Post de IA Medical

I APPEL À TÉMOIGNAGES I #PasTousLesHommesMais... Chaque fois que l'on dénonce les violences faites aux femmes, il y a toujours cette réponse : "Ce ne sont pas tous les hommes." Oui, ce ne sont pas tous les hommes, mais la majorité des agressions sont commises par des hommes. Et trop souvent, ces hommes ne sont pas des inconnus dans la rue, mais des collègues, des amis, des partenaires, ou des membres de la famille (frère, père, cousin, oncle, grand-père, etc.)👫. Le problème n'est pas de généraliser, mais de reconnaître une réalité alarmante ⚠️. Derrière ces violences se cachent des visages familiers, des personnes de confiance qui trahissent cette même confiance. Nous ne pouvons plus ignorer cette réalité. Avez-vous été victime d'agressions ou de violences par quelqu’un de votre entourage ? Un ami, un proche, quelqu’un que vous connaissiez bien ? Nous vous invitons à partager votre histoire 📢, anonymement si vous le souhaitez, pour que d’autres femmes sachent qu'elles ne sont pas seules et que ce fléau ne reste pas invisible. Vos témoignages peuvent aider à briser le silence 🤫 et à faire comprendre l’ampleur du problème. Envoyez-nous vos récits par message privé 📩, en commentaire 💬 ou à notre adresse e-mail 📧 : laligue225@gmail.com Ensemble, faisons entendre nos voix ✊ #laligue #stopvbg #violencesfaitesauxfemmes #vgb #pastousleshommesmais #feminicides

Ce témoignage est bouleversant et met en lumière une faille inacceptable dans notre système judiciaire. Comment est-il possible qu’un enfant ayant eu le courage immense de libérer sa parole continue d’être exposé à son agresseur potentiel ? 🔶 Protéger les enfants doit être une priorité absolue. Dès le dépôt de plainte, des mesures immédiates devraient être prises pour garantir leur sécurité et leur bien-être, sans attendre une enquête souvent trop longue. Une ordonnance de protection devrait être systématique. 🔶 L’enfant victime ne doit pas être le prisonnier du système. Le temps judiciaire ne peut pas primer sur le principe de précaution. Ces délais exposent les enfants à des risques psychologiques et physiques supplémentaires, aggravant les traumatismes qu’ils subissent déjà. 🔶 Ce n’est pas à l’enfant de supporter la charge de cette situation : c’est à la société et aux institutions de les protéger. En 2025, nous ne pouvons plus tolérer que des situations comme celles-ci soient encore possibles. Il est urgent de réformer le cadre législatif pour : 1️⃣ Mettre en place une protection immédiate dès qu’une révélation de violences est faite. 2️⃣ Former les magistrats à mieux comprendre les enjeux des violences intrafamiliales. 3️⃣ Faire de la sécurité de l’enfant une priorité absolue, en mettant en place des espaces sécurisés pour leur suivi. Parce qu’un enfant qui parle doit être écouté et protégé, et non mis en danger une seconde fois. 🙏

I APPEL À TÉMOIGNAGES I #PasTousLesHommesMais... Chaque fois que l'on dénonce les violences faites aux femmes, il y a toujours cette réponse : "Ce ne sont pas tous les hommes." Oui, ce n’est pas tous les hommes, mais la majorité des agressions sont commises par des hommes. Et trop souvent, ces hommes ne sont pas des inconnus dans la rue, mais des collègues, des amis, des partenaires, ou des membres de la famille (frère, père, cousin, oncle, grand-père, etc.)👫 Le problème n'est pas de généraliser, mais de reconnaître une réalité alarmante ⚠️. Derrière ces violences se cachent des visages familiers, des personnes de confiance qui trahissent cette même confiance. Nous ne pouvons plus ignorer cette réalité. Avez-vous été victime d'agressions ou de violences par quelqu’un de votre entourage ? Un ami, un proche, quelqu’un que vous connaissiez bien ? Nous vous invitons à partager votre histoire 📢, anonymement si vous le souhaitez, pour que d’autres femmes sachent qu'elles ne sont pas seules et que ce fléau ne reste pas invisible. Vos témoignages peuvent aider à briser le silence 🤫 et à faire comprendre l’ampleur du problème. Envoyez-nous vos récits par message privé 📩, en commentaire 💬 ou à notre adresse e-mail 📧 : laligue225@gmail.com Ensemble, faisons entendre nos voix ✊

Notallmen, mais combien ? Quand l’affaire des viols de Gisèle Pélicot a été dévoilée, j’ai été atterrée comme tout le monde par le nombre des agresseurs. S’il était aussi simple de recruter plus de 50 hommes à quelques kilomètres à la ronde, prêts à violer une femme droguée et endormie, c’est que les violeurs sont PARTOUT. Alors, j’ai cherché des données ou des études sur les auteurs … et il n’y en a presque pas. La majorité des études portent sur les victimes. L’auteur est invisible, c’est un impensé. Alors je me suis posé la question : notallmen, ok, on le sait toutes. Mais combien ? Face à cette absence de données, j'ai décidé de tenter d'en estimer le nombre.  Je suis partie de chiffres solides sur les victimes et j’ai fait des hypothèses sur les données manquantes. Point méthodologique à destination de ceux qui vont immédiatement vouloir pinailler : à chaque fois que j'ai dû faire une hypothèse ou trancher entre deux sources, j'ai choisi à chaque fois l'hypothèse la plus basse, c'est-à-dire celle qui minimise le nombre d'auteurs. Enfin, l’un des objectifs de ce post est également de recenser des sources, études ou enquêtes qui auraient pu m’échapper. Donc si certain·es ont des études sur le sujet des hommes auteurs de violence, n’hésitez pas à me les envoyer !  Question #1: combien d’hommes auteurs de viol conjugal en France ? Partons des données de l’enquête “Viols et violences sexistes” de la Fondation Jean Jaurès de 2018* dont voici les principaux enseignements : 12% des femmes disent avoir subi au moins 1 viol au cours de leur vie, soit 3,4 millions de femmes victimes de viol en France 31% de ces femmes ont été violées par leur conjoint, soit 1 million de femmes victimes de viol conjugal Par définition, les auteurs étant les conjoints de ces femmes, un grand nombre d’entre eux feront une seule victime et les autres plusieurs. Mon hypothèse : Les auteurs violent entre 1 et 2 femmes dans leur vie Soit une moyenne de 1,5 victimes par auteur. Cette hypothèse nous amène à un résultat de 700 000 hommes auteurs de viol conjugal (1 million /1,5 = 700.000) Etant donné qu’il y a 25 millions d’hommes de plus de 18 ans en France, cela fait 2,5% de la population masculine auteur de viol conjugal. Dis comme ça, ça ne semble pas énorme, mais si je vous dis que cela fait donc un homme sur quarante ? Posez-vous la question : combien d’hommes connaissez-vous via le travail, les amis, la famille ? Un sur quarante, cela signifie que tous et toutes, nous connaissons et fréquentons des hommes qui violent leur conjointe. Alors, certainement notallmen, mais assez pour qu’on ait toutes peur. La prochaine question #2 : combien d’hommes incesteurs en France ?

🔶 Merci à la journaliste Romane Brisard pour son article très complet sur les mères protectrices. 🔶 Priscilla Majani a cru son enfant qui dénonçait l’inceste paternel. Elle a déposé plainte mais aucune enquête sérieuse n’a été effectuée et sa plainte a été classée sans suite. Elle a décidé de fuir avec son enfant. Onze ans plus tard elle a été retrouvée et arrêtée. Résultat, elle a été condamnée à 2 ans et 9 mois ferme pour soustraction d’enfant. Alors que sa fille maintient ses accusations contre son père et qu’il n’y a toujours pas eu d’enquête sérieuse. 🔶 « Si 160 000 mineurs subissent des violences sexuelles chaque année, plus de 73 % des plaintes sont classées sans suite, et seules 3 % de celles pour viols sur mineurs débouchent sur une condamnation. » « La justice prononce en moyenne 700 condamnations par an pour [non-représentation d’enfant], à 80 % contre des femmes. » Lorsqu’un enfant dénonce il faut appliquer le principe de précaution et éloigner le potentiel agresseur, et cela dès les révélations, dès la plainte ou le signalement. Actuellement les violences sur les enfants sont invisibilisées par un système qui devrait au contraire les protéger. 🔶 « Le risque réel auquel sont confrontés les professionnels intervenant dans le champ pénal ou celui de la protection de l’enfance n’est pas d’inventer ou de surinterpréter des révélations de violences sexuelles subies, mais au contraire de laisser passer sous leurs yeux des enfants victimes sans les protéger. » Juge Édouard Durand, ancien co-président de la commission inceste 👉 https://lnkd.in/eT5MkYBR 👉 https://lnkd.in/esfTvZbE #inversionaccusatoire #doublepeine #sapepasmaparole #mère #famille #JauraisFaitCommeElle #PriscillaMajani #principedeprecaution #justicepourmes4enfants #Metoomereprotectrice #metoo #inceste #MeTooInceste #violencessexuelles #vss #viol #viols #droitsdelenfant #violencesfaitesauxenfants #violencesintrafamiliales #vif #violencesfamiliales #MetooASE

"C’est une adolescente mal dans sa peau, elle dit cela pour attirer l’attention" 🖤 Les #enfants sont aussi #victimes de violence dans la sphère familiale : 12 enfants mineurs sont décédés en 2022, victimes d’#infanticide. Toutes les 3 minutes un enfant est victime d’inceste, de viol ou d’agression sexuelle. Plus de 50 000 enfants et adolescents sont victimes de #maltraitance que ce soit physique, psychologique, par négligence des besoins ou pour abus ou sollicitation à connotation sexuelle." Bien qu'on admette que les femmes puissent être auteures de violences sur des enfants, dans les représentations collectives on continue à se représenter comme sur cette affiche de prévention l'auteur des violences comme un homme. Cela pour des raisons statistiques (la majorité de ces faits est initiée par des hommes) mais également culturelles(l'instinct maternel, la douceur perçue comme attachée à la condition féminine), tout cela fait que l'homme reste le premier suspect. Pour quiconque en doute, un simple coup d'œil aux brochures visibles dans une salle d'attente de gendarmerie suffira à s'en convaincre. S'il ne s'agissait que de l'égo masculin cela ne serait pas si grave, mais cela peut parfois contribuer à une minimisation des faits de violences rapportés par des enfants si l'auteure des faits est une femme et donc à une mise en danger de l'enfant. Cela m'a amené moi-même à sous estimer la violence à laquelle mes filles ont été exposées pendant plus d'un an. C'est ce que je raconte dans cet extrait de "Tourner la page" https://lnkd.in/eSxxn3ZY Kevin Verheecke Brice Faynot #famille #prévention #violence #patriarcat #féminité #instinctmaternel

“Il serait temps qu’un grand nombre d’hommes deviennent acteurs de prévention” L’affaire de viols de Mazan peut-elle faire bouger la société ? Oui,cela va faire partie des procès emblématiques qui laisseront des traces dans les mentalités…Ils font avancer.L’ampleur du procès Pelicot, du nombre d’agresseurs,de ce crime abject nous ramène à la culture du viol qui est dans l’air.On reparle du viol différemment.. Enfin,ce sont les agresseurs qui sont désignés comme coupables, comme responsables pleinement,ce n’est plus la victime. #notallmen? Alors, on dit “pas tous les hommes”, d’accord, mais quand même : beaucoup d’hommes savent, sont au courant, regardent de la pornographie, acceptent,tolèrent les actes sexistes de leurs collègues.Effectivement, tous les hommes ne sont pas des violeurs et des agresseurs, mais il serait temps qu’un grand nombre d’hommes deviennent acteurs de prévention et empêchent leurs cousins, leurs frères,leurs amis d’avoir des attitudes sexistes, de tenir des propos de harcèlement ou agressent.Un homme sur dix est coupable de violences conjugales. Il faudrait que les 9 sur 10 ne tolèrent plus ce que font les 1 sur 10. C’est rare que ces violences soient étouffées et cachées :les 3/4 ont lieu dans le cadre familial, du fait d’un proche,et les autres savent.

🔵 En France , «Seulement 3% des plaintes pour viol sur mineures donnent lieu à la condamnation du mis en cause» (civilise - juge Durand) 👉Un pourcentage qui interroge au regard du constat alarmant, selon lequel « toutes les 3 minutes en France , un enfant est victime d’agressions sexuelles » 🔺Le constat de l’Association ENFANT BLEU RHÔNE : 👉Nous pouvons imaginer que ce chiffre est loin de la réalité dans la mesure où il ne recense que les dépôts de plainte, ou signalements qui ont été faits mais n’intègrent pas les enfants non crus , à qui on intime le secret/silence, ceux qui ne parlent pas Les adultes ayant subi enfants , dans les délais de la prescription, qui n’ont pas fait de démarches et, ceux pour Ui cela est prescrit …. 👉La parole de l’enfant ne suffit pas 👉La charge de la preuve, en dépit de l’avancée de la loi, implicitement, continue d incomber, toujours aux victimes 👉Le recueil des preuves est difficile : pas de conseils adaptés immédiats , l’enfant ou l’adulte ayant subi peut parler longtemps après les passages à l’acte , parole de la victime contre parole de l’auteur présumé en l’absence des « marques » de l’agression : tous les viols ne sont pas médicalement constatables 🔺Plus de 73% des affaires d’agressions sexuelles sur mineurs orientées vers la justice sont classées sans suite 🔺 Les séquelles d’outreau sont toujours présentes : l’enfant ment . Il n’est pas rare d’entendre encore cette affaire alléguée par la défense …. 🔺 Les aggressions sexuelles entre mineurs ont augmenté : la@question du consentement reste délicate ( souvent par alcoolisation , drogues etc ) 🚨La présomption d’innocence n’est pas contradictoire avec le principe de précaution ( mise en sécurité de l’enfant le temps de l’enquête pénale + suivi psychologique pour évaluer l’enfant dans le temps par des professionnels formés) 👉Il est impératif que la formation des professionnels rencontrant les victimes soit effective afin de connaître «les mécanismes de la violence, la stratégie de l’agresseur et ses modes opératoires pour contraindre un enfant». #justice #police #gendarmerie #metoo #metoogarçons #maltraitance #psychologues #enfants #119 #inceste #civiise

Viol d’une jeune fille juive de 12 ans: de ce qui relève de la #judéité, de ce qui relève de la banalité d’une société où les hommes pensent que le corps des #femmes leur appartient, et de ce qui relève d’un rapport bien étrange à l’apprentissage de la vie. Le fait qu’une jeune fille de 12 ans ait été agressée et violée, et que des insultes antisémites aient été prononcées à cette occasion fait la une de l’actualité, a fortiori dans un contexte électoral où un tel fait sera volontiers commenté. Il n’y a au demeurant aucunement lieu à débat sur le caractère horrible qu’une adolescente soit violée ni sur le caractère aggravant que des propos antisémites soient tenus à cette occasion. Néanmoins il y a à mon sens trois aspects essentiels des circonstances qui devraient retenir notre attention et interroger notre société. En premier lieu, il semble qu’avant même l’agression, cette jeune fille ait pris l’habitude de dissimuler ses origines juives par peur d’être agressée. Cela est simplement choquant. À ce propos, nous avons tous et chacun la continuelle responsabilité de veiller à ce que les minorités qu’elles soient de nature confessionnelle, ethnique ou autre puissent vivre en paix au sein de notre société, a fortiori parce qu’aucun enfant n’a jamais demandé à naître blanc ou noir, ni même à être éduqué dans une famille ayant telle ou telle confession religieuse. Et c’est une responsabilité de chaque instant, tout comme nous sommes réciproquement en droit d’espérer que les opinions, même religieuses, ne constituent pas un trouble à l’ordre public. Reste ensuite le sujet de la #violence faite aux femmes. Du peu d’éléments rendus publics, le premier des agresseurs serait un ex petit ami de la victime ou à tout du moins un soupirant éconduit. Le sujet est encore et toujours que nous vivons dans une société où beaucoup d’hommes pensent que le corps des femmes leur appartient, et que des adolescents apprennent à raisonner en ce sens. Car généralement les viols et agressions sont commis par des proches des victimes, rarement par des inconnus. Là encore nous avons au quotidien une responsabilité individuelle dans notre propre comportement et dans l’attention portée au respect de chacun et chacune. Enfin la jeunesse des protagonistes interpelle, et plus encore leur inconséquence: Inconséquence pour la victime évidemment, inconséquence pour eux-mêmes car les faits sont particulièrement graves. Et cette inconséquence est tout spécifiquement signifiée par la violence bien singulière dont ils ont fait preuve. Entendez que je n’ai pas la naïveté de penser que notre société serait normalement exempte d’une telle violence. Mais que des adolescents puissent penser que de tels gestes relèvent d’une quelconque forme de normalité à l’exclusion de toute empathie et d’un quelconque respect pour l’altérité devrait encore et toujours nous questionner sur la société dans laquelle nous accueillons chaque nouvelle génération.

Depuis 7 ans et le début de la vague #metoo, j'en ai vu des témoignages, des enquêtes et des scandales éclater. Un flot sans discontinuer qui a brisé la force du déni existant dans la société. Puis l'amnésie a pris le pas sur le déni. On ne nie plus que les violences sexuelles existent, on choisi de les effacer. Après tout, les violences sexuelles sont-elles si graves? C'est d'autant plus facile de penser cela qu'ils sont bien rares les agresseurs dénoncé à être condamnés. Dernièrement on sentait même un backslash anti-féministe progresser. Mais la réalité ne peut être niée. Au chiffre de 94% de classements sans suite (source IPP) des plaintes pour viol, l'indignation a repris. A l'initiative de Anna Mouglalis et de Muriel Reus et de la Fondation des Femmes, le journal Le Monde nous a permis d'en reparler. OUI, notre pays a un retard abyssal à rattraper. OUI, il nous faut une loi intégrale, ambitieuse et dotée de moyens. OUI, on peut mettre un terme à l'impunité et aux violences sexuelles et sexistes. A la veille du festival de Cannes, nous lançons avec #metoomedia une pétition pour vous permettre à toutes et tous de vous joindre à nous pour demander ensemble une loi intégrale contre les violences sexuelles. Une loi intégrale pourrait permettre, entre autre, de : - clarifier la définition du viol et du consentement. - introduire celle de l’inceste. - juger les violeurs en série pour tous les viols connus. - élargir les ordonnances de protection aux victimes de viols. - faciliter la collecte de preuves. - créer des brigades spécialisées. - interdire les enquêtes sur le passé sexuel des victimes. - permettre un accès immédiat et gratuit à des soins en psycho-traumatologie. - donner les moyens financiers aux politiques publiques et aux associations de ce déploiement d’ampleur. - ... plus de 80 autres mesures sont en train d'être travaillées avec les associations spécialisées. Sur cette photo historique en UNE du Monde, nous sommes 100 visages, uni. es dans l’émotion et l’espoir. 100 visages qui se font le relais de millions d’autres. Nous avons parlé. Nous avons dénoncé. #MaintenantOnAgit Signez la pétition 👉https://lnkd.in/emhpnPps