La Caisse Nationale de la Mutualité Agricole (CNMA) et l’Agence Nationale de Développement et d’Appui de l’Entrepreneuriat (NESDA), ont signé, hier, mardi, à Alger, une convention cadre de partenariat et d’assurance, selon un communiqué de la CNMA. Lire l'article : https://lnkd.in/exXUrDHp
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🤝 Hivernales de l’AFD - Agence Française de Développement : Bpifrance Assurance Export s’engage pour renforcer les synergies pour un développement durable ! Bpifrance Assurance Export, en collaboration avec l'AFD - Agence Française de Développement et la Direction générale du Trésor (French Treasury), travaille à renforcer les synergies des instruments d’aide au développement et de soutien aux entreprises. Les objectifs sont les suivants : 👉 Intensifier les co-financements aide liée - aide déliée, 👉 Mettre en valeur le savoir-faire des entreprises françaises dans les pays émergents C'est dans ce cadre que, Bpifrance Assurance Export a participé à un atelier, le 6 janvier, sur la co-mobilisation des outils de financement de l’Équipe France. A l’occasion de cette journée, une lettre ✍ a également été signée entre Rémy Rioux, Directeur général de l’AFD - Agence Française de Développement, et Bertrand Dumont, Directeur Général du Trésor, #AssuranceExport #TeamFranceExport #Cofinancement #Développement #Export #HivernalesAFD Rémy Rioux Bertrand Dumont Armel Castets Thomas Brisset William Roos Shanti Bobin Benoît Campagne Stephanie LANFRANCHI Sandra Kassab Denis LE FERS Myriam Crosnier Emma Hooper, PhD
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LA BANQUE TUNISIENNE DE SOLIDARITÉ Approbation de 33 entreprises citoyennes avec un total de financement de 9.6 millions de DT La Banque Tunisienne de Solidarité a approuvé depuis le lancement du Programme Tunisien de Solidarité, le financement de 33 entreprises citoyennes, réparties à travers tout le pays, pour un montant total d’investissements estimé à environ 9,6 millions de dinars, parmi lesquelles 15 entreprises ont effectivement démarré leurs activités, selon un communiqué de Mohamed Ali Nahdi, directeur du département des prêts à la Banque tunisienne de solidarité. Il a ajouté que la plupart des entreprises citoyennes jusqu’à présent sont actives dans le secteur agricole et dans d’autres domaines qui y sont liés, comme le commerce de machines agricoles, la valorisation des matériaux forestiers, la collecte du lait, la fabrication de fourrage et les chambres froides de dattes, en plus du domaine des services, comme une entreprise de transport de travailleurs agricoles. Il est à noter que le plafond du prêt est égal à 300 mille dinars, accordé sans garantie et remboursé sur 10 ans, dont deux ans de grâce à un taux d’intérêt fixe de 5%, et sans prévoir d’autofinancement pour les entreprises qui ne relèvent pas de l’activité agricole. La Banque tunisienne de solidarité a mis en place une plateforme de dépôt électronique des demandes de création d’entreprises citoyennes, dont la création nécessite 50 actionnaires disposant d’un capital d’au moins 10 000 dinars pour les entreprises locales et de 20 000 dinars pour les entreprises régionales.
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Nécessité d'un Conseil Consultatif des Assurances en République Démocratique du Congo (RDC) Contexte : En RDC, le secteur des assurances est essentiel pour la protection contre les risques financiers. Pour améliorer la stabilité et l'efficacité du secteur, il est nécessaire d'établir un Conseil Consultatif des Assurances. Ce conseil offrirait une plateforme pour la révision et l'amélioration des régulations, la promotion de l'innovation, la protection des consommateurs, et le développement professionnel. 1. Renforcement de la Réglementation et de la Gouvernance : Le Conseil fournirait des recommandations pour l'adaptation des régulations aux réalités locales et aux normes internationales, améliorant ainsi la gouvernance et la conformité réglementaire. 2. Promotion de l'Innovation et de la Conformité : En soutenant l'innovation et en veillant à la conformité des nouveaux produits, le Conseil aiderait les assureurs à naviguer les défis réglementaires et à introduire des produits sécurisés et conformes. 3. Protection des Consommateurs : Le Conseil offrirait un forum pour les préoccupations des consommateurs, améliorant la transparence des produits et protégeant les droits des assurés. Il jouerait également un rôle de médiation des litiges, renforçant la confiance dans le secteur. 4. Encouragement de la Formation et du Développement Professionnel : En promouvant des programmes de formation continue, le Conseil améliorerait les compétences des professionnels du secteur et établirait des standards élevés de compétence et d’expertise. 5. Facilitation de l’Accès et de l’Inclusion : Le Conseil recommanderait des politiques pour améliorer l'accès à la micro-assurance et aux produits pour les populations à faibles revenus, soutenant ainsi l’inclusion financière. Conclusion : La création d'un Conseil Consultatif des Assurances en RDC est cruciale pour renforcer la réglementation, favoriser l'innovation, protéger les consommateurs, et promouvoir le développement professionnel. Cet organe contribuera à un environnement plus stable et transparent, et améliorera la protection financière des citoyens congolais.
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Nous avons été convié 2 jours durant par le Comité National de la ZLECAF Cote d'ivoire pour échanger sur les enjeux et défis de la Zone de libre échange continentale. Et également sur les mécanismes d'accompagnement institutionnel et privés des PME locaux. Côté Zlecaf , le projet est très ambitieux. La vision y est . Nos États sont très avancés sur les textes, règlements et principes d'application. Mais est ce que nos PME sont vraiment préparées à cette compétition qui s'annonce bien qu'il est d'énormes avantages ? En toute franchise non or c'est un process irréversible alors que faire ? Les acteurs institutionnels jouent pleinement leur rôle dans la sensibilisation et préparation des acteurs mais c'est semble lent car acteurs locaux ne percutent pas vite. Ce que j'aime dans cette affaire ,c'est le principe de la réciprocité. Les états qui ne respectent pas les clauses pour nos acteurs, on boucle sur eux aussi. Il fallait y penser cette clause. Parce que nous en côte d'ivoire , sans faire de bruit,on est le champion de l'application des initiatives panafricaines. Quand au financement , l'offre est certes diversifié mais les banques ne font pas assez d'efforts pour notre part. Le sujet n'est pas la disponibilite du financement mais comment on finance les PME ? Le model de financement actuel doit être disrupter. Donc lorsque les banques étrangères arriveront , on ira vers ceux qui sont plus favorables a l'éclosion des champions nationaux. On ne pleure pas hein les banques !! Nos PME aussi n'ont pas raisons. Ne dit-on pas qu'il vaut allumer une bougie que de maudir l'obscurité ? On parle de structuration comme la clé du financement mais on écoute pas et on se plaint de ne pas trouver financement ! Ahii L'un dans l'autre, les lignes bougent en tout cas. On est là pour vous aider a scaler et lever tous les obstacles. #WAT #entrepreneurforchange #Disruption
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Nous venons d’actualiser notre page. Consultez notre page pour vous tenir au courant des dernières nouvelles. #CECA #Microfinance #Crédit
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📍 Entrée en vigueur ce 24 octobre, la loi industrie verte oblige les assureurs à intégrer dans certaines gestions pilotées des #AssurancesVie et des #PER des supports finançant des #entreprises non cotées 👉 https://lnkd.in/dFJn_Xbq #Argent #finance #Placement #GestionDePatrimoine #Conseil #CGP
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𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗮𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗥𝗗𝗖. 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲? En RDC, les cautionnements et garanties jouent un rôle clé pour sécuriser les engagements contractuels dans des secteurs stratégiques comme la construction, les marchés publics et les projets miniers. Cependant, leur plein potentiel est limité par un cadre juridique souvent inadapté, une faible accessibilité pour les PME, et une perception de fiabilité insuffisante à l’international. Points clés : 1. Importance : Ces instruments réduisent les risques économiques dans un environnement perçu comme incertain. 2. Types courants : Cautionnements bancaires, garanties d’assurance et garanties souveraines. 3. Défis : Manque de clarté réglementaire, coût élevé pour les PME, faible compétitivité internationale. 4. Opportunités : Réforme juridique, digitalisation, renforcement des assureurs locaux, et harmonisation régionale via la ZLECAf. Conclusion : Avec une meilleure structuration et des réformes, ces instruments pourraient devenir des leviers majeurs pour attirer les investissements et renforcer la confiance économique en RDC.
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Délivrance de l’attestation d'immatriculation au RNE : précisions apportées Un arrêté du 29 juillet 2024 fixe les modalités de délivrance de l’attestation d’immatriculation au Registre national des entreprises (RNE) par l’INPI. Depuis le 1er janvier 2023, le RNE regroupe plusieurs registres, dont le registre national du commerce et des sociétés, le répertoire national des métiers et le registre des actifs agricoles. L’arrêté permet d’obtenir gratuitement et par voie électronique cette attestation, téléchargeable sur le site data.inpi.fr ou sur l’Annuaire des entreprises. Elle fait foi des informations inscrites au RNE, telles que le numéro de SIREN, la date d’immatriculation, le montant du capital social, le code APE et les activités principales de l’objet social. Source : A. n° ECOI2418468A, 29 juill. 2024 : JO 4 août #RNE #Entreprises #Démarches ▶️expansion-manager.com #ExpansionManager #International #Export
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🚨RDC MIN DU PORTEFEUILLE Jean-Lucien Bussa Tongba encourage vivement le marché inter entreprises du Portefeuille. Le Ministre du Portefeuille ne cesse de multiplier des initiatives vivant la relance des entreprises publiques. Son Excellence Jean-Lucien Bussa préconise un marché interentreprises devant permettre aux sociétés de l’Etat d’accroître suffisamment leurs chiffres d’affaires et ainsi contribuer au développement de la RDC. Le Gouvernement de la République à travers le Conseil des Ministres a déjà pris acte de cette énième innovation du patron du Portefeuille congolais. Outre son engagement pour imposer une gestion orthodoxe manifeste à travers la signature du contrat de mandat par les mandataires survenue le 24 juillet 2024 et la lutte contre les saisies intempestives des comptes des entreprises par des prédateurs, Jean-Lucien Bussa rappelle que les entreprises de l’Etat ont à la fois des besoins et des offres. Le patron du Portefeuille de l’Etat est revenu sur cette démarche à l’issue de la visite d’inspection qu’il a effectuée dans les installations de l’Onatra sa le mardi 13 août 2024. Le Ministre du Portefeuille note qu’il faut croiser les offres et les besoins des entreprises afin de leur donner des moyens internes pour leur développement. « Nous avons considéré que les entreprises du Portefeuille sont à la fois un marché interne interentreprises. Lorsque l’ONATRA a besoin du carburant, il devra l’acheter auprès de COBIL, de SONAHYDROC. Lorsque la SNEL a besoin d’être assurée, elle doit aller à la SONAS ; lorsque les entreprises veulent épargner leurs avoirs, elles doivent aller à la CADECO … C’est un marché qui existe au sein des entreprises de de l’Etat qui ont des besoins mais qui ont en même temps des offres », fait remarquer Jean-Lucien Bussa. Dans cette même logique, ce membre du Gouvernement Judith Suminwa rassure qu’il est en train de travailler sur plusieurs dossiers visant la relance des entreprises du Portefeuille de l’Etat. Ce, pour matérialiser la vision de la plus haute Autorité du pays dans ce secteur.« Le Président de la République, Chef de l’Etat place les entreprises de l’Etat au cœur du développement économique du pays. Contrairement à certaines idées reçues, les entreprises de l’Etat sont l’autoroute du développement économique du pays lorsqu’elles sont bien tenues. Et comme Ministre du Portefeuille de l’Etat, ma détermination est de remettre les entreprises de l’Etat au cœur du développement comme l’a indiqué le Président de la République », assure JL Bussa. Et d’ajouter « les entreprises de l’Etat ne doivent pas être considérées comme une charge de l’État. Elles doivent être considérées comme un des leviers et le pan important de l’économie de la RDC tenue par les Congolais eux-mêmes. Comme le dit le Président de la République, il faut les replacer dans la dynamique de la croissance de l’économie, du développement social et dans la dynamique de la création d’emplois ». Cellule de Communication
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