Post de Fédération Française de Triathlon

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L’effet des Jo de Paris 2024 est bien là ! Selon les premiers chiffres dévoilés par différentes fédérations, le nombre de licenciés augmente dans de belles proportions : ➡️ Plus 25% pour l’escrime ➡️ Plus 24% pour le tennis de table. ➡️ Plus 20% pour l’athlétisme. ➡️ La Fédération Française de Natation a enregistré une hausse de 10 000 adhérents pour un total de près de 420 000 licenciés. ➡️ Philippe Bana, le président de la FFHandball - Fédération française de handball, a indiqué lors d'une conférence de presse que le nombre de licences serait en hausse de 18%. Il y aussi des nombreux déçus : ➡️ Les Dauphins Du TOEC, où Léon Marchand, le quadruple champion olympique a appris à nager, ont refusé 400 demandes ! ➡️ A Tours, le club de Volley-ball a fait une centaine de déçus aussi. Impossible de les intégrer ! Rappelons qu’en France, trois enfants sur quatre, âgés entre 11 et 17 ans, ne bougent pas assez selon les critères de l'Onaps, l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité.

𝑬𝒏𝒔𝒆𝒎𝒃𝒍𝒆, 𝒐𝒖𝒗𝒓𝒐𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒊𝒏 à 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒓ê𝒗𝒆𝒏𝒕 Le handball, c’est pour 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲. Chaque passe, chaque tir, chaque sourire sur le terrain en témoigne. Mais pour certains, accéder à ce sport nécessite plus qu’un ballon : un fauteuil adapté, à la fois robuste, sécurisé et performant. Aujourd’hui, au Comité Loire-Atlantique de Handball, nous sommes fiers de mettre en avant le HandFauteuil. Conçu pour la pratique sportive, ce fauteuil est le symbole de l’inclusion et de l’égalité des chances. Mais notre projet va plus loin. 🚀 Ce fauteuil servira à initier les clubs de Loire-Atlantique au handisport. Une première étape essentielle pour faire découvrir et développer le handball fauteuil dans tout le département. Grâce à votre soutien, nous pourrons poser les bases d’un véritable projet inclusif et pérenne pour que chacun, sans exception, puisse vivre sa passion du handball. 🎯 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁 ? • Parce que permettre à une personne en situation de handicap de jouer au handball, c’est lui donner la liberté de s’épanouir sur un terrain. • Parce qu’investir dans ce matériel, c’est investir dans des rêves, des sourires et des victoires partagées. • Parce qu’avec ces fauteuils, nous pourrons 𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗹𝘂𝗯𝘀 et faire grandir la pratique du 𝗵𝗮𝗻𝗱𝗯𝗮𝗹𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁𝗲𝘂𝗶𝗹 𝗲𝗻 𝗟𝗼𝗶𝗿𝗲-𝗔𝘁𝗹𝗮𝗻𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 📌 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗱’𝘂𝗻 𝗳𝗮𝘂𝘁𝗲𝘂𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘁 : 𝟮𝟮𝟬𝟬€ 🔗 𝗩𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲 ! Entreprises, partenaires, mécènes, en nous soutenant financièrement, vous devenez les moteurs de ce changement. Vous permettez à des joueurs de se sentir à leur place sur le terrain. Vous contribuez au développement d’un projet juste, humain et essentiel pour le territoire. 💬 Ensemble, ouvrons les portes du handball à tous et faisons du handisport un pilier de notre département. 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁𝗲𝘇 "𝗛𝗮𝗻𝗱𝗯𝗮𝗹𝗹" 𝗲𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗻𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗮𝗰𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘃𝗼𝘂𝘀 #Inclusion #HandballPourTous #HandballFauteuil #Handisport #SportEtHandicap #Solidarité #LoireAtlantique #Partenariat

🏋♀️ Immersion dans cette journée animée par Always Procter & Gamble et la championne du monde de Powerlift (Force Athlétique) Lya Bavoil. Au programme pour les 50 jeunes filles présentes : une masterclass sur la confiance en soi pendant l'adolescence et des ateliers sportifs 💪 #brandcontent #girlpower #itsgonnabeok

🤗 Un article complet et détaillé sur notre sport, avec ses avantages physiques et mentaux 🏑

Le président Florian Grill s'exprime sur le rugby féminin. Après l'école de rugby, les compétitions F-15 et cadettes, où il reste encore beaucoup à accomplir, la priorité est de renforcer la présence sur l'ensemble du territoire. Comment alors accompagner et développer le haut niveau chez nos joueuses ? L'une des pistes évoquées serait de ramener le championnat Élite 1 à 10 clubs afin de rendre la compétition plus équilibrée et attrayante, tout en préparant mieux les joueuses aux compétitions internationales. Cela permettrait aussi d'augmenter les audiences, la médiatisation et, par conséquent, les droits TV. L’objectif à terme serait de tendre vers un championnat professionnel, à l’image de celui en Angleterre. Par ailleurs, il est essentiel de réintroduire les indemnités de formation et de mieux répartir les joueuses de l'équipe de France au sein des clubs. Les Académies, le rugby à 7, les doubles projets, la formation, la pluriactivité, la préparation aux reconversions ou encore la gestion des périodes de grossesse doivent aussi être des priorités. Le temps presse ! Le rugby féminin ne peut se permettre de perdre encore quatre ans dans l’incertitude. FFR - Fédération Française de Rugby Ligue Île-de-France de Rugby CADET FFR

Intérêt et Prudence A l'heure où Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire - INJEP vient seulement de publier les données compilées et comparatives de 2023 sur les licences dans les fédérations sportives ( https://lnkd.in/gXDduNzk ), nous lisons effectivement avec intérêt de nombreux articles sur les taux de progression des licences post-JOP2024. C'est à priori bon signe et traduirait une effet JOP à comparer certainement aux tendances observées tous les 4 ans pour voir l'effet "à domicile". En parallèle de ces taux de progression, la même tendance à communiquer sur le nombre, le taux de refus dans les ou certains clubs. Il conviendra dès lors d'être prudent et d'analyser plus finement ces phénomènes entre : - les zones urbaines et rurales - les hommes et les femmes - les catégories d'âge. Nous serons donc tous très attentif à la compilation qui sera faite des données de licences prises en 2024 pour analyser les réelles tendances Post-JOP. Par ailleurs, la question des infra-structures devra aussi être analysée au regard de l'évolution du nombre de licenciés par région/département rapportée à l'évolution de la population et des équipements sportifs disponibles. A suivre et à n'en pas douter que nous verrons de nombreux autres articles sur ces tendances, avant que ne se dégagent une réalité statistique au début de l'année 2025. C'est en tout cas passionnant que de suivre ces dynamiques territoriales.

L’olympisme réside dans l’universalité de la pratique sportive et non pas dans la recherche de médailles en des sports confidentiels bien que pratiqués par des millions de personnes dans deux ou trois états ! L’intégration de ces sports devrait se préparer bien en amont dès lors qu’un sport pratiqué en l’absence d’adversité ne poussera pas les populations des nations autres à le regarder ou à se licencier.

Chers collègues, élèves, parents, et ami.e.s de l'athlétisme et de l'UNSS, Malgré nos tentatives pour faire infléchir certains points du nouveau règlement fédéral, les instances UNSS restent sur leurs positions et noircissent encore davantage le tableau. La parution des fiches sport pour l’athlétisme hivernal confirme nos craintes, et les prévisions pour l’athlétisme estival s’annoncent tout aussi dramatiques. Voici l’état des lieux des mesures qui ont été prises à ce jour : - L’exclusion du championnat excellence de tous les élèves « sportifs de haut niveau » - L’exclusion des élèves inscrits en structure d’entrainement (PPF) dès 2026 - La diminution du nombre d’élèves composant une équipe en athlétisme hivernal pour tous les établissements (passage de 5 à 4 élèves par équipe). Nous déplorons une atteinte à l’intégrité des élèves qui concourront ainsi sans remplaçant dans leur équipe. - La disparition des équipes garçons et filles en estival, le championnat mixte étant le seul maintenu. - La diminution du nombre d’élèves composant une équipe en athlétisme estival (passage de 6 à 4 élèves par équipe). - La diminution du nombre d’équipes qualifiées en championnat de France Excellence (passage de 12 à 8). Ainsi seul le champion d’académie sera qualifié. L’ensemble de ces nouvelles mesures n’ont d’autre but que la disparition progressive des championnats en UNSS et par conséquent la mise à mal des structures d’entrainement associées. À quoi ressemblera ce championnat de France avec 8 équipes de 4 élèves, soit 32 athlètes ? Dans quelle fédération est-il envisagé d’exclure ses propres adhérents en vertu du fait qu’ils soient trop forts ? De quel droit l’UNSS imposerait-elle une politique si discriminatoire et restrictive ? M. Hayere, directeur adjoint de l’UNSS, a été confronté à l’ensemble de ces questionnements, et malgré le soutien de la Fédération Française d’Athlétisme est resté sur sa position invoquant des restrictions budgétaires et une volonté d’uniformisation des différentes activités au sein de l’UNSS. N’oublions pas que l’athlétisme est une discipline ancrée dans l’histoire de l’UNSS, que son nombre de licenciés est bien supérieur à celui des autres sections et que la cohabitation de son championnat établissement et excellence est une force pour notre jeunesse. C’est pourquoi l’athlétisme ne peut pas être traitée comme les autres activités. Pour toutes ces raisons, le collectif engagé à soutenir la place de l’athlétisme en UNSS, souhaite faire appel aux services d’un avocat spécialisé dans le droit du sport. Les frais nécessaires pour étudier notre situation s’élèvent à 1500€. L’objectif est d’évaluer les chances de réussite dans la demande d’abrogation de cette décision pour motif de discrimination non objective à l’égalité dans le cadre du service public. Vous pourrez trouver cette dernière ici : https://lnkd.in/e7jRkPju Le collectif « Ensemble »

Comme on parle pas mal de sport ces dernières semaines, et que j'ai 2h à tuer dans la queue pour acheter des places pour le concert d'Oasis, j'aimerais m'arrêter sur un sport que j'aime particulièrement : le tennis. La fédération française de tennis est la 2ème fédération du monde en terme de nombre de licenciés (derrière les US) et une des rares fédérations au monde à bénéficier de la manne financière d'un grand chelem. En d'autres termes : elle est blindée ! Blindée de chez blindée, en tout cas par rapport aux fédérations espagnole, serbe, suisse, italienne, allemande, etc. Si la France bénéficie de très belles infrastructures (the job is done), il y a en revanche un problème structurel sur le haut niveau depuis maintenant 40 ans (et Henri Leconte, ou dans une moindre mesure Yannick Noah). Depuis 40 ans, c'est de pire en pire. On se réjouit a posteriori des performances de Jo-Wilfried Tsonga tant elles nous paraissent irréalisables désormais. Fêter la dernière victoire d'un grand chelem par un Français me déprime à chaque fois, cela me rappelle surtout qu'aucun Français n'a gagné de grand chelem depuis 1983. Ces dernières semaines sont sans appel : plus de Français en 1/4 de finale des JO (je garde un espoir pour les paralympiques, en particulier grâce à Stéphane Houdet) et tous les Français éliminés au 2è tour de l'US Open. Même Arthur Fils s'est fait sortir face à Gabriel Diallo, 143e mondial issue des qualifications. Ces résultats depuis 40 ans sont indignes de la 2ème fédération la plus riche du monde. Je n'ai évidemment pas accès aux comptes de la FFT, mais je me demande où va l'argent ? Pourquoi nos jeunes, pourtant prometteurs, se retrouvent dans les abysses du classement mondial aussitôt qu'ils deviennent adultes ? Quel est le plan d'action ? Je n'ai aucune réponse, juste de la frustration. Preneur de vos avis ;)