Post de FBF

Crédit Agricole Ile de France : les courtiers sont les bienvenus ! L’UIC poursuit les échanges avec les banques françaises et a rencontré récemment les dirigeants du Crédit Agricole Ile de France. #MichelGANZIN, Directeur Général et #ClotildeL’ANGEVIN, Directrice Générale Adjoint ont clairement exprimé leur volonté de développer leur part de marché sur le crédit aux particuliers . « Dans cette orientation stratégique, les courtiers sont des acteurs clés en IDF avec lesquels nous voulons travailler étroitement ». Les courtiers, avec ou sans convention de partenariat avec le CA IDF, peuvent adresser leurs dossiers dans un des 4 points d’entrée pour les prescripteurs, répartis sur le territoire. #GuyPOYEN, Directeur des Marchés : « nous travaillons sur un projet digital pour améliorer encore le traitement des demandes avec les courtiers ». Un rendez-vous important donc dans une banque importante, qui a permis de mieux se connaitre et partager les pratiques. #courtage #banque #creditagricole #courtiers #UIC

J’ai eu le plaisir de participer vendredi 23 février à une table ronde #Eurofi à Gand sur les principaux risques pesant sur la stabilité financière en France et en Europe. En France, comme en Allemagne et aux Pays-Bas, les entreprises sont endettées majoritairement à long terme et à taux fixes. La hausse des taux se diffuse progressivement. Dans un premier temps, les entreprises ont bénéficié d'une meilleure rémunération de leur trésorerie, toujours abondante malgré la décrue.  Les banques françaises sont relativement peu exposées aux secteurs les plus vulnérables à la hausse des taux d’intérêt, comme l’immobilier commercial et résidentiel ou le crédit à la consommation. En revanche, certains intermédiaires financiers non-bancaires (#NBFI) représentent un risque en raison de leurs interconnexions avec le secteur bancaire. Si les interconnexions directes des banques françaises avec la NBFI française sont limitées (5,8 % de leur passif et 3,3 % du total des actifs bancaires), leur exposition aux NBFI étrangères est deux fois plus importante.             C’est pourquoi une approche européenne coordonnée en matière de régulation du secteur est nécessaire. Le scenario exploratoire systémique récemment conduit par la Banque d'Angleterre gagnerait ainsi à être reproduit au niveau européen pour mieux comprendre les interconnexions banques-NBFI.   J’avais déjà pu m'exprimer sur cette thématique lors d’une matinale de l’AEFR - Association Europe - Finances - Régulations ➡ https://lnkd.in/ewFjk2DM   Pour aller plus loin, je vous invite à consulter le dernier rapport d’évaluation des risques du système financier de la Banque de France ➡ https://lnkd.in/ep_CUeeq. Vous y trouverez notamment une cartographie de la NBFI française !

Nous avons vécu une très belle assemblée générale du Crédit Mutuel Centre Est Europe à Strasbourg, avec 6 000 élus mutualistes et salariés présents. J’ai eu l’occasion de partager 4 choses importantes : -      La 1ère, c’est qu’au Crédit Mutuel, Mutualisme et Europe vont de pair. -      La 2ème, c’est que ma priorité comme président est d’être le représentant de la collectivité solidaire des sociétaires, -      La 3ème est une conviction profonde : le Crédit Mutuel joue un rôle clé dans la société. -      La 4ème est que nous allons Ensemble continuer à être en mouvement, dans l’action.   J’ai délivré un message fort sur l’Europe, à Strasbourg, capitale de l’Europe. J’ai fait un lien fort entre mes convictions sur le Crédit Mutuel et celles sur l’Europe. « Il nous faut une Europe forte et performante, une Europe ouverte et fraternelle, une Europe démocratique et confiante dans ses valeurs. Pas une Europe du repli et de la méfiance. Au moment du passage à l’euro, Jacques Delors a dit une chose très vraie que je veux reprendre à mon compte : « N’ayez pas peur, nous y arriverons ! ». Il disait aussi que l’Europe, c’est la compétition qui stimule, la coopération qui renforce et la solidarité qui unit. On dirait une définition du mutualisme, le mutualisme moderne que nous voulons incarner au Crédit Mutuel. Il faut faire attention à ce que l’Europe reste ce que ses fondateurs ont voulu, dynamique et protectrice à la fois. Il faut que l’Europe permette d’avancer et qu’elle ne nuise pas à la compétitivité. Pour ce qui nous concerne nos métiers, oui, je suis favorable à l’union bancaire. Je suis pour que l’industrie bancaire soit une fierté européenne. Mais, cela veut aussi dire qu’il faut un langage de vérité, notamment sur les nouvelles règles dites de Bâle 4. C’est une réforme qui a, sur le fond, de bonnes intentions, mais qui conduira malheureusement à un affaiblissement général des banques européennes. En stérilisant inutilement des fonds propres, on réduit notre capacité d’accompagner le développement de l’économie et le financement de la révolution écologique et solidaire. C’est quand même paradoxal : on sait tous qu’il faut un effort colossal de rénovation énergétique et, exactement en même temps, Bâle 4 multiplie par 2,5 le besoin en fonds propres sur l’immobilier. Attention à une Europe qui confond modernité et n’importe quoi, comme avec l’euro numérique. Je ne sais pas à quoi il va servir et je vois que même ses fervents défenseurs sont incapables de dire quel service il va rendre aux citoyens. Comme l’a dit l’eurodéputé allemand M. Ferber : « c’est une solution qui cherche un problème. » Pour autant, j’ai la conviction que notre avenir et notre développement sont intimement liés à une Europe forte, performante et innovante. Je crois en une Europe au service de la paix et des peuples. A l’image du Crédit Mutuel, je crois en une Europe unie et plurielle ». J’ai plaisir à partager avec mon réseau le texte complet de mon intervention.

Luxe, tourisme mais aussi #banque! La France peut compter sur une industrie bancaire solide : les 5 premiers établissements français figurent dans le top 10 des groupes bancaires européen, en taille totale bilan. 100% mutualiste et non centralisé le groupe Crédit Mutuel fait une nouvelle fois la démonstration de la solidité d’une banque différente qui appartient à ses clients 👉 10e groupe bancaire européen

Se tirer une balle dans le pied n’est pas adapté à la situation économique désastreuse de la Nouvelle Calédonie NC. Plus de 2 milliards d’euros parti en fumée en l’espace de 10 jours en plus des personnes décédées. Le passage en force de la loi sur le dégel du corps électorale proposé par le député loyaliste qui a catalysé la majorité à l’assemblée nationale et au sénat de Paris a été le détonateur qui a fait exploser la NC, un véritable porte avion économique et militaire français dans le Pacifique. L’arrogance colonialiste loyaliste et parisienne viennent de torpiller l’influence française dans l’Indo Pacifique laissant ainsi plus d’espace au socialisme chinois et russe. La démocratie à la française n’est visiblement pas capable de se projeter dans une stratégie de développement économique et militaire à long terme. L’arrogance de l’héritage du siècle des lumières a rendu la France 🇫🇷 incapable de décoloniser ses terroirs non autonomes du Pacifique pour en faire véritables bases avancées d’une démocratie dynamique et innovante capables de projeter des capacité de résilience dans le domaine du développement durable (énergie, agriculture, pêche durable, régénération des récifs coralliens et de leurs biodiversité…). L’arrogance colonialiste et son pouvoir de l’argent est un frein à la lutte contre le réchauffement climatique et ses conséquences sur la survie de l’espèce humaine. Financer des projets régénérant les écosystèmes et la biodiversité devrait être évident. La survie des peuples de l’Ocean Pacifique et par conséquent de la planète entière sera assurée lorsque l’humilité aura remplacé l’arrogance politique, lorsque l’argent sera au service du sacré. Les océaniens croient que le sacré peut arrêter la course orgueilleuse et vaine du réchauffement climatique et sauver la terre mère nourricière et son berceau l’Océan.

𝐑𝐄𝐓𝐑𝐀𝐈𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐁𝐀𝐍𝐐𝐔𝐄𝐒 𝐄𝐔𝐑𝐎𝐏𝐄́𝐄𝐍𝐍𝐄𝐒 𝐃𝐔 𝐌𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄́ 𝐀𝐅𝐑𝐈𝐂𝐀𝐈𝐍: 𝐋𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐝é𝐟𝐢 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 Suivre les éclairages de nos experts bancaires: Sega Balde et Demba SIBY

📢 Savez-vous qu'un "Que sais-je ?" sur la #BanquedeFrance vient tout juste d'être publié ? Celui-ci vous propose une échappée historique hors du commun ! 📖 Fondée par Bonaparte en 1800, la #BanquedeFrance a eu pour objectif premier de favoriser la reprise économique après la forte récession de la période révolutionnaire. Progressivement dotée du privilège d'émission de la monnaie, ses prérogatives n'ont cessé de se diversifier pour répondre aux besoins économiques du pays, notamment à travers le financement de l'État. 📊 La #BanquedeFrance exerce aujourd'hui trois missions principales : - La stratégie monétaire - la stabilité financière en lien avec l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) qui lui est adossée - les services à l'économie. Son histoire est celle de son autonomisation : d'abord société anonyme, elle sera nationalisée à la Libération, puis obtiendra son indépendance en 1993. Présente sur l'ensemble du territoire à travers son réseau de succursales, son adhésion à l'Eurosystème en 1998, avec l'adoption de l'euro, redéfinit son rôle dans l'économie nationale. Florent Nicol de la #DirectiondesServicesJuridiques de la #BanquedeFrance vous explique la genèse de ce "Que sais-je ?" 📢

En 2023, les Banques Raiffeisen neuchâteloises ont saisi les opportunités de marché pour réaliser des exercices très solides et confirmer leur montée en puissance au sein de la population neuchâteloise (+2,6% au niveau de la croissance du bilan). De quoi aborder l'avenir avec sérénité ! Disposant de très bonnes dotations en fonds propres, les banques Raiffeisen neuchâteloises sont ainsi particulièrement sûres et stables. L'agence Standard & Poor's a d'ailleurs relevé la notation en AA- ce qui place le Groupe Raiffeisen parmi les banques les mieux notées dans le monde. Découvrez les chiffres détaillés pour la Banque Raiffeisen Neuchâtel et Vallées : 👉 https://lnkd.in/eQA_TNF2 #banqueraiffeisen #resultats2023 #performances #societariat #evolution #stabilite #avantages

Un bel éclairage issu de l’étude FBF par le GROUPE IFOP « Les Français, leur banque, leurs attentes » partagé cette semaine par Sophie Renaudie ! 83% des Français ont la conviction que le secteur bancaire est clé pour l’économie française. Une conviction que je partage avec eux. Notre secteur est un maillon essentiel du dynamisme de notre territoire, en soutenant les entreprises, en favorisant les investissements, sans oublier notre contribution à l’emploi.  Face aux enjeux environnementaux, sociaux et climatiques, nous sommes un maillon d’autant plus essentiel : nous avons comme mission de financer la transition juste, une mission au cœur de notre raison d’être à La Banque Postale.

La banque est un secteur stratégique pour l'économie française : c’est la conviction de 83 % des Français, d’après la nouvelle édition de l'étude GROUPE IFOP pour la FBF : “Les Français, leur banque, leurs attentes”. S’ils sont avant tout attachés à leur banque, leur agence et leur conseiller, ils ont une bonne image du secteur et affirment son rôle d’atout au service de l'économie française. Ils ont raison ! Le rôle des banques, c’est de financer l'économie, et La Banque Postale met ses forces au service de cet objectif, en tant que composante du grand pôle financier public et s’appuyant sur son ADN citoyen. Lire l'étude complète : https://lnkd.in/ehQCzBUS