𝗙𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 : 𝗹𝗲 𝗖𝗵𝗲𝗺𝘀𝗲𝘅 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝟴 𝘃𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗱’𝗘𝘂𝗿𝗼𝗽𝗲
🔎 La revue SWAPS dédie son dernier numéro au #Chemsex, mettant en avant des initiatives européennes à Amsterdam, Barcelone, Berlin, Bruxelles, Lisbonne, Londres, Paris et Zurich. Vous y trouverez un focus sur l'offre du Checkpoint Paris, centre de #santésexuelle dédié aux personnes LGBTI+ et travailleur.euses du sexe. 🌈
↪ Au Checkpoint Paris, les chemsexeurs ont la possibilité de rencontrer un médecin addictologue, un infirmier spécialisé en réduction des risques et/ou un médiateur de #santé, quelles que soient leurs motivations : évaluer, maîtriser, réduire et/ou arrêter. Maxime Odoul, infirmier coordinateur, présente le parcours pluriprofessionnel imaginé au sein de l'établissement, qui combine une approche sexologique, de #santémentale et en #addictologie.
🗣 « 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́ 𝑙’𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑𝑒𝑠 : 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒́ 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒, 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑥𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑓𝑠. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑡𝑖𝑔𝑚𝑎 (𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠, 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑔𝑎𝑦 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑟𝑑 𝑜𝑢 𝑒́𝑣𝑒𝑛𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠), 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑓𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠. » Découvrez-en plus sur le projet à la p°78 (lien vers la brochure en ligne dans les commentaires). 🤓
💡 Ne manquez pas non plus l'article sur l’apport des thérapies comportementales cognitives (#TCC) pour les usagers du chemsex, à travers le projet de Dorian Rolet, addictologue au Checkpoint Paris et à l'Hôpital Fernand Widal en p°22.
📢 Pour le Checkpoint Paris et le Groupe SOS Solidarités, travailler à réduire les risques et les dommages liés au chemsex est une priorité : c'est un enjeu de #santépublique auquel nous devons apporter des réponses qui associent à la fois les professionnel.les de l’addictologie, de la santé sexuelle et les membres de la communauté gay. Nous sommes aussi engagé.e.s pour lutter contre la stigmatisation des personnes pratiquant le chemsex, car le poids du stigmate les éloignent des offres de soin.
Nicolas Derche Virginie Fossé Chantal Mir Abdelka Boumansour #GroupeSOS
