Post de Direction générale de l'offre de soins (DGOS)

Cher réseau, Récemment, j'ai terminé une #formation sur la #Recherche sur la #mise en #œuvre élaborée par le #TDR et l'#OMS, et j'attends avec impatience mon certificat. Cette expérience a été très enrichissante pour moi. J'ai découvert un domaine passionnant qui offre de nombreuses possibilités pour améliorer les #interventions en #santé. Je souhaite partager avec vous les objectifs de la #RMO, car je pense que cela pourrait vous intéresser et vous inciter à développer vos compétences dans ce domaine. D'entrée de jeu, je tiens à souligner que la recherche sur la mise en œuvre (RMO) est cruciale dans le domaine de la santé et au-delà. Son but est de comprendre les défis rencontrés lors de la mise en place d'interventions éprouvées et de développer des solutions efficaces pour les surmonter. L'un des objectifs principaux de la RMO est de trouver des solutions adaptées pour améliorer la mise en œuvre des interventions. Cela peut impliquer la conception de nouveaux modèles de prestation de services, l'adaptation des interventions aux contextes locaux ou la mise en place de mécanismes de suivi et d'évaluation plus efficaces. En comprenant les défis spécifiques rencontrés sur le terrain, nous pouvons proposer des solutions innovantes pour maximiser l'impact des interventions. Par exemple, une question de recherche sur la mise en œuvre pourrait être : <la mise en place d'un système de traitement gratuit du paludisme peut-elle réduire le taux de décès dus au paludisme ? Dans ce contexte, la recherche sur la mise en œuvre consiste à mettre en place une intervention nouvelle ou éprouvée en respectant les étapes de la RMO et à évaluer son impact sur la santé des populations. La RMO, comme toute autre recherche, suit des phases qu'il est essentiel de respecter pour mener à bien l'intervention, de l'élaboration du projet à l'évaluation de l'investissement, jusqu'à la mise à l'échelle si les résultats sont satisfaisants. Après cette formation, mon objectif est d'être innovant et de proposer des projets novateurs en RMO, que ce soit dans le domaine de la santé ou dans d'autres domaines. Je suis désormais armé de nouvelles compétences pour améliorer les interventions existantes et être beaucoup plus performant. J'espère que vous avez pu en apprendre davantage sur la recherche sur la mise en œuvre. N'hésitez pas à partager votre expérience et à me contacter pour plus d'informations sur les exigences du protocole de la RMO

Cette semaine en Occitanie : Université de la E-Santé les 26 et 27 novembre au sein de l'école ISIS à Castres : l'ARS s'associe pleinement à cet évènement national avec plusieurs interventions lors de l'ouverture, d'une keynote consacrée à la E-Santé dans les territoires, une table ronde sur les Tiers-Lieux et un Grand Débat sur les données de santé et la prévention // A suivre des podcasts pour nous mettre dans le bain, avec celui du DG ARS Occitanie, Didier Jaffre, publié dans une petite dizaine de jours … teasing | https://lnkd.in/esXGfduf Attractivité : participant à une mission IGAS sur l'attractivité des professions paramédicales, l'occasion pour l'ARS Occitanie de rappeler son engagement fort sur ce sujet avec l'ensemble de ses partenaires, de la formation avec le Conseil régional et les instituts pour augmenter le nombre de places et juguler les abandons, de la QVCT avec les fédérations d'établissements sanitaires et médico-sociaux, de l'installation et de l'embauche avec les Unions professionnelles, les fédérations et France Travail … et de nombreux projets dans les territoires en partenariat avec l'ensemble des collectivités locales Cartographie : de nombreuses mises à jour de nos outils à disposition des acteurs pour agir à partir de données partagées sur les zonages des professions libérales et les CPTS | https://lnkd.in/emCkdZ8i Violence : le DG ARS Occitanie a pris la décision de surseoir à l'affectation en stage ce semestre d'un interne condamné pour agressions sexuelles, jusqu'aux conclusions des procédures pénale et disciplinaire en cours, dans un contexte de fortes tensions sociales au sein des Internats et des établissements de santé | https://lnkd.in/ePpMAmeq

MERM, une profession qui a de l'avenir, qui se réinvente, des collaborateurs essentiels pour le parcours de soins et la prise en charge patients. #ManipulateurRadio #FormationSanté #Parcoursup #radiologie #imageriemedicale

💉 Découvrez les meilleures prépas santé à Paris et en Île-de-France ! Suivre des études médicales est un parcours extrêmement sélectif qui demande aux étudiants de se surpasser. Face à cette réalité, les prépas santé sont devenues indispensables pour ceux qui souhaitent embarquer dans cette aventure.

-LE CRI SILENCIEUX DES FUTURS MÉDECINS MAROCAINS #savefuturdoctors Dans les amphithéâtres vides des facultés de médecine marocaines, un silence assourdissant règne. Ce n'est pas le calme de la concentration, mais le grondement sourd d'une protestation qui ne cesse de croître. Nos futurs médecins, ceux qui devraient être en train de se préparer à sauver des vies, sont aujourd'hui contraints de lutter pour leur propre avenir. Imaginez un instant : des milliers d'étudiants, le cœur rempli de passion pour la médecine, forcés de boycotter leurs examens. Pourquoi ? Parce que leur voix, leurs inquiétudes légitimes, se heurtent à un mur d'indifférence gouvernementale. Le gouvernement marocain, dans sa hâte de réformer, a décidé de raccourcir la formation médicale d'une année. Une décision qui semble anodine sur le papier, mais qui en réalité ébranle les fondements mêmes de la qualité de l'enseignement médical. Comment peut-on espérer former des médecins compétents en réduisant leur temps d'apprentissage ? Les étudiants s'interrogent, à juste titre : -Comment gérer la charge de travail écrasante de la 6ème année, entre service quotidien, gardes de nuit, les cliniques,simulations et thèse ? 1500h de stage dans la 6ème année dont les détails ne sont encore pas spécifiés! Comment un étudiant est-il capable de tolérer un futur flou et une formation qui n’est pas à la hauteur du titre du médecin? -Quelle sera la valeur de leur diplôme sur la scène internationale ? -Comment les nouvelles facultés, ouvertes à la hâte, sans hôpitaux universitaires ni professeurs attitrés, pourront-elles offrir une formation de qualité ? =>Face à ces questions cruciales, le gouvernement reste muet. Les réunions se succèdent, mais les solutions concrètes se font attendre. L'ego semble l'emporter sur le bon sens, laissant nos futurs soignants dans un désarroi profond. Ce n'est pas seulement l'avenir de ces étudiants qui est en jeu, c'est celui de tout un système de santé. Chaque jour de boycott est un jour de moins dans la formation de ceux qui seront demain au chevet des malades. Il est temps que le gouvernement marocain ouvre les yeux et les oreilles. Il est temps d'écouter ces voix qui ne demandent qu'à être entendues. Il est temps de comprendre que la qualité de notre système de santé dépend de la qualité de la formation de nos médecins. À vous, lecteurs, nous lançons un appel🙏🏼 : faites entendre votre voix. Partagez ce message, interpellez vos élus. Ne laissons pas l'indifférence l'emporter sur l'avenir de notre santé. ❗️Car demain, lorsque vous aurez besoin d'un médecin, vous voudrez qu'il ait reçu la meilleure formation possible. N'est ce pas?

#Réforme du code de la (dé)route de la #santé publique ! Après les innommables panneaux « commune cherche #médecin, #dentiste, #pharmacien», voilà qu’apparaîssent « #CHU cherchent 1500 #internes ». Nous le paierons très cher si rien ne bouge! De quoi s’agit-il? 👇👇👇👇 Les étudiants en sixième année de médecine, nos futurs médecins généralistes, spécialistes et chirurgiens de toutes spécialités alertent de la profonde injustice dont ils sont victimes : l'inaccessibilité à de nombreux postes de spécialité pour la rentrée 2024-2025. Ils demandent à raison une réouverture de postes. Leurs études ont fait l’objet de nombreuses réformes dont ils essuient les plâtres. Réforme de la PACES-One (première année commune aux études de santé) mettant fin aux redoublements autorisés, puis celle de la R2C (Reforme du deuxième Cycle). Les termes de cette dernière n’avaient pas encore été posés clairement lorsqu’uls ont commencé leur deuxième cycle, et n’ont fait que changer au cours du cursus. Les référentiels du concours ne sont pas sortis en temps et en heure. Des épreuves orales classantes ont été intégrées au concours et passées pour la première fois cette année. Cet examen subjectif s’est passé dans des conditions de neutralité douteuses. Enfin ils avaient des points de parcours portant sur leurs cursus extra-médicaux, dont la notation a été fixée en pleine crise Covid, juste avant de commencer le second cycle, l’externat. Leur temps déjà partagé entre révisions et stages hospitaliers devait être investi dans des activités extra-hospitalières. Même leur temps de repos devait compter pour ce concours. Ces éléments ont fortement impacté la santé mentale de nombreux étudiants entrainant dépressions, burn out et la disparition de certains. Malgré tout cela ils ont courageusement passé les premiers ce concours de l’EDN (Epreuves Dématérialisées Nationales). Nombre d’étudiants ont préféré redoubler leur quatrième ou cinquième année pour éviter cela, environ 1000 étudiants. 400 autres n'ont pas réussi à valider ce concours. 😳😳😳 Devant ces désistements, les postes proposés pour l’internat ont été diminués en conséquence, sans toutefois prendre en compte la force des demandes pour certaines spécialités. À titre indicatif et non exhaustif, les postes de chirurgie plastique et reconstructrice ont étés diminué de moitié, tandis que la médecine générale à Bordeaux l’a été de 20%. 😳😳😳 En revanche, et contre toute attente, le nombre de postes en chirurgie pédiatrique reste inchangé. 🙃 Les rangs limites pour accéder à la plupart des spécialités ont bondi de 1000 places au moins lors de leurs premières simulations de choix. Par ex : un étudiant qui souhaite faire un internat de Chirurgie digestive à Paris doit être aujourd’hui classé parmi les premiers 23 % de sa promo, contre 35 % l’année passée. inacceptable. Pour signer cette pétition :👇 https://chng.it/9mB6Pp2JGN Hélène Hérubel ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France

Le 6 avril 2024 Gabriel Attal annonçait l’augmentation drastique du nombre de place en seconde année d’études médicales passant de 10 000 formés jusqu’à présent à 12 000 en 2025 et 16 000 en 2027 or, depuis 2019 on observe déjà une augmentation de 18.5% des effectifs en seconde année. Ce nouvel objectif risque fort de se heurter aux manques de moyens matériels et humains pourtant indispensables souligne Benoit Veber Président de la conférence des doyens de médecine. Le cabinet de Gabriel Attal soutient, (Figaro du 20.08.24), que « comme d’habitude le nombre de postes ouverts dans chaque spécialité est proportionnel au nombre de candidats et qu’il n’y a donc pas de perte de chance pour lesdits candidats. » En réalité, 1.510 internes en moins c’est 16% de moins qu’en 2023 alors que les spécialités ont été diminuées entre 18 et 20%, voire 50% pour la chirurgie plastique, bête noire des Ministères. En pratique la diminution du nombre de poste dans la majorité des spécialités est supérieure à celui du nombre de candidats et donc, oui il y a bien perte de chance ! Par ailleurs, la distribution de choix n’est pas uniforme. II est probable que les candidats se présentant soient les plus motivés, si ce nombre de motivés reste le même, le nombre de postes qu’ils convoitaient a lui été amputé donc les probabilités ne sont absolument pas identiques. Comme le souligne également le Ministère, offrir le même nombre de places à l’internat mettrait en lumière les spécialités les moins recherchées, et laisserait des postes vacants, ce qui serait selon lui préjudiciable. Mais est-il plus judicieux de forcer un futur médecin à suivre une spécialité qu’il n’a pas choisi, ou pourrait-on saisir ce constat pour redonner aux spécialités en désamour un nouveau souffle d’attractivité ? Sur le même constat, le Pr Philippe Juvin, patron des urgences de l'Hôpital Georges Pompidou et député LR affirme : « Ce n'est pas en diminuant le nombre de postes dans les filières attractives que l'on va rendre attractives celles qui ne le sont pas ! Réfléchissons aux moyens de les rendre plus attirantes » ; (le Figaro du 20.08.24). Cessons enfin de répéter que ce sont les besoins démographiques des territoires qui dictent le nombre des spécialités souhaitées. F. Valletoux admet sur son compte X que le nombre de postes était historiquement guidé par le nombre de candidats seule véritable variable d’ajustement. Le gouvernement serait avisé de s’inquiéter de la rentrée 2025 qui marquera le premier influx correspondant à l’augmentation du NC additionné des quelques 1.000 redoublants de cette année. Comment gérer l’examen des ECOS en toute rigueur ? Comment accueillir et former ce brusque surplus de médecin dans les meilleures conditions possible ? Autant de challenges qui devraient s’anticiper.

- Heyyy psssst! Oui vous! - Quoi de neuf Le Sel De La Vie ? - Hey! Hey! Dans quatre jours c’est le printemps ! - Et Il y a 4 ans, nous créions Ecurie sociale et solidaire Médenpharmakinéé, - Oui, vous savez Ecurie sociale et solidaire Médenpharmakiné qui prépare aux concours des métiers de santé : Médecine, Dentaire, Pharmacie, Maïeutique et Kinésithérapie !   - Follow-us...par ici...voici un petit portrait: - Hier, elle était aussi timide que réservée, rouge tel un coquelicot, très effacée et en retrait : « Je veux bien parler mais en silence ! » - Malheureux ! Malheureuse ! - Voici le témoignage de Chiraz lauréate de la promotion Frantz Fanon. - Etudiante en deuxième année de médecine. Elle est au pilotage du pôle LAS (Licence Accès Santé)! - Oui ! Oui ! Elle pilote ce pôle! - Oui ! Oui ! Elle coordonne l'équipe des tuteurs-trices! - Oui ! Oui ! Elle accompagne et prépare les étudiants aux mêmes concours   Durant son année de préparation, elle a été formée à : -         La prise de parole, -         La gestion du stress… Alors fleurissent la confiance en soi, la capacité à déployer d’autres savoir-faire tels que : - La gestion et l’animation de groupe, - La construction de contenus pédagogiques, - La pédagogie différenciée avec les étudiants à la même place qu’hier ! Pour Chiraz, réussir médecine, c’est : « A peine ouvrir la porte. Et maintenant, il faut découvrir les pièces ! »   « Venir de, ne doit pas, ne doit plus...empêcher de devenir...»

"Quel échec, désolé j'ai échoué, je part sur #Pharmacie pour 12 places avec 16,8 de Moyenne !" Cette phrase n'a que quelques heures, elles est terrible ! Au delà du cas de la faculté de médecine, elle est a l'image de la manière dont notre culture s'acharne à casser l'envie d'une #jeunesse à s'engager, exceller et la pousse à partir à s'exiler. La France fait face à une pénurie de médecins sur son territoire, une situation paradoxale compte tenu des récentes réformes . La réforme de l'#Académie de #Montpellier, qui alloue 200 places à des étudiants d'autres filières, est un exemple frappant de la gestion controversée de la formation médicale. Cette décision est d'autant plus critiquée qu'elle exclut des étudiants en médecine ayant des moyennes très élevées, souvent supérieures à 16 ou 17 sur 20, obtenues dans des conditions académiques extrêmement rigoureuses. Cette politique est perçue comme une aberration, car elle limite l'accès à la formation médicale pour des étudiants qualifiés, aggravant ainsi la pénurie de médecins. ✅Quels Impacts sur les étudiants et le système de santé ? Cette gestion pose plusieurs questions sur le message envoyé à la jeunesse. Les étudiants consacrent une année entière, sacrifiant leurs jours fériés, week-ends et vacances pour obtenir des notes élevées, montrant ainsi leur intérêt et leurs capacités. Le refus de ces étudiants pour des raisons administratives ou de quotas est démoralisant et peut conduire à un sentiment d'échec, de frustration et je pense, de désengagement pour la France. La problématique de la formation des médecins s'inscrit dans un contexte plus large de dysfonctionnements dans l'Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche français. avec des gouvernances des facultés, d'écoles et de laboratoires réticentes à entreprendre des réformes significatives pour maintenir un système qui n'est plus adapté mais qui les protège de tout challenge (jusqu'à leur retraite). Il est crucial de repenser la gestion de la formation des médecins en France pour répondre efficacement à la pénurie actuelle. Cela implique de revoir les politiques de quotas et de sélection, d'améliorer l'attractivité des études médicales et de garantir une formation de qualité qui réponde aux besoins du système de santé français: Par exple des passerelles pour former des pharmaciens a la médecine, des notes planchers qui garantissent l'accès à la formation... En tout cas mon grand, le métier de #pharmacien est un très noble métier, bravo à toi !

🔍 OFFRE Recrutement Chef(fe) de #projet e-santé #CPTS #Coordination Anamnèse, jeune société éditrice de logiciels médicaux apporte sa pierre à l'édifice de la transformation de notre système de santé en France, avec ses logiciels Citana (coordination médecine de ville), Médana (logiciels de parcours patient), Prévana (logiciels de prévention), reposant sur son #IA médicale MKG, brevetée en 2020. Et si vous en faisiez partie? Nous recherchons un(e) chef de projet e-santé posé(e), réfléchi(e), rigoureux/se, technique, prêt(e) à déplacer les montagnes pour accompagner nos clients #CPTS dans la réalisations de leurs missions sanitaires à la population grâce à nos logiciels SaaS. Ambiance décontractée, motivée, soudée, en plein centre de Paris, pour un métier qui a du #sens, et qui a un #impact sur la population et donc vos proches. Mais #NoPainNoGain, c'est aussi un poste très (très) demandeur, dans lequel il vous est demandé - Sens du #relationnel avec les clients - Capacité de #réflexion pour concevoir les solutions - Forte imagination combinée à du #réalisme (car c'est la santé) - Savoir échanger avec l'équipe de #développement (spécifications/ tests) - compréhension de l'#écosystème santé les #MUST : - avoir déjà géré des projets de logiciels SaaS - avoir une TRÈS FORTE affinité avec le monde de la santé les PLUS - Formation ingénieur pour apporter de la rigueur et de la technicité. - Comprendre (ou apprendre) ce que veulent dire les acronymes : INS, PSC, MES, MSS, SEGUR, e-Prescription, FSE, CPTS, MSP, URPS, Protocole car ce sera ton quotidien - valoriser le potentiel de la médecine de ville pour maintenir notre système de santé à flot - si tu as déjà travaillé chez un éditeur de logiciel e-santé, et/ou avec des organismes du type ANS, CNAM, ARS tu nous intéresses beaucoup - si en plus tu as travaillé avec des médecins, pharmaciens, infirmiers, kiné, sage-femme... alors là c'est le TOP 👋 ... bon... ... ahhhhh??? toujours là? tu n'es pas parti en courant? 🤩 Mais... c'est peut-être de toi dont on a besoin 👉 tu veux postuler ? https://lnkd.in/gEKSER3H