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Les prochaines élections DOIVENT être une occasion de PROUVER que Macron et ses sbires ne sont plus LEGITIMES avec MOINS de de 15%. La révolution sera justifiée (Déclaration des droits de l'homme) Tout, sauf la liste de Macron ! Jusqu'à présent, Macron est le Président de la République Française. En prenant des décisions , qui détruisent l'économie français au profit d'autres Etats comme les US, qui bradent la défense nucléaire française à des puissances étrangères, qui ouvrent le pays à des flux migratoires non contrôlés pour noyer la nation française, le président Macron commet un acte de HAUTE TRAHISON qui doit faire l'objet de poursuites par les tribunaux français. Tous les partis politiques qui ont soutenu Macron se retrouveront "COCUS" et perdront leur électorat. En premier, les LR, actuellement avec moins de 7%, peuvent disparaître, ce qui est justifié vu leur ambiguïté et connivence coupable avec la macronie. Eux qui se disent GAULLISTES, Quelle infamie !

Une probable cohabitation annoncée qu'il faut éviter. par Mouajib Abdelilah Le pire scénario à prévoir pour les élections législatives annoncées pour le 30 juin et le 7 juillet, demeure une cohabitation avec l'extrême droite. Si ce scénario se concrétise, et il s'avère très probable, il faudrait reconnaître que cette issue non souhaitée donnera un avant-goût du choix des Français lors des présidentielles de 2027. De ce fait, il reste un demi mandat pour rectifier le tir et cibler les véritables causes qui ont drainé des masses de bulletins de vote pour l'extrême droite. Dans cette perspective, il faudrait revenir sur réévaluation des grandes décisions qui ont donné du crédit aux postures du Rassemblement National et ses supports, comme cette fameuse loi sur l'immigration, et d'autres. Le vote des immigrés habilités est très important et peut contribuer à renverser les tendances. Autre déterminant majeur est celui requis en pareilles circonstances, avec le plus grand réalisme politique, celui de revoir les alliances au sein de la majorité présidentielle. Sachant que les prochaines présidentielles pourraient créer la surprise attendue et reportée à chaque fois lors des scrutins précédents, penser et construire des alliances fortes et crédibles s'avère la seule voie restante pour continuer dans la course finale. Car il se confirme de plus en plus que les rendez-vous électoraux seront à l'avenir ceux des alliances, et que faire cavalier seul signifie un échec annoncé Et ce n'est nullement le timing régional et international pour une cohabitation, notamment quand il s'agit avec l'extrême droite.

La #France....toujours elle. Après avoir reçu et adoubé #MackySall le vendredi passé, #Macron veut discuter avec notre Président #BassirouDiomayeFaye. Je conseille à ce dernier de ne point se déplacer, au nom de la #Rupture invoquée. Quel que soit le niveau de notre collaboration avec la France, l'heure est au #diagnostic, à l'#evaluation, au #bilan de son contenu cinquantenaire et de sa pertinence ou non, sur le plan synallagmatique. Une entrevue avec ce président avant les nombreuses autres à provoquer et honorer, dans la sous-région et en son delà, avec des personnalités bien plus éminentes, plus franches, plus sincères, moins complotrices et fourbes, plus décisives et adaptées quant au #Projet promis au sénégalais, serait un désaveu prématuré de la Rupture promise. On peut pardonner le fait que notre palais garde son allure de demeure de gouverneurs des colonies pour le moment, que nos ministères/institutions et leurs fonctionnements soient maintenus dans leur absurdité actuelle, que nos dirigeants portent des costumes-cravates à l'occidental, que les tendances se dessinant contredisent toute une rupture radicale, que, même, on puisse décider de retravailler avec la France quand on saura exactement quoi faire d'intéressant avec elle, mais permettre à Emmanuel Macron de fouler du pied notre agenda en lançant urbi orbi des invitations aux saveurs de convocations, cela est inadmissible. En soi, c'est la première épreuve de vérité du concept de la rupture précédemment convenu avec le Peuple sénégalais. Aurons-nous le courage de notre ambition?

Michel Barnier, nouveau Premier ministre ! 🇫🇷 Après une longue période d’attente, Michel Barnier vient d’être nommé Premier ministre par Emmanuel Macron ce 5 septembre 2024. Connu pour son expertise politique et son rôle central dans les négociations du Brexit, il est désormais chargé de former un gouvernement de rassemblement pour répondre aux défis actuels de la France. Qu’attendez-vous de ce nouveau gouvernement ? Partagez vos réflexions en commentaire ! 🗣️👇 #MichelBarnier #PremierMinistre #France #Politique #Actualités #ClermontConnecté

Découvrez le nouveau Premier ministre nommé par Emmanuel Macron ! 🇫🇷 Une nomination qui suscite déjà de nombreuses réactions et promet d'apporter des changements significatifs. Sa vision et son parcours intriguent et sont au cœur des discussions. Quelle direction prendra-t-il pour notre pays ? 🤔 Ses premières décisions sont attendues avec impatience par tous, des dirigeants aux citoyens. Restez connectés pour en savoir plus sur ses priorités et l'impact potentiel sur notre avenir collectif. Vos avis et réflexions sur ce nouveau chapitre politique sont toujours les bienvenus. 💬

Un truc intéressant pour comprendre ce que vos "commentaires" disent de vous et que l'entreprise peut devoir subir. Ci dessous il y a de tout : des personnes hypnotisées par une illusion bien entretenue de la victoire, des désabusés qui se remettent à espérer, des cyniques pour ça comme pour le reste, des rageurs toujours très immatures et quelques uns qui réfléchissent, qui regardent le cursus du candidat, qui apprécient certaines compétences et le partagent, qui ne "démolissent" pas avant l'épreuve du travail et qui sont prêts à faire équipe. En ces temps agités il est recommandé de prendre une information, de l'étudier, de la développer et de la digérer. Les employeurs, les équipes, ne supportent plus ceux qui " vomissent "sur tout et n'importe quoi. Parce que cela rend impossible de faire coexister le blasé, l'hypnotisé, l'immature et le cynique dans un même bureau, groupe ou usine et donc en société aussi

Jordan Bardella, invité sur France 2, accuse Emmanuel Macron d’être le seul responsable de la crise politique actuelle suite au rejet du budget Barnier par une motion de censure. Il réfute l’idée d’une alliance contre-nature avec la France Insoumise, expliquant que la motion de censure est un outil constitutionnel permettant d’exprimer une défiance envers le gouvernement. Bardella défend le vote de la censure comme une protection contre un budget jugé récessif et néfaste pour les entreprises et le pouvoir d’achat, et présente des lignes rouges pour les négociations budgétaires futures. Il affirme que son objectif est la stabilité du pays et nie que la motion de censure vise à faire tomber Macron, tout en soulignant le mépris dont le Rassemblement National fait l’objet. Highlights 🗣️ Accusation contre Macron: Bardella accuse directement le président Macron d’être responsable de la crise politique et de la méconnaissance des aspirations du RN. ⚖️ Motion de censure justifiée: Il justifie le vote de la motion de censure comme un acte constitutionnel et nécessaire face à un budget considéré comme inacceptable. 📈 Défense économique: Bardella défend la censure comme une protection contre un budget préjudiciable à l’économie française et au pouvoir d’achat. 🤝 Négociation, mais des lignes rouges: Il se dit prêt à négocier avec le nouveau gouvernement, mais pose des lignes rouges non-négociables concernant les taxes et les dépenses publiques. 🤔 Objectif stabilité, pas la chute de Macron: Bardella affirme que son objectif est la stabilité du pays, et non la destitution d’Emmanuel Macron.

➡ « Nous ne sommes qu’au début de l’implication de la Russie en Moldavie » ENTRETIEN. L’ancien vice-Premier ministre moldave Vladislav Kulminski analyse les difficultés rencontrées par la présidente Maia Sandu à l’issue du référendum sur l’adhésion à l’Union européenne. La Moldavie s'est fait peur. Attendu avec une confortable majorité, le résultat du référendum organisé sur l'adhésion du pays à l'Union européenne s'est achevé dans un mouchoir de poche. Le « oui » l'emporte avec une infime avance à 50,39 % des voix. En cause : le rouleau compresseur des services de renseignements russes, parvenus à acheter bon nombre d'électeurs de cette ancienne république soviétique de 2,6 millions d'habitants. Deux chiffres circulent : 300 000 votes obtenus, dit-on, frauduleusement, et 100 millions de dollars, somme que Moscou aurait investie pour saper le scrutin. Si la présidente proeuropéenne Maia Sandu, 52 ans, échoue à signer une victoire éclatante sur le front européen, elle pourrait connaître un autre revers. En arrivant en tête du premier tour de l'élection présidentielle avec seulement 42,31 % des voix, elle n'a plus l'assurance d'être réélue. Le 3 novembre, elle affrontera l'ancien procureur prorusse Alexandru Stoianoglo, 57 ans (26,09 % des suffrages), qui dispose d'une bonne réserve de voix apportée par de petits candidats. Vladislav Kulminsiki, ancien vice-Premier ministre, chargé de la Réintégration, analyse ce double scrutin moldave. Le Point : Quelle est la conséquence de ce « oui » obtenu avec une majorité très faible ? Vladislav Kulminski : C'est un résultat très serré, c'est vrai, mais on a connu la même situation dans des pays qui ont organisé ce genre de référendum comme la Suède ou Malte. L'essentiel est qu'il soit acquis et représente la volonté du peuple. Désormais, tout gouvernement, toute administration présidentielle moldave seront guidés par ce principe inscrit dans la Constitution. . N'est-ce pas redonner de l'élan aux opposants à l'Europe ? Il fallait organiser ce référendum, car la redéfinition géopolitique de la région a lieu en ce moment. Trop de gens spéculaient sur l'opportunité ou non de rejoindre l'Union européenne. D'où tenez-vous ce mandat pour entreprendre un tel tournant géopolitique ? C'était la question posée à nos gouvernants. Maintenant, la réponse est claire. Consulter l'opinion dans cinq ou dix ans aurait été tout simplement trop tard. . Comment jugez-vous l'implication de Moscou dans ce scrutin ? Il n'y a rien de surprenant, car l'enjeu est très élevé. Jusqu'en 2022 et le début de la guerre en Ukraine, la Moldavie se satisfaisait de demeurer dans une zone grise. Une zone où l'influence russe est très présente, où Moscou dispose d'un important pouvoir de blocage. Le souhait de la Moldavie de sortir de l'orbite russe a un impact énorme sur des pays comme la Géorgie, l'Arménie ou d'autres États de l'espace post-soviétique. (...)

Cette interview choc du #Général Coustou dénonce sévèrement la politique d’Emmanuel Macron, qu’il accuse de détruire la France. Il considère Macron comme l’ennemi principal du peuple français, plus que Poutine, et détaille ses critiques concernant la gestion de la crise ukrainienne, la faiblesse de l’armée française, et la perte de crédibilité de la France sur la scène internationale. Coustou évoque également des menaces de mort reçues suite à ses déclarations et discute de la possibilité de désobéissance militaire face à des ordres illégaux. Highlights 🗣️ Macron accusé de détruire la France: Le Général Coustou qualifie Macron de “#liquidateur” et de “destructeur de la France”, pointant du doigt sa politique intérieure et étrangère. 🇺🇦 Critique de la gestion de la guerre en #Ukraine: Il juge l’attitude de Macron incohérente et dangereuse, soulignant la faiblesse militaire française face à la Russie et remettant en question l’opportunité d’une intervention militaire au sol. 🇫🇷 Délitement de l’armée française: Coustou dénonce le manque de personnel et de moyens au sein de l’armée, ainsi que la démoralisation des soldats face à des missions jugées inappropriées. ⚠️ Menaces de mort et désobéissance militaire: Il révèle avoir reçu des menaces de mort après ses critiques envers Macron et aborde la question délicate du devoir de désobéissance militaire face à des ordres illégaux ou manifestement contraires à l’intérêt national. ⚖️ Questionnement sur la légalité et la légitimité du pouvoir: #Coustou soulève des questions sur la légalité des décisions de #Macron, notamment concernant l’intervention en #Ukraine, et sur la légitimité de son pouvoir face à un peuple dont il ne tient pas compte.