Post de Gloria

"FREE AFGHAN WOMEN" NECESSAIRE ET COURAGEUX MAIS INTERDIT AUX J.O. ! QUELLE VIOLATION DES DROITS ? Bgirl TALASH a été disqualifiée pour avoir affiché un message politique sur sa tenue vestimentaire en VIOLATION de la règle 50 de la charte olympique », a déclaré la fédération dans un message écrit. LISSE, PROPRE ET SANS VAGUES C'est aussi la réalité des JO. INEXISTANTS les moments à la Tommie Smith et John Carlos aujourd'hui. Certes les contrats de sponsoring ne le permettent plus. Chaque entreprise possède sa RSE que rien ne vient déloger de bruits parasites. Mais Manizha TALASH n'avait pas de sponsors sinon l'éthique et les droits fondamentaux. Que la ferveur l'emporte pour que le silence meurt ainsi en a décidé la fédération - et indirectement le COJO. Manizha TALASH en arborant un message "FREE WOMEN AFGHAN", un peu à l'image de son sport, la breakdance, a voulu casser les codes. LE REGLEMENT La fédération internationale a donc appliqué le règlement. PAS DE MESSAGE POLITIQUE. Ca fera 3 lignes dans L'EQUIPE et 30 dans Libération. Selon la ligne éditoriale choisie. Du courage, Manizha TALASH en a eu, PAS LE REGLEMENT! Pourtant le règlement a toujours eu tort face à l'éthique, aux drames et à l'incroyable situation catastrophique de certaines populations dont les femmes afghanes. MEDAILLE D'OR Il serait beau, utile et nécessaire de lui décerner une MEDAILLE D'OR D'HONNEUR. Comme certaines cérémonies le font. Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 #liberté #droits

👉 Je profite de l'ouverture de ces jeux olympiques pour mettre à l'honneur un pays qui rafle toutes les médailles dans cette discipline depuis 80 années : le kidnapping d'enfants par l'Etat allemand . Près de 300 à 500 enfants français selon le député européen Frédéric Petit (MoDem) représentant des Français en Allemagne sont condamnés à la Résidence Forcée dans ce pays au moyen de jugement frauduleux. 👉 Quelle que soit la couleur des coalitions de gouvernement , cette activité a même connu un regain d'activité sous Angela Merkel puisque durant ses 16 années de règne les kidnappings d'enfants furent multipliés par trois. Chaque jour ce sont environ 60 à 80 enfants non allemands que leurs parents français, espagnols, polonais, indiens, italiens, belges , grecs ou luxembourgeois ne reverront plus. En 2022 - chiffres officiels- ce sont 28 564 enfants non allemands qui furent kidnappés. La Russie pour les mêmes mauvaises raisons que l'Allemagne a kidnappé un peu plus de 19 000 enfants ukrainiens ( chiffres officiels ukrainiens ) en DEUX années et demi de guerre. Si au football, ce n'est plus l'Allemagne qui gagne ; pour le pire c'est encore elle qui est médaille d'or... #GermanyIsAKleptocracy #saveAriha #CNRbretagne #PfasGateGermany #CeciNestPasUnCompteRusse #ThisIsNotARussianAccount #NotOneKidNotOnePennyForGermany #StopMalgreNous

Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 : La Défenseure des droits va enquêter sur les risques d’atteintes aux droits et libertés et sur d’éventuelles situations de discrimination Au fur et à mesure de la mise en place des mesures visant à assurer la sauvegarde de l’ordre public lors de cet évènement exceptionnel, le Défenseur des droits pourra ainsi mener une enquête indépendante, impartiale et dans le respect du principe du contradictoire, sur les risques susceptibles de résulter notamment : - des restrictions de la liberté d’aller et venir dans les zones environnant les épreuves olympiques et paralympiques ;  - des modalités de mise en œuvre des traitements algorithmiques des images collectées au moyen de systèmes de vidéo protection et de caméras installées sur les aéronefs et des actions entreprises en conséquence ; - de l’éviction de l’espace public de personnes jugées « indésirables » en amont des Jeux Olympiques et Paralympiques ; - de l’orientation des personnes sans-abri vivant à Paris vers des sas d’accueil temporaires régionaux ; -de la mise en œuvre des orientations du Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous) de Paris en termes de droit d’occupation des logements en résidence universitaire ; https://lnkd.in/dFWjimNt

L’EXCEPTION N’A PAS VOCATION A DEVENIR LA RÈGLE - Les Jeux olympiques de 2024 sont l’occasion de lancer un vrai débat sur l’évolution de notre société car le sport plus que toute autre activité humaine ne supporte pas la tricherie. Le cas de cette boxeuse qui a les caractères physiques d’un homme sans en avoir les attributs sexuels, nous donne l’occasion de le faire de façon bien différente de l’interprétation de la parade de la cérémonie d’ouverture. Pourquoi le Comité Olympique a t’il autorisé sa participation alors qu’elle a été empêchée par ailleurs? C’est le débat entre l’être et le paraître! C’est le débat sur la normalité et sur les différences entre les sexes. Aujourd’hui il y a surtout une victime, c’est Imane à cause de sa médiatisation alors qu’elle n’est pas responsable des règles établies. Si un taux anormalement élevé de testostérone est un facteur éliminatoire, car cela correspond à du dopage pour augmenter de façon artificielle la masse musculaire, cela doit l’être pour tous, même si cela est injuste pour un individu qui n’est pas responsable de sa physiologie naturelle. Dans le cas présent cela exclu Imane de toutes les compétitions officielles, par contre cela ne l’empêche pas de participer à des combats sans règle avec des adversaires quel que soit leur sexe.

📣📣🖐️🛑Les propos de Thomas Portes : Un affront aux valeurs olympiques 😤😤 À la veille des Jeux Olympiques, un moment qui incarne l'unité, le respect et la paix entre les nations, il est inacceptable d'entendre des déclarations qui vont à l'encontre de ces valeurs fondamentales. Les propos du député Thomas Portes, affirmant que « les sportifs israéliens ne sont pas les bienvenus aux JO », sont non seulement polémiques, mais également profondément contraires à l'esprit même des Jeux Olympiques. Les JO sont une célébration de la diversité, de la solidarité et du fair-play. Ils rassemblent des athlètes du monde entier, indépendamment de leur nationalité, de leur origine ou de leur idéologie. Chaque athlète mérite d'avoir l'opportunité de concourir et de montrer son talent, peu importe les circonstances politiques. Nous appelons à une réflexion sur l'importance du sport comme vecteur de paix et de compréhension mutuelle. Au lieu de diviser, la compétition devrait rassembler. Les athlètes israéliens, comme tous les autres, ont travaillé sans relâche pour atteindre leurs objectifs et méritent de concourir dans un environnement qui célèbre l'excellence sportive et l'amitié internationale. Nous devons nous unir pour défendre les valeurs olympiques et encourager un dialogue constructif, loin des discours de haine et de division. 🕊️ #olympisme #unité #respect #stopantisémitisme #stopracisme #stopxenophobie Pour terminer, il ne faut pas fermer les yeux, il n'existe aucune justification pour les atrocités commises contre des peuples, peu importe leur origine ou leur foi, aux quatre coins du monde. Chaque acte de barbarie nous rappelle tragiquement l'humanité que nous avons perdu de vue, et il est impératif que nous nous unissions pour défendre la dignité de chaque être humain, sans exception.

LA BOXE FÉMININE EST RÉCENTE AUX JEUX OLYMPIQUES - En fait ce cas particulier très polémique mérite un débat beaucoup plus large qui est l’influence des lobbyistes sur les sports existants aux jeux olympiques avec des intérêts avant tout financiers et commerciaux. La boxe féminine a commencé seulement en 2012 aux Jeux olympiques de Londres et les boxeuses sont protégées par un casque. C’est le film de Clint Eastwood, « Million dollar baby » sorti en 2004, qui a lancé la mode de la boxe féminine. Aujourd’hui en France, la boxe fait partie du programme scolaire en mélangeant filles et garçons avec des conséquences traumatiques évidentes et cela ne choque personne, en tout cas pas les parents d’élèves. En plus il existe bien une publicité à la télévision qui fait l’apologie du sport pour la Santé avec en fond d’écran des jeunes filles qui font de la boxe. Faut-il voir dans ces transgressions une influence très active du lobbying de la boxe qui est depuis longtemps un milieu sportif très symbolique lié au machisme et à l’argent? Il n’y a qu’un pas à franchir pour le penser! Personnellement, dans ma pratique professionnelle, je déconseille la boxe car il existe bien d’autres arts martiaux qui prônent les mêmes valeurs tout en respectant vraiment l’adversaire. En plus si les lésions traumatiques extérieures sont évidentes( fracture du nez ou de la mâchoire, lésions dentaires,….), les lésions micro-traumatiques chroniques dues aux chocs répétés sont importantes. La protection des poignets dans les gants ne protège pas des lésions de compression des articulations qui sont en général beaucoup plus laxes chez les filles que chez les garçons. Le casque ne protège pas le cerveau des mouvements de balancier dans le crâne avec un risque considérable de lésions chroniques en cas de pratique régulière, notamment de maladie de Parkinson précoce à l’âge adulte. C’est bien ce que j’explique aux parents et aux enfants, en particulier aux adolescents qui sont attirés par la boxe à cause des copains et des effets de mode. Le seul intérêt pour eux est la qualité de la préparation physique qui se retrouve de façon encore plus complète dans les arts martiaux où la violence n’est pas une finalité.

🕵️ Savez-vous détecter les #biais dans cette #actualité ? 👇 1. L'article met en avant l'absence de Luka Doncic pour le tournoi olympique, mais n'explique pas pourquoi il ne participe pas. 2. Le ton du texte est plus neutre que favorable à la Grèce, soulignant son domination sur la Slovénie. 3. La phrase "La superstar Luka Doncic" peut être interprétée comme un élément de promotion personnelle. 4. L'article mentionne l'élimination de la Slovénie en demi-finale, mais ne donne pas de contexte à cette élimination. 5. Le texte ne fait pas de lien entre le passé

Certains prétendent que le sport serait apolitique, et s’opposent donc à l’idée de bannir les athlètes russes et biélorusses des Jeux Olympiques de Paris 2024. Les JO ont toujours été politiques, le sport étant souvent utilisé comme outils de propagande, surtout par les régimes les plus autoritaires. Le saviez-vous ? Certains pays ont déjà été totalement bannis des jeux. ❌ Zoom sur ces JO où des nations ont été interdites de participer. ⬇ 🔶  Aux JO d’Anvers, en 1920, à la suite de la Première Guerre Mondiale, le CIO décide d'exclure les états perdants (ou leurs successeurs) en représailles du conflit : Allemagne, Autriche, Hongrie, Bulgarie et Turquie n'ont pas le droit de participer aux Jeux. 🔶  À Paris en 1924, des cinq pays exclus de l'édition précédente, seule l'Allemagne n'a de nouveau pas le droit de participer. En effet, les esprits sont encore échaudés par la guerre, en particulier en France, où se déroulent ces jeux. 🔶  Lors des JO de Londres, en 1948, le CIO exclut une fois encore l'Allemagne de la compétition. À noter que cette exclusion intervient alors même que la guerre est finie et que le régime nazi est tombé. En comparaison, aujourd'hui le régime russe qui massacre les ukrainiens sévit encore, ce qui rendrait une exclusion qu'encore plus légitime. 🔶  De Tokyo 1964 à Séoul 1988 : en raison de la politique de ségrégation en vigueur dans le pays (apartheid), l'Afrique du Sud est exclue de SEPT éditions d'affilée des JO (et pareil pour les JO d'hiver). Elle ne fera son retour aux JO qu'en 1992. En conclusion, l’Histoire des JO montre que l'exclusion de nations est fréquente, motivée par des événements historiques et des questions politiques. Affirmer qu'il est impossible de bannir la Russie des JO est contredit par ces précédents. Les décisions du CIO ont souvent reflété les valeurs et les principes fondamentaux du mouvement olympique, faisant écho aux préoccupations du monde. L'exclusion de nations est parfois nécessaire pour préserver l'intégrité des Jeux. La Russie devrait donc être totalement exclue de ces jeux de Paris. Agissons pour protéger nos valeurs. Tant que les bombes russes continueront de pleuvoir sur l’Ukraine, les athlètes russes et biélorusses n’auront pas leur place aux Jeux olympiques de Paris. Nous ne laisserons pas la Russie transformer #Paris2024 en jeux du sang. #BloodGames2024

Une des rares fausses notes des Jeux Olympiques selon moi : la disqualification de l’afghane de 21 ans Manizha Talash après sa performance en breakdance. Membre de l’équipe olympique des réfugié•es, elle est apparue à la fin de sa première battle avec une cape portant l’inscription « Free Afghan Women » (libérez les femmes afghanes). Elle avait été préalablement déclarée perdante par les juges face à son adversaire parce que sa performance était moins bonne. Était-il nécessaire de la disqualifier en plus « pour avoir affiché un message politique sur sa tenue vestimentaire en violation de la règle 50 de la charte olympique » ? (décision de la Fédération internationale de danse sportive apparemment). Est-ce vraiment « politique » de délivrer un message pour les 14 millions de femmes afghanes emmurées vivantes par les talibans ? N’est-ce pas normal, logique, simplement humain pour une afghane de demander un minimum de dignité pour ses sœurs ? Voilà, ce n’est pas politique, c’est humain. D’après un rapport de l’ONG Human Rights Watch, les autorités islamistes ont instauré « des politiques empêchant complètement les femmes et les filles d’exercer leurs droits fondamentaux, notamment la liberté de réunion et de circulation et le droit au travail et à l’éducation ». Pas de sport, pas de danse, pas d’emploi, pas d’école… Aucune liberté. Née à Kaboul, Manizha Talash a quitté l’Afghanistan après avoir régulièrement été menacée de mort en raison de sa pratique sportive, réalisée dans un groupe entièrement masculin. Contrainte d’émigrer au Pakistan en 2021 après l’arrivée au pouvoir des talibans, la jeune femme s’entraîne depuis 2022 avec l’équipe olympique des réfugiés à Madrid. #DenonceTesHeroines #DenonceTesHeros ______ Et puis on a peut-être oublié un peu vite que le breakdance n'est pas un sport comme un autre mais une discipline venant du Bronx avec une expression de révolte et d'anti-conformisme. Plus d’infos en commentaire. Photo Thomas Louapre / Divergence

Le stade des libertés ?