Post de Heal The World Organisation Non Gouvernementale

Nous soulignons aujourd’hui la Journée nationale des peuples autochtones! Cet événement, qui s’inscrit dans le Mois national de l’histoire autochtone, est l’occasion d’en apprendre davantage sur le patrimoine, l’histoire et les cultures des Premières Nations, des Inuit et des Métis.     On en profite pour vous inviter à consulter le site Web « Mythes et réalités sur les peuples autochtones » de l’Institut Tshakapesh pour en apprendre plus sur la réalité des peuples autochtones! https://lnkd.in/ensbdUDe     Vous y apprendrez notamment que :     👉La nation Malécite emploie désormais le terme Wolastoqiyik pour s’identifier;  👉Le Québec compte 11 nations autochtones;  👉Les personnes autochtones se définissent généralement en fonction de leur nation (ex. : Innue, Atikamekw, Inuit et autres) avant de se considérer Autochtones;  👉Contrairement aux idées répandues, plusieurs communautés des Premières Nations encadrent de façon rigoureuse les activités de chasse et de pêche et de protection de la faune. 

Une démarche essentielle pour construire des sociétés inclusives, résilientes et harmonieuses. Renouvelons les qualités perdues de la diversité culturelle et de la cohésion sociale. #unisdansladiversite #cohésionsociale #CramCram UNESCO MALI

Diaspora, mondialisation et développement de l’Afrique Et si la diaspora Africaine rimait avec solidarité internationale et développement ? De la notion de diaspora⁉️(I) Le mot diaspora, qui signifie « dispersion », vient du grec sporo qui veut dire « graine » ou de speira signifiant « semer ». À l’origine, le terme était utilisé pour désigner « la dispersion des établissements helléniques autour de la Méditerranée depuis des temps anciens » La notion de diaspora désignait précisément la migration des savants grecs expatriés et diffusant à travers le monde la culture hellénique. En effet, dans le domaine des sciences, l’émigration des savants, ou « l’exode des cerveaux », est un fait historique bien connu dans l’Antiquité grecque. Il s’agit d’un phénomène que l’on peut d’ailleurs qualifier d’universel. Dans la tradition biblique, le terme a ensuite été utilisé pour désigner la « dispersion des Juifs » et enfin parler des peuples ne disposant plus de territoire national autonome, comme les Palestiniens ou les Kurdes. Mais depuis les années 1980, la géographie a recours à la notion de diaspora pour nommer les communautés nationales migrantes en interaction entre elles et avec le pays d’origine. Cette définition met ainsi l’accent sur la territorialité particulière de cette forme d’organisation sociale qu’est la diaspora. De manière générale, on met en évidence trois grands secteurs dans lesquels s’opère l’interaction diasporas-pays d’origine : 1) le secteur du développement local ; 2) le secteur des affaires ; 3) le secteur de la science et de la technologie (S&T). Dans cette perspective, la diaspora renvoie à la « multipolarité » de la migration et à l’« interpolarité » des relations. Enfin, la diaspora se caractérise fondamentalement par l’existence RÉSEAU. Mise en commun des relations, des divergences, des opportunités au service de notre terre mère l’AFRIQUE. L’Afrique t’attend 👉🏾

LA CULTURE AU SERVICE DES INDÉPENDANCES DES PAYS AFRICAINS. L'histoire de la colonisation a tellement désolé la vie des populations africaines que jusqu'à présent, plusieurs zones d'ombre ne cessent de planer dans l'imaginaire des africains, sur le pourquoi du comment de l'assujettissement et de l'exploitation dont ils étaient l'objet. Cette colonisation qui s'était inscrite dans un rapport dominés et dominateurs, me plongeant dans le contexte historique de l'époque, sur base de mes recherches et mon analyse, je vais essayer de démontrer dans quelle mesure la prise de conscience de leur histoire et de leur culture a pu motiver les africains à demander leurs indépendances. En effet, l'histoire me rappelle que le terme "aculturation" a subi volontairement plusieurs mutations historiques. Pendant la colonisation, un africain acculturé était considéré comme un évolué ,"un civilisé, voire un " je les connais ".C'était une vision européenne d'une Afrique sauvage, justifiant, de ce fait, leur mission d'une Europe civilisée vers un continent privé de tout contact, sans écrits, ni de culture ou d'histoire. Les africains devaient donc reconnaître l'apport évangélisateur et civilisateur de l'Occident qui les a permis à sortir de leur état de primitivité et de sauvagerie pour entrer dans la modernité. Après plusieurs analyses effectuées par les ethnologues et anthropologues, le terme"acculturé" va finalement signifier quelqu'un qui est imprégné par la culture occidentale. Après avoir nié pendant longtemps l'existence d'une histoire de l'Afrique, les Occidentaux découvrent enfin, une culture africaine unitaire. C'est à partir des années 60 que la reconnaissance historique et culturelle de l'Afrique va apparaître à travers les écrits des africains, jusqu'à motiver les leaders africains à demander leurs indépendances. La notion de culture va donc prendre un autre sens, d'autant que nous sommes désormais dans la conception nationaliste de la culture. C'est alors qu'apparaîtra vers les années 75, l'ère de la dénonciation de ce joug colonial qui va faire naître, à travers la mauvaise interprétation du vocable "acculturé", chez les africains, un sentiment de valorisation de leur passé, la volonté d'en faire une histoire nationale, ainsi que la fierté d'apparaître modernes et semblables aux anciens Etats et Empires africains. A partir de là, ils étaient également dignes de figurer dans la communauté internationale, emmenant dans leurs valises les attributs et les modèles des Occidentaux. Désormais, le vocable "aculturation" sera utilisé par les africains dans son vrai sens du mot, et par conséquent, sera répugné farouchement puisqu'il insunie quelqu'un qui est assimilé par une culture étrangère, tout en reniant la sienne.

La paix ne peut être atteinte que lorsque nous apprenons à nous comprendre et à nous respecter les uns les autres, malgré nos différences. C'est en écoutant attentivement, en pratiquant l'empathie et en faisant preuve de compassion que nous pouvons construire des ponts solides entre les individus et les communautés. Chaque acte de gentillesse, chaque geste de générosité, est une graine que nous semons pour un avenir meilleur. Chaque fois que nous choisissons la tolérance au lieu du jugement, la réconciliation au lieu de la vengeance, nous contribuons à nourrir ces graines et à faire croître un monde plus paisible et plus juste pour tous. En cette période de crise, il est facile de se sentir impuissant, mais il est important de se rappeler que même les plus petites actions peuvent avoir un impact significatif. Que ce soit en tendant la main à un voisin dans le besoin, en participant à des initiatives de dialogue interculturel ou en défendant les droits des plus vulnérables, nous avons tous le pouvoir de faire une différence. Bonne journée ! #MysterDesking Goethe-Institut Burkina Faso Save the Children International

L'acculturation en Haïti est un phénomène complexe qui a des implications profondes sur l'identité culturelle du pays. En tant que nation ayant une histoire marquée par l'esclavage, la colonisation et l'indépendance, Haïti a développé une culture unique, profondément enracinée dans les traditions africaines, mais aussi influencée par des éléments européens, notamment français, et plus récemment par l'hégémonie culturelle américaine. L'acculturation se manifeste par une tension constante entre la préservation des traditions haïtiennes et l'adoption des pratiques culturelles étrangères. L'influence grandissante de la culture occidentale, à travers les médias, la mode, la musique et les technologies, contribue à une érosion progressive des valeurs culturelles locales. Par exemple, la langue créole, pourtant essentielle à l'identité haïtienne, est souvent dévalorisée par rapport au français, perçu comme la langue de la modernité et de l'élite. Ce processus d'acculturation a également un impact sur les valeurs sociales. Les normes et comportements occidentaux, souvent idéalisés, ont transformé les perceptions locales sur la famille, la religion et le travail. Les jeunes, en particulier, sont de plus en plus attirés par les modèles étrangers, parfois au détriment de leur propre patrimoine culturel. Le principal défi est de maintenir un équilibre entre l'ouverture au monde et la préservation des traditions locales. Si l'acculturation n'est pas gérée de manière proactive, elle risque d'entraîner une perte de repères identitaires pour de nombreuses personnes. Il est donc crucial de promouvoir l'éducation culturelle et la valorisation du patrimoine haïtien pour éviter que cette influence extérieure ne conduise à une dilution de l'identité nationale. #culture #Haiti #culturelocale #patrimoine #acculturation

🧡Le solstice d’été revêt un caractère symbolique important pour de nombreuses communautés autochtones. C’est pourquoi le 21 juin, jour le plus long de l’année, a été proclamé Journée nationale des peuples autochtones. Elle marque un temps pour reconnaître l’histoire, le patrimoine, la résilience et la diversité des Premières Nations, des Inuit et des Métis à travers le Canada. C’est également le moment pour prendre acte des impacts qu’ont eu certains projets sur les communautés autochtones et leurs territoires ancestraux, et de s’assurer de mettre en place des processus qui tiennent compte de leurs voix et de leurs savoir-faire. « Obtenir l’acceptabilité sociale d’une communauté en amont d’un projet est aujourd’hui essentiel et permet de favoriser un développement harmonieux et durable, explique Mario Cantin, Directeur Environnement, Est du Canada. L’adoption de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) en tant que cadre de réconciliation a constitué une étape importante en ce sens. » La DNUDPA implique les actions suivantes : ☀ S’engager dans des consultations significatives. ☀ Obtenir le consentement libre, préalable et éclairé des peuples autochtones. ☀ Assurer un accès équitable aux possibilités qu’offrent les projets. ☀ Garantir des avantages durables à long terme pour les communautés. « Les peuples autochtones possèdent une autonomie gouvernementale avec leurs propres lois, politiques et intérêts, rappelle Jean-Francois Bourque, chef de service en environnement pour l’est du Canada. Il est crucial de les considérer avec le sérieux et le respect que cela implique. C’est évidemment dans l’intérêt du projet, mais c’est aussi une façon très concrète de s’engager sur la voie de la réconciliation. » Les Premières nations, Inuit et Métis ont un savoir millénaire du territoire sur lequel nous évoluons. Ils en connaissent le fin détail et en sont les gardiens depuis des générations. Le développement des ressources naturelles passe sans équivoque par des partenariats où leurs voix sont entendues, valorisées et mises à contribution. Joyeuses célébrations! #NIPD2024

l'éducation...

[Journée internationale de la Paix 24] ACTE 30 <<Éduquer en faveur de la Paix, c'est créé un monde pacifique, équitable et harmonieux pour un développement durable>> - Rodrigue HOUNKPOSSO Cette phrase souligne l'importance de l'éducation pour la paix dans la construction d'un monde plus juste, paisible et durable. Pour notre ardent défenseur de la Paix Rodrigue HOUNKPOSSO, il est important de mettre l'accent sur le fait que l'éducation en faveur de la paix est une clé essentielle pour : 1. Créer un monde pacifique : - L'éducation pour la paix vise à promouvoir des valeurs telles que le respect, la tolérance et la résolution non-violente des conflits. Cela permet de construire une société où règne la paix et l'harmonie entre les individus et les communautés. 2. Établir l'équité : - L'éducation pour la paix encourage l'égalité des chances, la justice sociale et le respect de la dignité humaine. Cela contribue à réduire les inégalités et les disparités au sein de la société. 3. Favoriser un développement durable : - En éduquant les gens à la paix, on les sensibilise à l'importance de préserver l'environnement, d'utiliser les ressources de manière responsable et de construire une société qui répond aux besoins du présent sans compromettre ceux des générations futures. Ainsi, Rodrigue souligne que l'éducation pour la paix est un outil puissant pour façonner un monde plus juste, plus équitable et plus durable, où le développement social, économique et environnemental va de pair avec la paix et l'harmonie. Pour la Paix, engageons-nous! La Paix, l'Afrique y gagne! #100JourPourlaPaix #HD4P

🌍 Journée mondiale de la Paix : La jeunesse en première ligne pour un avenir meilleur 🕊️ Aujourd'hui, en cette Journée mondiale de la Paix, je veux rappeler combien la paix est cruciale pour la jeunesse. Dans un monde sans conflits, les jeunes peuvent s'éduquer, travailler et construire une société plus juste. Mais face aux défis, c'est notre énergie, notre créativité, et notre engagement qui feront la différence. Les jeunes sont les architectes de demain, capables de transformer leur environnement par des initiatives de paix, que ce soit au sein de leurs communautés ou à travers des actions globales. Avec des organisations comme Global Peace Chain, nous avons les outils pour nous former, nous unir, et agir. L'éducation et la transmission des valeurs de tolérance et de respect sont essentielles pour bâtir une culture de paix. C'est en apprenant à vivre ensemble dès le plus jeune âge que nous pourrons surmonter les défis de notre temps. Je vous invite tous à être des ambassadeurs de paix. Ensemble, faisons de chaque jour une occasion de construire un monde plus serein et prometteur pour les générations à venir. #WorldPeaceDay #YouthForPeace #PeaceBuilders #GlobalUnity #PeaceAndHope #YouthLeadership #TogetherForPeace #BuildABetterFuture #PeaceInAction #GlobalPeaceChain