Post de DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État

L’IFSA - Groupe DCI organise depuis 1987 des formations destinées aux personnels ayant des fonctions liées à la sécurité : Cadres Dirigeants, Responsables de la sécurité, Officiers de sécurité des vols / aérienne, Enquêteurs de sécurité, Enquêteurs de premières informations… Les cours d’une durée de 1 jour à 4 semaines sont adaptés aux domaines aéronautique, ferroviaire, industriel, nucléaire, médical… Les participants en retirent des outils pratiques et des méthodes concrètes (Reason Swiss cheese model, HFACS, Bow Tie, SHELL, SRK, etc.) utiles pour dynamiser leurs actions de prévention ou réorienter la stratégie de sécurité de leur entreprise, compagnie aérienne ou organisme civil ou militaire. Chaque stage, qu’il soit délivré en français ou en anglais, comporte 5 à 20 participants environ, issus de spécialités et d’organismes différents permettant de partager au maximum leurs expériences et de susciter un dialogue favorable à l’amélioration de la sécurité aérienne. #DCI Défense Conseil International

[La Police nationale rejoint l’aéronautique d’État] #Permettre Depuis 2013, avec la création de la DSAÉ, l’aéronautique d’État s’est structurée en France autour de la sécurité aéronautique, en vue de maitriser le niveau de risque consenti dans l’accomplissement des missions opérationnelles du domaine régalien. L’aéronautique d’État regroupait ainsi depuis 2013 : - 7 autorités d’emploi* réparties dans trois ministères ; - Une autorité technique : le DGA ; - Une autorité de sécurité aéronautique : le DSAÉ. Suite à la parution hier du décret modifié au JO, l’aéronautique d’État compte désormais la Police nationale. Elle dispose ainsi des outils réglementaires, techniques et opérationnels en matière de sécurité aéronautique, pour réaliser ses missions tout en préservant une autonomie d’action indispensable. La Police nationale préparait cette intégration depuis 2021 dans la famille de l’aéronautique d’État, accompagnée par la DSAÉ et conformément au cadre du Programme de sécurité aéronautique. #ensembleplusfort #sécurité #aéronautique * Armée de l’air et de l’espace | Armée de Terre | Marine Nationale | DGA - Direction générale de l'armement | Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises | Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) | Gendarmerie Nationale DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État | Cyrille Duvivier Olivier Borde

Liberté. La DSAÉ a été créé pour donner aux acteurs de l’aéronautique militaire et d’Etat les outils réglementaires leur permettant d’effectuer leurs misions dans des conditions adaptées aux exigences de ces dernières. Pour un pilote voler sur un théâtre de guerre ou opérer un drone dans le cadre de la lutte contre un feu de forêt n’est pas la même chose que de faire la ligne Marseille-Paris ou faire voler un drone pour surveiller ses récoltes. Bref, que la Police nationale rejoigne la DSAÉ pour bénéficier des règles d’exploitation de leurs drones propres à l’aviation d’Etat est une excellente chose. Selon la même logique, j’en profite pour remonter sur un cheval de bataille lorsque j’ai mis en place la DSAÉ en 2013: il est nécessaire d’abandonner de la même manière la course inutile aux normes de pilotage civiles pour la formation de nos pilotes de chasse, de transport et d’hélicoptères. Cette dépendance totale des normes et process de l’aviation civile est totalement inutile et contre productive. Autrement dit: faire passer l’ATPL à des pilotes militaires et maintenir leurs licences civiles à jour sont inutiles et contre-productifs! Peut être un jour serais je entendu? Vive la liberté! Armée de l’air et de l’espace Marine Nationale Armée de Terre DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État #faireface

📢 Histoire du BEA-É : Au Service de la Sécurité Aéronautique de l'État 🛫 Depuis sa création, le BEA-É (anciennement BEAD) s'engage à contribuer à la sécurité et la transparence dans l'aviation d'État. Voici un aperçu des étapes clés de notre histoire : 🔹 Étapes clés : •30/07/1999 : Le ministre de la Défense commande un rapport sur le traitement des accidents aériens militaires. •08/12/1999 : Le rapport Courtet propose la création d'un organisme centralisé pour les enquêtes. •24/12/2001 : La création officielle du BEA Défense est décidée. •01/01/2003 : Début des activités du BEA Défense. •13/03/2003 : Inauguration officielle sous la présidence de l'Inspecteur général des armées-Air. Aujourd'hui, le BEA-É poursuit cette mission avec dévouement, menant des enquêtes rigoureuses pour garantir la sécurité aéronautique de l'État. #Aviation #Sécurité #BEA-É, #Enquête #Accident #AviationSafety

🆕️ COMMUNIQUÉ | La DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État renouvelle sa confiance à #OSAC | Au terme d’une sélection exigeante, l’Etat a de nouveau choisi OSAC pour externaliser la réalisation de certaines missions – relevant de la #DSAÉ – d’audit d’organismes et, pour la première fois, de contrôle de la #navigabilité de certains aéronefs d’Etat français. ✈️ Depuis le premier contrat de 2015 qui lie OSAC et la DSAÉ, le périmètre d’intervention d’OSAC n’a cessé d’évoluer. Avec ce nouveau contrat, notifié par le Ministère des Armées le 29 juillet 2024 et qui entre en vigueur ce jour, OSAC va poursuivre les activités de surveillance d’organismes étatiques et privés disposant d’un agrément EMAR/FR1. ✈️ De surcroît, OSAC pourra désormais, d’une part exercer cette surveillance outre-mer et à l’étranger et d’autre part, se voir confier la réalisation d’examens de navigabilité d’aéronefs (avions légers de base civile), ainsi que des études ponctuelles sur des sujets complexes dans le domaine de la réglementation. ✈️ Au-delà de la prestation de surveillance de la navigabilité que la filiale OSAC Habilitation exerce en tant que partie de l’autorité de l’aviation civile française, OSAC délivre des prestations de surveillance, formation, conseil, renfort d’équipes pour le maintien de la sécurité aérienne partout dans le monde. ✈️ Dans le domaine de l’aviation civile, OSAC continue d’apporter ses services à l’OACI, l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (AESA) et plusieurs autorités nationales à l’étranger. ✈️ Dans le domaine de l’aviation étatique, avec le renouvellement de ce marché, OSAC reste le seul organisme prestataire de services externalisés. ✈️ OSAC agit également aux côtés des autorités militaires de plusieurs pays dans le monde et conseille l’Agence Européenne de Défense (AED), en matière d’évolution de la réglementation militaire, dans le cadre d’un processus d’amélioration continue. ✈️ Ce choix de l’État français de renouveler sa confiance à OSAC témoigne d’une volonté partagée de développer des synergies entre aviations civile et étatique, réel vecteur d’amélioration continue et d’optimisation des ressources globales au bénéfice de la #SécuritéAéronautique. 📸 Signature du contrat, vendredi dernier, en présence du Général Cyrille Duvivier, directeur de la #DSAÉ, du Général Jean-Baptiste POURET, directeur Navigabilité de la DSAÉ, de Philippe Maillard, DG d'Apave et Thibaut Liblin, président d'OSAC.

ACTUALITÉ DE LA SEMAINE | La DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État (DSAÉ) renouvelle sa confiance à #OSAC. ✈ Au terme d’une sélection exigeante, l’Etat a de nouveau choisi OSAC pour externaliser la réalisation de missions relevant de la DSAÉ : audit d’organismes et, pour la première fois, contrôle de la #navigabilité de certains aéronefs d’Etat français. ✈ Le nouveau contrat a été signé le 13 septembre 2024, au siège d'OSAC, par Thibaut Liblin Président d'OSAC et le Général Cyrille Duvivier, Directeur de la Sécurité Aéronautique d'Etat, en présence de Philippe Maillard, Directeur Général d'Apave et du Général Jean-Baptiste POURET, Directeur de la navigabilité de la DSAÉ. ✈ Depuis le premier contrat de 2015 qui lie OSAC et la DSAÉ, le périmètre d’intervention d’OSAC n’a cessé d’évoluer. ✈ Avec ce nouveau contrat, notifié par le Ministère des Armées, le 29 juillet 2024 et qui entre en vigueur ce jour, OSAC va poursuivre les activités de surveillance d’organismes étatiques et privés disposant d’un agrément EMAR/FR1. ✈ De surcroît, OSAC pourra désormais, d’une part exercer cette surveillance outre-mer et à l’étranger et d’autre part, se voir confier la réalisation d’examens de navigabilité d’aéronefs (avions légers de base civile), ainsi que des études ponctuelles sur des sujets complexes dans le domaine de la réglementation. Au-delà de la prestation de surveillance de la navigabilité que la filiale OSAC Habilitation exerce en tant que partie de l’autorité de l’aviation civile française, OSAC délivre des prestations de surveillance, formation, conseil, renfort d’équipes pour le maintien de la sécurité aérienne partout dans le monde. Dans le domaine de l’aviation civile, OSAC continue d’apporter ses services à l’OACI, l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (AESA) et plusieurs autorités nationales à l’étranger Dans le domaine de l’aviation étatique, avec le renouvellement de ce marché, OSAC reste le seul organisme prestataire de services externalisés. OSAC agit également aux côtés des autorités militaires de plusieurs pays dans le monde et conseille l’Agence Européenne de Défense (AED), en matière d’évolution de la réglementation militaire, dans le cadre d’un processus d’amélioration continue. ✈ Ce choix de l’État français de renouveler sa confiance à OSAC témoigne d’une volonté partagée de développer des synergies entre aviations civile et étatique, réel vecteur d’amélioration continue et d’optimisation des ressources globales au bénéfice de la #SécuritéAéronautique.

Félicitations. Félicitations à la DSAÉ (direction de la sécurité aéronautique d’Etat) d’avoir célébré de façon militaire le lancement de sa 10ème année au profit de ses 8 autorités d’emploi (AE). Félicitations à tous ses personnels qui œuvrent pour donner un cadre robuste aux missions aériennes de ses 8 « AE ». Félicitations au chef de la DSAÉ, l’excellent général de division aérienne Cyrille Duvivier qui dirige de façon remarquable une organisation interarmées et interministérielle unique dans le monde. Le but de la DSAÉ n’est pas de pondre des règlements et des directives pour empêcher les AE de remplir leurs missions. C’est même exactement l’inverse. Le but de la DSAÉ est d’élaborer - en pleine concertation avec les AE - des réglementations et des directives qui n’ont effectivement qu’un seul but: permettre aux AE de remplir leurs missions, toutes leurs missions, quel que soit le contexte dans un monde où l’alignement sur les réglementations civiles rendrait l’exécution de ces missions totalement impossible. Magnifique initiative cher Cyrille. DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État Armée de l’air et de l’espace Marine Nationale Armée de Terre #faireface

Cérémonie de rentrée de la DSAÉ – 24 septembre 2024 La direction de la sécurité aéronautique d'État (DSAÉ) a organisé sa journée de rentrée sur la base aérienne de Vélizy-Villacoublay. Cette rencontre vise à accueillir les nouveaux arrivants après les mutations de l’été, leur présenter les missions de la direction et les intégrer à la vie de leur nouvelle unité. Comme l’an dernier, une cérémonie militaire s’est tenue en présence des représentants des autorités d’emploi*, du drapeau et de Pierre Cornetto, commandant de la base aérienne 107, des représentants de la Direction Generale de l'Aviation Civile et des formations stationnées sur l’emprise de Villacoublay. Présidée par le directeur de la DSAÉ, la cérémonie a été l’occasion d’une remise d’ordres nationaux, d’une remise d’insignes et de la lecture d’un ordre du jour. Le général de division aérienne Cyrille Duvivier a rappelé que « l’aéronautique d’État - véritable famille - s’est élargie peu avant l’été avec l’arrivée de la Police nationale, en tant que 8e autorité d’emploi ». Il a ensuite souligné que les nouveaux personnels rejoignent « cette autorité de surveillance qui cherche en permanence à trouver des solutions » et qu’en « ayant repensé notre organisation, en mettant la sécurité aéronautique et son pendant règlementaire au centre de notre transversalité, nous allons – sans ressource supplémentaire à ce stade, car on sait qu’elle manque à tous – être plus efficients ». Il a conclu en rappelant que : « nos missions n’ont qu’un seul but : aider les autorités d’emploi à réussir les leurs ». Le séminaire des nouveaux personnels militaires et civils de la DSAÉ s’est poursuivi jusqu’au mercredi 25 en matinée, avant que ceux qui sont affectés en province ne rejoignent leurs unités. *L’aéronautique d’Etat comprend une autorité de surveillance (DSAÉ), huit autorités d’emploi : chef d'état-major de l'Armée de Terre chef d'état-major de la Marine Nationale chef d'état-major de l'Armée de l’air et de l’espace délégué général pour l'armement directeur général de la Gendarmerie Nationale directeur général de la Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) et des droits indirects directeur général de la Police nationale et une autorité technique délégué général pour l'armement Pour retrouver l'ensemble des photos de cette journée : https://lnkd.in/dFwJJfu9 Pour visualiser l'ordre du jour n°05/2024 : https://lnkd.in/dsHdyYdR Ministère des Armées #BA107

[ 💻 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | 🛫 INDUSTRIE] 🖋️ 𝐄𝐱𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧: 𝐓𝐨𝐩 𝐀𝐜𝐞𝐬 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐝𝐞́ 𝐚̀ 𝐫𝐚𝐟𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞́ 𝐑𝐄𝐃𝐀𝐈𝐑 𝐝𝐮 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐫𝐦𝐞́𝐞𝐬 Top Aces recrute! Rien de bien nouveau pour l’ESSD (entreprise de services de sécurité et de défense) canadienne. Mais, cette fois, cette société spécialisée dans la formation aérienne recrute un « program manager » pour Top Aces France ! Sa mission: superviser ses opérations en France et en particulier dans le cadre du programme REDAIR (ou ADAIR) de l’armée de l’Air et de l’Espace. En effet, l’AAE veut externaliser à un prestataire privé la simulation d’une force d’opposition aérienne dans le cadre d’un marché qui portera annuellement sur 3 000 heures de vol, pour une durée d’au moins six ans. En octobre 2023 le général Stéphane Mille, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace, avait mis en avant le parc restreint de Mirage et de Rafale et expliqué: « Nous préférons nous concentrer sur le coeur de la mission ». Est-ce à dire que Top Aces a décroché le fameux appel d’offres de l’AAE qui doit permettre de disposer de plastrons aériens privés pour les missions d’entraînement? Didier Toussaint, co-fondateur de l’ESSD et président du groupe Top Aces Inc., aimerait bien. Mais les réponses à l’appel d’offres français n’ont été remises que le 8 septembre dernier: « Nous attendons désormais de présenter, avec nos partenaires, notre projet et d’entrer en négociations. Nous sommes prêts pour débuter la période de transition imminente et les pleins services au plus tard le premier janvier 2026 ». [...] 💻 La suite de l'article de philippe chapleau est à lire sur le site de 𝐋𝐢𝐠𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐟𝐞𝐧𝐬𝐞, blog défense de Ouest-France Ministère des Armées État-Major des Armées Armée de l’air et de l’espace DGA - Direction générale de l'armement Centre d’études stratégiques aérospatiales-CESA 🖋️ #ESSD #ProgrammeREDAIR #Mirage #Rafale #Marché #PrestataireExtérieur #ArméeFrançaise

➡ Le Commando parachutiste de l’Air n°20 et l’escadron Béarn ont effectué un exercice au profil inédit Relevant de Brigade des forces spéciales Air, le Commando Parachutiste de l’Air n°20, basé à Orange, est chargé de la protection et de la prise de contrôle d’installations aéronautiques ainsi que de l’application de certaines mesures de surêté aérienne [MASA]. Et, récemment, il a hérité des missions d’appui aérien du CPA 30. Une autre de ses tâches concerne les opérations d’évacuation de ressortissants [RESEVAC], laquelle a été au centre de l’exercice Lotus, qu’il vient d’effectuer en coopération avec l’Escadron de transport 4/61 Béarn. Selon les explications de l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE], cet exercice, au profil inédit, s’est « inscrit dans le cadre de l’entraînement de ces deux unités aux engagements complexes », avec la simulation de la « mise en alerte, de la projection puis du déclenchement de l’alerte Rapace, tenue tout au long de l’année par les escadrons de la Brigade aérienne d’assaut et de projection [BAAP] dans le cadre de l’échelon nationale d’urgence [ENU] ». Selon l’adage « entraînement difficile, guerre facile », les planificateurs de l’exercice Lotus ont compliqué son scénario à l’envi, tout en cherchant à le rendre le plus réaliste possible. La première phase de cette manœuvre a commencé le 23 septembre, avec la mise en place d’un « groupe de transport opérationnel » sur l’aéroport de Cahors [Lot], selon le concept opérationnel MORANE [mise en œuvre réactive de l’arme aérienne], lequel vise à déployer des moyens aériens avec la plus faible empreinte logistique possible, sous très faible préavis. Puis la seconde phase s’est déroulée dans l’enceinte de la base aérienne 721 de Rochefort [Charente-Martime], qui abrite l’École de formation des sous-officiers de l’armée de l’Air & de l’espace [EFSOAAE]. Là, il s’est agit pour les opérateurs du CPA 20 de conduire une opération de type RESEVAC, avec le concours d’une trentaire d’élèves sous-officiers. Ces derniers ont ainsi pu avoir un avant-goût de ce que peut être un « engagement de haute intensité ». « Après une séquence intense de libération, ponctuée d’échanges de tirs, ils ont été escortés vers un A400M Atlas par le CPA 20 » et ont ainsi eu l’occasion de réaliser leur premier vol de nuit, relate l’AAE. Enfin, le dernier volet de cet exercice a eu la base aérienne 701 de Salon-de-Provence pour cadre, une séquence s’étant déroulée autour du bâtiment abritant l’Escadron d’initiation au vol à voile. Là encore, l’objectif était de libérer des ressortissants français « retranchés », ce qui a nécessité de conduire une « mission aérienne complexe » [COMAO]. Ainsi, avec l’appui du Centre air de saut en vol [CASV] et de l’escadron d’hélicoptères 1/65 Alpilles, une compagnie a été larguée par un A400M du Béarn. (...)