Post de Inrap

[NOTRE PATRIMOINE ]Antibes : Connaissez-vous l'histoire fascinante de ses fortifications ? 🏰 Antibes, notre magnifique ville d'origine grecque, est riche d'une histoire défensive complexe et captivante. Dès l'Antiquité Tardive, elle se dote de premières fortifications, évoluant au fil des siècles pour faire face aux diverses menaces. Au XVIe siècle, Antibes subit de plein fouet les rivalités européennes, conduisant à la construction de la tour Saint-Jaume et de la tour Saint-Laurent sous Henri II. Ces édifications marquent le début d'une série d'améliorations défensives, culminant avec l'intervention de Vauban au XVIIe siècle, qui remodèle profondément les remparts et projette de transformer le port en une base navale majeure. Malgré l'abandon de certains de ces projets ambitieux, les travaux de Vauban et de ses successeurs façonnent durablement le visage d'Antibes. Aujourd'hui, bien que la plupart des fortifications aient été arasées à la fin du XIXe siècle, le fort Carré reste un témoin bien conservé de cette époque révolue, ouvert au public et abritant un musée depuis 1998. Et vous, quel est votre monument historique préféré à Antibes et pourquoi ? Partagez vos pensées dans les commentaires ! 📝 #Antibes #Histoire #Fortifications

[NOTRE PATRIMOINE ]Antibes : Connaissez-vous l'histoire fascinante de ses fortifications ? 🏰 Antibes, notre magnifique ville d'origine grecque, est riche d'une histoire défensive complexe et captivante. Dès l'Antiquité Tardive, elle se dote de premières fortifications, évoluant au fil des siècles pour faire face aux diverses menaces. Au XVIe siècle, Antibes subit de plein fouet les rivalités européennes, conduisant à la construction de la tour Saint-Jaume et de la tour Saint-Laurent sous Henri II. Ces édifications marquent le début d'une série d'améliorations défensives, culminant avec l'intervention de Vauban au XVIIe siècle, qui remodèle profondément les remparts et projette de transformer le port en une base navale majeure. Malgré l'abandon de certains de ces projets ambitieux, les travaux de Vauban et de ses successeurs façonnent durablement le visage d'Antibes. Aujourd'hui, bien que la plupart des fortifications aient été arasées à la fin du XIXe siècle, le fort Carré reste un témoin bien conservé de cette époque révolue, ouvert au public et abritant un musée depuis 1998. Et vous, quel est votre monument historique préféré à Antibes et pourquoi ? Partagez vos pensées dans les commentaires ! 📝 #Antibes #Histoire #Fortifications D.Vanosmael - ILoveNice.immo - eXp Realty

[NOTRE PATRIMOINE ]Antibes : Connaissez-vous l'histoire fascinante de ses fortifications ? 🏰 Antibes, notre magnifique ville d'origine grecque, est riche d'une histoire défensive complexe et captivante. Dès l'Antiquité Tardive, elle se dote de premières fortifications, évoluant au fil des siècles pour faire face aux diverses menaces. Au XVIe siècle, Antibes subit de plein fouet les rivalités européennes, conduisant à la construction de la tour Saint-Jaume et de la tour Saint-Laurent sous Henri II. Ces édifications marquent le début d'une série d'améliorations défensives, culminant avec l'intervention de Vauban au XVIIe siècle, qui remodèle profondément les remparts et projette de transformer le port en une base navale majeure. Malgré l'abandon de certains de ces projets ambitieux, les travaux de Vauban et de ses successeurs façonnent durablement le visage d'Antibes. Aujourd'hui, bien que la plupart des fortifications aient été arasées à la fin du XIXe siècle, le fort Carré reste un témoin bien conservé de cette époque révolue, ouvert au public et abritant un musée depuis 1998. Et vous, quel est votre monument historique préféré à Antibes et pourquoi ? Partagez vos pensées dans les commentaires ! 📝 #Antibes #Histoire #Fortifications We don't sell houses, we change lives.

𝗜𝗴𝗻𝗶𝘀 𝗟𝘂𝘅 (𝘧𝘦𝘶 et 𝘭𝘶𝘮𝘪𝘦̀𝘳𝘦 en latin) : les débuts (1/2) Avant de devenir professionnelle, mon but était de faire de la médiation du patrimoine à travers des supports tant esthétiques que représentatifs. Souhaitant faire connaître l'architecture gothique médiévale, je voulais créer quelque chose qui rassemble et qui met en confiance, afin de raconter et transmettre des parts de l'Histoire, visibles mais dont peu de personnes ont conscience. Le mot 𝘪𝘨𝘯𝘪𝘴 est apparu tout naturellement. Symbole de chaleur et d'histoires contées au coin du feu, 𝘪𝘨𝘯𝘪𝘴 rappelle aussi la croix grecque originelle, dont les quatre branches symbolisent les quatre éléments (terre, eau, air et feu) à l'origine du monde, selon la croyance médiévale. À la fois feu originel et feu de rassemblement, 𝘪𝘨𝘯𝘪𝘴 s'inscrit dans cet héritage. Mais le feu, à l'époque médiévale, ne se trouve pas que dans un foyer. On peut l'apercevoir à l'intérieur des églises et des cathédrales, coloré et fragmenté mais emplissant l'espace de sa lumière ; car le feu réchauffe mais il éclaire aussi. Sous forme d'étincelles au milieu d'un cercle de pierres, ou nimbant la nature et le ciel de ses rayons, le feu (𝘪𝘨𝘯𝘪𝘴) et la lumière (𝘭𝘶𝘹) est ce qui nous rassemble et ce qui nous fait découvrir. 𝗜𝗴𝗻𝗶𝘀 𝗟𝘂𝘅 a pour volonté de s'inscrire modestement dans cet héritage.

[#LEXITOUR] : #amphithéâtre [#Architecture] : #édifice #antique, de plan souvent elliptique ou circulaire, constitué par de vastes gradins, et destinés aux spectacles (de gladiateurs (#munera), de chasses aux fauves (#venationes), etc.). À la différence des #cirques et des #théâtres, extrapolés des édifices homologues de la Grèce antique, les amphithéâtres sont des monuments nés dans le monde romain pour y accueillir des spectacles inventés par les #Romains et pris en charge par l’évergétisme officiel. Environ 230 amphithéâtres romains ont été découverts dans le territoire de l’Empire romain, dont quatre (04) en #Algérie, à #Lambèse (Batna), #Tébessa, #Cherchell et #Tipaza.

Les bâtiments sont bien plus que de simples structures ; ils sont les gardiens de notre passé 🏛️. À travers leurs murs, ils racontent les histoires des temps révolus 🕰️, reflétant les vies et les époques qui les ont façonnés. Chaque pierre, chaque colonne, porte en elle les échos d'une histoire ancienne, nous invitant à réfléchir sur le leg culturel et historique que nous laissons pour les générations futures. 🌍 #Architecture #Histoire #Patrimoine"

🔴 Ténès Bab El-Bhar à Chlef : Un trésor qui fascine depuis des siècles marqué par l’abandon et l’absence de protection : La ville de Ténès recèle de nombreux trésors qui remontent à des milliers d'années, ce qui est confirmé par les vestiges archéologiques et historiques qui subsistent encore aujourd'hui. Parmi les plus importants vestiges figure le monument de «Bab El Bhar» construit au 10e siècle pour protéger la ville de toute invasion extérieure. L’appellation de ce monument historique vient de sa fonction qui est d'être la porte d'entrée de la vieille ville de Ténès, à proximité du front de mer. Ce monument symbolique de la ville est marqué par l’abandon et l’absence de protection de la part des autorités concernées, bien qu'il soit classé parmi les monuments nationaux depuis 2005, faisant même l'objet, aujourd'hui de vandalisme, outre les facteurs naturels qui l’ont dégradé. Selon les archéologues de la région, la dernière opération de restauration que le monument a subie remonte à l'immédiat après l'indépendance. Les raisons de la négligence de ce joyau, comme le reste des monuments archéologiques abandonnés de la ville de Ténès sont dues essentiellement au manque d'associations concernées par cet aspect, ainsi que le manque de spécialistes dans le domaine des antiquités et des monuments historiques. Malgré la création d'un musée régional et d’une annexe à Ténès afin de recenser ces monuments, les répertorier et les protéger. Entretemps l’action inexorable du temps se poursuit et le site se dégrade au fil des années. De ce un appel est lancé aux autorités concernées de la wilaya de Chlef ainsi qu'au ministère de la culture pour la protection immédiate de ce monument historique. Faouzi DJOUDI Un citoyen algérien

Voici notre article hebdomadaire à découvrir sur le site www.revue-natives.com

Où construire un musée de la colonisation ? Le jardin colonial de Paris dans le bois de Vincennes et à la lisière de Nogent est un lieu méconnu ! En ce lieu (que l’on peut découvrir encore aujourd’hui) s’est écrit une partie de l’histoire coloniale de la France Outre l’exposition coloniale de Paris en 1907 avec les vestiges de celle-ci toujours présent (la seconde exposition après celle du Grand Palais en 1906) c’est ici aussi que les monuments aux troupes coloniales ont été édifiés dans les annes 20… c’est d’ailleurs ici que les blessés des colonies étaient soignés lors de la Grande guerre… on y découvre aussi plusieurs monuments sur la colonisation et les vestiges aussi du jardin d’agronomie tropicale avec ses serres et surtout un ensemble de ces bâtiments certains rénovés et d’autre détruits (comme la première mosquée de France) et le tout dans un immense parc incroyable si proche de Paris… Le lieu est porteur d’histoire et beaucoup se demandent désormais si ce n’est pas ici, dans le jardin, à deux pas du Palais de la Porte Dorée, qu’il faudrait dans les prochaines années construire et bâtir ce musée d’histoire colonial qui manque tant à la France pour regarder en face ce passé. Outre l’engagement actuel de la ville de Paris à rénover le site, il est sans doute temps de lui donner un destin national dans l’Est de la capitale qui manque de grands musées et lieux culturels pour un rééquilibrage nécessaire En outre, les bâtiments existent et peuvent être réhabilités et avec le parc assez incroyable ils permettent d’imaginer un « musée du XXIe siècle » original et nécessaire ! A l’image de ce que la fondation Vuitton propose à l’Ouest de Paris dans le jardin d’acclamation Et bien oui, on pourrait ici proposer un équivalent destiné à recevoir les scolaires, le grand public, les touristes, pour proposer un autre regard sur le passé colonial… il va être temps presque 500 ans après les premiers temps impériaux au Canada en 1534 de la France. Regardez ce petit reportage de Arte : https://lnkd.in/eHTn_8Za #histoire #colonisation #musee #museecolonial #memoire #paris

Conférence de Nathalie Ginoux L’art celtique de la Protohistoire à l’Irlande chrétienne. Un art de la mémoire Nathalie Ginoux, Professeure d’Histoire de l’art et Archéologie des mondes celtes à Sorbonne Université, Centre André Chastel (UMR 8150) Le 11 mai à 10 h 30. Musée d'Archéologie nationale - Château 78100 - Saint-Germain-en-Laye https://lnkd.in/eKBFwDrX https://lnkd.in/erDzgw8n Cette conférence porte sur un pan souvent méconnu de l’histoire de l’art occidental : l’art celtique qui s’est développé en Europe continentale, dans les îles Britanniques et en Irlande, sur plus d’un millénaire, entre le Ve s. av. J.-C. et le IXe s. apr. J.-C. en accompagnant les progrès techniques, la mobilité des artisans, le passage à la romanisation et au christianisme et les conquêtes, germaniques, anglo-saxonnes et scandinaves. L’art celtique est surtout appliqué aux représentations du pouvoir, guerrier, politique et religieux. Envisagé dans la longue durée, de l’âge du Fer au premier Moyen Âge irlandais et dans l’espace géographique européen des Celtes, continentaux et insulaires, ce sujet nous conduira à nous interroger sur la question des survivances, nécessairement indirectes, ainsi que sur un certain nombre de persistances structurelles, conceptuelles, plastiques et de principes d’une « visualité » singulière, perceptibles dans l’art chrétien médiéval en Irlande.