Tout savoir sur l'Élasthanne : Origines, Utilisations et Recyclage 📣 L'élasthanne, également connu sous le nom de spandex ou Lycra, est une fibre synthétique incontournable dans l'industrie textile. Mais connaissez-vous vraiment ses origines, son rôle et les défis liés à son recyclage ? Découvrons ensemble ! 👀👇 L'élasthanne a été inventé en 1958 par le chimiste Joseph Shivers. Sa découverte a révolutionné l'industrie textile offrant une alternative aux caoutchoucs naturels utilisés jusqu'alors, et permettant de répondre à la demande de l’industrie textile de fibres plus élastiques, durables et résistantes. Fabriqué à partir de polymères de polyuréthane, il se distingue par sa capacité à s'étirer jusqu'à cinq fois sa longueur initiale tout en reprenant sa forme originale. 😲 Cette élasticité exceptionnelle a rapidement fait de l'élasthanne un matériau de choix pour de nombreux vêtements. Aujourd'hui, l'élasthanne est omniprésent dans le textile. On le retrouve dans une multitude de textiles. Sa capacité à apporter confort, ajustement et flexibilité fait de lui un ingrédient clé pour des textiles qui nécessitent de l'élasticité et du maintien tout en s’adaptant à la diversité des morphologies. 👕🔎 Environ 80% des vêtements commercialisés contiennent de l'élasthanne, que ce soit dans des proportions petites ou grandes. Et la fin de vie des textiles contenant de l’élasthanne dans tout ça ? 🤔 L'élasthanne représente aujourd’hui un obstacle au recyclage car il est très souvent mélangé à d’autres fibres, tant naturelles que synthétiques, en plus de sa composition chimique complexe. Actuellement, le recyclage mécanique des vêtements composés d’élasthanne est limité, et les technologies de recyclage chimique sont en cours de développement pour traiter cette fibre efficacement. Autrement dit, si vos vêtements contenant de l’élasthanne sont en fin de vie, nous vous invitons à les déposer dans les bornes de collecte textiles les plus proches de chez vous ! Les spécialistes de la collecte et du tri qui se chargent du contenu de ces bornes trient ces vêtements vers les filières les plus adaptées 😉 GEBETEX, SYNERGIES TLC, LE TRI D'EMMA, Tremplin 01, Mokki L'élasthanne a sans aucun doute transformé l'industrie textile par ses propriétés uniques permettant à chacun de se sentir très à l’aise dans ses vêtements. Cependant, le #recyclage incluant des vêtements qui en contiennent reste un défi à relever pour atteindre un avenir plus durable, car il faut réussir à isoler cette matière des autres fibres. De notre côté, nous travaillons activement à développer nos procédés à échelle industrielle pour recycler les textiles contenant du nylon mélangé à d’autres fibres comme l’élasthanne. L’objectif est de proposer au marché des matériaux de qualité équivalente à de la matière vierge, mais provenant de nos déchets afin de réduire notre empreinte écologique. #Textile #Durabilité #Innovation #ÉconomieCirculaire #TextileRecycling #SustainableFuture
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Décomposer les molécules complexes de PET(polythéréphtalate d'éthylène) un mythe toujours en réflexion? . Mais on pense plutôt à une méthode de transformation des nouvelles fibres permettant de refaire des vêtements en polyester . Intéressant article :-) en vue d'une efficacité de recyclage dans l'industrie textile #textile #recycledmaterials #PET #Carbios #ecological #environnemental https://lnkd.in/e58R4FeN
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Des progrès scientifiques se peaufinent quant au processus de recyclage des vêtements. Une grande partie du prêt-à-porter est vouée à l’incinération alors qu’à l’échelle mondiale «moins de 0,5% des déchets textiles post-consommation sont recyclés», selon une étude de chercheurs de l’université de Delaware parue le 3 juillet dernier dans la revue Science Advances . Toute la difficulté du recyclage est liée aux tissus qui combinent différents matériaux tels que le coton et le polyester. Une fois les fibres assemblées, il est davantage laborieux de séparer les composants afin qu’ils puissent être recyclés séparément…. Dans ce secteur, la meilleure stratégie est la modération des consommateurs… et le calme des professionnels de la mode…
Une réduction de la pollution de l’industrie textile ? Des chercheurs américains explorent de nouvelles pistes
lefigaro.fr
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Quand on pense au recyclage, on pense directement à un acte éco-responsable qui permet l’économie de ressources naturelles ! Mais est-ce aussi simple que ça ? 🤔 Dans l’industrie de la mode, pour recycler du textile en un nouveau fil, il existe deux techniques majoritairement utilisées. Elle ont chacune leurs avantages, mais aussi leurs limites ⬇ Le recyclage mécanique ⚙ Cette méthode consiste à décomposer mécaniquement les textiles en fibres pour en créer de nouveaux produits 🤗 Le textile passe par l’effilochage ou le broyage pour retourner à l’état de fibre. Puis cette fibre est ré-injectée dans le circuit classique pour être filée et tissée 🏭 Cela permet de réutiliser certains déchets textiles et de réduire la part de matière première nécessaire. Mais cette méthode de recyclage n’est pas adaptée aux textiles avec de trop gros mélanges de fibres (très présents sur le marché), et requiert l’ajout d’au moins 50% de matière vierge pour obtenir une fibre suffisamment résistante 😑 Le recyclage chimique 🧪 Cette méthode consiste à dissoudre les textiles dans des solvants pour les transformer en solution liquide qui peut être extrudée en une nouvelle fibre. C’est surtout adapté aux fibres synthétique et certaines méthodes peuvent traiter les mélanges de fibres difficiles à recycler mécaniquement 😎 Comme pour le recyclage mécanique, les textiles recyclés chimiquement permettent d’utiliser moins de matériaux synthétiques vierges, mais il est nécessaire d’en ajouter quand même 50% au minimum. Outre la toxicité de certains solvants utilisés dans le processus, le principal problème des textiles synthétiques recyclés sont les microparticules qu’ils rejettent abondamment pendant leur utilisation 😫 La dernière limite, commune aux deux méthodes, est l’énergie déployée pour retransformer la fibre recyclée en fil, puis en textile. On peut considérer que les textiles recyclés passent une deuxième fois dans chaque étape de la chaine de production, donc qu’ils consomment 2x plus d’énergie qu’un textile neuf 🤒 De plus, aujourd’hui, seulement 1% des vêtements commercialisés sont en fibres recyclés 😞 Bon, si vous êtes arrivés jusque là vous avez peut-être perdu espoir sur notre capacité à réduire les impacts de l’industrie de la mode, mais ne vous inquiétez pas ! 💪 Malgré toutes ses limites, le recyclage textile est un procédé industriel encore en développement, notamment en France, et il représente une bonne manière de valoriser certains de nos déchets textiles 👨🏫 De plus, d’autres voies que le « textile to textile » existent, mais je garde ça pour un prochain post ! Si vous voulez découvrir les projets de recyclage textile français, je vous conseille ce court article de Textile Addict : https://lnkd.in/e5C8ww8z D'ici là, si les avancées d'ancor garments vous intéressent, inscrivez-vous à notre newsletter mensuelle : https://lnkd.in/e5PP-Wwv
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A peine 1% ! C’est la part du lyocell dans la production textile mondiale, loin derrière le coton et les synthétiques (environ 64% des fibres produites en 2021). Et pourtant, on le voit partout : des podiums aux rayons de la fast-fashion en passant par les marques éthiques. Alors greenwashing ou vraie solution écolo ? La Belle Empreinte vous donne quelques pistes ! 🌿 Le Lyocell est une matière artificielle, produite à partir de pulpe de bois. Si la viscose date des années 30, le lyocell est plus récent puisqu'il a vu le jour dans les années 80. 🔎 Tencel et Lyocell quelle différence ? Lyocell est le nom générique (combinaison des termes « lyophilisation » et « cellulose »). Tencel est le nom de marque utilisé par l’entreprise leader sur le marché, Lenzing. ♻ Comme sa cousine la viscose, le Tencel nécessite des substances chimiques pour transformer la pulpe de bois. Mais la comparaison s’arrête là car les produits utilisés pour produire le Tencel sont moins nocifs et surtout tournent en circuit fermé (99,8 % des produits sont réutilisés). 🌲 Enfin le Tencel est produit à partir de bois PEFC et FSC, des labels qui garantissent normalement une gestion durable des forêts et luttent contre la déforestation. Autre bon point, le Tencel nécessite peu d’eau pour être produit. Bref, le Tencel reste une bonne option lorsque l’on souhaite réduire l’empreinte écologique du textile. Mais rappelons qu’il est toujours préférable de valoriser les matières existantes (via la seconde main, l’upcycling ou le recyclage) plutôt que d’en extraire de nouvelles. C’est d’ailleurs ce qu’à répondu Delphine Droz à Nicot Marie qui l’interrogeait pour son article consacré au Tencel dans l’Express ! Et visiblement, l’entreprise Lenzing partage notre constat puisqu’ils ont lancé Refibra : une technologie qui inclut dans son Tencel 30% de textiles en coton recyclés ! Pour en savoir plus sur le Tencel, découvrez l’article fouillé de Nicot Marie dans L'Express : https://lnkd.in/eMUxb4Bc
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♻️👗 Recyclage des textiles : des chercheurs américains ont développé un procédé innovant qui permet de décomposer les vêtements à fibres mixtes en pièces réutilisables, sans nécessiter de tri préalable. 💡 Une innovation prometteuse qui pourrait participer à la réduction de l'empreinte carbone de cette industrie, où actuellement moins de 1% des tissus des vêtements sont valorisés. #textile #pollution #environnement #déchets #économiecirculaire #recyclage
Une nouvelle technique de dissolution facilite le recyclage (encore rare) des vêtements
usbeketrica.com
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♻️ #Environnement : on va pouvoir enfin recycler les tissus mélangés Un bain chimique de 15 minutes de tissus mélangés permettra de séparer les différentes matières. Il faut savoir qu'à peine 1% des vêtements dans le monde sont recyclés. https://lnkd.in/eMSVZ8AR #recyclage #tissus #vêtements franceinfo
Environnement : on va pouvoir enfin recycler les tissus mélangés
radiofrance.fr
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📌𝗦𝗔𝗩𝗘 𝗧𝗛𝗘 𝗗𝗔𝗧𝗘 ! 🏷Dans un contexte où l’industrie textile se tourne vers des pratiques plus durables, le traitement des textiles en fin de vie est devenu une préoccupation majeure de la filière ✅ Ces gisements de textiles usagés représentent des volumes conséquents et grandissants de matières aujourd’hui très peu exploités ⏩ Cette perspective souligne la nécessité de développer l’innovation dans le domaine du recyclage 👉 Lors du prochain RDV IFTH de février, nous vous proposons un panorama des enjeux et des solutions liés au traitement des textiles en fin de vie aux côtés d'Axelle Champion, Ingénieure R&D spécialiste du recyclage textile, à travers 3 grands points: ◾ l’état actuel du gisement des textiles en fin de vie ◾ les étapes de préparation d’une matière textile usagée ◾ les avancées technologiques à travers 3 grandes voies de recyclage : mécanique, chimique, et enzymatique Explorez les différentes voies de valorisation des déchets textiles pour mieux comprendre comment ceux-ci peuvent être transformés en ressources précieuses ! ❔ Intéressé(e) ou concerné(e) par cette thématique ? ⌛ Rendez-vous le jeudi 8 février prochain, à 17 h (online) 📧 Inscription: https://lnkd.in/emcE-s8X https://lnkd.in/e_HaZ7np #IFTH #textile #mode #habillement #recyclage
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4. Connaître les matières textiles et les choisir sciemment La mode écoresponsable se tourne clairement vers les fibres naturelles pour se détacher des matières textiles chimiques. En effet, la production de ces dernières pollue l’eau, une ressource qui se fait de plus en plus précieuse. Toutefois, il faut se renseigner sur le mode de culture des matières naturelles que l’on choisit. En effet, le coton biologique a la côte, alors que cette plante a des besoins en eau très importants. Là où l’intention est louable pour la santé du consommateur, on y perd en préservation des ressources. Les matières plus recommandables sont le lin et le chanvre, qui ont l’avantage de bien pousser en France. Le coton recyclé est aussi une bonne alternative. 5. Opter pour des teintures non polluantes Lors des lavages en machine de nos textiles, des microparticules de plastique partent dans les eaux et les polluent. Mais elles ne sont pas la seule cause de pollution : il y a aussi les teintures. La plupart des teintures en elles-mêmes, mais aussi leur processus de production, relâchent des métaux lourds dans la nature. Se renseigner sur les nouvelles teintures plus responsables (colorants biosourcés, teinture recyclée, …) est une bonne piste. Si vous trouvez que la fibre non teinte est trop sobre, pensez aux produits certifiés Oeko-Tex. 6. Offrir un cycle de vie plus long aux vêtements Avec une marque durable, vous faites le choix de produire des vêtements et du linge de qualité pour une utilisation plus longue. Pourtant, vous n’êtes pas le seul responsable de cette durée de vie une fois l’article vendu. Il faut donc mettre en place un accompagnement du client pour l’entretien de la pièce, ainsi que sur ses possibilités de réparation. Non seulement, vous garantissez un cycle optimal à vos textiles, mais vous avez aussi la possibilité de créer une économie circulaire en proposant les services de réparation, d’échange et de recyclage. 7. Proposer des services pour personnaliser vos modèles Les marques durables peuvent tomber dans l’écueil de la banalité en proposant des gammes indémodables. Les clients ont toujours la volonté d’acheter des pièces qui les distinguent. Il est important de considérer ce point en proposant des looks uniques et originaux avec des pièces de votre collection pour les convaincre que l’originalité durable est possible. En outre, vous pouvez mettre en place un service de personnalisation des pièces et grâce à des détails, faire d’un basique, un modèle unique. Pour aller encore plus loin, réfléchissez à l’upcycling. Nouvelle tendance dans le monde de la mode, il permet, à partir de pièces de seconde main, de faire un nouveau modèle. Les produits sont parfaitement écologiques et originaux.
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👖 Gros plan sur les #microfibres et leur relargage dans l'#environnement. Un sujet qu'étudie de près l'une de nos équipes R&D, spécialiste de la pollution plastique. 🔎Les microfibres sont des fibres #textiles qui peuvent être : > Naturelles (végétales comme le coton, animales comme la laine) > Artificielles (p. ex. la viscose) > Mais aussi synthétiques (avec des microfibres plastiques comme le polyester ou le polyamide) Toutes ces microfibres ont un impact sur les écosystèmes, qu'ils soient marins, en eaux douces ou terrestres (cf. notre dernier article sur l'impact environnemental des déchets plastiques mal gérés : https://lnkd.in/eV9S38_k) ▶ Les fuites de microfibres se produisent tout au long du cycle de vie d'un produit textile. On pense souvent à la fin de vie, au textile usagé, alors que la principale source de relargage se situe en amont : ⏩ Les textiles neufs relarguent plus de microfibres que les textiles déjà lavés plusieurs fois (chez les particuliers comme sur les sites de production). La surconsommation de vêtements neufs augmente donc l'impact du consommateur sur la phase d'usage du produit via les premiers lavages, hautement émetteurs en microfibres. ⏭ Pour limiter l'impact des microfibres relarguées lors du lavage, l'idéal serait : > D'inciter les industriels à intégrer un dispositif pour capter les microfibres relarguées lors de la production du produit, avant sa mise sur le marché > D'éviter d'utiliser des tissus synthétiques en privilégiant les matériaux naturels qui se dégradent plus vite (des recherches sont en cours pour mesurer l'impact des microfibres naturelles) > De les laver à basse température et à une faible vitesse d'essorage ❗ À partir de 2025, les lave-linges neufs devront être équipés d'un filtre à microfibres. ⏯ Le saviez-vous ? > Le textile est le 3e secteur utilisateur de plastique (14,2 %), après celui des emballages et du bâtiment*. Le #polyester représente 70 % du marché des fibres synthétiques. > L'impact des microfibres est dorénavant pris en compte dans l'affichage environnemental textile français, et bientôt européen**. L'ajout de cet impact pourrait changer des conclusions dans le cadre d'une analyse du cycle de vie (#ACV) d'un produit textile (voir graphique ci-dessous). 👉 Chez EVEA, nous sommes en mesure d'évaluer et de vous accompagner dans la réduction de l'impact environnemental causé par le relargage de microfibres provenant de vos produits textiles. Pour ce faire, nous utilisons des outils et des méthodes spécifiques qui vont au-delà de l'analyse classique de l'ACV, laquelle ne prend pas en compte cet impact particulier. > Contactez-nous pour en savoir plus : https://lnkd.in/gvzrMCV2 #pollutionplastique ______ Sources (* et **) ci-dessous en commentaires
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🌿 L' IFTH accélère la #transitionécologique avec un nouvel outil innovant ! 🔍 💡 Cet outil permet de vérifier rapidement la composition des textiles en analysant leur contenu chimique et leur impact #environnemental. 💧🌱 Un pas de plus vers une mode circulaire et #durable ! 🎯 L’objectif ? Faciliter le travail des #professionnelsdetextile en leur offrant un accès direct à des données précises sur les #matièrespremières utilisées. 🔄 Cela permettra aux marques de mieux comprendre leur #impactenvironnemental et de s'engager davantage dans la réduction des #déchets et de l'empreinte écologique. 🌍♻️ 👗 En adoptant cette solution, L'IFTH renforce son rôle de leader de l'innovation dans la transition vers un secteur textile plus #responsable et éthique. #mode #transitionécologique #innovation #sustainability #économiecirculaire 👇🏻👇🏻👇🏻
L’IFTH met en place un outil pour vérifier la composition des textiles et accélérer la transition écologique
fashionunited.fr
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