Post de G Avicole

[REPORTAGE D’ÉLEVEUR] Découvrez comment Jean-Baptiste améliore le bien-être de ses poulets grâce à une méthode simple mais efficace : l'utilisation des bouchons de paille en litière. Regardez notre vidéo pour en savoir plus sur cette technique et ses nombreux avantages pour les animaux. Éleveurs, futurs éleveurs n'hésitez pas à nous contacter ! #huttepainbretagne #volaillefrançaise #fierdenoseleveurs #natureeleveurs #AgricultureResponsable #BienÊtreAnimal

Utiles sont ceux qui dénoncent les problèmes... Essentiels sont ceux qui trouvent des solutions. Enfin des journalistes qui encensent les formes d'aquaculture viables et responsables. On sait que la profession doit faire preuve de plus de bon sens paysans. Et que la profession tend de plus en plus à le faire. Mais si personne ne le dit, personne ne le sait. J'espère que cela sera bénéfique pour ceux qui se passionnent par ces formes de productions qu'elles soient intensive/semi-intensive ou extensive.

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Poules, pintades, dindes, canards… : les basse-cours qui font depuis toujours le charme de nos campagnes sont aussi devenues le socle de l’une des premières filières agricoles françaises et l’un des meilleurs instruments de notre souveraineté alimentaire. Si la France a su se hisser aux premiers rangs de la production avicole internationale, c’est grâce à son savoir-faire traditionnel dans l’élevage des volailles, sa rigueur dans la réglementation, ses exigences de qualité… et ses éleveurs, qui œuvrent avec passion pour un métier exigeant ! Les élevages français ont ceci d’exceptionnels qu’ils reposent sur la diversité des espèces élevées (poulets, dindes, pintades, pigeons, cailles…), des modes d’élevages (standards, certifiés, bio, Label Rouge) et des fermes familiales. DES ÉLEVAGES DE VOLAILLES FAMILIAUX Au 4e rang des pays producteurs de volailles en Europe, la France reste attachée à ses traditions rurales et régionales et nos élevages sont majoritairement familiaux, souvent transmis de génération en génération par des agriculteurs passionnés. A leurs côtés, de nouveaux éleveurs viennent aussi s’installer dans les campagnes, des néo-ruraux concrétisant leur rêve de retour à la terre et leur attachement au respect de l’environnement. Leurs fermes sont souvent de petite taille, avec en moyenne deux poulaillers par élevage, et associent polyculture et élevages. Les terres produisent le plus souvent les céréales et la paille pour les animaux, lesquels fournissent des engrais et amendements naturels grâce à leurs déjections… sur un modèle d’économie circulaire, qui est aussi un retour au fonctionnement traditionnel des fermes de nos aïeux. A la différence qu’aujourd’hui, les poulaillers sont à la pointe des dernières technologies et soumis à des règles strictes de fonctionnement.   Tous les éleveurs sont soumis au respect d’une réglementation stricte, tant en matière de bien-être animal que de qualité sanitaire, et suivent des référentiels interprofessionnels visant à garantir l’hygiène des installations mais aussi le confort des animaux. Le CIDEF est ainsi en charge de la dinde, le CICAR du canard, le CIPC du poulet et le CIP de la pintade*.  

Stéphane Bern présente les images de L214 issues de l’intérieur d’un élevage intensif de Belforêt-en-Perche (Orne). Sans étude d’impact sur l’environnement et en cours de procédure de demande d’autorisation, un exploitant d’un élevage de poulets, de dindes, de pintades a déjà commencé à remplir ses deux bâtiments avec des seuils qui dépassent les autorisations actuelles. En vérité, c’est pour le groupe LDC que ces animaux sont nourris et abattus. C’est LDC qui encourage l’intensification et qui refuse de s’engager contre le pire de l’élevage intensif. L214 porte plainte contre l’élevage et LDC pour mauvais traitements envers les animaux et exploitation d’une installation en violation du Code de l’environnement Signez la pétition pour demander au groupe LDC d’écouter la majorité des Français et des Françaises en arrêtant de soutenir le développement du pire de l’élevage intensif. Vous pouvez aussi interpeller les enseignes qui commercialisent les produits LDC.

La Hy-Line Brown est une race de poule pondeuse parmi les plus prisées dans le secteur avicole. Elle se distingue par sa production élevée d'œufs de haute qualité et sa robustesse. Ces poules sont non seulement adaptées à divers systèmes de production (plein air, cages, ou systèmes alternatifs), mais elles s'adaptent aussi à des conditions climatiques et alimentaires variées. Cela permet aux producteurs d'optimiser leur rendement tout en garantissant la qualité des œufs. Les poules Hy-Line Brown sont prêtes à pondre dès l'âge de 18 à 20 semaines. Cela leur permet de débuter rapidement la production d'œufs et d'offrir une rentabilité rapide aux éleveurs. Ce démarrage précoce est un atout majeur pour ceux qui cherchent à maximiser leur production dès le début. Les caractéristiques de la race : La Hy-Line Brown produit un grand nombre d'œufs avec une coquille robuste et une taille uniforme, ce qui la rend très demandée par les consommateurs et les distributeurs. Cette race est reconnue pour son tempérament docile, ce qui facilite son élevage, même dans des environnements plus réduits. Les Hy-Line Brown sont des poules résistantes, ce qui réduit les risques sanitaires et permet d'assurer une production stable et pérenne sur le long terme. Bien que la production maximale d'œufs soit atteinte dans les premières années, la Hy-Line Brown continue à pondre de manière fiable pendant plusieurs années. Chez Diagroup, nous sommes fiers de proposer cette race de poules, qui allie rentabilité, durabilité et qualité. Nous nous engageons à fournir à nos clients des animaux sains, performants et parfaitement adaptés à leurs besoins. En choisissant la Hy-Line Brown, vous faites un investissement sûr pour l'avenir de votre élevage. Cel:0769149939/0173831010

🚨 L'association L214 publie une vidéo d'animation avec le poulet Ross et la voix du comédien Raphaël Mezrahi pour interpeller consommateurs et distributeurs au sujet des pratiques de LDC Groupe en matière d'élevage : ➡ Avec un chiffre d'affaires de 5,8 milliards d'euros, LDC Groupe est le numéro 1 français de la volaille (Le Gaulois, Maître CoQ, Fermiers de Loué) et un des leaders européens, ainsi que le numéro 2 français du rayon Traiteur (MARIE - Groupe LDC). -> LDC est né en 1970 de la fusion des abattoirs Lambert, Dodard et Chancereul appartenant à des familles qui contrôlent, encore aujourd'hui, près de 70 % du capital de la société. ➡ L'association L214 incrimine, à travers la marque Le Gaulois, les pratiques de "l'élevage intensif" qui ne se préoccupe pas du bien-être animal : -> Croissance accélérée des animaux par des techniques de sélection génétique poussée avec des poulets trop lourds pour tenir sur leurs pattes. -> Forte concentration des poulets dans les élevages (22 poulets par m2 en moyenne en élevage "standard" qui représente 75 % de la production en France). -> Conditions effroyables de traitement des animaux entre le prélèvement en élevage et l'abattage. ➡ Les consommateurs que nous sommes tous sont, eux aussi, responsables puisque les poulets issus de l'élevage intensif - vendus "moins cher" que les poulets "fermiers" - sont les plus vendus dans les rayons des supermarchés : -> Ceux qui le peuvent pourraient acheter systématiquement des "poulets fermiers" (cela ne résout pas, en revanche, les problèmes à l'abattage). -> Ceux qui ont des contraintes économiques pourraient acheter "moins souvent mais mieux". -> L'autre possibilité étant de se diriger vers des protéines d'origine végétale. ➡ Il faut aussi souligner la responsabilité des acteurs de la restauration collective et leurs clients (collectivités territoriales, entreprises...), qui optent trop souvent pour des produits "moins cher" à l'achat... sans se soucier des questions de qualité et de bien-être animal (avec des produits importés hors de France et produits dans des conditions encore pires qu'en France). ➡ Enfin, il y a sans doute également des voies d'amélioration "raisonnables" de la part de LDC Groupe qui proclame ses 4 engagements d'entreprise sur son site et dans ses rapports (annuels et RSE) : -> Elever durablement -> Mieux vivre ensemble -> Respecter la terre -> Bien nourrir

Poules, pintades, dindes, canards… : les basse-cours qui font depuis toujours le charme de nos campagnes sont aussi devenues le socle de l’une des premières filières agricoles françaises et l’un des meilleurs instruments de notre souveraineté alimentaire. Si la France a su se hisser aux premiers rangs de la production avicole internationale, c’est grâce à son savoir-faire traditionnel dans l’élevage des volailles, sa rigueur dans la réglementation, ses exigences de qualité… et ses éleveurs, qui œuvrent avec passion pour un métier exigeant ! Les élevages français ont ceci d’exceptionnels qu’ils reposent sur la diversité des espèces élevées (poulets, dindes, pintades, pigeons, cailles…), des modes d’élevages (standards, certifiés, bio, Label Rouge) et des fermes familiales. Des élevages de volailles familiaux Au 4e rang des pays producteurs de volailles en Europe, la France reste attachée à ses traditions rurales et régionales et nos élevages sont majoritairement familiaux, souvent transmis de génération en génération par des agriculteurs passionnés. A leurs côtés, de nouveaux éleveurs viennent aussi s’installer dans les campagnes, des néo-ruraux concrétisant leur rêve de retour à la terre et leur attachement au respect de l’environnement. Leurs fermes sont souvent de petite taille, avec en moyenne deux poulaillers par élevage, et associent polyculture et élevages. Les terres produisent le plus souvent les céréales et la paille pour les animaux, lesquels fournissent des engrais et amendements naturels grâce à leurs déjections… sur un modèle d’économie circulaire, qui est aussi un retour au fonctionnement traditionnel des fermes de nos aïeux. A la différence qu’aujourd’hui, les poulaillers sont à la pointe des dernières technologies et soumis à des règles strictes de fonctionnement.  

Ne faites pas 3 erreurs majeures en plantant des tomates - et vous distribuerez la récolte à vos voisins Nous vous expliquons pourquoi vous devez adopter une approche responsable dans le choix des graines et des variétés de tomates. https://lnkd.in/eyV_5M-j

[ Environnement ] Les Poulets Fermiers des Landes IGP/Label Rouge disposent d’un mode d’élevage unique et d’un environnement exceptionnel. Le maître mot de l’élevage des poulets fermiers des Landes est la liberté. Pour appliquer au mieux cette règle d’or, les éleveurs landais ont mis en place plusieurs règles de production : • Aucune limite : les parcours où évoluent les poulets ne sont pas délimités. Les poulets évoluent où ils veulent la journée et rentre naturellement la nuit dans les cabanes pour dormir ensemble. • La marensine, seul bâtiment autorisé. La marensine est la cabane traditionnelle utilisée dans l’élevage des poulets fermiers des Landes. Elles disposent de tout le confort nécessaire pour accueillir les poulets dès leur premier jour. Principe de base de la marensine: elle doit être mobile. • Rotation des parcours : les marensines, véritables mobil’homes, sont déplacées sur un site différent à la fin de chaque bande d’élevage. Cela permet à la végétation qui est à proximité directe des marensines de se régénérer. Autre avantage, chaque nouvelle bande de poulets dispose d’un site où la végétation est bien présente. Un luxe pour les poulets qui explorent les parcours à longueur de journée. Ce mode d’élevage landais, plus technique et contraignant qu’un élevage standard fait la fierté des agriculteurs landais, soucieux à la fois du bien-être animal, de l’environnement, du respect de la tradition et de la qualité irréprochables de leurs volailles.