Post de Equo Vivo

Que de matière à penser :)

📖 𝑈𝑛 𝑎𝑛𝑛𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒 ? 𝑂𝑢𝑖 𝑜𝑢𝑖, 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 ! Impulsé par RNCAP (Réseau National du Conte et des Arts de la Parole), cet annuaire tend à rassembler tous les professionnel.les du milieu. - Vous cherchez à programmer un spectacle de contes ? - Vous êtes conteur.euse à la recherche d'un lieu de résidence pour votre prochaine création ? - Vous êtes organisateur.ice d'un festival de contes et vous souhaitez l'inscrire au niveau national ? - Vous souhaitez avoir une vue d'ensemble des structures de l'art de conter dans votre région ? Bref, un outil très pratique qu'il serait dommage de ne pas utiliser 🙂

[Le goût du risque] Rendez-vous ce vendredi au Festival du Livre de Paris de 16h30 à 17h30 au stand des éditions Grasset pour une séance de dédicace avec les Écrivains de marine Andrea Marcolongo, Loïc Finaz et Patrice Franceschi, co-auteurs du livre “Le goût du risque” ! "Célébrer la liberté, ne pas craindre l’incorrect, ne pas fuir la mort, chercher la bagarre, danser après l’échec, refuser l’abus des normes, tuer le principe de précaution, ne pas s’attarder à vivre, être pleinement l’homme ou la femme que l’on veut être, aimer la solitude, oser croire, chérir l’inutile, aventurer la vie sans cesse : voilà ce que proposent les auteurs de cet ouvrage pour affronter notre époque de doute et de désarroi. Les pandémies, les catastrophes naturelles, l’intelligence artificielle nous poussent vers le repli jusqu’à la tétanie. Dans ces pages vives et ardentes, Andrea Marcolongo, Patrice Franceschi et Loïc Finaz combattent sans concession la peur et la prudence qui l’emportent aujourd’hui trop souvent sur la liberté. Puisque le risque est consubstantiel à la vie, faisons preuve de courage intellectuel et moral. Bref, retrouvons le goût du risque. Bien plus qu’un libelle contre nos temps d'asphyxie, un éloge de la vie, imprévisible et joyeuse." #festivaldulivredeparis #goûtdurisque #audace #aventure #écrivainsdemarine https://lnkd.in/e8_uaA2E

La symbolique de l’aigle chez les Premières Nations Lors du lancement de notre livre Mocassins et bottes à cap le 4 décembre dernier, j’ai choisi de porter un collier de perlage représentant l’aigle, une création unique réalisée par un artiste de ma communauté. L’aigle, pour mon peuple n’est pas seulement un animal; c’est un guide, un messager entre le monde des esprits et celui des humains. Dans la roue de la médecine, l’aigle occupe une place précieuse. Il est associé à l’Est, à l’élément air, et à la spiritualité. Symbole de vision, de clarté et de connexion avec le créateur(le divin), l’aigle nous invite à élever notre perspective, à voir au-delà des apparences et à embrasser notre rôle dans l’interconnexion entre chaque être humain. Dans le livre, je raconte une expérience profonde que j’ai vécue avec Marc et nos amis lors d’une cérémonie dans un Madado (tente suante). Rendue à la troisième porte(étape), celle des Ancêtres, j’ai senti la présence de cet animal sacré m’apporter un message. Un sentiment difficile à décrire avec des mots. Un message d’encouragement pour continuer ce projet d’écriture, afin de rassembler les différentes nations. D’ailleurs c’est un moment marquant que Marc et moi racontons plus en détails dans le livre. L’aigle est un animal totem important, un symbole de courage, de force et d’inspiration. Il nous guide sur cette voie de la réconciliation avec nous-même et avec les autres. Est-ce que vous connaissez les animaux totem? Savez-vous quel est le vôtre? Ensemble, continuons à élever nos esprits et à tisser des liens porteurs pour un monde plus uni. Avec gratitude, Mélanie🪶 📖 Disponible chez Renaud Bray, Archambault, Amazone et dans plusieurs librairies du Québec. #aigle #animauxtotem #premieresnations #reconciliation #mocassinsetbottesacap #unpasdeplus

Pourquoi suis-je fier d'être le parrain du Salon des Ecrivains du Pays d'Aubagne-en-Provence ? 1️⃣ Parce que l'idée de la ville est de mettre en lumière celles et ceux qui créent dans les territoires, à la force du clavier, parfois enfer et souvent contre tous, et qui éditent malgré tout (ils sont l'humus de la culture). 2️⃣ Parce que leur amour des mots est le plus fort. 3️⃣ Parce que le libraire qui soutient le projet dispose d'un rayon auteurs (et trices) de la région, 4️⃣ parce qu'il donne leur chance aux auteurs indépendants qui se lancent dans l'aventure (ce sont les lecteurs qui choisissent). Et 5️⃣ parce qu'ils réussissent bien souvent à nous émouvoir, comme Louis DOUARD, le graveur du Garlaban, que j'ai le plaisir de vous présenter dans l'article ci-joint (cliquez sur le lien) : ✔ https://lnkd.in/dEAE8pih --- #brunocarpentier #aubagne #littérature

J’ai le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition Lotolotolotophages, ce mercredi 15 mai à partir de 18.30 A PROPOS des Lotophages, ce Peuple légendaire mentionné dans l'Odyssée et qu'on localise généralement en Afrique du Nord, sur la côte tripolitaine, ou dans l'île de Djerba (golfe de Gabès). Selon Homère, les Lotophages tiraient des fleurs du lotus une boisson qui faisait perdre aux voyageurs jusqu'au souvenir de leur patrie. Un moment d'égarement. Le doux flottement d'effluves florales enivrantes. Lotolotolotophages ne questionne ni ne recherche, c'est une exposition qui invite au voyage. A l'origine, vers l'île des Lotophages, cette oasis dont les fruits ont un goût de miel. Mais les origines sont aléatoires... Plus loin, plus tard, si l'on parvient à se défaire de la béatitude amnésique qui a mené les compagnons d'Ulysse à vouloir poursuivre leur exil jusqu'à l'oubli et le détachement de leurs désirs antérieurs, on pensera, peut-être. Mais que nous vaut la mémoire dans les paradis artificiels ? Pour Lacan, l'exil du « moi » de son « chez-soi » symbolique, confronte à l'aliénation. C'est une expérience qui remet en question les fondements de l'identité et peut mener à une réévaluation profonde du soi et de sa place dans le monde. L'île des Lotophages offre un terrain fertile pour explorer les thèmes des racines, de l'exil, de la quête du plaisir dans la consommation, et de l'oubli de soi, du monde, de ses devoirs. Ces thèmes, bien que anciens, trouvent un écho profond dans les préoccupations contemporaines autour de l'identité, du désir, et de la perte, nous invitant à réfléchir sur la condition humaine dans notre monde moderne et nous rappelant à notre sens de la responsabilité personnelle.

Tiken Jah Fakoly, légende ivoirienne du reggae, a livré une forte version de « Plus rien ne m’étonne », fin novembre 2024 pour le Grand Choral du Festival Nuits de Champagne. Au-delà de ce formidable moment (merci à Tiken Jah Fakoly et au Festival Nuits de Champagne), cette chanson, premier titre de l’album « Coup de Gueule » de 2004, reste d’une désastreuse actualité. Avec des mots simples, elle dénonce un commerce mondialisé, porté par les multinationales, appuyé sur les répressions des peuples, et les guerres contemporaines, qui, selon l’ONU, viennent d’abord du désir de maîtrise des ressources naturelles (ressources fossiles, minerais, eau salubre, bois, diamant, or, végétation, terres fertiles, terres rares, etc.).  Le monde des bâtisseurs, auquel j’appartiens, a sa part : « 1/ les bâtisseurs utilisent mal et trop de ressources ; 2/ les guerres liées à la maîtrise de la ressource modifient le climat ; 3/ son dérèglement rend le monde conflictuel. Les guerres dévastent les établissements humains. C’est bien ce que cherchent les barbares, n’est-ce pas ? Pour détruire la possibilité matérielle de vivre ensemble et à l’abri, ils ravagent aussi l’environnement ». (Mieux avec moins. Architecture et frugalité pour la paix, Editions Terre Urbaine, 2021) Collectivement, dans les pays où la majorité de la population satisfait ses besoins vitaux, nous pouvons utiliser moins de ressources et vivre encore dans le bien-être. En 1997, The Club of Rome sous-titrait la version française du rapport  « Facteur 4 » : « Deux fois plus de bien-être en consommant deux fois moins de ressources ». Il n’y a pas un autre programme d’avenir… Ecoutez jusqu'au bout et monter le son ! https://lnkd.in/eWhuyTT7 Paroles de « Plus Rien Ne M'étonne » par Tiken Jah Fakoly Ils ont partagé le monde, plus rien ne m'étonne Si tu me laisses la Tchétchénie, Moi je te laisse l'Arménie Si tu me laisses l'Afghanistan Moi je te laisse le Pakistan Si tu ne quittes pas Haïti, Moi je t'embarque pour Bangui Si tu m'aides à bombarder l'Irak, Moi je t'arrange le Kurdistan Ils ont partagé le monde, plus rien ne m'étonne Si tu me laisses l'uranium Moi je te laisse l'aluminium Si tu me laisses tes gisements, Moi je t'aide à chasser les Talibans Si tu me donnes beaucoup de blé, Moi je fais la guerre à tes côtés Si tu me laisses extraire ton or, Moi je t'aide à mettre le Général dehors Ils ont partagé le monde, plus rien ne m'étonne Ils ont partagé Africa sans nous consulter, Ils s'étonnent que nous soyons désunis ! Une partie de l'empire Mandingue, Se trouva chez les Wolofs, Une partie de l'empire Mossi Se trouva dans le Ghana, Une partie de l'empire Soussou Se trouva dans l'empire Mandingue, Une partie de l'empire Mandingue Se trouva chez les Mossis Ils ont partagé Africa sans nous consulter, Sans nous demander, sans nous aviser ! Ils ont partagé le monde, plus rien ne m'étonne

Le saviez-vous ? Depuis 2011, l'équitation de tradition française est inscrite sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité ! 🐴 Pour tout savoir sur la filière équine, retrouvez les #ChiffresClés dans votre rendez-vous du #JeudiInfographie ⬇️

Le saviez-vous ? Depuis 2011, l'équitation de tradition française est inscrite sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité ! 🐴 Pour tout savoir sur la filière équine, retrouvez les #ChiffresClés dans votre rendez-vous du #JeudiInfographie ⤵

Seuls 2 exemplaires de "La chanson de Pipo" existent… J’en ai un, et c’est une pépite ! Tout a commencé dans un TGV, au retour du salon Batimat. Fatigué mais curieux, je sors ce livre que m’a confié MICHEL La Rosa, artisan électricien et adhérent CAPEB depuis 1979. Ce n’est pas seulement une fiction, c’est 45 ans d’artisanat au cœur de la CAPEB. Mais dès les premières pages, je me rends compte que ce récit va bien au-delà. Michel y raconte, avec humour et authenticité, la vie des artisans, leurs combats quotidiens, leurs victoires contre la bureaucratie. Pipo, le héros, incarne ce parcours semé d’embûches, familier à tous ceux qui, comme moi, ont grandi sur les chantiers. Je suis fils d’artisan tailleur de pierre. J’ai passé mes vacances scolaires à aider mon père sur ses chantiers. Alors, ce monde, je le connais par cœur. C’est ce qui rend "La chanson de Pipo" encore plus percutante. Ce n’est pas une simple histoire, c’est la réalité de milliers d’artisans, racontée avec un regard plein de tendresse et de vérité. Donc, je me suis plongé dans cette épopée. Entre rires et réflexions, je retrouve les petites batailles du quotidien, les moments de fierté, mais aussi les défis que nous connaissons si bien à la CAPEB, en tant qu’organisation qui défend ces métiers avec passion. Cependant, il y a un détail troublant. Le livre n’existe qu’en deux exemplaires. Oui, deux. L’un est entre mes mains, l’autre… qui sait ? Peut-être que vous ne le lirez jamais. Mais, ce qui est certain, c’est que Michel a su capturer, à travers ses 45 ans d’expérience au sein de la CAPEB, l’essence même de l’artisanat. Ce livre est une part de notre histoire, une ode à ces hommes et femmes qui bâtissent le monde de leurs mains. Alors, si "La chanson de Pipo" croise un jour votre chemin, ne la laissez pas filer. C’est un morceau rare de notre mémoire collective, à lire, à partager, à célébrer.