattoir capable de traiter 10 000 poulets par heure, le Togo se positionne comme un futur leader dans le secteur avicole régional. Ces infrastructures modernes non seulement accroîtront la production de volaille, mais garantiront également le respect des normes de qualité et de sécurité alimentaire, ce qui contribuera à la santé publique. L'un des piliers fondamentaux de ce programme est son engagement envers les producteurs locaux. En les intégrant dans une filière avicole modernisée et en renforçant les organisations de producteurs, le programme vise à améliorer considérablement leurs revenus et leurs conditions de vie. Cette approche collaborative garantit que les avantages de la modernisation et de l'expansion de la filière avicole profitent à l'ensemble de la chaîne de valeur, des agriculteurs aux consommateurs. Le lancement de ce projet par le chef de l'État constitue une étape cruciale vers la réalisation de l'objectif d'autosuffisance alimentaire. En investissant dans la filière avicole, le Togo renforce non seulement sa sécurité alimentaire, mais pose également les bases d'un secteur avicole moderne et compétitif. Cette initiative ambitieuse témoigne de la détermination du Togo à exploiter pleinement son potentiel agricole, à améliorer la vie de ses citoyens et à jouer un rôle de premier plan dans l'économie agricole de la région. Avec la mise en œuvre réussie de ce projet, l'avenir de l'industrie avicole togolaise s'annonce prometteur, offrant prospérité et bien-être aux producteurs et consommateurs togolais.

#GouvImpact | 𝐒𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐬 𝐞𝐧 œ𝐮𝐯𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐞𝐫 𝐥’𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐯𝐢𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐩𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧 Le gouvernement ivoirien s’engage à relever les défis liés à l’autosuffisance alimentaire. Divers projets sont en cours pour faciliter l’approvisionnement des ménages en viande, en poisson et en produits vivriers durant les périodes de grande consommation que constituent les fêtes de fin d’année et la CAN 2023. Pour accroître la production locale en ressources halieutiques, le Programme stratégique de transformation de l’aquaculture (Pstaci) a été lancé en 2022, à Loka, dans le département de Bouaké. Ce programme a été mis en œuvre pour promouvoir l’aquaculture durable, combler le déficit en produits halieutiques et permettre au pays de produire environ 500 000 tonnes de poissons à l’horizon 2030. Selon Joachim N’Guessan, chef de la station piscicole de la Loka, « Les poissons qui sortiront de ces étangs seront de qualité et en grande quantité ». À Banfla, dans le département de Bouaflé, 88 étangs ont été construits dans le cadre du Projet d’appui au programme social du gouvernement ( PA-PsGouv). Ils permettront de produire en moyenne une trentaine de tonnes de poissons par an selon Yotio Michel Ange, chargé du suivi et d’évaluation au PA-PsGouv au titre des Ressources halieutiques. Selon le ministère des Ressources animales et halieutiques, les productions locales en protéines animales ont considérablement augmenté ces dernières années. Le pays est passé de 1 756 473 en 2020 à 1 835 661 têtes de bovins en 2022. Concernant les ovins, la production locale est passée de 2 262 971 en 2020 à 2 437 692 têtes d’ovins en 2022. La production de volailles traditionnelle a atteint 33 326 931 volailles en 2022 contre 31 413 828 en 2020. Et pour les volailles traditionnelles, on compte 87 602 693 volailles modernes en 2022 contre 57 802 451 en 2020. À en croire Jean-Pierrre Konan Banny, conseiller technique au ministère des Ressources animales et halieutiques, la Côte d’Ivoire couvre 55 % de ses besoins en productions animales et 17 % en ressources halieutiques. L’objectif est de parvenir à une couverture de 70 % des besoins en protéines animales et de 65 % des besoins en produits halieutiques à l’horizon 2026 par les productions nationales. Pour y parvenir, de nombreux autres projets sont en cours de réalisation, parmi lesquels la Politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (ponadepa 2022-2026). #CICG #GouvCI

#Togo Un projet avicole ambitieux pour contribuer à renforcer la souveraineté alimentaire ✅️ Le 28 mars 2024, Son Excellence M Faure Essozimna GNASSINGBE , Président de la République Togolaise, a procédé au lancement d’un ambitieux projet intégré de développement de la filière avicole. 📗 Pour mémoire, en 2022, la production avicole nationale était estimée à 34 592 242 têtes, répartis entre 1 465 671 têtes de poules de race exotique et 33 126 571 têtes de volailles locales (selon les données de la Direction de l'Elevage). Malgré cet effort quant à la production locale, les importations de viandes de volaille se sont élevées à 22 060 tonnes, équivalentes à 16 721 675 têtes de volaille la même année. ➡️ Le projet d’Avétonou vise donc avant tout à répondre à l’ambition de la souveraineté alimentaire qui est déterminante dans le développement de notre pays. En effet, en plein régime, ce projet comportera une unité infrastructures d’accouvage d’une capacité de 1 200 000 poussins par semaine. L’intérêt particulier du complexe dont les travaux ont été lancé est la volonté des promoteurs et des autorités à intégrer sur un même site l’ensemble de la chaîne de valeur en prenant en compte la production d’aliments pour les volailles (maïs et soja sur une superficie de 100.00 hectares) ; l’abattage et la transformation (capacité de 50 000 000 de poulets par an en phase 1), permettant ainsi de booster considérablement une filière avicole au potentiel économique reconnu de tous. ➡️ Cet investissement de 30 milliards de FCFA réalisé avec l’appui du groupe PORTEO-GRAINE est un outil pour transformer durablement le secteur et permettant aux producteurs locaux de bénéficier d’une expertise locale et ainsi de pouvoir eux même accélérer le développement et la professionnalisation de leurs exploitations d’élevage de volailles. 🚨 La nature holistique de ce projet est à l’image de la vision de transformation de tout le secteur agricole avec les actions menées à travers l’agence de transformation agricole avec les zones d’aménagement agricole planifiées d’excellence mais aussi avec les zones d’aménagement dédiées à la production bovine. A terme, l’ambition annoncée et réaffirmée dans le cadre des échanges entre le PR et le monde agricole lors des forums des producteurs agricoles du Togo, est d’une part d’assurer la souveraineté alimentaire de notre pays et d’autre part d’augmenter les revenus des producteurs agricoles. Par ailleurs, ces actions permettront de rééquilibrer la balance commerciale de notre pays en réduisant à terme les importations de produits alimentaires. Ce qui dans un contexte post covid est un enjeu de souveraineté majeur. Vive la révolution verte togolaise !

Pourquoi choisir les poulets et oeufs comoriens ? Qualité supérieure : Nos méthodes d'élevage des éleveurs comoriens sont respectueuses et assurent des produits frais et sains. Goût authentique : Dégustez des poulets et oeufs aux saveurs uniques et authentiques. Soutien aux éleveurs locaux : En achetant local, vous participez à développer l'économie comorienne et soutenez nos éleveurs. Optez pour le local, optez pour la qualité. Ensemble, faisons prospérer nos éleveurs et renforçons notre communauté. UNIDO European External Action Service European Union The World Bank International Trade Centre ANPI Comores UCCIA (Union des Chambres de Commerce d'Industrie et d'Artisanat des Comores)

[On mange quoi ce week-end ? De l’agneau !]   L'agneau pascal est un plat traditionnel du repas de Pâques, cuisiné le dimanche ou le lundi. Son origine est bien évidemment religieuse mais il est devenu au fil des années une véritable tradition familiale ou entre amis.   Petit rappel du marché ovin en France : ➡️La France compte 34 500 exploitations ovines ➡️la viande ovine représente 2,6% de la consommation de viande en France ➡️Le nombre d'exploitations ovines a chuté de 65 % en 20 ans! Trop d’importations….   RDN a eu la chance d’aller à la rencontre d’un producteur d’agneaux en plein air : herbe fraiche et couverts, foin, soleil, pierre de sel, les agneaux ont tout ce qu’il faut pour se développer et en plus ils sont produits et transformés localement ! Défendre l’agriculture française est une priorité de l’agence Ressources de la Nature. Même s’ils sont trop mignons, l’agneau pascal c’est terriblement bon … aussi pour nos agriculteurs français  ! 🐑   Jeunes Agriculteurs FNO FEDERATION NATIONALE OVINE Fadela Benabadji INTERBEV Acta les instituts techniques agricoles Greensheep Ecomouton

🚨 𝐈𝐥 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝟏 𝐌𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐥𝐞𝐬 🐔 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 🇫🇷 ! 🚨 Alors 𝟗𝟗% 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 œ𝐮𝐟𝐬 🥚 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐞𝐢𝐧 𝐚𝐢𝐫 𝐞𝐬𝐭 𝐟𝐨𝐮𝐫𝐧𝐢𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 🚜 🇫🇷 et que la 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐧𝐧𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐨𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝟐𝟐𝟒 œ𝐮𝐟𝐬/𝐚𝐧/𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬, il apparait qu'il y a un déficit avicole dans nos campagnes, la faute à la 𝐠𝐫𝐢𝐩𝐩𝐞 𝐚𝐯𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞 🤢😷. 𝐀𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐞𝐮 𝐜𝐡𝐞𝐫 𝐞𝐧 𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐥'œ𝐮𝐟 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 🥚 🇫🇷 𝐝𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐮𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭 𝐪𝐮𝐢 𝐝𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐚𝐫𝐞. 𝐄𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐨𝐬𝐮𝐟𝐟𝐢𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐯𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 🇫🇷 ? #poule #oeuf #paysan #agriculteur #rural #élevage #aviculture #avicole #agriculture #fnsea #fdsea #coordinationrurale

[𝗔𝗚𝗥𝗢𝗡𝗢𝗠𝗜𝗘] 🌱 À lire ce mois-ci : La lutte contre le gaspillage Connaissez-vous le glanage? C’est une pratique qui vise la récupération de fruits et légumes non récoltés au champ par des citoyens. Le projet Champs d’actions se distingue par le fait qu’il mobilise des participants directement au sein des organismes qui œuvrent en précarité alimentaire et sociale? Vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, continuez votre lecture ici: https://lnkd.in/gsegWeFc Cette rubrique est commanditée par : Structures D'Acier VIP inc #magazineagricole #agriculture #agriextra #agronomie

𝐀𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 ! 🚜 🌽Les travaux de récolte du maïs par ensilage* ont débuté cette semaine en Sud-Estuaire. En cette année particulièrement pluvieuse, les sorties de champ sont boueuses et les routes empruntées peuvent être salies le temps de la récolte, aussi soyez prudents et compréhensifs. Les éleveurs nettoient les routes à la fin du chantier chaque jour. Ensemble, partageons la route ! 🛣️ Merci pour votre compréhension.😄 Retrouvez toutes les informations concernant l’activité des exploitants sur notre Charte de la Ruralité ! * Réalisé pour l’alimentation des vaches, l’ensilage est une technique de fermentation naturelle. Après le chargement de l’ensilage et la confection du tas, le silo est fermé avec une bâche afin de favoriser la conservation du fourrage de la récolte à la consommation. Sa valeur énergétique élevée en fait un pilier des systèmes fourragers des éleveurs bovins, en complément des nombreuses prairies pâturées qui caractérisent notre paysager bocager.

💪 La filière avicole en région Auvergne représente un poids économique de plus en plus important (960 emplois directs). Nos éleveurs consacrent toute leur énergie à la production de volailles de grande qualité. Le développement de la filière avicole est synonyme de maintien du tissu rural et permet ainsi de lutter contre la désertification des campagnes : - Créations d’emplois, - Contribution au maintien de l’activité agricole, - Lien au territoire et maintien de la diversité des productions régionales, - Maintien d’un tissu de petits outils régionaux : abattoirs, couvoirs. La production de Volailles fermières d’Auvergne fait intervenir : - 350 éleveurs répartis dans les 4 départements de la région Auvergne et leurs cantons limitrophes, avec une prédominance du Puy-de-Dôme (171 éleveurs) et de l’Allier (125 éleveurs). - 7 accouveurs, qui font éclore les œufs et qui livrent les poussins aux éleveurs. - 3 fabricants d’aliments. - 4 abattoirs qui assurent la commercialisation des Volailles Fermières d’Auvergne. #volaille #volailledauvergne #volaillesfermiersauvergne #agriculture #aviculture #elevage #labelrouge #auvergne #emploi #economie