Post de Emulsio Consult

💬 Doit-on vraiment accepter de manger de la 💩 pour une raison de prix? En d'autres termes, peut-on vraiment parler de "satisfaction alimentaire" quand on accepte une qualité moindre pour des raisons de prix ? Dans un article récent de RTL Info, Julie Frère de Testachats explique que les produits premiers prix, bien que "d'un cran en dessous en termes de qualité", restent adaptés à de nombreux usages. Mais cela soulève une question fondamentale : est-ce acceptable que des personnes disposant d'un budget limité soient systématiquement confrontées à des produits de moindre qualité ? 👉 Manger devrait être un plaisir et non un compromis. Dans mon activité de consultant et formateur en restauration collective, je constate chaque jour qu’il est possible d’allier qualité, durabilité et maîtrise des coûts. Des solutions existent pour proposer une alimentation respectueuse des besoins nutritionnels et du plaisir gustatif, même avec des moyens limités. En acceptant l’idée que "quand on a peu d’argent, on doit se contenter de moins bien", ne risquons-nous pas de renforcer les inégalités ? Et si, au lieu de nous focaliser sur le "low-cost", nous réfléchissions à des modèles qui valorisent les circuits courts, les produits de saison et la réduction du gaspillage ? 🌱 💡 Et vous, quelle est votre vision ? Comment conciliez-vous budget et qualité dans votre quotidien ou vos projets professionnels ? #RestaurationDurable #AlimentationPourTous #EconomieCirculaire #QualitéEtAccessibilité #ConsultingCulinaire

https://lnkd.in/eGspNfZx En 2024, les consommateurs français ont manifesté une tendance marquée à réduire le nombre d'articles dans leur panier de courses. Cette évolution des comportements d'achat est révélatrice d'une adaptation face à un contexte économique difficile, caractérisé par l'inflation et une pression croissante sur le pouvoir d'achat. La réduction des achats de produits frais pourrait également poser des questions concernant la santé nutritionnelle des consommateurs, soulignant la nécessité d'une éducation alimentaire et d'initiatives pour encourager une alimentation saine malgré les contraintes budgétaires. La tendance à la réduction du nombre d'articles dans le panier de courses des Français en 2024, notamment en ce qui concerne les produits d’hygiène et frais, reflète une adaptation aux réalités économiques actuelles. Les entreprises doivent prendre en compte ces changements de comportement pour ajuster leur offre et leurs stratégies de marketing. Parallèlement, il est essentiel de promouvoir des options abordables pour les produits sains afin de garantir que toutes les catégories de consommateurs puissent accéder à une alimentation équilibrée et à des produits d’hygiène essentiels.

Pour vous aider à changer une habitude qui vous semble compliquée, couplez ce changement avec une activité que vous trouvez agréable. Par exemple, allez chercher des aliments en vrac au commerce zéro déchet de votre quartier et profitez-en pour y prendre également quelque chose qui fait plaisir, aussi en vrac. Pour que cela ne paraisse pas trop sur votre budget, prenez-en seulement une petite quantité. La lessive et les nettoyants tout usage sont souvent offerts en formats plus concentrés que leurs semblables qui sont déjà emballés. Ce sont de bons items pour débuter votre aventure du vrac, puisque vous n’avez pas à les remplir aussi souvent! Durant ces achats, vous pourrez en même temps explorer les autres produits qui sont disponibles en vrac dans les commerces et constater lesquels sont plus abordables que ceux que vous achetez déjà emballés. Cela pourra être une autre motivation pour continuer à acheter des produits en vrac!

Selon la dernière enquête de Deloitte sur les habitudes de consommation alimentaire en France, l'inflation a un impact considérable sur le pouvoir d'achat des Français, avec 87,5 % des sondés se sentant affectés. Cette réalité financière pousse 70 % des consommateurs à estimer que leurs revenus ne suffisent pas à couvrir les besoins alimentaires qu'ils jugent importants, révélant une tension croissante entre les désirs et les possibilités économiques. L'étude souligne également une modification des comportements d'achat, orientée principalement vers le prix. Pour l'année 2024, les promotions et les offres spéciales sont devenues des attentes majeures pour les consommateurs, figurant dans le Top 3 de leurs préférences. Le rapport qualité-prix se positionne même en tête des critères influençant le choix des enseignes alimentaires. Cependant, si l'aspect financier domine, l'intérêt pour les enjeux environnementaux reste significatif. Il existe de fait une forte contradiction dans les aspirations des consommateurs : bien que 78 % des personnes interrogées se disent préoccupées par la durabilité et l'éthique des produits alimentaires, seulement 20 % estiment avoir les moyens de prioriser ces aspects dans leurs achats. De plus, uniquement 12 % seraient prêts à modifier leurs habitudes alimentaires avec plus d'informations sur l'impact environnemental des produits. Cette enquête révèle ainsi un décalage marqué entre les aspirations environnementales et les contraintes économiques, mettant en lumière les défis auxquels les consomateurs français doivent faire face dans un environnement économique instable.

Pour bien finir la semaine, on vous donne un avant-goût de ce que vous pourrez découvrir dans l’édition 2025 de Bouillon. 📊 En collaboration avec Léger, nous avons sondé les mangeurs québécois en lien avec les incontournables de 2025 afin de connaître leur perception de ce qui marquera les mois à venir. On y apprend, entre autres, que … 🍺 au cours de la dernière année, 4 québécois sur 10 considèrent avoir consommé moins souvent qu’avant des boissons alcoolisées. Et fait intéressant, une grande proportion diminue sa consommation pour privilégier des options de meilleure qualité. 🤖seulement 5 % des Québécois seraient plus enclins à acheter un produit alimentaire qui indique qu'il a été créé ou cocréé avec l'aide de l'intelligence artificielle. Considérant que de plus en plus d’entreprises utilisent l’IA pour développer leurs produits… c’est un pensez-y bien de le dire haut et fort aux consommateurs (car une bonne proportion boudera tout simplement le produit). 🦐 la majorité des Québécois ne connaissent pas la provenance des produits de la mer qu’ils consomment et une très forte proportion de Québécois trouvent difficile de se procurer les produits du Saint-Laurent. De belles occasions d’affaires se trouvent ici :-) Pour d’autres données exclusives sur les mangeurs québécois, procurez-vous Bouillon juste ici 👉https://lnkd.in/eNzzUYMp Vous oeuvrez dans le monde bioalimentaire? Que ce soit en production, transformation, distribution, restauration, institution, commerce de détail ou services conseil, vous allez y trouver votre compte! ‼️Petite entreprise, OBNL ou établissement d’enseignement? Profitez d’un tarif spécial avec 40% de rabais sur le prix régulier! Contactez-nous à bouillon@ilotetcie.com pour obtenir votre code promotionnel. #Bouillon2025 #bioalimentaire #alimentation #strategie #intelligencedaffaires #marketing #vente #distribution #production #restauration #quebec #mangerlocal #boirelocal

Le commerce en ligne de fruits et légumes progresse, mais peine à convaincre pleinement, selon une note de synthèse du CTIFL . Bien que quatre fois plus de Français achètent ces produits sur Internet par rapport à il y a dix ans, des freins persistent. La crise de la Covid-19 et le télétravail ont boosté les ventes en ligne, mais le contact direct avec les produits reste crucial pour beaucoup de consommateurs. En 2022, plus de 40 % des Français achetaient des fruits et légumes en ligne, contre seulement 10 % en 2013. Cependant, 60 % des sondés évitent cette pratique, préférant voir, toucher et comparer les produits eux-mêmes. Les achats en ligne se limitent souvent à des produits usuels et robustes comme les pommes et les bananes, tandis que des fruits plus délicats comme les pêches et les fraises ne représentent que 3 à 5 % des commandes. Pour surmonter ces obstacles, des améliorations sont suggérées : généraliser les prix au poids, utiliser des contenants recyclables, fournir des informations détaillées sur la traçabilité, et promouvoir des offres « anti-gaspi ». Ces mesures pourraient aider à attirer plus de consommateurs vers le commerce en ligne de fruits et légumes. https://lnkd.in/e8eUhRg9

Bon plan anti-inflation 💸 et anti-gaspillage 🌿 Les produits frais d'aujourd'hui sont encore bons demain 🫶 C'est ce que l'on a fait expérimenter à nos équipes à l'occasion de notre traditionnel petit-déjeuner du vendredi chez Bengs en choisissant les produits de la boulangerie "Demain", spécialisée dans la vente de produits invendus de la veille. 🥐 Aujourd'hui, beaucoup ont pris conscience que l’impact de notre consommation quotidienne doit être maîtrisé. Mais comment faire ? Est-ce que se rendre au bureau à pied suffit ? Dois-je arrêter de manger de la viande ? Et le poulet ? C’est ok ? 🤔   Avant de restreindre quoi que ce soit, un premier levier est d’utiliser des produits destinés à être jetés. 🚮 Car 14% de la nourriture mise en rayon est jetée sans être consommée car la date limite de consommation est dépassée. Or, quasiment tous les produits ont une période au-delà de la date limite de consommation (DLC) pendant laquelle ils sont encore tout à fait bons pour la consommation. En les utilisant alors qu’ils sont encore bons mais devenus difficiles à vendre, nous pouvons tous avoir un impact écologique positif, à notre échelle. 👌 Bengs met un point d'honneur à s'investir dans une démarche RSE et cela fait d'ailleurs partie de nos engagements stratégiques.  Nous partageons également ces valeurs avec nos clients que nous accompagnons dans la mise en place d'initiatives RSE. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous !

Grosse problématique du secteur FMCG! rationalisation des gammes et assortiments, moins d'innovations, moins de choix, plus d'économies... et un consommateur qui se désengage toujours plus (Les dépenses de consommation alimentaires ont baissé de 8,5 % en euros constants depuis le début de l’année) #créationdevaleur #créationdedésir #créationdesens https://lnkd.in/e_QZ99-4

La revue de presse du retail : « En 2024, une baisse des prix de 7 %, loin de compenser l'augmentation de 25 % entre ...: ... grande distribution a couvert les pertes de son rayon boulangerie / pâtisserie : - 65 millions d'euros . Pour Familles Rurales, la logique est ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

𝗝𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘁𝘀 𝗱’𝗵𝘆𝗴𝗶𝗲̀𝗻𝗲 𝗲𝗻 𝘃𝗿𝗮𝗰 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗼𝗻 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗻𝗲, 𝗲𝘁 𝗰̧𝗮 𝗰𝗮𝗿𝘁𝗼𝗻𝗻𝗲 ! Au départ, mes clients étaient intrigués. Un mois plus tard, j’avais déjà rechargé l’intégralité de mes fontaines. 💡Pour autant, avant de me lancer, j’avais trois points de réticence : « 𝘾𝙖 𝙫𝙖 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙜𝙖𝙡𝙚̀𝙧𝙚 𝙖̀ 𝙜𝙚́𝙧𝙚𝙧 ». Pas du tout ! Les clients viennent spontanément recharger leur bouteille d’un litre vide sans me demander de l’aide. (Je travaille seule). Les recharges ont été placées à bonne hauteur, hors de portée des enfants 😅, et sont simples d’utilisation. « 𝙅𝙚 𝙣𝙚 𝙫𝙚𝙪𝙭 𝙥𝙖𝙨 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙂𝙧𝙚𝙚𝙣 𝙢𝙖𝙧𝙠𝙚𝙩𝙞𝙣𝙜 𝙗𝙞𝙙𝙤𝙣 ». Mais c’est bien mieux que ça ! Certains clients se lancent pour la première fois alors qu’ils n’avaient jamais osé dans les grandes enseignes. D’autres ont l’habitude de consommer en vrac mais ne trouvaient pas d’offre dans leur environnement de proximité. Ma petite pharmacie devient un lieu de démocratisation du vrac et j’en suis fière. « 𝘾𝙚 𝙣’𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙧𝙚𝙣𝙩𝙖𝙗𝙡𝙚 ». Archi faux ! La marge est confortable, la recharge est économique pour le client et déclenche l’achat d’autres produits d’hygiène ou à fort impact écologique. 💡Ce qui m’a finalement motivée : 1️⃣ Une étude publiée en mai par le cabinet Deloitte et le Réseau vrac & réemploi stipulant que : 73 % des Français considèrent important ou très important l’impact environnemental de l’emballage des produits. Et pourtant, seule 30 % de la population achète en vrac. 2️⃣ Une proposition commerciale intéressante et un sondage préalable de mes patients sur le sujet. 𝗝’𝗮𝗶𝗺𝗲𝗿𝗮𝗶𝘀 𝗮𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗹𝗼𝗶𝗻 ! 𝗗𝗲𝘀 𝗶𝗱𝗲́𝗲𝘀 ?