Post de GS1 Algeria

l'armée de l'air et de l'espace est là aussi 👍

Un beau résumé de la contribution des Armées au dispositif de protection des #JOP2024.

De l’engagement au désengagement voici un bref aperçu de l’envers du décor de ces 7 derniers mois pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Il est temps pour moi de trouver un nouveau defi.

[ ⛴ 𝐅𝐋𝐎𝐓𝐓𝐄 𝐌𝐀𝐑𝐈𝐓𝐈𝐌𝐄 𝐂𝐀𝐍𝐀𝐃𝐈𝐄𝐍𝐍𝐄] La compétition n'est pas réservée qu'aux sportifs, les industries ont également droit à leurs compétitions ... 💪 ✍ "𝐒𝐨𝐮𝐬-𝐦𝐚𝐫𝐢𝐧𝐬 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐝𝐢𝐞𝐧𝐬 : 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚̀ 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐫𝐚𝐭𝐞𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐍𝐚𝐯𝐚𝐥 𝐆𝐫𝐨𝐮𝐩, 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬…" Après plusieurs années de rumeurs plus ou moins claires, le ministère canadien de la Défense a annoncé l’organisation d’une compétition internationale pour acquérir et mettre en œuvre 12 nouveaux sous-marins canadiens conventionnels pour remplacer les quatre sous-marins de la classe Victoria de la Royal Canadian Navy. Cette compétition représente la plus importante commande potentielle en matière de sous-marins conventionnels ces 30 dernières années, même la compétition australienne n’ayant porté, initialement, que sur huit coques. En outre, l’offre internationale est plus riche, ainsi que considérablement plus structurée, aujourd’hui, qu’elle ne l’était en 2015, lors de la compétition australienne. Ainsi, ce sont pas moins de six groupes industriels qui ont été identifiés pour devoir y participer : quatre européens, Kockums, Naval Group, Navantia et TKMS ; et deux asiatiques, Hanwha Ocean et Kawasaki. [...] La suite de cet article, écrit par Fabrice Wolf, est à découvrir sur le site de Méta-Défense ⬇ NAVAL GROUP Navantia Australia TKMS Industrial Hanwha Ocean 🖋 #SousMarins #CompétitionsStratégiques #Canada #Kockums #NavalGroup #Navantia #TKMS #HanwhaOcean #Kawasaki.

Certificat d'expérience. Mohammed Essnoussi Décembre 2010 à Novembre 2016 Ce certificat est délivré en reconnaissance de votre contribution au programme C-17 des Émirats arabes unis sur les bases aériennes de Minhad et d'Abou Dhabi. Votre contribution à la mise en place d'un programme très efficace de maintenance des équipements de soutien a été essentielle pour soutenir l'exploitation de l'avion et le programme de maintenance programmée. Votre travail acharné pour trier l'outillage et l'équipement de test pour le C-17 et établir un atelier d'outillage efficace a également été essentiel pour assurer un fonctionnement efficace de l'avion. Cela est également vrai pour le bon travail que vous avez effectué pour établir un programme d'étalonnage pour les outils et l'équipement de test et la maintenance de l'équipement de survie de l'équipage. Vos connaissances spécialisées et votre enthousiasme pour la mission ont permis à Boeing de mener à bien un programme très réussi. Vous devriez être fier à juste titre de l'énorme contribution que vous avez apportée. 24 novembre 2016 BOEING Andrew J. Taplor Boeing Base Manager

Après plusieurs années de rumeurs plus ou moins claires, le ministère canadien de la Défense a annoncé l’organisation d’une compétition internationale pour acquérir et mettre en œuvre 12 nouveaux sous-marins canadiens conventionnels pour remplacer les quatre sous-marins de la classe Victoria de la Royal Canadian Navy. Cette compétition représente la plus importante commande potentielle en matière de sous-marins conventionnels ces 30 dernières années, même la compétition australienne n’ayant porté, initialement, que sur huit coques.  En outre, l’offre internationale est plus riche, ainsi que considérablement plus structurée, aujourd’hui, qu’elle ne l’était en 2015, lors de la compétition australienne. Ainsi, ce sont pas moins de six groupes industriels qui ont été identifiés pour devoir y participer : quatre européens, Kockums, Naval Group, Navantia et TKMS ; et deux asiatiques, Hanwha Ocean et Kawasaki. De fait, quel qu’en soit le modèle et l’industriel retenus par Ottawa, la compétition annoncée par le ministère de la Défense canadien, aura le potentiel de profondément hiérarchisé le marché occidental du sous-marin conventionnel, voire de faire émerger un roi, en son sein.

- Un exercice militaire - Envergure : L’OTAN Nom de code : RAMSTEIN FLAG Superficie : Inégalée Objet : L’intéropérabilité Prises de parole : 🇫🇷 Fr / Sue 🇸🇪 (OTAN : Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) (Intéropérabilité : Capacité d'opérer conjointement en suivant les normes, règles et procédures et en utilisant des équipements similaires. Capacité d’agir collectivement de manière cohérente, efficace et efficiente pour atteindre des objectifs tactiques, opérationnels et stratégiques)

L'implémentation des standards OTAN, la première clé de l'interopérabilité technique entre les pays de l'Alliance. L'OTAN préconise souvent des standards pour faciliter l'interopérabilité technique des équipements de ses membres. La simulation instrumentée, sorte de "laser game" à très grande échelle n'échappe pas à ces préconisations. Tant mieux ! En effet, en implémentant ces standards, les simulateurs de tir de combat (STC) français nous permettent désormais de nous entraîner avec nos camarades de l'Alliance disposant de simulations instrumentées différentes, montés sur des engins de fabrication étrangère. L' implémentation des standards OTAN dans la simulation instrumentée française, c'est peut-être un petit pas pour la technologie mais c'est vraiment un grand pas pour l'entraînement des forces françaises avec leurs alliés.

Version intégrale Après plusieurs années de rumeurs plus ou moins claires, le ministère canadien de la Défense a annoncé l’organisation d’une compétition internationale pour acquérir et mettre en œuvre 12 nouveaux sous-marins canadiens conventionnels pour remplacer les quatre sous-marins de la classe Victoria de la Royal Canadian Navy. Cette compétition représente la plus importante commande potentielle en matière de sous-marins conventionnels ces 30 dernières années, même la compétition australienne n’ayant porté, initialement, que sur huit coques.  En outre, l’offre internationale est plus riche, ainsi que considérablement plus structurée, aujourd’hui, qu’elle ne l’était en 2015, lors de la compétition australienne. Ainsi, ce sont pas moins de six groupes industriels qui ont été identifiés pour devoir y participer : quatre européens, Kockums, Naval Group, Navantia et TKMS ; et deux asiatiques, Hanwha Ocean et Kawasaki. De fait, quel qu’en soit le modèle et l’industriel retenus par Ottawa, la compétition annoncée par le ministère de la Défense canadien, aura le potentiel de profondément hiérarchisé le marché occidental du sous-marin conventionnel, voire de faire émerger un roi, en son sein.