Post de Fabian Flament

Quand on fait des crêpes Une comptine pour la chandeleur ou tout simplement lorsque l'on fait des crêpes. Une chanson courte et simple pour les tout-petits. Nous avons fait une vidéo avec mon compagnon marc avec quelques gestes de la langue des signes pour accompagner la chanson que vous trouverez en vidéo plus bas ou sur ma chaine youtube Vous appréciez mes partages ?? #bricolagesdestoutpetits #chandeleur #chezveronalice #Comptines #ukupitchoune

Découvrez notre dernier article de blog: "Voeux de mariage et humour: trois idées à intégrer dans son texte" 🥰💥

Sourions un peu😌 « Tadiabone » : explications sur la chanson de la « Tamkharite » avec les vraies paroles. La chanson est reprise depuis des décennies mais semble être tronquée année après année. Voici une réponse qui revient sur l’essence même de cette chanson mythique. Procédons par chronologie : 1. Nous sommes dans un ménage polygamme. 2. En ce jour de l’an, toutes les 2 épouses doivent faire à manger. Si elles sont plus de 2, ce sera la 1ere ET les autres. 3. Le mari ne donne la dépense qu’à la 1ère. 4. La ñaarel doit, elle, « se débrouiller » pour aussi faire à manger. C’est le fameux « reeru tamxarit » qu’elle collecte de maison en maison auprès des « aawo ». Vient l’heure du dîner : 5. La « ñaarel » attend que la « aawo » présente son plat au mari pour débarquer avec son bol, chantant en lançant de « gentils » pics à la co-épouse : – bii taaj a bon (que ce dîner est mal servi!) – bii taaj a bon – (uteek) sama taaj bi (contrairement au mien) – am, du ñambaar (toi on t’a donné à préparer) – man ñaari malaam lama (alors que moi je suis à double tranchant) – bii ci kaw (par ci « en se touchant la poitrine ») – bii ci suuf (et par là « se touchant le bas ventre »). Après, les « attaques » se font plus vives, souhaitant le pire à la co-épouse et le meilleur au mari : – waw yaay ji, ndax woor ngaam? (D’ailleurs, as-tu jeuné, vieille dame?) – muni « deedeet » (Non, répondit-elle) – waw yaay ji, ndax julli ngaam ? (D’ailleurs, as-tu prié, vieille dame?) – muni « deedeet » (Non, repondit-elle) – ca safara sa ! (En enfer !) (Ici, le meilleur pour le mari) – waw baay ji, ndax woor ngaam? (Et toi, père, as-tu jeuné ?) – muni « waa waaw » (Oui, repondit-il) – waw baay ji, ndax julli ngaam ? (As-tu prié ?) – muni « waa waaw » (Oui, répondit-il) – ca ajana ja ! (À toi le paradis !) (Là, le mari remet un présent à la ñaarel). Et c’est là où la « aawo » réplique en sous-estimant le cadeau : – bile sarax du duun le (quelle maigre pitance !) – bile sarax du duun le *Yallah naniou teiweii ayy att you beurii 🤲🏾!* #source : Oumar Sall 🙏🏿🙏🏿🙏🏿BON TAMKHARITE

Voici à quoi ressemblerait votre merveilleux film de mariage. De l'émotion, de la féerie, de la joie et surtout de l'amour. Revivez chaque instant de votre mariage avec ADP Vision. Meddle wedding #wedding #filmmaker #vidéaste #weddingmovie #adpvision

L’avantage de la vidéo de mariage est de vous proposer un rappel des plus vivants de l’ambiance de votre grand jour! Voici ainsi un petit coming soon réalisé 😎😎

Pour plonger dans un océan de bons sentiments et d’histoires d’amour qui finissent bien, voici 4 romances à voir sur Netflix ⬇️

Sourions un peu😌 « Tadiabone » : explications sur la chanson de la « Tamkharite » avec les vraies paroles. La chanson est reprise depuis des décennies mais semble être tronquée année après année. Voici une réponse qui revient sur l’essence même de cette chanson mythique. Procédons par chronologie : 1. Nous sommes dans un ménage polygamme. 2. En ce jour de l’an, toutes les 2 épouses doivent faire à manger. Si elles sont plus de 2, ce sera la 1ere ET les autres. 3. Le mari ne donne la dépense qu’à la 1ère. 4. La ñaarel doit, elle, « se débrouiller » pour aussi faire à manger. C’est le fameux « reeru tamxarit » qu’elle collecte de maison en maison auprès des « aawo ». Vient l’heure du dîner : 5. La « ñaarel » attend que la « aawo » présente son plat au mari pour débarquer avec son bol, chantant en lançant de « gentils » pics à la co-épouse : – bii taaj a bon (que ce dîner est mal servi!) – bii taaj a bon – (uteek) sama taaj bi (contrairement au mien) – am, du ñambaar (toi on t’a donné à préparer) – man ñaari malaam lama (alors que moi je suis à double tranchant) – bii ci kaw (par ci « en se touchant la poitrine ») – bii ci suuf (et par là « se touchant le bas ventre »). Après, les « attaques » se font plus vives, souhaitant le pire à la co-épouse et le meilleur au mari : – waw yaay ji, ndax woor ngaam? (D’ailleurs, as-tu jeuné, vieille dame?) – muni « deedeet » (Non, répondit-elle) – waw yaay ji, ndax julli ngaam ? (D’ailleurs, as-tu prié, vieille dame?) – muni « deedeet » (Non, repondit-elle) – ca safara sa ! (En enfer !) (Ici, le meilleur pour le mari) – waw baay ji, ndax woor ngaam? (Et toi, père, as-tu jeuné ?) – muni « waa waaw » (Oui, repondit-il) – waw baay ji, ndax julli ngaam ? (As-tu prié ?) – muni « waa waaw » (Oui, répondit-il) – ca ajana ja ! (À toi le paradis !) (Là, le mari remet un présent à la ñaarel). Et c’est là où la « aawo » réplique en sous-estimant le cadeau : – bile sarax du duun le (quelle maigre pitance !) – bile sarax du duun le *Yallah naniou teiweii ayy att you beurii 🤲🏾!* 🙏🏿🙏🏿🙏🏿BON TAMKHARITE

Le break dance : l’art de la négociation avec une touche de groove ! 💃🕺 Le break dance, c’est cette danse où les mouvements sont si rapides qu’on se demande si les danseurs ne sont pas propulsés par des moteurs. Chaque pirouette, chaque figure est une démonstration de talent et d’ingéniosité. On pourrait dire que c’est l’équivalent juridique de jongler avec des arguments tout en gardant le rythme ! 🌀🎶 Imaginez un instant votre avocat en pleine plaidoirie, faisant des spins juridiques et des freezes argumentatifs avec autant de style qu’un danseur sur le parquet. Un coup de grâce ici, une figure acrobatique de répliques là… Le tout sans jamais se prendre les pieds dans le tapis juridique. Quand le juge vous demande de clarifier votre point, vous sortez un headspin de témoignages et un windmill de preuves ! 💫💼 En parlant de coups de maître, vous avez déjà vu un danseur qui essaie une figure épique mais finit par atterrir sur le sol avec toute la grâce d’un sac de patates ? Oui, on connaît aussi ces moments où l’avocat essaye de convaincre le jury avec un argument et se retrouve avec un contre-argument qui le renverse comme un break dancer raté. Mais c’est dans la récupération que la magie opère : un petit ajustement ici, une pirouette argumentative là, et hop, le show continue ! 🤹♂️😂 Et bien sûr, comme dans le break dance, il y a toujours le moment où le danseur enchaîne les figures avec tellement de fluidité que vous vous demandez s’il n’a pas un secret pour défier la gravité. Avec AppliCab, vous avez votre propre « gravité » : une gestion des dossiers si fluide que vous pouvez jongler avec les deadlines et les documents comme un pro du break dance. 📅🕶️ Alors, prêts à enchaîner les mouvements juridiques avec le style d’un danseur étoile ? Avec AppliCab, transformez chaque réunion en une performance époustouflante et chaque dossier en une danse parfaite. Montrez à tout le monde que même dans le monde juridique, le groove est essentiel ! 🏆💥 https://lnkd.in/efnWKXUH

Le break dance : l’art de la négociation avec une touche de groove ! 💃🕺 Le break dance, c’est cette danse où les mouvements sont si rapides qu’on se demande si les danseurs ne sont pas propulsés par des moteurs. Chaque pirouette, chaque figure est une démonstration de talent et d’ingéniosité. On pourrait dire que c’est l’équivalent juridique de jongler avec des arguments tout en gardant le rythme ! 🌀🎶 Imaginez un instant votre avocat en pleine plaidoirie, faisant des spins juridiques et des freezes argumentatifs avec autant de style qu’un danseur sur le parquet. Un coup de grâce ici, une figure acrobatique de répliques là… Le tout sans jamais se prendre les pieds dans le tapis juridique. Quand le juge vous demande de clarifier votre point, vous sortez un headspin de témoignages et un windmill de preuves ! 💫💼 En parlant de coups de maître, vous avez déjà vu un danseur qui essaie une figure épique mais finit par atterrir sur le sol avec toute la grâce d’un sac de patates ? Oui, on connaît aussi ces moments où l’avocat essaye de convaincre le jury avec un argument et se retrouve avec un contre-argument qui le renverse comme un break dancer raté. Mais c’est dans la récupération que la magie opère : un petit ajustement ici, une pirouette argumentative là, et hop, le show continue ! 🤹♂️😂 Et bien sûr, comme dans le break dance, il y a toujours le moment où le danseur enchaîne les figures avec tellement de fluidité que vous vous demandez s’il n’a pas un secret pour défier la gravité. Avec AppliCab, vous avez votre propre « gravité » : une gestion des dossiers si fluide que vous pouvez jongler avec les deadlines et les documents comme un pro du break dance. 📅🕶️ Alors, prêts à enchaîner les mouvements juridiques avec le style d’un danseur étoile ? Avec AppliCab, transformez chaque réunion en une performance époustouflante et chaque dossier en une danse parfaite. Montrez à tout le monde que même dans le monde juridique, le groove est essentiel ! 🏆💥 https://lnkd.in/d6P5rPX6

PROCHAIN WEEK-END découverte du Clown-Théâtre 11et 12 mai 2024 IL RESTE DES PLACES.  ÇA VOUS TENTE OU QUOI ?  S’INFORMER, S’INSCRIRE : https://lnkd.in/dUWiNSWJ PIS AUSSI : 0681668199 et atoutclowns1@gmail.com Personnage affectif, impertinent et subversif, il joue dans le registre de la démesure et de l’amplification. Le travail du clown c’est mettre en jeu ses émotions, ses fragilités, les révéler, mettre en jeu les dimensions cachées. Nous ne cherchons pas à fabriquer des « stéréotypes ». Le clown que nous développons travaille sur toute la palette des émotions. Il est au plus proche de la personne. Il ne s’agit pas de vouloir faire rire à tout prix mais de développer son propre sens de l’humour et de la dérision, d’improviser en contact avec l’instant présent, avec le concret et l’imaginaire, le partenaire et le public.