Post de FOD Justitie SPF Justice

= ONU des esprits (anciennement ONU des animaux) = Les humains malveillants, vous êtes insupportables de vouloir empoisonner des personnes éthiques. La direction des esprits non-incarnés ne cesse de devoir envoyer des esprits pour supprimer le poison. Je me demande toujours comment cela se fait-il que des hommes au pouvoir n'ont-ils pas encore compris que nous les aidions sans cesse, quand ils sont éthiques (ils ne sont pas nombreux...) ? Ils seraient morts si souvent s'ils pouvaient mourir à chaque fois qu'il y a eu tentative d'homicide sur eux... Avec tout ce travail, nous sommes obligés de faire une direction complète qui détruit les âmes des malveillants : il s'agit d'une petite partie de la police des âmes. De la directrice de l'espèce humaine de l'ONU des esprits (anciennement ONU des animaux) Pour contacter mon secrétariat : merci de contacter António Guterres, secrétaire général de l'ONU (des humains) - il redistribue souvent les requêtes à des secrétaires de plus bas niveaux (des directeurs à l'ONU, comme vous les nommez généralement). #humour #magie #éthique #chaman #sorcellerie

A69. Encore une fois, la France se démarque par ses violences policières. Alors que Michel Forst, rapporteur spécial sur les défenseurs de l'environnement aux Nations-Unies estime que la France est le pire pays d'Europe en matière de répression policière, on ne peut que constater la véracité de ses propos dans son entretien à Reporterre, le média de l'écologie => https://lnkd.in/e8yk7kRY. Même Amnesty International étrille la France sur la répression policière => https://lnkd.in/e3AZp76Z Nous en sommes rendus à attaquer et bloquer des infirmiers et médecins de terrain, pour les empêcher de faire leur travail. Dans quel monde fait-on ça ? Dans quel pays fait-on ça ? #dictature Carole Delga, Gerald Darmanin, n'avez-vous aucune honte ? Soutien inconditionnel aux militants sur place, qui défendent nos intérêts communs alors que : - des familles entières se retrouvent éjectés de chez eux (notamment des agriculteurs) - des écrins de verdures entiers se retrouvent rasés - des militants se retrouvent eborgnés, emprisonnés, réprimés - des milliers de scientifiques estiment que ce projet est inutile et climaticide - seuls 8% des sondés trouvent cette autoroute indispensable (ifop) - plus de 60% des sondés se montrent favorables à l'abandon du projet (ifop) - des espèces protégées sont sur le tracé - une nationale existe déjà le long du tracé - qu'elle ne fera gagner qu'une poignée de minutes contre une vingtaine d'euros aller/retour (par les riches, pour les riches) - les scientifiques et experts estiment qu'il faut drastiquement réduire nos usages de la voiture Source de l'image : Les Soulèvements de la Terre / Instagram Vous pouvez suivre ce qu'il se passe sur leur compte ainsi que celui d'autres militants comme Thomas BRAIL, sur place. Scandale.

Le rapport moral de l'année 2023-2024 est en ligne. Découvrez y les nombreux projets de la clinique du milieu carcéral à l'accueil des migrants en passant par l'affaire Lumumba, les crimes de guerre à l'est de la RDC, le farmer's case, le devoir de vigilance, les territoires zéro chômeurs de longue durée, ... les projets ne manquent pas. S’appuyant sur ce qui a été réalisé, nous souhaitons à l’avenir intensifier nos projets en faveur de la protection et de la promotion de l’environnement, en intégrant les enjeux de droits humains liés aux déplacements forcés causés par des catastrophes naturelles, la dégradation climatique et l’exploitation excessive des écosystèmes. À une époque où les droits fondamentaux sont quotidiennement menacés et où nos démocraties vacillent, notre engagement est plus que jamais nécessaire. https://lnkd.in/epPYRhdG

❗ C'est un chiffre qu'on rappelle rarement : en 2022, selon Global Witness, c'est 177 activistes écolo qui sont morts en raison de leur engagement. Au total, en dix ans, on compte quasiment 2 000 militants assassinés. C'est bien sûr la forme de répression et de violence la plus extrême, et celle-ci est dirigée principalement contre des petits paysans et des autochtones d'Amérique du Sud. 🚓 Sous nos latitudes, la violence institutionnelle et la violence répressive prennent des formes de plus en plus physiques, comme en témoignent encore les 200 corps mutilés à Sainte-Soline, en mars 2023. 📺 Mais la violence la plus commune est symbolique : c'est celle qui est infligée par la déformation de nos combats, de nos engagements, et de qui nous sommes. "Bobos", "déconnectés", "anti-social", "khmers", "Amish", "violents", "ultra", "individus dangereux", "hystériques"... L'écologie et ses défenseurs sont devenus le bouc-émissaire de toutes les plaies du pays. En témoigne la dernière crise sociale qu'a connu le pays : le mouvement des agriculteurs de l'hiver dernier. Sur le terrain comme dans la sphère médiatique, il faut mener la lutte pied à pied. C'est dur, exigeant, et nous sommes inégaux face à l'engagement, mais comme le rappelle Camille Etienne, on ne les laissera pas faire pour autant ! ✌Deuxième extrait de notre entretien avec l'activiste écolo. 🎥 L’entretien complet sur YouTube ce week-end !

❗ C'est un chiffre qu'on rappelle rarement : en 2022, selon Global Witness, c'est 177 activistes écolo qui sont morts en raison de leur engagement. Au total, en dix ans, on compte quasiment 2 000 militants assassinés. C'est bien sûr la forme de répression et de violence la plus extrême, et celle-ci est dirigée principalement contre des petits paysans et des autochtones d'Amérique du Sud. 🚓 Sous nos latitudes, la violence institutionnelle et la violence répressive prennent des formes de plus en plus physiques, comme en témoignent encore les 200 corps mutilés à Sainte-Soline, en mars 2023. 📺 Mais la violence la plus commune est symbolique : c'est celle qui est infligée par la déformation de nos combats, de nos engagements, et de qui nous sommes. "Bobos", "déconnectés", "anti-social", "khmers", "Amish", "violents", "ultra", "individus dangereux", "hystériques"... L'écologie et ses défenseurs sont devenus le bouc-émissaire de toutes les plaies du pays. En témoigne la dernière crise sociale qu'a connu le pays : le mouvement des agriculteurs de l'hiver dernier. Sur le terrain comme dans la sphère médiatique, il faut mener la lutte pied à pied. C'est dur, exigeant, et nous sommes inégaux face à l'engagement, mais comme le rappelle Camille Etienne, on ne les laissera pas faire pour autant ! ✌Deuxième extrait de notre entretien avec l'activiste écolo. 🎥 L’entretien complet sur YouTube ce week-end !

En raison des élections la projection du film en avant première "Et la vie va" est reportée au 10 juillet à 11h  Au cinéma Utopia Avignon Débat prévu en présence du réalisateur Abraham Ségal  - Ce film est une quête qui arpente plusieurs champs de combats, là où des forces d’amour et de vie affrontent des forces de mort et de destruction Ainsi, sur le champ des migrations, des personnes exilées dans certains pays d’Europe sont souvent rejetées, mais des associations solidaires luttent pour maintenir des portes ouvertes au-delà les frontières. Sur le champ climatique, où se joue l’avenir du vivant, beaucoup de jeunes - et également de moins jeunes - s’engagent concrètement pour limiter le réchauffement en cours et empêcher l’extinction qui menace de nombreuses espèces. Dans le domaine des rapports humains et des relations politiques, le précepte « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est très souvent contredit par les tendances à l’agression et à la haine. Chemin faisant, des liens entre migrations, catastrophes naturelles, guerres et répressions violentes se révèlent et se précisent. Le combat contre les maladies, mené jour après jour par des soignants, a culminé pendant la pandémie de Covid. Cette crise, qui a éveillé des peurs et imposé des barrières, a suscité par ailleurs de remarquables gestes de solidarité. L’aspect vital de ces combats est révélé par des actions et témoignages ainsi qu’à travers des dessins, des poèmes et des livres. Et la vie va... s’inscrit d’emblée dans les débats actuels sur les migrations, le climat, la biodiversité, la santé, les violences meurtrières.

Au nom d'une planète protégée et viable Les sachets sont de veritables dangers aussi bien pour notre santé que pour notre environnement. Aujourd'hui, avec une invasion incontrôlable et aux conséquences dramatiques, les sachets constituent un cauchemar qu'ils faut travailler à arreter au plus tot. Ce ne sera pas sans peine au regard des enjeux. Comptons sur la mobilisation des jeunes pour nous faire changer nos rapports avec les sachets. Ensemble, mobilisons-nous Message de la PASCIB https://lnkd.in/eVvPNNt8

Un rapporteur spécial de l'ONU se rend sur le futur projet de l'A69 - Pour constater la violence des éco-terroristes ?😮 Perdu ! Michel Forst (rapporteur spécial des Nations Unies sur les défenseurs de l'environnement) s'est déplacé hier à Saïx dans le Tarn pour vérifier les agissements des forces de l'ordre, à l'encontre des militants du site de la Crem'arbre, lieu d'occupation d'une zone forestière jusqu'à récemment classée à "fort enjeu environnemental". La situation s'est extrèmement tendue depuis plus d'une semaine, car les forces de l'ordre y organisent le siège de militant·es installé·es dans les arbres pour empêcher leur coupe (les fameux écureuils). Petit retour dans le temps : juste après l'expropriation des terrains, Atosca, l'entreprise en charge des travaux, a bénéficié d'une heureuse coïncidence puisque la zone s'est vue déclasser de "zone à fort enjeu environnemental" à "secteur à moindre enjeu" début février, autorisant du même coup les coupes d'arbres. S'en est suivie l'arrivée des gendarmes qui ont expulsé la zone à défendre, retournant à la pelleteuse le terrain, enterrant et brulant les affaires des militant·es. 🐿 Depuis une semaine les écureuils sont donc isolé·es de tout contact extérieur. Les forces de l'ordre empêchent tout approvisionnement en eau ou en nourriture, utilisent des pratiques de privation de sommeil avec des cris et des éclairages stroboscopiques, et multiplient les insultes à caractère sexiste et homophobe. Devant ces probables violations des droits humains, l'État se tait et le préfet du Tarn flirte avec la légalité. Si bien que l'ONU s'est sentie obligée d'en avoir le cœur net en envoyant un rapporteur spécial évaluer la situation. Ça n'est pas la première fois que l'Etat s'autorise la plus grande violence contre des militant·es écologistes. Quoiqu'il en soit, l'opposition à l'autoroute A69 a besoin de vous. Plus que jamais, mobilisons nous contre ce projet d'un autre temps. ✊

Qu’on fiche la paix à Mona Lisa Ce n’est pas la première fois qu’elle est prise pour cible par des activistes et pour tout dire, elle ne risque pas grand-chose derrière sa vitre blindée qui la protège de la bêtise humaine depuis 2005. Ce week-end, La Joconde - le célèbre tableau de Léonard de Vinci exposé au Louvre - a été aspergée de soupe au potiron par deux militantes écologistes qui voulaient alerter l’opinion publique sur la nécessité d’une alimentation saine et durable. Pas certain que le message ait été entendu par le plus grand nombre. Le collectif « Riposte alimentaire » dont elle se revendique, a beau réclamer un changement radical de société avec ce qu’il appelle une campagne de résistance civile, cela ressemble davantage à un acte de vandalisme gratuit. En quoi s’attaquer à l’art dans ce qu’il a de plus symbolique va accélérer une prise de conscience généralisée ? C’est même contre-productif, brouillant un message qui se veut légitime et sincère. Il y a d’autres moyens de dénoncer l’inertie du monde face à la double menace d’une agriculture intensive et d’un profond changement climatique. C’est toute la limite de la lutte environnementale qui dans ses formes les plus absurdes, discrédite le message et diabolise le mouvement. Même si ce vandalisme non-violent s’inscrit dans une tradition iconoclaste bien française, il y a sans doute autre chose à faire pour toucher les consciences que de s’en prendre – même symboliquement – à Mona Lisa. À preuve du contraire, elle n’est pour rien dans l’inaction climatique. Elle aimerait juste qu’on lui fiche la paix… https://lnkd.in/eGXHguNY

La manifestation de Sainte-Soline (Deux-Sèvres) restera, sans aucun doute, gravée dans l’histoire du mouvement écologiste comme un moment charnière, qui marquera toute une génération de militants et de militantes. L’ampleur de la mobilisation et la répression qu’elle a entraînée a conduit le mouvement écologiste à entrer dans une nouvelle phase. Quelques années seulement après les pacifiques marches pour le climat et la Convention citoyenne, les écologistes, via Les Soulèvements de la Terre et ses 150 organisations partenaires, assumaient une confrontation directe avec l’État et imposaient la question de l’accaparement de l’eau dans le débat public. Quelles leçons politiques tirer aujourd’hui de cet événement ? En quoi a-t-il contribué à nous faire changer d’époque ? https://lnkd.in/eH2B2cG2