Post de Domaine national de Chambord

L’info du jour le ministère de la culture s’associe à AG2R Le gouvernement n’a rien trouvé d’autre que de copier ce qui existe déjà … La plateforme artyMetia référence plus de 2500 métiers d’art rare en constante augmentation avec une éthique forte et valorisante et qui correspond à l’attente des ateliers d’art. Plutôt que de chercher l’expertise avec les acteurs du marché qui ont la connaissance des hauts savoir-faire la ministre de la culture dévoile un nouveau projet « Perdurare » 🤭 Florent Kieffer le chef du bureau 9 experts du comité scientifique ???? 2 chargés de mission Maître et Maîtresse de conférences qui ne connaissent pas l’univers des métiers… Le tout financé par AG2R mutuelle assurance de protection sociale. Cherchez l’erreur…. Attention l’INMA veut définir la notion de métiers d’art rares sans consulter les principaux intéressés et ils semblent oublier la notion de démocratie… À suivre #infogouv #gouvernement #Ministère de la Culture #metiersrares #savoirfaire #culture #artisansdart #atelierdart ASSOCIATION REGIONALE DES ENTREPRISES DU PATRIMOINE VIVANT D'AUVERGNE RHONE ALPES (AREPV ARA) #fondationag2r #artyMetia Institut National des Métiers d'Art (INMA) Florent Kieffer

🤖🎨 Petit-déjeuner juridique de France Muséums : l’intelligence artificielle et les musées     Le 14 mars, Cyrielle Gauvin, associée de notre cabinet, est intervenue, aux côtés de Marion Carré, fondatrice d’Ask Mona, auprès des départements juridiques des partenaires culturels de France Muséums, afin de contribuer aux réflexions sur les enjeux #technologiques, #éthiques et #juridiques liés aux utilisations de l’#IA dans leur secteur.       🔎 Ce temps d’échanges a eu lieu à point nommé, puisque la veille nous apprenions que :  1. Le Parlement européen adoptait la première législation au monde sur l'IA (AI Act)   En substance, l’AI Act tend à favoriser l’innovation tout en protégeant les droits de chacun. Le règlement procède par une approche par les risques ; les obligations varient à proportion du risque résultant de l’utilisation de l’IA :    - Risque inacceptable : ces systèmes d'IA sont interdits (ex. score social ou identification biométrique à distance « en temps réel » dans des espaces accessibles au public, sauf cas exceptionnels).   - A haut risque : il s’agit des systèmes (i) utilisés en lien avec un produit relevant de la législation de l’UE sur la sécurité des produits ou (ii) relevant de « domaines cruciaux » (ex. données biométriques, emploi, etc). Il sont soumis à des contraintes élevées, tant avant leur mise à disposition que tout au long de leur cycle d’utilisation.   - A risque limité : il s’agit d’une catégorie résiduelle, comprenant les autres systèmes, en particulier les IA génératives capables de produire des contenus (ex. ChatGPT, DALL-E, Mid Journey, Gemini, etc.). Il sont soumis à des obligations de transparence pour permettre aux individus d’être pleinement informés de l'utilisation de l'IA.     📆 Calendrier pour la mise en oeuvre : - 2nd vote pour le texte final : courant / fin avril 2024 - Entrée en vigueur : courant 2026 (pour certaines dispositions : début 2026)     2. La Commission pour l’IA remettait son rapport à l’Élysée   Ce rapport formule 25 recommandations à destination des pouvoirs publics à mettre en oeuvre si la France veut mener en Europe une dynamique de déploiement du plein potentiel de l’IA.    3 recommandations, notamment, visent spécialement la culture pour « Assurer le rayonnement de la culture française en permettant l'accès aux contenus culturels dans le respect des droits de propriété intellectuelle » : - N° 16 : Mettre en place une infrastructure technique favorisant la mise en relation entre les développeurs d’IA et les détenteurs de données culturelles patrimoniales ; - N° 17 : Mettre en œuvre et évaluer les obligations de transparence prévues par le règlement européen sur l’IA en encourageant le développement de standards et d’une infrastructure adaptée ;  - N° 21 : Faciliter l’appropriation et l’accélération des usages de l’IA dans la culture et les médias pour limiter la polarisation entre grands groupes et petits acteurs et lutter contre la désinformation.

/ Parution : Les substituts numériques : questionner la médiatisation des expositions de musée à l’écran / Un nouveau dossier, en accès libre, de la revue "Les enjeux de l’information et de la communication intitulé", sous la direction de Sébastien Appiotti (CELSA – Sorbonne Université/GRIPIC) et Lise Renaud (Avignon Université/Centre Norbert Elias). La publication prolonge les échanges qui ont lieu eu cours des deux journées d’étude EXPOZ. https://lnkd.in/dFxhF-bP

À vos agendas ! Mardi 26 novembre nous vous donnons rendez-vous au Musée Départemental Breton à Quimper pour nous retrouver dans le cadre d'une nouvelle journée d'études "Valorisation des collections muséales en ligne : enjeux & outils de communication" 📖 Portail des collections dédiés, contribution à des bases de données en ligne déjà existantes ou participation à des agrégateurs de contenus : nous vous proposons un état des lieux des outils existants des bonnes pratiques à adopter pour lancer un chantier de mise en ligne des collections muséales, à travers une table ronde. 🗣️ Mais ensuite ? Que cette démarche s'accompagne d'une mise en ligne des collections ou non, la communication numérique autour de celles-ci s’avère importante pour développer et animer durablement une communauté et un intérêt autour des objets conservés. > Quels freins pouvons-nous rencontrer ? > Quelles plateformes pouvons-nous utiliser pour animer sa communication numérique et pour cibler quel.s public.s ? > Quelles sont actuellement les bonnes pratiques à valoriser ? > Comment vulgariser et ainsi rendre accessible au plus nombre les connaissances autour des collections conservées, exposées ou non ? ✔️ Si ces questionnements vous interpellent, retrouvez le programme détaillé et les informations pratiques ici : https://lnkd.in/gs_66aRS ✔️ Lien vers le formulaire d'inscription : https://lnkd.in/gjuWK-B7 𝘓𝘦́𝘨𝘦𝘯𝘥𝘦 : 𝘑𝘦𝘶𝘯𝘦𝘴 𝘨𝘢𝘳𝘤̧𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘭𝘰𝘯𝘨𝘦𝘢𝘯𝘵, 𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰𝘨𝘳𝘢𝘱𝘩𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘑𝘢𝘤𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘛𝘩𝘦́𝘻𝘢𝘤, 1900-1910, 𝘤𝘰𝘭𝘭. 𝘥𝘶 𝘮𝘶𝘴𝘦́𝘦 𝘥𝘦́𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭 𝘣𝘳𝘦𝘵𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘘𝘶𝘪𝘮𝘱𝘦𝘳

Nous sommes ravis d'annoncer que notre webinaire exclusif "Pourquoi et comment investir dans l'art contemporain" a été un beau succès !  🌟 Organisé le Mercredi 3 juillet à 17h30 (CET) avec matis, cet événement a attiré 135 participants. 🙌 Lors de cette occasion, Eloïse Priou et Arnaud Dubois ont pu aborder des sujets comme:  - Les stratégies d'investissement 💹 : Comment débuter une collection d’œuvres d’art.  - Les artistes prometteurs 🎨 : Les talents actuels à surveiller.  - Les avantages de l’investissement 📈 : Pourquoi choisir d’investir dans des artistes émergents et établis. Pour ceux qui n'ont pas pu voir le webinaire en direct, nous avons une bonne nouvelle ! Vous pouvez le regarder en entier en suivant ce lien : https://lnkd.in/dfHkf3x6 Merci à tous ceux qui ont participé et rendu cet événement mémorable. Nous sommes impatients de vous retrouver pour nos prochains webinaires ! 🎉 #InvestirDansLArt #ArtContemporain #Webinaire #Artsper #Matis

Hello LinkedIn! Après beaucoup de temps passé à mettre en place ce projet d'étude, nous sommes fières de pouvoir vous faire découvrir notre exposition virtuelle se nommant "voyage autour du monde". Pour rappel cette exposition a pour but de partager la perspective internationale de notre formation, mais aussi de vous faire découvrir la diversité culturelle, religieuse et patrimoniale du monde ! Ce projet est en collaboration avec Louise HU, et nous serions ravies d'avoir vos retours sur ce projet passionnant. Si vous souhaitez visiter notre exposition: flashez le QR code ci- dessous ou via un ordinateur avec le lien: https://lnkd.in/endF9qrv Après avoir visionné l'exposition, n'hésitez pas à répondre au questionnaire ci-dessous via le QR Code ou via le lien: https://lnkd.in/ewPcNhNs Vos retours sont très importants pour nous et pour la suite de notre cursus. Nous comptons énormément sur le partage et votre avis. MERCI 😇 #projet #étude #exposition #art #virtuel #statistiques

[Retour sur l’exposition « Le musée en 2074 »] En avril dernier, les étudiant.e.s de master 1 ont eu l’opportunité de réaliser une exposition sur la thématique « Le musée en 2074 » au sein de la salle de pratique muséale de l’Université Sorbonne Nouvelle. Le monde des musées a fortement évolué au cours du dernier siècle : du temple austère, il est devenu forum, lieu d’inclusion et de participation, mais aussi de commerce. À quoi ressemblera-t-il dans cinquante ans ? Quel type d’expositions y verra-t-on, pour quels publics ? À moins qu’ils n’aient tout simplement disparu, remplacés par d’autres dispositifs ? À partir de cette réflexion sur le rôle et le sens de cette institution au sein de la société, iels ont imaginé une exposition avec des thématiques différentes, à la fois indépendantes et interconnectées. Entre ruines patrimonialisées, nouveaux types de collections et de patrimoines ou exploration d’un passé résolu, les étudiant.e.s ont proposé quatres réflexions sur l’évolution du musée et ses formes qu’il pourrait prendre dans les décennies futures : •⁠  ⁠« Inventer les artistes, inventer les œuvres - IA » a présenté une plongée dans un futur dystopique où le musée a adopté une forme numérique. •⁠  ⁠« La collection Van Bulfany 50/50 » et ses partenaires ont exposé celles qui ont réellement fait l’histoire de l’art dans un monde où l’on séparait encore les humains des artistes. •⁠  ⁠Le « Museum : Faune retrouvée » donnait à voir un futur dystopique absurde et alarmant où les muséums d'histoire naturelle ont désormais disparu. •⁠  ⁠« Parfums de Paris » a reconstitué les odeurs de la ville de Paris de 2024. Bravo à eux pour ce très beau travail ! 👏 François Mairesse - Fabien Van Geert - Clélia Dehon  ___ #MNM #masterMNM #P3 #SorbonneNouvelle #exposition #exhibition #art #projetetudiant #mediationculturelle #Musée2074 #Muséologie

Merci pour le partage ☆ En effet, quelques engagements manquent au tableau, notamment mon rôle d'administratrice (tpg transports publics genevois) et au conseil de la Fondation pour la Création Numérique. Aussi, petite clarification concernant les financements: il y en a, pas assez cependant. Mais justement, nous encourageons le soutien et l'utilisation des technologies immersives et spatiales et acculturons les divers publics. Ma plus grande satisfaction: lorsque mes efforts et mon expertise font sens pour un projet et que ce dernier grandit et prospère. C'est en cela que mon rôle de facilitation est utile. Et j'arrive désormais à en donner une définition: personne externe qui conseille en faisant valoir son expertise et son réseau pour permettre l'optimisation dans la création de projets, qu'ils soient créatifs ou médicaux, ou tout autre, car au fond c'est l'utilisation de la tech qui se doit d'être pertinente. 8ème année pour Virtual Switzerland et 4ème pour XR4Europe et de nombreux projets à suivre et poursuivre! #xr #swissxr #digitalcreation #immersivetechnologies #promotion #digitalart #immersiveart #startup #innovation

A ré-écouter ou à découvrir: le colloque "Musées et pouvoir(s)" ouvre le champ de compréhension du statut particulier des musées, témoins des sociétés d'hier, d'aujourd'hui et de demain.

📣 A lire : Coopérer autour des dispositifs de médiation culturelle numériques au musée : acteurs, ajustements et contenus Article publié dans le cadre du projet DEXCUPAT (dispositifs et expériences en culture et patrimoine) avec Julie Pasquer-Jeanne et Arnaud Jooris. Merci aux coordinateurs du numéro des Enjeux de l'Information et de la Communication Sébastien Appiotti et Lise Renaud. Résumé : Borne, projection visuelle, tablette en réalité virtuelle (RV), etc., se retrouvent aujourd’hui dans de nombreuses expositions des plus grands musées aux plus petits. Ce déploiement des dispositifs de médiation culturelle numérique in situ a été analysé par différents chercheurs qui ont notamment révélé les discours d’escorte et les imaginaires qui les entourent. Cependant, peu de travaux questionnent la manière dont ils sont concrètement produits. Là est l’enjeu de notre article qui questionne d’une part la stabilité des attentes envers ces dispositifs et d’autre part les relations de travail qui se nouent autour de leur déploiement. Notre résultat principal montre que les services de médiation ne sont pas associés d’emblée à leur conception et que des négociations s’opèrent entre service scientifique, de médiation et prestataire, ces derniers pouvant tantôt être cantonnés à un rôle de sous-traitant technique, tantôt être force de proposition.