Post de Garde républicaine

𝟏𝟒 𝐉𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 = 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐟𝐢𝐞𝐫𝐭𝐞́. 💙 Hier, je suis passé au (magnifique) défilé sur le Vieux-Port. 👀 Entre le Bataillon des Marins Pompiers de Marseille, les véhicules de l'armée, les hélicoptères de la gendarmerie, le rafale qui a survolé le ciel, et la musique (je retiens Vangelis - UTMB quand tu nous tiens). C'était juste incroyable. 😎 Et je suis tombé sur les équipes de la Police municipale de Marseille. 😉 Sentiment de fierté de voir ces femmes et ces hommes engagés, mobilisés pour cette grande parade, fiers représentants de la proximité et de la prévention auprès des citoyennes et des citoyens de Marseille. 🤗 Pour rappel, la Police Municipale de Marseille étoffe ses effectifs, pour atteindre à terme, un agent pour 1000 habitants, avec une forte diversification des métiers (Brigades équestre, cynophile, nautique, etc). Leurs missions ? Assurer une relation de proximité et de prévention auprès de la population. 🤝 Si vous souhaitez nous rejoindre, tous les postes sont disponibles dans le premier lien en commentaire ! 👇 - - - - - - - - - - - 👋🏻 Je suis Luc : Marque Employeur / Recrutement / Marketing RH 💙 N’hésite pas à t’abonner à mon profil si tu souhaites en savoir plus 🔔 Et active la cloche pour recevoir les prochains posts #rh #recrutement #monmetiercestmarseille #marseille #policemunicipale

En cette année de Beauvau des polices municipales, il est temps d'acter également l'uniformisation totale des policiers municipaux en mettant un terme définitif à la différenciation entre polo blanc de chef de service et directeur et polo bleu marine des agents de police municipale. La différenciation des tenues n'apporte absolument aucune plus value à la fonction de chacun. Chaque agent, qu'il soit de catégorie A, B ou C, possède des galons de poitrine ou d'épaules qui sont largement suffisants pour différencier la position de chacun. L'administration pénitentiaire l'a très bien compris en supprimant les polos bleu roi des officiers afin de les uniformiser avec les surveillants. De même, dans la police nationale ou la gendarmerie nationale, les officiers possèdent les mêmes tenues que les agents de terrain. Les polos blancs doivent être uniquement portés par les agents des brigades nautiques. #beauvauDesPoliceMunicipales #collectivités #sécurité

#200Brigades : 9 nouvelles unités en #RGNA pour 2024 👉 La région de gendarmerie Nouvelle-Aquitaine va bénéficier cette année de l’ouverture de neuf nouvelles brigades (sur 27 d’ici 2027). Les cinq premières seront opérationnelles dès le 1er mars. Grâce aux « Gendtruck », véhicules aménagés des brigades territoriales mobiles, ce n’est pas seulement le gendarme qui va vers ses concitoyens, mais toute la brigade avec ses moyens, lui permettant ainsi de répondre aux attentes et de réaliser de nombreuses missions et actes de procédure au plus près des usagers. 🎯 L’objectif est de recréer de la sécurité et de la proximité en renforçant notre présence de voie publique et en apportant des réponses sur mesure aux nouveaux besoins de la population : #AllerVers. Ce lundi 12 février, la caserne Battesti de Mérignac a accueilli une cérémonie de lancement de ces premières unités au cours de laquelle une remise symbolique des clefs 🔑 des Gendtruck a été effectuée par monsieur Etienne GUYOT, préfet de région, et le général de corps d’armée Samuel Dubuis, commandant la RGNA, en présence des élus et des partenaires VINCI Autoroutes et Enedis. Emmanuel Macron Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer Gerald Darmanin Gendarmerie Nationale Christian Rodriguez Jean-Valéry Lettermann Marie-Laure Pezant Préfecture de la région Nouvelle-Aquitaine, préfecture de la Gironde Région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset COUR D'APPEL DE BORDEAUX Monique De Marco Eric Poulliat Philippe Buisson Jean DIONIS Rozenn Le Digabel-Bertran Pierre Coppey Laurence Brassac Julien THOMAS Raphael MARTIN Marianne Laigneau Catherine Lescure Jean-Francois VAQUIERI Jean-Marc Baizé Pascal POUZAC Patrick Rousseau Vilizara Lazarova Olivier MARTEL Jean-marc GAGÉ Sandrine Castanier Emmanuel HOUZÉ Yannick B. Loïc BARAS Nicolas Imbert Philippe-Alexandre Assou Jean B. Bruno GRAFFOUILLERE #NotreEngagementVotreSécurité #RépondrePrésent #AVosCôtés #RSE #Mobilité #Sécurité

Bonsoir à tous, chers amis de la #blindosphère (et tous les autres). Ce soir, un billet intéressant du blog #Blablachars sur la réorganisation de #Tsahal. Faisant suite aux #combats en cours, Tsahal réarticulerait : - la distribution de ses #chars pour les densifier dans ses #bataillons ; - l’emploi des #réservistes pour partie hors des unités de chars pour y concentrer des forces d’active. https://lnkd.in/dYegMRDa

Cette semaine, la délégation au patrimoine de la gendarmerie commémore la création des premiers pelotons de gendarmerie mobile le 22 juillet 1921. Leur création répond à un besoin : celui d’une force spécialisée dans le maintien de l’ordre capable de compléter l’action de la gendarmerie départementale et d’éviter l’emploi de la force armée. Jusque dans les années 1920, seules les grandes villes disposent de services d’ordre aux effectifs capables de faire face à des manifestations. À l’enjeu du nombre d’hommes mobilisés s’ajoutent ceux de l’équipement et de la doctrine. L’encadrement d’une manifestation ne signifie pas sa répression. Le but est permettre son déroulement sans heurt, en contrôlant le terrain et en limitant les blessés chez les manifestants et au sein des forces de l’ordre, afin de garantir le libre exercice de la vie démocratique. La circulaire initiale du projet de création des premiers pelotons mobiles prévoit la création de 52 pelotons à cheval et de 35 à pied. Votée en 1921, elle découle en fait d’une expérimentation de 1917. Des gendarmes prévôtaux sont prélevés et constitués en sections d’une trentaine d’hommes. Mobiles, ces groupes de gendarmes sont capables de se déplacer le long du théâtre d’opération afin d’être mis à disposition des chefs de légion pour endiguer les mutineries. Depuis, les services de maintien de l’ordre de la gendarmerie se perfectionnent au grès de l’évolution du matériel. Ils sont garantis par une formation d’exception au Centre national de formation et d’enseignement de la gendarmerie (CNEFG) de Saint-Astier (https://urls.fr/WfQIkz). #GendarmerieNationale #DelaptGN #CNEFG #gendarmerie

✈️ ✉️ “Pilotes et un peu facteurs”: parmi les missions insoupçonnées des équipages aéro de la Marine, je vous laisse découvrir celle-ci

La Marine nationale envisage de remplacer les frégates de type Floréal par des corvettes Gowind Sources proches NG. Mutualiser les achats d’équipements militaires entre plusieurs États membres de l’Union européenne [UE] afin de favoriser l’interopérabilité entre leurs forces armées, de réaliser des économies d’échelle et de consolider l’industrie de l’armement : telle est la raison d’être de la Coopération structurée permanente [CSP ou PESCO], laquelle a déjà permis de lancer plusieurs programmes structurants, comme l’European Patrol Corvette [EPC], coordonné par l’Italie et réunissant la France, la Grèce, l’Espagne et la Roumanie. Soutenu par l’Agence européenne de défense [AED] peu après son lancement, en 2019, ce projet fait désormais partie de ceux qui ont été confiés à l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement [OCCAr]. En octobre dernier, celle-ci a notifié un contrat relatif à la conception initiale de cette future corvette européenne à un consortium réunissant Fincantieri, Naval Group et Navantia. D’une durée de vingt-quatre mois, ce marché, d’une valeur de 87 millions d’euros, est financé par le Fonds européen de défense à hauteur de 60 millions, le reste devant être acquitté par les pays concernés. Si la France est impliquée dans ce projet, c’est parce que la Marine nationale devra remplacer les six frégates de surveillance appartenant à la classe Floréal engagées outre-mer pour des missions relevant de l’action de l’État en mer depuis le début des années 1990. Pour rappel, le programme EPC doit se concrétiser par une nouvelle classe de navires « modulaires », conçus selon une architecture « plug and play » ouverte et devant afficher un déplacement de l’ordre de 3000 tonnes maximum pour une longueur de 110 mètres. Au moins trois versions sont prévues : une première pour la lutte antinavire, une seconde pour les missions de longue durée et une troisième pour les patrouilles en haute-mer. En mars 2022, dans un entretien donné au magazine DefTech, l’amiral Pierre Vandier, alors chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], avait souligné « les intérêts » de ce programme européen, tant au niveau capacitaire que budgétaire. Fallait-il en conclure que l’European Patrol Corvette allait remplacer la frégate de type « Floréal » ? Promulguée en août 2023, la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 indique seulement que la Marine nationale disposera de cinq frégates de surveillance et d’une corvette en 2030. Et, a priori, ce nouveau navire ne sera pas issu du programme EPC… En effet, interrogé par Naval News à l’occasion du salon de l’armement DSA 24 qui vient de se terminer à Kuala Lumpur [Malaisie], Stéphane Frémont, le responsable des navires de surface chez Naval Group, a indiqué que la Marine nationale envisageait de se procurer six corvettes de type Gowind.

version intégrale 100 m$ pour un avion de combat, 25 m$ pour un char, 1 Md$ pour une frégate… Les armements occidentaux ont atteint, ces dernières années, des prix pharaoniques, obligeant les armées à réduire leurs formats et leurs flottes, pour en être dotées. Mais qu’en est-il, vraiment, de ce constat empirique ? Les prix des armements, aujourd’hui, sont-ils réellement plus élevés qu’ils ne l’étaient, il y a quelques décennies de cela, une fois le paramètre de l’inflation intégré ? Et cette hausse du prix des armements s’applique-t-elle uniformément aux différents équipements, et aux différents pays ?  Pour répondre à ces questions, ainsi que pour en identifier les causes, et les conséquences sur les capacités opérationnelles des armées, une analyse méthodique s’impose. Et, qui sait, peut-être fera-t-elle émerger des constats inattendus ?

Les commémorations du 80e anniversaire du Débarquement en Normandie (6 août 1944) ont un sens particulier cette année. Derrière les différentes cérémonies, on décèle une volonté de construire une convergence mémorielle afin que celle-ci puisse être appropriée par les populations. L'idée de la transmission est également fondamentale à l'heure où les derniers vétérans sont encore du voyage. Il s'agit de trouver d'autres vecteurs afin de transmettre les évènements majeurs qui ont permis aux Alliés de remettre le pied sur le continent européen, et d'en assurer la juste compréhension.

"Les gendarmes ne poseront aucune permission durant les JO, entre le 24 juillet et le 11 août" (Général Ducept, commandant de la région de Gendarmerie d'Ile-de-France) C'est du centre des opérations installé à Maisons-Alfort (Val-de-Marne), composé de plus de 170 personnels, que le commandant de la RGIF (région de gendarmerie d'Île-de-France), le général Xavier Ducept, assurera le suivi des unités et l’appui logistique mis au point depuis deux ans pour les JOP par la Gendarmerie en Ile-de-France. Jusqu’à 18 000 gendarmes seront mobilisés en Île-de-France (sans détailler la part des renforts, venus d'autres régions...). 99 sites d’hébergement ont été retenus en Île-de-France pour la gendarmerie. La Gendarmerie a l’avantage de disposer de bâtiments domaniaux, qui permettront de loger 3 000 agents, notamment dans les structures de formation du camp militaire de Beynes (Yvelines). L’EOGN (École des officiers de la gendarmerie nationale) met également à disposition 1 000 couchages à Melun (Seine-et-Marne), notamment grâce à l’installation de plusieurs structures modulaires (720 lits), explique à AEF-info le général Éric Matyn, commandant en second de l’école. La gendarmerie a également prévu des lieux de repos pour les militaires, qui pourront par ailleurs récupérer un peu de force dans les lieux dédiés à la police. Pour stocker matériels et repas, la gendarmerie pourra compter sur une base logistique de 20.000 m au nord de Paris. Une surface nécessaire pour entreposer notamment les 33 palettes de bouteilles d’eau commandées il y a plus d’un an et acheminées par 55 semi-remorques... D’autres espaces de stockage pour des matériels plus sensibles ont été imaginés. Par exemple, côté Gendarmerie, des armureries dites "de campagne" ont été créées via des containers. La gendarmerie a bénéficié pour cela de conseils des forces spéciales (GIGN), habituées à sécuriser ces équipements dans des zones instables. De façon plus terre à terre, la Gendarmerie a par ailleurs acheté 400 lave-linge et 400 sèche-linge pour l’occasion, qui seront conservés en "héritage" après les Jeux...