Une approche révolutionnaire permettant la synthèse de diamants en moins de deux heures, à pression ambiante ! https://lnkd.in/dDhxKhx8
Post de eric coste
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Les scientifiques ont réalisé un exploit révolutionnaire en faisant croître des diamants à partir de rien en seulement 15 minutes grâce à un nouveau procédé révolutionnaire. Traditionnellement, les diamants se forment sous des pressions et des températures intenses au plus profond du manteau terrestre. Cependant, cette nouvelle technique synthétise les diamants à pression atmosphérique normale, éliminant ainsi le besoin d’une pierre précieuse de départ. Dirigée par Rodney Ruoff, une équipe de l'Institut des sciences fondamentales de Corée du Sud a développé cette méthode, qui consiste à utiliser du gallium et du silicium chauffés électriquement dans un creuset en graphite. Malgré des défis tels que la petite taille des diamants, cette technique s'avère prometteuse pour l'amélioration de la synthèse des diamants et des applications commerciales potentielles. By NewGes-Pro FOOSBYTE 💎
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Lévitation : un phénomène physique pas si compliqué à expliquer. C'est la propriété diamagnétique de certains métaux qui permet d'induire dans certaines conditions magnétiques, la lévitation. Ici, constatez-le dans la video à l'aide de bismuth : les électrons ont une tendance naturelle à se regrouper par paires aux moments magnétiques opposés. Le magnétisme global du matériau est alors nul. Mais, s'il est soumis à un champ magnétique extérieur, le matériau s'aimante légèrement. Son moment magnétique est opposé à la direction du champ extérieur qui, de fait, le repousse. Le matériau est alors qualifié de diamagnétique. L'effet de lévitation n'est pas propre au bismuth ; d'autres matériaux diamagnétiques, comme le cuivre, l'argent, l'or, le graphite pyrolytique, peuvent également présenter un comportement similaire.
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XRF portable pour l’exploration, le contrôle et le traitement de la latérite de nickel ✅ Les analyseurs portables à fluorescence X (pXRF) fournissent des données géochimiques hautes performances en temps réel pour une caractérisation multiéléments rapide des sols, des roches et des minerais. Des avancées majeures récentes dans la technologie pXRF ont considérablement amélioré les limites de détection et le nombre d’éléments mesurés, en plus de réduire considérablement les temps de test d’analyse. La pXRF est utilisée comme méthode efficace pour l’exploration et la production de minéralisations de latérite de nickel. Il est couramment utilisé dans le forage de reconnaissance, le creusement de tranchées, l’échantillonnage de taille, la vérification des stocks et sur les produits concentrés. ✅ En raison de la géométrie tabulaire peu profonde du corps minéralisé et des méthodes d’exploitation à ciel ouvert utilisées pour extraire les latérites de nickel, la pXRF peut être utilisée efficacement sur l’ensemble de la chaîne de valeur minière pour la plupart des éléments clés (Ni, Co, Fe, Mn, Mg, Al, Si Cr). Le traitement et l’extraction des latérites de nickel nécessitent souvent une lixiviation acide ou un grillage à très grande échelle dans des fours rotatifs ou des autoclaves, de sorte que le mélange d’une alimentation constante en minerai est essentiel pour optimiser la récupération du Ni (et du Co). Par conséquent, la pXRF est souvent utilisée à partir de la phase d’exploration (forage par percussion au diamant), du contrôle de la teneur pendant l’exploitation minière (échantillonnage du front de taille), de la phase au fil de l’eau (mélange de gestion des stocks), ainsi que pour l’analyse des teneurs finales du concentré avant l’expédition vers une fonderie. Produits utilisés pour cette application: #VantaMax, #VantaCore #VantaserieM Notre laboratoire #ILABTECH réalise pour vous: - La vente d’analyseurs XRF à un prix abordable vous permettant d'effectuer vos propres analyses en toute autonomie, - Ou la prise des mesures de façon périodique ou ponctuelle à votre demande avec présentation des résultats sur commande. #ILABTECH 📍 Sortie9, autoroute à péage 📧 contact@ilabtechn.com 📞 328246767
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#Innovation - Guillaume Justin Kroll - C'est sans doutes l'un des plus brillants métallurgistes du XX siècle. L'humanité doit à ce luxembourgeois notamment : 1- La découverte du phénomène de précipitation dans les aciers inoxydables ce qui donna naissance aux nuances de type 17-4 PH et 15-5 PH 2 - Le procédé KROLL qui porte son nom et qui a révolutionné l'industrie du titane Né le 24 novembre 1889 au Luxembourg Guillaume Kroll baigne dans la sidérurgie dès le berceau. «Son père possédait le haut-fourneau « Brasseur Schmelz », qui a ensuite appartenu à l’ARBED». De chez lui, il aperçoit les hauts-fourneaux et grandit entouré de quatre frères. Tous marchent dans les pas de leur paternel et suivent des études d’ingénieurs, «mais seul Guillaume est devenu inventeur». Le jeune homme réalise ses études secondaires avant de s’envoler pour l’université technique de Berlin-Charlottenburg, où il devient ingénieur métallurgique, puis obtient un #doctorat en 1917. À Luxembourg, il installe son laboratoire à Belair, dans la villa Leclerc située avenue Gaston-Diderich. Un emplacement problématique pour ses voisins : «Ils se plaignaient que les lumières de son laboratoire ne s’éteignaient jamais et qu’un jour, ses expériences feraient exploser la villa et tout le quartier». Afin de calmer la grogne, «il planta des roses dans le jardin de devant et les dames de la rue se calmèrent, ainsi que leurs maris». C’est depuis la villa luxembourgeoise que naissent ses découvertes majeures. La première est la production industrielle d’un métal peu connu car difficile à obtenir à l’étal naturel : le titane. Grâce à un procédé chimique, Kroll parvient à produire un titane dit souple, car facilement étirable, mais robuste. Il permet à la fois la création d’implants chirurgicaux légers et celle de composants d’avions militaires. Il applique ensuite le même procédé, qui porte son nom, pour produire du zirconium et de l’hafnium purs, deux métaux notamment utilisés dans l’industrie nucléaire pour leur résistance aux hautes températures. «On peut dire sans exagération que l’ère des trois grands métaux de notre époque, le titane, le zirconium et l’hafnium, a commencé dans le laboratoire de Belair», écrivait le Luxemburger Wort en 1969. Poussé par la guerre, il quitte, à nouveau, son pays pour les États-Unis en 1940. Il travaille alors sous le nom de William Kroll. Le tout sans ses brevets, car ses collaborations d’avant-guerre avec des entreprises allemandes et l’annexion du Luxembourg «ont conduit à ce que ses brevets soient considérés comme allemands et interdits». Après-guerre et une fois ses brevets récupérés, il améliore la production de ses métaux, entre au Bureau américain des Mines, enseigne à l’université d’État de l’Oregon et finance un institut. Il rentre en Europe en 1961 et et anime des conférences auprès de prestigieux représentants d’industries de l’époque tels que Boeing, Douglas et Lockheed. https://lnkd.in/dxtJQDEu
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Découverte d’un alliage métallique aux propriétés incroyables
Découverte d’un alliage métallique aux propriétés incroyables
futura-sciences.com
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FRENCH FAB ! Le nitrure de bore hexagonal (h-BN) est un matériau fascinant avec des propriétés uniques qui le rendent utile dans divers domaines technologiques. Structurellement, il ressemble au graphite, avec des couches de plans atomiques qui peuvent glisser les unes sur les autres, ce qui lui confère une excellente lubrification à sec. Voici quelques points clés sur ce composé : 1. Structure et composition : Le h-BN est composé d’atomes de bore et d’azote, arrangés dans une structure hexagonale en couches. Cette structure lui donne une stabilité chimique élevée et une inertie remarquable vis-à-vis de nombreux produits chimiques. 2. Propriétés thermiques : Le nitrure de bore hexagonal possède une conductivité thermique élevée, comparable à celle de certains métaux, mais avec la capacité d’agir comme isolant électrique. Cela en fait un matériau précieux pour les dispositifs nécessitant la dissipation de chaleur tout en évitant les courts-circuits. 3. Applications haute température: sous atmosphère contrôlée le BN peut tenir à des températures allant jusqu'à 2300°c. Utiles pour l'isolation électrique dans des fours de frittage par exemple. Le nitrure de bore hexagonal est un matériau prometteur pour le développement de nouvelles technologies, notamment dans les secteurs de l’aéronautique, de l'aérospatial, de l’électronique, des nanomatériaux... Cette tour Eiffel a été produite par nos soins en Nitrure de Bore pour démontrer notre capacité à usiner des pièces complexes et ultra-précises dans cette matière. Usinage 5 axes sur machine dédiée au Nitrure de Bore. Usinée dans la masse à partir d'un barreau diam 35 mm. Grand nombres d'heures de programmation et de réglages 3H00 d'usinage. L'antenne mesure 0,4 mm de diamètre, et des parois jusqu'à 0,5 mm d'épaisseur. Plus de 300 opérations ont été nécessaires pour l'usinage de cette pièce unique. Veuillez nous consulter pour tous vos projets intégrant ce matériau. #usinageceramique #usinageNitruredeBore #ceramiqueindustrielle #dépotPVD
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Baptisée 9PHEB, la céramique en question présente une rétention de dimension et de résistance exceptionnelle jusqu’à 2 000 °C. Autrement dit, ce matériau serait adapté à une utilisation dans des conditions extrêmes. Selon les scientifiques, la céramique affiche un taux de porosité d’environ 50 % pour une résistance à la compression ultra élevée à température ambiante, à savoir 337 millions de pascals. Mieux encore, le 9PHEB démontre une stabilité thermique exceptionnelle. Les auteurs de l’étude ont souligné un retrait volumique de seulement 2,4 % après un recuit à 2000°C.
Aérospatiale : une céramique poreuse ultrarésistante et isolante
https://sciencepost.fr
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Découverte d’un alliage métallique aux propriétés incroyables https://lnkd.in/eQNMRYuH
Découverte d’un alliage métallique aux propriétés incroyables
futura-sciences.com
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#Innovation - La découverte des points de transformation de l'acier. Le célèbre métallurgiste russe Dimitri CHERNOV (1839 -1921) est à l'origine de 4 découvertes majeures dans l'industrie de la métallurgie : 1- Les points de transformations de l'acier A1 et A3 2- Le diagramme Fer-Carbone 4- Les bases de la métallographie 5- Les bases du traitement thermique des aciers Pendant toute la première moitié du XIXe siècle la définition du mot acier est basée sur la teneur en carbone donnée par l’analyse et sur les qualités mécaniques liées à cette teneur. Malheureusement on ignore tout des causes du durcissement de l’acier. Un grand pas vers une bonne compréhension du phénomène va être fait par CHERNOV, métallurgiste russe, ingénieur aux aciéries Oboukoff. Dans son premier article en 1868, il étudie la taille des grains observés visuellement sur les cassures, en relation avec le traitement thermique et la teneur en carbone et découvre l’existence de températures critiques A et B correspondant à des transformations de l’acier à l’état solide. CHERNOV commence sa carrière en 1866 comme ingénieur métallurgiste dans l'atelier de forge dans une aciérie de St. Petersburg. Ses premiers travaux portaient sur l'analyse du taux de rebut important des tubes à canons en acier. Au cours de son étude il montra que l’acier n’est pas le même matériau à toutes les températures, mais qu’il présente plutôt des transformations polymorphes à différentes températures. Il a introduit différents points connus sous le nom de points de CHERNOV dont deux points importants sont le point A et le point B. Il mis en évidence que la structure et les propriétés de l’acier dépendent de son traitement par des moyens mécaniques (pression) et thermique. Il a découvert les températures critiques auxquelles les transformations de phase modifient la structure et les propriétés essentielles du métal à la suite de son chauffage ou de son refroidissement à l’état solide. En 1876, l'ouvrage de CHERNOV est publié en Angleterre, et un an plus tard en France. Il constitue la base scientifique de la métallurgie contemporaine et des procédés de traitement thermique des métaux. Par la suite en 1885 le célèbre métallurgiste français du Creusot FLORIS OSMOND reprend les travaux du russe CHERNOV avec des études originales sur la trempe ce qui marque le début effectif de l’utilisation de la métallographie microscopique dans la recherche sur les aciers. Le métallurgiste français OSMOND découvre la signification précise des points critiques (1886) en utilisant le pyromètre thermoélectrique, inventé la même année par Henry LE CHATELIER . OSMOND introduit la description des points critiques A et B découverts par CHERNOV par les lettres majuscules A1 et A3. CHERNOV rejoint en 1889 l'académie d'artillerie de St. Petersburg en tant que Professeur de métallurgie Source : https://lnkd.in/dEKce3_s
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Ce métal blanc-argenté est 400 fois plus cher que l’or californium métal Le californium n’existe pas à l’état naturel sur Terre. Son procédé de fabrication étant aussi long qu’onéreux, il s’agit d’un élément synthétique beaucoup plus cher que l’or. Par ailleurs, ce métal est également très précieux dans une de ses formes en raison de ses utilisations industrielles et scientifiques. Une fabrication longue et onéreuse Peu connu du grand public, le californium est l’élément chimique de numéro atomique 98 dans le tableau périodique des éléments. Il s’agit d’un métal blanc-argenté synthétique et malléable qui peut se déformer de manière importante sans se rompre. Synthétisé pour la première fois en 1950, il coûte environ 27 millions de dollars le gramme, comme l’expliquait Medium dans un article publié en 2023. Ainsi, ce métal est 400 fois plus cher que l’or. Son prix s’explique par la prouesse que représente son obtention, mais aussi parce que l’opération est seulement possible au sein d’un réacteur nucléaire. Le californium-252 (Cf-252) est un radio-isotope. Il fait donc partie des formes instables qui émettent des rayonnements afin de se transformer en isotopes stables. Au cœur du réacteur, le californium est bombardé de plutonium-239 à l’aide de neutrons avant une purification, un procordé long et très onéreux. De plus, cette opération nécessite un équipement spécial ainsi qu’une expertise de pointe. Il faut dire que la fabrication est une source d’émission de particules très dangereuses : des particules neutroniques et alpha. Par ailleurs, soulignons la faible demande en Cf-252, ainsi que sa très courte demi-vie (environ deux ans). https://lnkd.in/eYzEU8ru
Ce métal blanc-argenté est 400 fois plus cher que l’or
https://sciencepost.fr
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