📻 "𝑻𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆𝒍𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒍𝒐𝒏𝒈 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒏'𝒂𝒊𝒎𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒑𝒂𝒔 𝒕𝒓𝒐𝒑 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒄𝒆𝒓𝒕𝒊𝒕𝒖𝒅𝒆𝒔. [...] 𝑷𝒍𝒖𝒔 𝒗𝒊𝒕𝒆 𝒐𝒏 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒔𝒕𝒂𝒃𝒊𝒍𝒊𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒎𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒍'𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔, 𝒆𝒕 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆𝒍𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒓𝒆𝒑𝒓𝒆́𝒔𝒆𝒏𝒕𝒆, 𝒔𝒆𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒓𝒂𝒔𝒔𝒖𝒓𝒆́𝒔". Dans l’émission de Lenaïg Monier sur Europe 1, le journaliste Aurélien Fleurot a interrogé Alexandre Saubot, Président de France Industrie, à propos de l’absence de gouvernement et donc de cap en termes de politique économique et fiscale. 💬 "Dans cette période, je vois beaucoup d’attentisme. Il y a eu des inquiétudes au lendemain des élections. Selon les enquêtes d’opinion récentes sur le climat des affaires et sur les embauches, elles semblent, pour l’instant, ne pas se matérialiser par un très fort ralentissement de l’économie. Il faut évidemment s’en réjouir. Mais on sait bien que les conséquences de ces incertitudes, l’attentisme d’investisseurs français ou internationaux, peut peser assez vite sur les investissements et donc sur l’activité, plutôt en 2025. Rien de tout cela n’est très bon dans la durée pour les affaires. Et donc plus vite on peut stabiliser la situation et mieux l’industriel que je suis, et tous les industriels que je représente, seront rassurés". Vincent Moulin Wright | Bertrand de Singly | Murielle JULLIEN | Marie Segondat | Jean-Philippe THIERRY | Pierre Laffont | Paul Marchegay Ecouter son intervention sur le site d’Europe 1 ↩
Post de France Industrie
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Président chez CCI Alsace Eurométropole - Directeur général Espaces Paysagers Aménagement + EPSL + SML
Cette période d’élections plonge notre économie dans une zone de risques à l'échelle nationale mais aussi européenne et internationale. Malheureusement elle influe déjà sur l'activité des entreprises : on entend des projets d’investissements interrompus, des projets de cessions-reprises d’entreprises remis en cause, et de nombreuses interrogations de la part des chefs d'entreprises. Les entreprises ont besoin de visibilité et de stabilité pour créer de la croissance et des emplois. L'incertitude politique est un facteur de complexité supplémentaire pour leurs dirigeants, qui doivent prendre des décisions dans un environnement peu lisible, alors que leurs entreprises ont été fortement impactées par la pandémie de Covid. Depuis, elles affrontent les tensions sur le marché de l'emploi, la maîtrise des coûts énergétiques, l’arrivée en force de l'IA, un environnement réglementaire contraignant, un contexte géopolitique international inquiétant… tout cela dans le contexte d’un niveau de taux d’intérêt qui reste élevé et d’une dette nationale abyssale. Les entreprises françaises, et entre autres près de 90% d’entre elles qui sont des TPE-PME - en majorité familiales - sont le socle de notre pays car elles font l’emploi, créent de la valeur et payent leurs impôts qui contribuent largement au budget de notre pays. Leur avenir doit être une priorité. Il ne faudrait pas rajouter de la fragilité supplémentaire, mais garantir aux entreprises un environnement favorable pour maintenir et développer leurs activités . Se préoccuper de la santé de nos entreprises, c’est prioritaire et c’est indispensable pour l’avenir de notre pays.
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🔴 Club ETI MEDEF Lyon-Rhône ⬇ 🙏 Anthony JEANBOURQUIN pour ton accueil et l'échange très concret autour des entreprises Rhodaniennes. 📢 Des échanges illustratifs de la conjoncture actuelle du secteur privé et de la prudence actuelle des entreprises, notamment en matière d'investissement. ▶ Si la croissance a été positive au T1 2024 (+0,2 % sur un trimestre, +0,9 % en rythme annualisé), elle est principalement tirée par la consommation des ménages et des dépenses publiques. ▶ Du côté des entreprises, l'investissement productif est en berne, dans un contexte de hausse de taux qui exerce une pression supplémentaire sur la trésorerie des entreprises. ▶ Certains freins à l’activité persisteront en 2024 : ◾ Les investissements et embauches resteront limités par des débouchés nettement plus contraints ; ◾ L'impact des hausses passées de taux continuera à se faire sentir ; ◾ Les défaillances des entreprises continueront de progresser (de plus en plus d'ETI concernées), témoignant de business model toujours fragilisés. ▶ De manière plus structurelle, la question sensible des seuils d'activité (passage de la PME vers l'ETI) a aussi été soulignée. ▶ Autant de sujets qui attestent d'une inquiétude des entreprises sur la situation macroéconomique actuelle, amenant à prendre un peu de recul sur les bons résultats récents en matière de conjoncture économique. Gilles Courteix Anthony JEANBOURQUIN Baptiste Bouyer Romain Boucaud Maitre Renaud Cornu-Emieux Christophe FARGIER Laurent Fiard Philippe Lanoir Jean Mougin Luc Payssan Stanislas Lacroix Olivier Moratin Nadège Delmas Stephane CAO Jean-Paul Genoux Norbert FONTANEL Simon HOAYEK MEDEF Lyon-Rhône Pôle Adhérents du MEDEF
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Capital y a pensé, Vacances d’été : beaucoup d’entrepreneurs prévoient de payer avec leur carte pro Des chefs d’entreprises comptent utiliser la carte bancaire de leur société à des fins personnelles pendant les vacances d’été. C’est ce que révèle une nouvelle étude. Cette dernière dévoile les pratiques de certains patrons qui prennent des libertés en utilisant l’argent de leur société. Par Pierre Fougères Publié le 18/07/2024 Certains prennent des libertés pendant les vacances. C’est ce que révèlent les résultats d’une étude de Flashs pour L-Expert-Comptable.com, relayée par beaboss.fr, le 16 juillet 2024. Ainsi, un certain nombre d’entrepreneurs comptent utiliser leur carte professionnelle à des fins personnelles cet été. 27 % l’affirment et 19 % l’envisagent. La majorité des patrons interrogés réfutent totalement l’idée de payer avec leur carte bancaire professionnelle. En outre, les hommes sont plus enclins à braver les interdits (33 %) que les femmes (20 %). L’étude révèle qu’en réalité, cette pratique est monnaie courante également le reste de l’année. 39 % des personnes interrogées reconnaissent avoir réglé des frais personnels à l’aide de la carte de leur société. Mais ce ne sont pas les seules libertés prises par certains chefs d’entreprise. Ainsi, ils sont 24 % à reconnaître qu’ils ne déclarent pas l’intégralité de leurs revenus ou bénéfices de leurs sociétés. Par ailleurs, 29 % d’entre eux avouent avoir déjà retardé le règlement de leurs charges fiscales et sociales.
𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬, 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐛𝐚𝐭 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥 Alors que les discussions post-électorales tournent toujours autour de la relance keynésienne, du matraquage fiscal et de l'augmentation du SMIC, les entreprises, véritables moteurs de notre prospérité, sont toujours les grandes oubliées. Il est crucial de se rappeler que les entreprises sont des communautés humaines où chacun peut s’intégrer, s'épanouir et se former, un creuset d'innovation face aux défis climatiques et un pilier essentiel de notre démocratie. Un environnement fiscal stable, socialement serein et compétitif est indispensable pour leur développement. Les entreprises françaises doivent être respectées et soutenues, car elles sont la clé de notre succès économique. Continuons les réformes et enseignons la microéconomie pour redonner sa place à cette institution souvent méprisée. Espérons que les entreprises ne seront plus les "grandes oubliées", voire pire les “victimes", dans la phase actuelle de construction d’une coalition gouvernementale et de son programme qui, si populiste et idéologique, pourrait être un véritable drame pour les entreprises et donc pour la France et tous les Francais. Durablement.
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𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬, 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐛𝐚𝐭 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥 Alors que les discussions post-électorales tournent toujours autour de la relance keynésienne, du matraquage fiscal et de l'augmentation du SMIC, les entreprises, véritables moteurs de notre prospérité, sont toujours les grandes oubliées. Il est crucial de se rappeler que les entreprises sont des communautés humaines où chacun peut s’intégrer, s'épanouir et se former, un creuset d'innovation face aux défis climatiques et un pilier essentiel de notre démocratie. Un environnement fiscal stable, socialement serein et compétitif est indispensable pour leur développement. Les entreprises françaises doivent être respectées et soutenues, car elles sont la clé de notre succès économique. Continuons les réformes et enseignons la microéconomie pour redonner sa place à cette institution souvent méprisée. Espérons que les entreprises ne seront plus les "grandes oubliées", voire pire les “victimes", dans la phase actuelle de construction d’une coalition gouvernementale et de son programme qui, si populiste et idéologique, pourrait être un véritable drame pour les entreprises et donc pour la France et tous les Francais. Durablement.
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Les opportunités à l'#international ne sont plus à chercher : pour les petites comme pour les grandes entreprises 🇫🇷, l'activité s'exporte et le savoir-faire français est même souvent plébiscité par l'étranger. Divers programmes d'aides gouvernementales sont là pour accompagner l'export de nos entreprises. En témoigne notamment le #PlanExport, et son ambition de porter 200 000 d'entre elles à l'#export d'ici 2030. L'inquiétude des entreprises face à l'internationalisation constitue un réel frein à leur développement. Pourtant, les risques perçus sont légitimes mais jamais insurmontables. Chez Bpifrance, nous leur disons : n'ayez pas peur, #EXPORTezvous ! Vous êtes entre de bonnes mains pour aller vous faire voir ailleurs 🌍 https://lnkd.in/d4QjVtKm
Baromètre Eurogroup Consulting 2024 : l’internationalisation, un défi prioritaire pour seulement 7 % des entreprises françaises - Le Moci
lemoci.com
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« Les entreprises ne doivent pas être prises pour cible », retrouvez mon interview dans La Tribune. Le Gouvernement prête beaucoup plus d'attention à la sphère privée qu'à ses propres dépenses. Il y a pourtant des pistes d'économie, notamment en matière d’effectifs. Les surcoûts des administrations pénalisent les chefs d’entreprise, les agriculteurs et les ménages. Je suis très inquiet pour l'investissement de nos entreprises, alors qu'au contraire il faut qu’elles puissent investir massivement pour développer l'intelligence artificielle, opérer leur indispensable transition écologique. Nous sommes face à un risque de décrochage structurel vis à vis de nos concurrents, notamment les États Unis, qui investissent des milliards de dollars dans l'économie et attirent les entreprises européennes. Les impôts de production pénalisent notre compétitivité. Au moment où la concurrence internationale redouble d’intensité, il faut tout faire pour permettre à nos entreprises de croître et d'embaucher. Si l'État veut prendre la main sur l'#Unedic et le régime qui gère l’assurance chômage, alors il faut qu'il aille au bout de la logique et qu'il en transfère le financement sur la solidarité nationale ! Le Mouvement des Entreprises de France est très ouvert sur ce point, même si ce n'est pas son souhait.
« Les entreprises ne doivent pas être prises pour cible » (Patrick Martin, président du Medef)
latribune.fr
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Nous traversons une période de profondes mutations économiques, au sein du MEDEF Loir-et-Cher, nous croyons fermement que l’avenir de notre économie repose sur une action collective, une vision à long terme et une innovation responsable. Nous nous engageons chaque jour à soutenir nos entreprises. Alors que le gouvernement semble à cette heure encore privilégier 21 milliards d’économies, il est légitime de nous demander où sont les efforts de l’Etat ? 💡 Le MEDEF national propose d'économiser 30 milliards d’euros dès 2025 sans forcément taxer encore davantage nos entreprises avec : - Sur-taxe d’impôt sur les sociétés (7Mds) - Augmentation des charges patronales (4mds) - Rabot sur le #CIR, le pacte #Dutreil ou la prime d’apprentissage - Augmentation du #PFU Ces mesures risquent d’avoir un impact catastrophique sur la compétitivité de nos entreprises, la croissance économique et l’emploi ! Il est impératif de rétablir la confiance des acteurs économiques. L’heure est à la raison et au dialogue. Ensemble, trouvons des solutions qui garantiront une relance équilibrée et pérenne, tout en protégeant notre économie et l’emploi. #Economie #Entreprises #Compétitivité #SoutiensAuxEntreprises #Emplois
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Pour réindustrialiser le pays, il faut comme le dit David Barroux, les Echos, favoriser la transmission entre générations des 𝗣𝗠𝗘 𝗘𝗧𝗜 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀. N'oublions pas les changements de majorité et les ventes qui ont été et seront la conséquence d'opérations de financement qui ne respectent pas le long terme. 3 remarques me semblent particulièrement importantes : ☑︎ 𝟭. 𝗩𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗼𝗻𝗴 𝘁𝗲𝗿𝗺𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 C’est indispensable pour redévelopper et pérenniser une industrie. Nombre de PME familiales et plus généralement les "Societal Natives" ont cette vision de long terme et su développer un climat de confiance en leur sein. Le tandem 𝗺𝗮𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁/𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 est l'un des piliers de la confiance et les financements nécessaires au développement de l'entreprise doivent prendre en compte cette stabilité. ☑︎ 𝟮. 𝗥𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗟𝗕𝗢 L'utilisation du capital investissement et des LBO peut, dans certains cas, aboutir à des pertes de contrôle à des changements managériaux ou des ventes ; dans bien des cas, la sortie de l'actionnaire financier va ralentir l'investissement des années suivantes. Le 𝗰𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝟱 𝗮̀ 𝟳 𝗮𝗻𝘀, très largement privilégié en France par rapport à nos voisins s'avère court par rapport au temps de l'industrie, coûteux et générateur de changement de management. ☑︎ 𝟯. 𝗙𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘁𝗶𝗲𝗻𝘁 : 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗹𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲 Des solutions de financement patient, comme les 𝗼𝗯𝗹𝗶𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 (𝘁𝘆𝗽𝗲 "𝗿𝗲𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲") et les prêts participatifs sur du long terme, permettent d'assurer le développement et la pérennité des entreprises. Ces systèmes d'"équivalent capital patient" accompagnent les équipes sans rupture d'actionnariat. Les 𝗦𝗼𝗰𝗶𝗲𝘁𝗮𝗹 𝗡𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 dont beaucoup d'entreprises industrielles familiales, ces PME-ETI qui intègrent une démarche sociétale tournée vers leurs salariés, ont besoin d'un financement sans à-coups sur le long terme. Le 𝗹𝗼𝗻𝗴 𝘁𝗲𝗿𝗺𝗲, l’engagement sociétal, seront les clés du redéploiement industriel : mettons en place les financements adaptés. #industrie #pme #entreprise
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Paradoxe de l'action publique : la re-industrialisation serait un succès à coup de milliards mais la part l'industrie plafonne à ~ 10 % au PIB. Les 130 000 emplois créés n'auraient pas d'impact pourtant les milliards ont bien été consommés. Au final, peut-on encore piloter le fonctionnement d'une économie mondialisée par une volonté nationale et l'endettement ? Est-il imaginable de s'en remettre au seul marché ? C'est à ce stade que nous manque une puissance européenne pour peser sur les leviers économiques mondiaux. https://lnkd.in/ed2e3qWg
Macron et la réindustrialisation : son plan pour valoriser les usines françaises
lexpress.fr
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Sociétaux, sociologiques, technologiques, environnementaux… Par-delà la rentabilité, les entreprises doivent désormais relever un nombre croissant de défis.
L’entreprise est-elle là seulement pour faire des profits ?
pourleco.com
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