Post de Erik BONNAUD

𝐋𝐚 𝐟𝐚𝐜𝐞 (𝐩𝐞𝐮) 𝐜𝐚𝐜𝐡𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐱𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞  Un enjeu sociétal pour les entreprises #mécènes et les #philanthropes En cette 1ère journée nationale officielle de lutte contre le #sexisme, il est important de souligner les conclusions de l’édition 2024 du "Baromètre sexisme" mené par Viavoice et le Haut Conseil à l'Égalité. 🔔 Face à ces chiffres alarmants, et au déni des racines profondes du sexisme, une prise de conscience collective est nécessaire. 🔔 Face à un sentiment d’impunité des actes et propos sexistes qui stagne à un niveau très élevé (75 %), il est crucial et urgent de sensibiliser davantage, et de prendre des mesures systémiques dès le plus jeune âge, jusqu'à l'âge adulte, et dans toutes les sphères de la société. 💡 La loi de finances 2024 a officialisé la lutte pour l'égalité entre les sexes comme une nouvelle thématique d’intérêt général éligible au dispositif fiscal du mécénat. Une opportunité pour les entreprises mécènes et les philanthropes de s’emparer pleinement, avec le monde associatif, de l’#ESS et des pouvoirs publics, de ce droit humain fondamental qu’est la non-discrimination entre les femmes et les hommes. 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐢𝐫𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐥𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥'𝐞́𝐭𝐚𝐭 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐱𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 : https://lnkd.in/ede2Gke9    #LutteContreLeSexisme #parité #RSE #mécénat #philanthropie 

🙅♀️ Aujourd’hui 25 janvier c’est la journée nationale consacrée à la lutte contre le sexisme ! (Oui, ça tombe bien, le lendemain de la journée internationale des sportives ! ) Une journée au cours de laquelle le Haut Conseil à l'Égalité rend son rapport annuel sur l’état du sexisme en France. La famille, l’école et le numérique sont les trois « incubateurs » du sexisme dès le plus jeune âge selon le HCE. Le Département de Loire-Atlantique est engagé dans cette lutte et est d’ailleurs labellisé « égalité et diversité » par l’Association française de normalisation depuis 2021. Un label important qui témoigne de notre engagement, notamment avec la mise en œuvre du plan d’action Égalité-Diversité pour 2022-2028 porté par @Myriam Bigeard. La lutte contre les discriminations et les préjugés, qui touchent plus particulièrement les femmes, est essentielle et nous sommes actif-ves ! Cela passe par exemple par l’exposition « Tous les métiers sont mixtes » qui sensibilise les collégiennes et les collégiens de Loire-Atlantique sur les stéréotypes de genre dans le monde professionnel. Nous sommes aussi partenaire de Resonantes afin de lutter contre les violences sexistes et sexuelles. Nos appels à projets « Stoppons les violences faites aux femmes » sont un soutien important pour les acteurs locaux. L’hébergement d’urgence est un autre levier d’action et l’objectif du Département pour 2028 est clair : aucun territoire sans solution d’hébergement d’urgence pour les femmes victimes de violence et leurs enfants ! Le rapport du HCE : https://lnkd.in/ebRyjkjN... Le plan d’action du @Département de Loire-Atlantique https://lnkd.in/eGAs_yRA

A la veille du 8 mars, un ami journaliste m'a demandé d'écrire une réflexion. Je vous la partage. Et vous comprendrez que le sujet des #VBG est d'une importance capitale au #Mali. "Les droits de la femme, restent bafoués dans de nombreuses parties de la planète, c’est pourquoi la célébration du 8 mars a encore de beaux jours devant elle. Autant pour magnifier la femme que pointer du doigt, tout ce qui ne va pas et empêche son plein épanouissement. Les maux sont encore nombreux de ce côté de l’hémisphère. Ici en Afrique sub-saharienne, prévalent encore des pratiques rédhibitoires. Je veux parler de l’excision, du mariage précoce, de la polygamie mal vécue, des violences de toutes sortes sur les femmes, psychologiques, psychiques, comme physiques. On assiste ces dernières années à une folle, voire inquiétante recrudescence des violences dites conjugales, avec des cas toujours plus extrêmes de féminicides où d’agressions corporelles. A cela, s’ajoute une certaine forme d’impunité de la société, qui préfère se taire sur les drames les plus intimes des couples, qui vivent l’enfer de la violence. Une auteure du Niger disait que la société, sahélienne par extension, n’aime pas trop lorsque deux êtres fusionnent, car cela remet en cause sa propre conservation. Soit, cela doit-il empêcher de briser les lois du silence, pour dénoncer ce qui ne va pas. Un malade peut-il guérir si l’on ne sait pas quelle est sa pathologie ? Les One Stop Centers sont la pour écouter, conseiller, guider, les survivantes de VBG. Il y a donc urgence à ouvrir les yeux et à observer nos proches. Mais aussi à sévir sur le plan légal, sur un phénomène, qui emporte des milliers de femmes dans l’anonymat le plus total. Avec plus plus de 14 000 cas de violences basées sur le genre dont 14% de violences sexuelles enregistrés au Mali en 2022, selon des statistiques nationales, la journée internationale des femmes est l'opportunité de rappeler, que les femmes et les hommes ont des droits. En sensibilisant nos enfants, garçons comme filles, à leurs droits et leurs devoirs, en leur montrant que l’être humain est la créature la plus sacrée de Dieu, la société se préviendra bien de maux et de drames. En insistant sur l’éducation de base des jeunes filles et des futurs époux, le concept de masculinité positive, qui n'est rien d'autre qu'une forme de sensibilité accrue et de compréhension de l'autre sexe, l’on sauvera bien des vies, en sursis. Car une société qui ne protège pas ses enfants finit par se dévorer elle-même. Et n'oublions pas évidemment la dimension économique cruciale pour les femmes. L'indépendance financiere, qui favorise l'indépendance mentale, la liberté de prendre sa vie en main, quand cela ne va pas et pour sortir les femmes d'enfers quotidiens. Belle journée du 8 mars aux femmes du monde entier " #IWD2024 #UNFPA #Mali #OneStopCenter

#féminicide #vbg #droitsdesfemmes #stopstérééotypes 💪🏾Réorientons nos actions pour mieux répondre aux défis actuels et futurs ! 💔Malheureusement, cet acte odieux est loin d'être rare ou isolé parmi les violences de genre dans nos sociétés. La tragédie a pris une ampleur médiatique en raison de la notoriété de la victime, Rebecca Chepteguei. 💔 Il est crucial de comprendre que ce type d'atrocités a lieu parce que la victime est une femme, perçue comme la "propriété" d'un homme. Historiquement, des hommes, souvent qualifiés de "sexe fort", se sont arrogé le droit de "corriger" les femmes à leur guise, voire de leur ôter la vie. 💔 Ce féminicide, véritable partie émergée de l'iceberg, souligne la nécessité de réévaluer nos stratégies de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Bien que l'autonomisation économique des femmes soit un progrès, elle ne suffit pas à elle seule. Une véritable autonomie personnelle, englobant divers aspects, est essentielle. 💔 Les stéréotypes de genre, qui piègent de nombreuses femmes dans des relations toxiques, doivent être combattus. Ces croyances, qui légitiment la hiérarchie et justifient les violences, trouvent leurs racines dans la domination et l'infériorisation des femmes. 💚 Il est impératif de déconstruire ces stéréotypes et de promouvoir l'égalité des sexes dans tous les aspects de la vie.

🙌 Ensemble contre le sexisme ! C'est l'association (notamment) à laquelle on doit la journée nationale officielle contre le sexisme. J'étais donc assez fébrile à l'idée de participer au TV Show très spécial que le collectif avait monté à cette occasion. Je n'étais pas la seule, puisque la salle était comble et que près d'un millier de participants s'étaient connectés à distance. Un succès qui devrait rejoindre l'analyse du 6e état des lieux du sexisme en France du Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes (sous la direction de et , selon laquelle on observe une véritable prise de conscience de la société. Le rapport ajoute, en revanche, que cette prise de conscience n'a pas été suivie d'une évolution des mentalités.  Jugez vous-mêmes :  - Plus d’un homme sur 5 de 25-34 ans considère normal d’avoir un salaire supérieur à sa collègue à poste égal.  - 70% des hommes pensent encore qu’un homme doit avoir la responsabilité financière de sa famille pour être respecté dans la société.  - Plus de la moitié de la population trouve encore normal ou positif qu’une femme cuisine tous les jours pour toute la famille.  🐒 Ben voyons ! Le HCE ne voit pas d'autre solution que de "prendre le problème à la racine" car en effet les enfants prennent leur premier bain de #sexisme très tôt, trop tôt. Là encore, les chiffres sont éloquents :  - Seulement 3% des hommes ont reçu des poupées et 4% des femmes des petites voitures dans leur enfance.  - 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés  - Chez les hommes, un quart des 25-34 ans pense qu’il faut parfois être violent pour se faire respecter.  👀 Consternant ou bien ? Bref il faut se mobiliser autour des maternelles pour éviter que l'incompréhensible reflux de valeurs traditionnelles défavorables à l'idée d'égalité hommes-femmes ne nous enfonce davantage, et bien sûr maintenir le dialogue avec nos contemporains. C'est le pari qu'a brillamment relevé l'association Ensemble contre le sexisme jeudi dernier en démontant avec humour, intelligence et des preuves sérieuses (pour les sceptiques et détracteurs de mauvaise foi), un bon nombre de préjugés sexistes dont certains coûtent encore la vie à des millions de femmes en France et dans le monde. (vous trouverez le lien vers le replay en commentaire !) 🖐 J'ai sélectionné 5 points dont les témoignages ont nourri ma réflexion et nourriront j'espère la vôtre. Je les résume dans ce carrousel. Bien sûr la réflexion n'a de valeur que par l'action qu'elle suscite ! Et croyez-moi toutes les associations présentes jeudi dernier l'ont prouvé. Peut-être serez-vous tenté.e.s d'en rejoindre et/ou d'en soutenir une ? Fondation des Femmes, le Cercle InterL, réseau des réseaux de 15 entreprises scientifiques et technologiques, les Femmes Ingénieurs, Capital Filles ... Et vous, comment avez-vous tiré parti de cette première journée officielle ?

Aujourd'hui c'est la journée nationale contre le #sexisme ! L'occasion de rappeler qu'il faut poursuivre les actions afin de faire évoluer les mentalités. En effet, le 5ème rapport annuel du Haut Conseil à l’Égalité (HCE) fait le constat inquiétant que le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, certaines de ses manifestations les plus violentes s’aggravent, et les jeunes générations sont les plus touchées. A EDF aussi nous agissons contre le sexisme (https://lnkd.in/e_yHwTp2) et en faveur de la mixité et de l’égalité femmes/hommes. En Nouvelle-Aquitaine nous avons par exemple deux réseaux de salariés #ÉnergiesMixité, nous soutenons le film de lutte contre les violences conjugales du Centre d'Insertion Social et Economique (CISE) de Gironde, les actions de l'association des Ingénieuses de Ecole Nationale Supérieure d'Ingénieurs de Poitiers - ENSI Poitiers et Elles bougent, le Big Event de l'Association Trajectoires d'entreprise au féminin, l'équipe féminine de cyclisme FDJ - SUEZ basée dans la Vienne (86) et à la 5ème place du circuit Women’s World Tour, la création de sculptures en hommage à l’engagement et au rôle des femmes dans la résistance à Bayonne, etc... Hommes et femmes, tous impliqués ! https://lnkd.in/e4sWMMkH.

« Notallman », Pas tous les hommes ! C’est une évidence et pourtant pas si évidente. Lorsqu’on regroupe des individus selon une catégorie pour en faire une généralité, il y a toujours des individus qui ne se reconnaissent pas dans les critères dudit groupe et répètent « on n’est pas tous comme ça » parfois avec plus ou moins de politesse et de bienveillance et parfois les insultes fusent. « Pas tous les hommes c’est évident ». D’ailleurs en suivant les statistiques ça serait même plutôt une minorité d’hommes. Donc si c’est une minorité, il serait sain d’arrêter d’en faire étalage. Sauf que les hommes vivent avec l’affaire Pélicot ce que toutes les minorités vivent en général sans que grand monde s’en offusque : l’assimilation de la majorité à la minorité pervertie. C’est vrai qu’une minorité d’hommes sont des prédateurs et pourtant une majorité de femmes (pour ne pas dire toutes) a peur de rentrer seule le soir à pied dans la rue. Pourquoi les femmes ont-elles si peur si finalement très peu d’hommes sont des prédateurs ? Peut-être parce que de nombreux hommes, sans être des prédateurs se taisent et cautionnent. Combien d’hommes, sans être des prédateurs ont déjà rigolé sur une blague sexiste ? Combien ont tenu des propos inappropriés compte tenu du contexte dans lequel ils étaient prononcés ? « Hey poupée j’adore ton décolleté » c’est peut-être un compliment lourdingue en soirée « rencontre » mais c’est un agissement sexiste au travail. Et là je vois déjà des hommes se dire : pfff on peut même plus faire des compliments, on ne peut rien dire. C’est peut-être vrai et finalement c’est peut-être mieux. C’est la même chose avec le racisme qui devient une « opinion » quand le code pénal rappelle que c’est un délit. Combien d’étrangers sur notre sol sont des délinquants ? Une minorité. Ca veut donc dire que la majorité des étrangers est intégrée et pourtant on ne cesse de réclamer des lois toujours plus sécuritaires, la fermeture des frontières. Le discours est simple, il est rôdé : moins d’étrangers = moins de délinquance c’est donc que les étrangers sont responsables de la délinquance. Simpliste mais efficace. Du coup les « étrangers » comme groupe se retrouvent à devoir se justifier, à prouver qu’ils ne sont pas des délinquants car à nouveau la majorité est embarquée dans la minorité pervertie. C’est la même chose avec la religion et on pourrait multiplier les situations. Ne pas généraliser c'est se dédouaner et se trouver une excuse à l'inaction. Mais la généralisation induit une stigmatisation de la majorité au profit de la minorité pervertie. Le problème viendrait donc de la généralisation d’une caractéristique appliquée à un « groupe ». D’où l’idée de ne pas généraliser. Mais la peur des femmes, elle est réelle, la délinquance elle aussi elle est réelle. Leurs causes ne sont peut-être pas les hommes ou les étrangers. A identifier les mauvaises causes, on trouve souvent les mauvaises solutions.

La notion de genre désigne les us et pratiques culturelles attachées aux différences biologiques. Autrement dit les pratiques et usages sociales qui nous concernent selon que l'on soit un homme ou une femme dans la communauté. En Mauritanie les différences de #genre jouent en défaveur des femmes se traduisant par un fort taux d'abandon scolaire, les MGF et les mariages précoces etc. Au Sénégal par contre, elles se traduisent par une sous-représentativité féminine aux postes clés dans le milieu professionnel, la possession de moins d'actifs, les violences sexistes selon #afrobarometer. S'engager auprès des femmes et des filles est un geste altruiste pour la #société et #l'humanité. Quelles doivent être nos politiques pour corriger ces divergences entrainées par le genre?

➡ Transmania: Enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine « Homme enceint », « non-binaire », « iel », « changer de sexe », « naître dans le mauvais corps », « transgenre », ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c’est la transmania !  En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines dans le plus grand des calmes. Des hôpitaux se livrent à des expérimentations médicales sur des enfants dans le but de les faire « changer de sexe ». Et tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue. C’est l’histoire de l’un des plus gros casses conceptuels du siècle que nous allons te raconter : l’idéologie transgenre est en train de s’infiltrer dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un simple mouvement pour les droits d’une minorité opprimée, pourtant, derrière les paillettes, se trouve un projet politique néfaste qui s’apprête à bouleverser notre rapport au réel… Dora Moutot est journaliste, auteure de À fleur de pet et de Mâle Baisées, et créatrice de communautés. Marguerite Stern est ex-Femen et réalisatrice de podcasts. Après des années de travail, cibles de toutes les pressions, elles signent une enquête fouillée sur les dérives de l’idéologie transgenre. https://lnkd.in/eh3cCmit

🛎 M-1 avant le 8 mars ! 💡 Aujourd’hui tant dans la sphère personnelle que professionnelle, le #sexisme est ambiant : 92% de la population considère que les femmes et les hommes ne sont pas traité·es de la même manière…   𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 ? 𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐱𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐮𝐛𝐢𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐪𝐮𝐨𝐭𝐢𝐝𝐢𝐞𝐧 ! 💥 Il est plus qu’urgent de déconstruire les #stéréotypes et d‘éveiller les consciences, pour faire du sexisme une histoire ancienne !   Découvrez une solution engagée avec le #seriousgame The Impact Agency : https://lnkd.in/ejASy9c2 Marquez votre engagement pour la Journée Internationale des droits des #femmes le 8 mars.