Post de Insee

🔢 Etude pour un constat eclairant 🙏 ISPF - Institut de la statistique de la Polynésie française La Polynésie française face aux défis societaux. ✅️ Choc Démographique ✅️ Flux migratoire négatif ✅️ Taux d'emploi en 🔝 🎯 AG2R LA MONDIALE Polynésie Française pour vous accompagner en vous proposant votre Audit de Protection Sociale intégrant vos carrières Polynésienne, Métropolitaine, Calédonienne.

L’Institut de la Statistique de la Polynésie française (ISPF) a dévoilé, ce mercredi, les résultats du dernier recensement de la population sur la période 2017/2022. Ces 5 dernières années, le nombre d’habitants a faiblement augmenté, environ 570 personnes de plus par an. Mais le nombre de départs du fenua est plus important que celui des arrivées. Le taux de natalité, lui, diminue, conduisant à une accélération du vieillissement de la population.

Le recensement 2022 mené par l’#ISPF a permis d’estimer la population #polynésienne à 278 786 habitants, soit 1% de plus que cinq ans auparavant. Mais cette augmentation, qui ne concerne pas les #Australes et les #Tuamotu, se fait à un rythme de plus en plus faible. Il faut dire que les naissances ont tendance à ralentir et que le solde migratoire lui, est plus que jamais négatif : en 5 ans, la #Polynésie a connu 20 500 départs et seulement 14 000 arrivées. Les principaux enseignements de ce recensement.

LES DEFIS DU COMMERCE DE CENTRE-VILLE Le #vieillissement de la population française s’accélère. Selon l’Insee, le nombre des 75 – 84 ans va augmenter de 49% entre 2020 et 2030. Or ce segment de la population se caractérise par des besoins spécifiques et des revenus supérieurs au reste de la population. Quels impacts pour les #commerces de #centre-ville? 👉 Eclairage de Nicolas Gateau Leblanc à lire ici ! https://lnkd.in/dmVPCzXa

Je continue mon exploration des données sur l'évolution de la population 2015-2021 mises en ligne par l'INSEE (voir ici https://lnkd.in/eFQVmTfR). Au-delà des chiffres sur l'évolution globale de la population, on dispose à l'échelle des régions et des départements du détail du solde naturel (différence entre les naissances et les décès) et du solde migratoire apparent (obtenu par différence entre l'évolution totale de la population et le solde naturel, d'où le qualificatif "apparent"). Sur cette base, j'ai construit une carte par département, pour mettre en évidence le fait que croissance de la population ne rime pas nécessairement avec attractivité résidentielle : certains départements voient leur population baisser malgré un solde migratoire positif, signe d'une certaine attractivité résidentielle, car le solde naturel négatif fait plus que compenser cette attractivité : c'est le cas de l'Allier, du Cantal, de la Charente, de la Corrèze, de la Creuse, de l'Indre, de la Manche et de la Saône et Loire. Ce qui montre en passant une certaine hétérogénéité interne à la diagonale des faibles densités, les départements plus au nord-est n'étant pas dans cette situation. A contrario, certains départements dont la population augmente pâtissent d'un solde migratoire négatif. On les trouve au sein ou à proximité de l'Ile-de-France ; c'est aussi le cas des départements de Côte d'Or, du Haut-Rhin, de Meurthe-et-Moselle et du Nord. J'aurais voulu faire la même carte à l'échelle des intercommunalités, mais l'INSEE n'a pas encore mis en ligne les données afférentes, sans que je ne comprenne bien pourquoi, puisque l'institut les exploite jusqu'à l'échelle des communes (si quelqu'un de l'INSEE passe ici et donne l'explication, je suis preneur).

RECENSEMENT DE LA POPULATION 👥 Jusqu’au 26 février 2024, un échantillon de la population rilliarde sera recensé. Nombre de personnes dans le foyer, nationalités, diplômes, caractéristiques du logement… les statistiques collectées par les communes pour le compte de l’Insee permettent, au-delà du simple dénombrement de la population, de connaître précisément ses caractéristiques démographiques, sociales, la typologie de l’habitat afin de prévoir et d’adapter les équipements, services, transports nécessaires. 🔹 Si vous êtes concerné, vous recevrez un courrier explicatif dans votre boîte aux lettres d’ici le 18 janvier. Vos réponses sont obligatoires mais confidentielles. Merci de réserver un bon accueil aux agents recenseurs 😉 #RillieuxLaPape #Rillieux #Recensement #Population

"Au 1er janvier 2021, la France comptait 67,4 millions d'habitants (hors Mayotte), soit une croissance moyenne de 203.000 habitants pas an depuis 2015. L'équivalent de la population de Reims. Mais cette croissance démographique faiblit : elle est passée de 0,5% par an entre 2010 et 2015 à 0,3% depuis, selon les derniers chiffres du recensement publiés par l'Insee le 28 décembre. Ce ralentissement s'explique avant tout par "une moindre contribution du solde naturel", passée de 0,4 à 0,2% par an en moyenne entre les deux périodes. A cela deux raisons : plus de décès - du fait de l'arrivée à des âges avancés des babyboomers à laquelle s'ajoute également le surcroît de décès dus au covid - et un recul des naissances. Sur ce dernier point, la situation ne fait qu'empirer puisque le nombre de naissances a reculé de 6,8% sur les onze premiers mois de l'année 2023, selon d'autres chiffres de l'Insee publiés le 4 janvier (voir encadré)." "Dans le Grand Est, seul le Bas-Rhin voit sa population augmenter "

Le taux de natalité est un élément clé de la démographie d’un pays. Il fait régulièrement l’objet d’études et de débats. Quelle est sa définition exacte ? Quel est le taux de natalité en France en 2023 ? Où se situe la France par rapport à ses voisins européens ? Quelles différences entre taux de natalité et taux de fécondité ? Voici l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur ce sujet.

Une dynamique démographique qui fait la force de nos territoires mais qui engendre la nécessité de répondre aux enjeux que cela génère…

𝗟𝗮 𝗰𝗮𝗿𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝘄𝗲𝗲𝗸-𝗲𝗻𝗱 On me parle très souvent d’attractivité territoriale. Mais pour la mesurer, il ne faut pas se contenter de regarder l’évolution globale de la population issue du dernier recensement de 2021. On y trouve, certes, quelques réalités incontestables: 37 départements ont une population qui décline : l'Indre est le département avec la plus forte baisse (-0,7%) et Paris est le département le plus peuplé à avoir une baisse (2,15 millions d'habitants mais quasi 15 000 en moins). Les départements en déclin sont très majoritairement situés au centre et sur le quart nord-est du pays, ainsi que sur le massif des Cévennes/Larzac. Le littoral et la montagne semblent très attractifs avec des progressions de population supérieures à 1 % : l'Hérault, les Landes, la Gironde, la Haute-Garonne et la Corse du Sud (+1,3 %). Les chiffres globaux peuvent amener à penser que le monde attire le monde et donc que l’urbain progresse au profit du rural. (Sauf Paris et le Nord) Mais croissance de la population ne signifie pas nécessairement attractivité résidentielle. Pour analyser l’attractivité d’un territoire il faut regarder le solde migratoire apparent. La différence entre l'évolution totale de la population et le solde naturel (différence entre les naissances et les décès). Ainsi un département peut voir sa population diminuer mais bénéficier d’un solde migratoire positif preuve d’une attractivité résidentielle. Tel est le cas de l'Allier, du Cantal, de la Charente, de la Corrèze, de la Creuse, de l'Indre, de la Manche et de la Saône et Loire. A l’inverse, certains départements avec une population en augmentation se retrouvent avec un solde migratoire négatif. Au sein ou à proximité de l'Ile-de-France, Côte d'Or, Haut-Rhin, Meurthe-et-Moselle et du Nord. Il s’agit de la meilleure façon d’appréhender l’attractivité. Ces données proviennent du remarquable travail réalisé par Olivier Bouba-Olga @chancere