Post de InVivo

🚀 Découvrez notre dernière exploration ! 🌐 Au sein du SCO, nous sommes ravis de partager avec vous une passionnante initiative qui conjugue technologie spatiale et préservation de l'environnement. 🛰️🌿   📰 Nous vous invitons à plonger dans l'univers de notre article : "EO4Wetlands, la dépoldérisation suivie par satellite". Une balade au cœur de la nature, où le retour de la végétation prend vie sous nos yeux, capturé par des sondes et des satellites. 🌍✨   Après des siècles de poldérisation (conquête artificielle de sols sur la mer), la dépoldérisation est amorcée pour rendre ces espaces à la nature. Le 9 novembre 2023, le projet EO4Wetlands a débuté un nouveau chapitre, avec l'installation d'une sonde au Hedwige-Prosperpolder. Un site en pleine restauration, une symphonie de la nature reprenant sa place. 🎶🏞️   La collaboration avec des chercheurs spécialisés a conduit l’équipe projet à des endroits interdits au public, offrant une perspective unique sur les transformations en cours. Une véritable immersion dans la boue pour comprendre le renouveau des marais, des prés salés et bien plus encore. 🌱🔍   🌊 Ces zones humides, bien plus qu'un décor pittoresque, jouent un rôle capital dans la protection contre les inondations et les marées. Dans un monde confronté à l'élévation des océans, la restauration des polders devient une nécessité, et EO4Wetlands est à la pointe de cette mission. 🚤🔄   Mais ce n'est pas tout ! Le partenariat du Cerema avec GEOMATYS ouvre la voie à une application novatrice générant des cartes d'évolution de la végétation à partir d'un jumeau numérique du polder. Une véritable symphonie de données géophysiques, hydrologiques, océanographiques, altimétriques, météorologiques... 🎬📊   Le Cerema, recrute également des talents pour modéliser la végétation à partir d'images satellites. Un projet complet, alliant observation sur le terrain, surveillance par satellite et expertise technologique. 🌐🔬   🔗 Pour en savoir plus, suivez le lien vers notre article dédié : https://lnkd.in/e7j4eNaP   🌏🚀 #SCO #EO4Wetlands #Dépoldérisation #ObservationSpatiale #Environnement 🌿👀

🤝 Un partenariat pour mieux comprendre l'Arctique 🤝 ✍️Le Swiss Polar Institute (SPI) et la Fondation Tara Océan ont récemment formalisé un accord d'entente. Il vient déterminer les contours de la collaboration scientifiques sur la future Tara Polar Station. 🧊 Cette plateforme permettra à des équipes entre 12 et 20 scientifiques et ingénieurs d'étudier sur place les cycles saisonniers, ainsi que des changements à long terme qui frappent la région arctique. 🔬Imaginée de manière à limiter son impact sur son environnement et le climat, la plateforme disposera d’une autonomie de 18 mois. Elle permettra aux chercheurs du SPI, notamment ceux présents dans notre bâtiment ALPOLE, de mieux comprendre les changements en cours dans l'Arctique. 💭 Pour rappel, la Fondation Tara Océan est engagée depuis plus de 20 ans en faveur d'une meilleure compréhension scientifique des océans. Elle cherche aussi à sensibiliser le public à la protection de ces derniers. Le SPI fait partie depuis 2018 de son conseil scientifique. 📸 Swiss Polar Institute - De gauche à droite: Romain Troublé, Tara Ocean Foundation Director - Frederick Paulsen, SPI Foundation Board Member - Danièle Rod, SPI Executive Director) #changementclimatique #arctique #sciencesclimatiques

🌊 𝗝𝗢𝗨𝗥𝗡𝗘𝗘 𝗠𝗢𝗡𝗗𝗜𝗔𝗟𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗢𝗖𝗘𝗔𝗡𝗦 🌊 Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée Mondiale des Océans, nous rappelons l'importance de protéger et préserver nos mers pour les générations futures. 🌍🌿 Découvrez les dernières avancées en Ocean Tech et les initiatives innovantes dans notre nouveau numéro du SONAR 10. 🔗 𝗟𝗲 𝗦𝗢𝗡𝗔𝗥 𝟭𝟬 : https://lnkd.in/eQ7dABpC « 𝐼𝑛𝑡𝑟𝑖𝑛𝑠𝑒̀𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙’𝑜𝑐𝑒́𝑎𝑛, 𝑙’𝑂𝑐𝑒𝑎𝑛 𝑡𝑒𝑐ℎ 𝑎 𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑡𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖, 𝑑’𝑎𝑙𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑙𝑜𝑡𝑎𝑔𝑒. » François Houllier, président-directeur général de l'Ifremer 𝗔𝗨 𝗦𝗢𝗠𝗠𝗔𝗜𝗥𝗘 : ➡️Édito de François Houllier, Ifremer ➡️Quietsea à l’écoute des cétacés… et du marché, Christophe L’Her, Sercel ➡️La tête dans les nuages de points, Coralie Monpert, Shom & Christophe L’Her, Sercel ➡️Financer l’Ocean Tech, Maïwenn ABGRALL, Crédit Mutuel Arkéa & Philippe Renaudin, Banque Populaire Grand Ouest ➡️IngéBlue face aux grands défis de l’Ocean Tech, Margot Provost, ENSTA Bretagne & institut IngéBlue ➡️MAPPEM Geophysics repousse les limites de l’imagerie géophysique, Jean-François D'Eu & Pascal Tarits ➡️RBR France fait avancer la science océanographique, Didier Clec h, RBR France ➡️eOdyn : en direct et au plus près des courants marins, Yann Guichoux, eOdyn ➡️Biodimar, de la recherche à l’application industrielle, Claire Hellio, Université de Bretagne Occidentale ➡️SeaBeLife Biotech : proximité gagnante avec KISSF, Morgane Rousselot, SeaBeLife ➡️Guillaume Massé, des cercles polaires à la station marine de Concarneau, Guillaume Massé, MNHN, Station biologique de concarneau ➡️Projet Startup des Océans au cœur de l’écosystème maritime, Iliass Lamrini, M. Sc., Projet Startup des Océans pour le Québec Technopole maritime du Québec ➡️𝗦𝗲𝗮 𝗧𝗲𝗰𝗵 𝗪𝗲𝗲𝗸® à l’horizon #JournéeMondialeDesOcéans #OceanTech #ProtectionDesOcéans

POLAR POD : une expédition scientifique digne de Jules Verne 🌍💫 ⚓En cette journée mondiale de l'océan, nous vous présentons une initiative d'un intérêt scientifique majeur, que nous soutenons : l’expédition Polar Pod, organisée par l'association OCEAN POLAIRE. ❄ Menée par Jean-Louis Etienne, Médecin explorateur, cette exploration maritime hors-norme est doublée d'un défi technologique pour l'étude de l'océan Austral qui entoure l'Antarctique. 🌊 Dû à son éloignement et aux conditions de mer difficiles, cet océan est encore peu exploré💨. Un navire zéro émission pouvant héberger un équipage de 8 personnes 🛳 a donc été conçu pour s'affranchir des conditions les plus extrêmes et réaliser deux Tour du Monde 🗺, qui devraient durer 3 ans. Entrainé par le courant circumpolaire, tel un satellite autour de l’Antarctique, le Polar POD va permettre l’acquisition de données accessibles à l'ensemble de la communauté scientifique internationale ainsi qu'au grand public, telles que 📡: • La capacité d'absorption du CO2, l'océan Austral étant considéré comme le principal puits de carbone océanique de la planète, • L’inventaire de la faune marine par acoustique, • La validation en mer des mesures satellites, • Les micro plastique et contaminants, ont-ils franchi le Front Polaire? ✨ Une contribution française essentielle au programme de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable (2021-2030). # Comité de Soutien #polarPod #expedition #Antarctique#ONU

En ce 1er mai, bonne fête du travail aux chercheurs et acteurs polaires! Saluons le rôle essentiel des chercheurs dans la compréhension et la préservation de l’Antarctique et l’Arctique. Du côté de la Chaire Enjeux Polaires, les projets ne manquent pas pour mieux appréhender les défis que connaissent l’Antarctique et l’Arctique et partager au plus grand nombre les travaux que nous menons... N’hésitez pas à rejoindre la Chaire enjeux polaires ou à nous soutenir... Et bien sûr, n'oublions pas que l'article 4 de l'Annexe 2 du Protocole de Madrid sur la protection de l'environnement en Antarctique précise que: "aucune espèce animale ou végétale non indigène de la zone du Traité sur l'Antarctique n'est introduite sur le continent ou sur la plate-forme glaciaire ou dans les eaux de cette zone, à moins qu'un permis ne l'autorise". Un permis autorisant l'importation de muguet en Antarctique? L'intelligence artificielle, elle, se fiche des règles, et se permet d'introduire des brins de muguet dans un dessin...

#CampagneIPSL #Campagne #OBSAustral2024 : mieux comprendre le fonctionnement de l’océan austral (11 janvier-7 mars 2024) 11 janvier 2024. Le Marion Dufresne largue les amarres depuis Le Port à La Réunion avec à son bord, 45 marins et officiers, 42 scientifiques et un médecin. 7 mars 2024. Clap de fin pour la campagne. La campagne OBS-Austral 2024 visait à mieux comprendre le fonctionnement de l’océan austral : ses liens avec l’atmosphère (aérosols, gaz à effet de serre…), les écosystèmes (de surface et jusqu’à 1000 m), le cycle du carbone, la dynamique des dorsales océaniques et les interactions avec les îles subantarctiques. Le journal de bord à retrouver intégralement ici : https://lnkd.in/eQEQCgYD #LOCEAN_IPSL CNRS - Centre national de la recherche scientifique Sorbonne Université Muséum national d'Histoire naturelle IRD

À votre avis, nous connaissons mieux la Lune ou l'Arctique ? ❄️🌙 L’océan Arctique abrite une biodiversité unique. Pourtant, nous le connaissons moins bien que la Lune alors qu’il est plus proche de nous.  On ignore par exemple comment les organismes y vivant font face à l’extrême saisonnalité de la lumière, de la température, de la glace de mer, et comment ils survivent pendant la longue nuit polaire, qui dure près de 5 mois. 🌑 🐻❄️ Au cours des dernières décennies, cet écosystème unique a été de plus en plus mis sous pression par le réchauffement climatique et la pollution. Avec Tara Polar Station, nous allons pouvoir étudier cette biodiversité de l’extrême et observer la rapidité des changements qui affectent cet écosystème. Ce qui se passe en Arctique impacte toute la planète et en fait une réelle sentinelle du réchauffement climatique. Notre aventure scientifique ne se fera pas sans vous ! Nous lançons dès le 13 novembre une campagne de financement participatif pour finaliser Tara Polar Station et lui permettre de mener sa mission au pôle Nord. Dès aujourd’hui, embarquez avec nous et soyez les premiers informés sur KissKissBankBank ! 👉 https://lnkd.in/eXntSmyC #Arctique #TaraPolarStation #FondationTaraOcéan #science  #polenord #dereglementclimatique

https://lnkd.in/eaer9b67 Alors que les #océans couvrent 71 % de la surface terrestre, les #fonds #marins restent en grande partie #inexplorés, avec trois quarts du plancher océanique à #cartographier. Ce milieu abrite une #biodiversité inestimable, comprenant potentiellement plus d’un million d’#espèces #inconnues adaptées à des conditions extrêmes, essentielles pour le #fonctionnement global de l’océan. En 2023, la plate-forme web "Espions des Océans" a été lancée pour permettre au #public de #participer aux #recherches sur la #faune et la #flore marines. Les utilisateurs peuvent annoter des #images #collectées par l’Ifremer via ses #observatoires et sous-marins, explorant divers #habitats marins comme les #geysers sous-marins, les #récifs coralliens d’eau froide, et la Rade de Brest. Ainsi, chacun peut #choisir et #changer de milieu sous-marin à sa guise pour contribuer aux #découvertes #scientifiques.

Un canon à l'arrière d'un navire de la Flotte océanographique française ? 😨 Non ! 😊 Il s'agit d'une opération de #carottage à bord du #Thalia en 2017. Les organismes marins laissent des traces de leur #ADN dans les sédiments des fonds marins qui s'accumulent année après année. Les scientifiques utilisent un #carottier (sur la photo) pour prélever des tronçons de sédiment (appelés carottes 🥕) et ainsi remonter dans le temps ! Ils analysent l'#ADN présent dans le sédiment à des profondeurs précises et peuvent identifier les organismes auxquels ils appartiennent. C'est cette technique que l'on appelle l'ADN environnemental #ADNe. En 2017, l’équipe du projet de paléoécologie #Palmira a ainsi prélevé 8 carottes 🥕 dans le port de #Brest et reconstruit l'Histoire du plancton de la zone sur 1400 ans ! Des changements irréversibles des communautés après la deuxième guerre mondiale ont notamment été observés. 👉 En savoir plus : https://lnkd.in/g9m_Vzha

🌊💮 Avez-vous déjà vu la floraison du phytoplancton ? La photo ci-dessous en montre une expression spectaculaire. Elle illustre parfaitement notre sujet du jour : les tourbillons océaniques. Ces mouvements dans les océans jouent un rôle majeur dans le brassage des eaux de surface et plus profondes, en permettant leur mélange. Les tourbillons océaniques transportent la chaleur de la surface vers les profondeurs, mélangent également le CO2 et les sels nutritifs dissous dans l’eau et façonnent l’environnement dans lequel les animaux marins se nourrissent, se réchauffent et se déplacent. Le satellite d'altimétrie SWOT est capable d'observer ces tourbillons avec une précision encore jamais atteinte, à peine quelques kilomètres. Grâce à ce nouvel œil sur les océans, les scientifiques vont pouvoir étudier le rôle des petits tourbillons dans le climat et leurs liens avec les courants océaniques, mais aussi la création d’environnements favorables aux espèces marines.