Depuis son arrivée en Région Martinique, Région Guadeloupe et Guyane, le virus Zika a déclenché la crainte d’une épidémie « explosive » selon l’Organisation Mondiale de la Santé. En France, le ministère de la Santé l’a passé au niveau 3 de surveillance, d’alerte et de gestion des épidémies, sur une échelle de 5. 📰 Notre article : https://lnkd.in/eqZsF43a . . #Zika #VirusZika #Epidémie ARS Martinique ARS Guadeloupe
Post de Harmonie Santé
Plus de posts pertinents
-
🚨 Guadeloupe en phase épidémique ☣ : Recrudescence des cas de Dengue et risques pour la Métropole. 🔎 Comment se transmet cette maladie et quels en sont les symptômes ❓ Voici un document destiné aux professionnels de Santé: 🛑 Rappel des modes de transmission et des principaux symptômes 🛑 Les messages clés de prévention 🛑Les tests biologiques recommandés 🛑 Les procédures de signalement des maladies à déclaration obligatoire. 💡 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻: La Dengue, le Chikungunya et le Zika, maladies potentiellement mortelles, sont importées par des voyageurs et transmis par le moustique tigre, elles nécessitent prévention et signalement précoce pour éviter la transmission locale. #DAC81 #Santé #Epidémie
Dengue, chikungunya, Zika : de la prévention au signalement. France hexagonale - Corse
santepubliquefrance.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
L’OMS a récemment déclaré une « urgence de santé publique de portée internationale » en raison de la propagation rapide du virus Mpox. ALIMA est au cœur de la réponse à cette crise. 🔴 Pourquoi cette épidémie est-elle particulièrement alarmante ? La République Démocratique du Congo (RDC), déjà fragilisée par des conflits armés et des épidémies comme le choléra, est aujourd’hui confrontée à une épidémie de Mpox d’une ampleur sans précédent. Ce virus, autrefois confiné à des zones endémiques, se répand rapidement. 🌍 Une menace qui dépasse les frontières de la RDC Le Mpox ne se limite plus à la RDC. Des cas sont signalés dans les pays limitrophes et commencent à apparaître dans d'autres régions du monde. La rapidité de sa propagation fait craindre une épidémie mondiale. Il est impératif d’agir maintenant pour freiner la diffusion du virus. 🚑 L’action d’ALIMA : une réponse rapide et efficace Dès les premiers signes de cette flambée épidémique, ALIMA a déployé des équipes pour intervenir dans les zones les plus touchées. À Kamituga, une ville minière à la frontière du Rwanda et du Burundi, nous avons mis en place un centre de traitement spécialisé, offrant des soins complets et gratuits aux patients. 🔍 Surveillance épidémiologique : une priorité pour contenir l’épidémie La surveillance épidémiologique est l’un des piliers de notre intervention. ALIMA joue un rôle clé dans l’identification rapide des cas suspects, assurant un suivi rigoureux et ajustant les interventions médicales en temps réel. Cette surveillance permet non seulement de mieux comprendre l’évolution de l’épidémie, mais aussi de prévenir sa propagation dans d’autres régions. 🤝 Une collaboration internationale pour une réponse globale Combattre le Mpox requiert une coopération à l’échelle mondiale. ALIMA collabore avec des partenaires tels que l’OMS, MEDAIR, l’Institut de Médecine Tropicale (IMT), et l’Institut National de Recherche Bactériologique (INRB) pour maximiser l’impact de nos interventions. Ensemble, nous partageons nos ressources et nos meilleures pratiques pour contenir cette épidémie. 🔧 Appui technique et logistique : des efforts pour renforcer notre capacité d’action ALIMA ne se contente pas d’intervenir sur le terrain. Nous contribuons également à l’installation d’infrastructures, comme des laboratoires à Katako, facilitant ainsi le diagnostic rapide des cas suspects. Nos équipes gèrent la collecte et l’analyse d’échantillons, assurant un suivi des contacts des cas confirmés pour limiter la propagation du virus. 💬 Sensibilisation et mobilisation communautaire En plus des soins médicaux, la sensibilisation des communautés locales est un volet crucial de notre intervention. Nos campagnes de sensibilisation, menées dans les villages reculés, visent à éduquer les populations sur les symptômes du Mpox et à les encourager à se rendre dans les centres de santé dès l’apparition des premiers signes. 💡 Pour en savoir plus sur notre action : https://bit.ly/3AAtnEa
Épidémie de Mpox : que fait ALIMA ?
https://alima.ngo
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Voici les chiffres 2023 des cas de transmissions de Chikungunya, Dengue et Zika en France métropolitaine. Avec 71 départements officiellement colonisés par le moustique tigre, les chiffres s'affolent d'une année sur l'autre. Néanmoins de nombreux cas proviennent de personnes ayant séjourné à la Guadeloupe, Martinique ou Réunion et déclarent la maladie une fois revenue en France métropolitaine. Que faire face à cette progression inexorable du moustique ? Combiner toutes les solutions de lutte comme la prévention, le piégeage, la surveillance renforcée et faire monter en compétence les professionnels 3D CS3D https://lnkd.in/eQN9K5M9
Chikungunya, dengue et zika - Données de la surveillance renforcée en France métropolitaine en 2023
santepubliquefrance.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le Brésil fait face à une nouvelle menace sanitaire qui suscite l’inquiétude des experts : la fièvre d’Oropouche. Ce virus tropical méconnu vient de faire ses deux premières victimes mortelles dans le monde, selon les autorités brésiliennes. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur cette maladie émergente qui pourrait devenir un enjeu majeur de santé publique. Qu’est-ce que la fièvre d’Oropouche ? La fièvre d’Oropouche est une maladie virale transmise par les piqûres de moustiques du genre Culicoides. Isolé pour la première fois en 1955 à Trinidad et Tobago, le virus Oropouche circulait jusqu’à présent de façon sporadique en Amérique du Sud et dans les Caraïbes, sans provoquer de décès. Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux de la dengue : Fièvre élevée Maux de tête Douleurs articulaires et musculaires Éruptions cutanées Nausées et vomissements Dans la plupart des cas, les patients guérissent spontanément en quelques jours. Mais les deux décès recensés au Brésil, chez des femmes jeunes sans comorbidités, suggèrent que certaines souches du virus pourraient provoquer des formes sévères, voire mortelles. Une épidémie localisée mais préoccupante Les deux victimes de la fièvre d’Oropouche résidaient dans l’État de Bahia, dans le nord-est du Brésil. Les autorités sanitaires ont lancé une enquête épidémiologique pour identifier l’origine de leur contamination et repérer d’éventuels autres cas. La survenue de cas mortels de fièvre d’Oropouche est très préoccupante, car cela n’avait encore jamais été documenté. Nous devons rester vigilants et tout mettre en œuvre pour contenir la propagation du virus. Dr Rodrigo Lins, responsable de la veille sanitaire de Bahia À ce jour, aucun traitement antiviral spécifique ni vaccin n’existent contre la fièvre d’Oropouche. La prévention repose donc essentiellement sur la lutte anti-vectorielle pour réduire les populations de moustiques vecteurs. Une menace à surveiller de près L’émergence de formes potentiellement mortelles de fièvre d’Oropouche est un signal d’alerte pour la communauté scientifique internationale. Ce virus longtemps considéré comme bénin pourrait constituer une nouvelle menace pour la santé publique, au même titre que d’autres arboviroses comme la dengue, le chikungunya ou zika. Les recherches vont s’intensifier pour mieux comprendre le virus Oropouche, son évolution et les facteurs de risque d’une éventuelle propagation à plus large échelle. Le renforcement de la surveillance épidémiologique et le développement d’outils de prévention et de traitement seront cruciaux pour contrer cette menace émergente. Alors que le monde reste en alerte face à la pandémie de Covid-19, cette épidémie de fièvre d’Oropouche au Brésil nous rappelle que de nombreux autres virus peuvent se réveiller et nous prendre au dépourvu. Plus que jamais, une veille sanitaire mondiale et coordonnée est indispensable pour identifier et endiguer au plus vite ces nouvelles menaces microbiennes. Th...
Le Brésil fait face à une nouvelle menace sanitaire qui suscite l’inquiétude des experts : la fièvre d’Oropouche. Ce virus tropical méconnu vient de faire ses deux premières victimes mortelles dans le monde, selon les autorités brésiliennes. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur cette maladie émergente qui pourrait devenir un enjeu majeur de santé publique. Qu’est-ce que la fièvre d’Oropo...
https://viralmag.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
L’Inde est en état d’alerte après la mort d’un adolescent de 14 ans, victime du redoutable virus Nipah dans l’État du Kerala. Les autorités sanitaires multiplient les mesures préventives face au risque d’une nouvelle épidémie de ce virus émergent hautement pathogène pour l’homme. Un cas mortel qui déclenche l’alerte C’est un véritable branle-bas de combat qui s’est mis en place dans le Kerala après l’annonce du décès d’un garçon de 14 ans des suites d’une infection par le virus Nipah. L’adolescent a succombé dimanche à un arrêt cardiaque à l’hôpital, quelques jours après l’apparition des symptômes. Les tests ont confirmé qu’il était porteur de ce dangereux virus zoonotique, transmis par certaines espèces de chauves-souris. Immédiatement, les autorités sanitaires de l’État ont lancé une vaste opération pour tenter de circonscrire le risque d’une propagation de la maladie. Des comités spéciaux ont été mis en place pour identifier et isoler les personnes ayant été en contact avec la victime. Selon les premières informations, 60 personnes ont d’ores et déjà été classées dans la catégorie “à haut risque de contamination”. Un virus émergent au potentiel épidémique Si le virus Nipah reste pour l’instant relativement méconnu du grand public, il est étroitement surveillé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en raison de son potentiel épidémique. Identifié pour la première fois en 1999 en Malaisie, il a depuis été responsable de plusieurs foyers de cas humains en Asie du Sud-Est, notamment au Bangladesh et en Inde. Le virus Nipah provoque chez l’homme une fièvre accompagnée d’une atteinte neurologique et pulmonaire pouvant être fatale. Il n’existe à ce jour aucun vaccin ou traitement spécifique, ce qui rend la maladie particulièrement difficile à combattre en cas d’épidémie. Selon l’OMS, le taux de létalité peut atteindre 75% chez les personnes infectées. À ce stade, le risque d’apparition du virus Nipah est minime. La situation sera surveillée au cours des 7 à 10 prochains jours. Dr Anoop Kumar, hôpital Aster MIMS de Calicut Le Kerala en première ligne Ce n’est malheureusement pas la première fois que le Kerala est confronté au virus Nipah. En 2018, une épidémie avait déjà touché cet État du sud de l’Inde, faisant 17 victimes. Une étude publiée en 2022 par des chercheurs américains a même identifié le Kerala comme l’une des régions du monde les plus à risque pour l’émergence de ce type de virus. Face à cette menace, les autorités locales tentent de réagir rapidement pour éviter une nouvelle catastrophe sanitaire. Plus de 200 personnes sont actuellement sous surveillance médicale. Des échantillons ont été prélevés sur des chauves-souris et d’autres animaux pour tenter de déterminer l’origine de ce nouveau cas. Toutes les précautions sont prises dans les hôpitaux pour éviter une propagation nosocomiale du virus. Il est encore trop tôt pour savoir si ce cas isolé marquera le début d’une nouvelle épidémie de Nipah en Inde. Mais ...
L’Inde est en état d’alerte après la mort d’un adolescent de 14 ans, victime du redoutable virus Nipah dans l’État du Kerala. Les autorités sanitaires multiplient les mesures préventives face au risque d’une nouvelle épidémie de ce virus émergent hautement pathogène pour l’homme. Un cas mortel qui déclenche l’alerte C’est un véritable branle-bas de combat qui s’est mis en place dans le Ker...
https://viralmag.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Une menace sanitaire émergente vient d’être identifiée en Europe. La Suède a confirmé ce jeudi 15 août le premier cas hors d’Afrique d’un nouveau variant mortel du mpox, une maladie virale qui peut s’avérer fatale. Ce variant du sous-type Clade 1, jusqu’alors cantonné au continent africain, fait craindre une propagation au reste du monde. Un variant hautement létal détecté en Suède Le ministère suédois de la Santé a annoncé avoir identifié un cas d’infection par le variant Clade 1 du mpox chez une personne ayant récemment séjourné dans une région d’Afrique touchée par une importante épidémie. Ce variant, réputé pour sa létalité élevée de 3,6%, n’avait jusqu’alors jamais été détecté hors du continent africain. Nous estimons que la Suède est bien préparée pour diagnostiquer, isoler et traiter les personnes atteintes de mpox de manière sûre et efficace. – Olivia Wigzell, cheffe par intérim de l’agence suédoise de santé publique Malgré l’assurance affichée par les autorités suédoises, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’inquiète d’une possible propagation de ce variant mortel en Europe dans les prochains jours ou semaines, via des cas importés. Une maladie émergente qui progresse Anciennement connue sous le nom de “variole du singe”, le mpox est une maladie virale qui se transmet de l’animal à l’homme, mais aussi par contact étroit avec une personne infectée. Découverte en 1970 en République Démocratique du Congo, son incidence n’a cessé d’augmenter ces dernières années. Plus de 13 000 cas recensés en Afrique depuis début 2024, en hausse de 160% par rapport à 2023 Deux variants connus : Clade 1 en Afrique centrale et Clade 2 en Afrique de l’ouest Clade 1b, une souche émergente et préoccupante identifiée par des chercheurs à Kinshasa Contrairement aux variants précédents caractérisés par des lésions localisées, le Clade 1b provoque des éruptions cutanées généralisées sur l’ensemble du corps. Un tableau clinique aggravé qui soulève l’inquiétude de la communauté médicale internationale. L’Europe en état d’alerte Suite à la détection de ce premier cas de Clade 1 hors d’Afrique, le bureau Europe de l’OMS appelle à la vigilance. Avec l’intensification des échanges internationaux, notamment des voyages depuis les zones affectées, le risque d’importation de nouveaux cas en Europe est jugé élevé. La confirmation du mpox du sous-type clade 1 en Suède reflète clairement l’interconnexion de notre monde (…) Il est probable que d’autres cas importés de clade 1 soient enregistrés dans la région européenne au cours des prochains jours et des prochaines semaines. – Communiqué OMS Europe Pour l’heure, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estime ce risque “très faible” pour la population générale. Cependant, la détection de ce variant mortel en Europe constitue un signal d’alerte préoccupant. Les autorités sanitaires du continent sont mobilisées pour renforcer la surveillance et détecter au ...
Une menace sanitaire émergente vient d’être identifiée en Europe. La Suède a confirmé ce jeudi 15 août le premier cas hors d’Afrique d’un nouveau variant mortel du mpox, une maladie virale qui peut s’avérer fatale. Ce variant du sous-type Clade 1, jusqu’alors cantonné au continent africain, fait craindre une propagation au reste du monde. Un variant hautement létal détecté en Suède Le mini...
https://viralmag.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Sales Representative 👉 #deleguehospitalier#keyaccounmanager#commercial#deleguecommercial#salesrep#france🔥
➡️ Un comité de + que je ne connaissais pas, et vous? le COVARS Comité d’Orientation de la Veille et de l’Anticipation des Risques Sanitaires- Créé en juillet 2022. Principales fonctions : 🔸Veille 🔸Anticipation des risques 🔸 Proposition de mesures préventives Menaces Identifiées par le COVARS 🔍Zoonoses : Les maladies transmises de l'animal à l'homme, comme certaines formes de grippe aviaire ou la rage, qui continuent de poser un risque sérieux. 🔍Arboviroses : Les maladies transmises par les piqûres d'insectes, principalement des moustiques, comme la dengue, le chikungunya, ou le virus Zika. Infections Respiratoires Pandémiques : Des maladies respiratoires hautement contagieuses et potentiellement pandémiques, telles que celles causées par de nouveaux virus de la grippe. Avec 35 maladies identifiées, dont certaines sont classées à haut risque, COVARS souligne l'urgence de renforcer le système de santé français pour être mieux préparé et prévenir toute crise sanitaire majeure. L'accent est mis sur la nécessité d'une coordination efficace entre les différentes institutions de santé et les autorités gouvernementales pour optimiser les réponses aux menaces sanitaires identifiées.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Actuellement, quasiment toutes nos provinces seraient touchées par ce virus mpox; sept des 35 zones de santé de Kinshasa sont désormais touchées. Depuis le début de l'année 2024, le nombre de décès liés à l'épidémie de mpox s'élève à 548, à ce jour. Face à cette situation préoccupante, un Plan stratégique mondial de préparation et de riposte a été lancé par l'OMS. Ce plan vise à mettre fin aux flambées de transmission interhumaine de mpox grâce à des efforts concertés aux niveaux mondial, régional et national. Les principales stratégies de contrôle de l'épidémie incluent : 1. Une sensibilisation claire et rapprochée de la population par les relais communautaire dans les milieux ruraux et urbains afin d'éviter la désinformation. 2. Une surveillance renforcée et une détection précoce des cas. 3. Des capacités décentralisées de test et le développement des tests rapides. 4. La disponibilité des traitements: A ce jour, la République Démocratique du Congo dispose de plus de 15.000 kits de médicaments permettant d’assurer la prise en charge totale des malades identifiés. 5. L'isolement et traitement des personnes infectées et la recherche des contacts. 6. La vaccination des populations les plus exposées: Grâce à Africa CDC et à l’aide de l'Union Européenne, le gouvernement a déjà pu sécuriser 215 000 doses sur les près de 3 millions de doses prévues. 7. Des mesures de prévention et de contrôle des infections dans les établissements de santé. En RDC, les autorités sanitaires disposent déjà d'une stratégie de réponse efficace face à l'épidémie de mpox, en termes de prévention, de diagnostic rapide, de prise en charge des cas et des contacts, et de vaccination. Cependant, en cette rentrée scolaire, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour endiguer la transmission dans les zones les plus touchées et déjà identifiées. #mpox #epidemie #RDC #Kinshasa #AfricaCDC #OMS
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Santé publique : le virus Mpox sous surveillance internationale Le 14 août 2024, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré que la circulation active du Mpox de clade I en Afrique centrale constituait une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). 🔍 Contexte épidémiologique : Le Mpox, anciennement appelé variole du singe, est un virus zoonotique, endémique en Afrique centrale et de l'Ouest. Le clade 1b, sous-variant du clade 1, est associé à une létalité plus élevée que celle des autres clades. Il est responsable d'une épidémie majeure en République Démocratique du Congo (RDC) tout en se propageant dans plusieurs pays, avec un cas récent signalé en Suède. 💉 Présentation clinique : Après une incubation de 5 à 21 jours, les symptômes les plus fréquents incluent une éruption cutanée unique, fièvre, céphalées, et adénopathies. Les formes graves touchent principalement les immunodéprimés, les femmes enceintes et les enfants. 🔗 Voies de contamination : Le virus se transmet par contact direct avec les liquides biologiques ou lésions, les gouttelettes respiratoires lors d'un contact prolongé, ou indirectement via les vêtements ou le linge. 🔒 Mesures de protection : Tout contact direct avec les lésions cutanées ou les liquides biologiques des personnes infectées doit être évité. Le port du masque est recommandé en cas de contact prolongé en face à face, et une attention particulière doit être portée à l'hygiène des mains et à la désinfection des surfaces partagées, comme les vêtements et le linge. Le 2 septembre, la Haute Autorité de Santé (HAS) a publié un avis pour répondre à des objectifs de prévention contre l’émergence du clade 1, de réduction de la circulation du clade 2 en France, et de renforcement de l’immunité à long terme. #SantéPublique #Mpox #OMS #Epidémiologie #UrgenceSanitaire #Prévention
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Surveillance épidémiologique en #IDF pour S27 (01 au 06 juillet 2024) ▶️ #arboviroses En IDF : 131 cas confirmés de #dengue, 2 cas de #zika, 1 cas de #chickungunya et 1 cas de ci-infection (dengue/chick) tous importés ▶️ #coqueluche Augmentation importante des consultations en ville et aux urgences hospitalières depuis le début du 2ème trimestre 2024 ▶️ #SARSCOV2 #COVID19 Diminution des indicateurs des recours aux soins d’urgence en ville (#sosmedecins) et aux urgences hospitalières ▶️ #rougeole #measles Depuis la S22 et en S27, l’incidence hebdomadaire des cas déclarés était stable : 84 cas de #rougeole déclarés en IDF depuis le début 2024 (système de surveillance basé sur les déclarations obligatoires) ▶️ #asthme Diminution des indicateurs liés à l’asthme à la suite du pic observé en S26 Point Épidémio régional disponible en ligne sur le site de Santé publique France ▶️ https://lnkd.in/ekmhUyBi
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
7 343 abonnés