Découvrez le nouvel épisode de notre série dédiée au métier d'infirmière à l'IMM ! Manon, infirmière en urologie depuis 2017, nous raconte pourquoi elle a choisi de rejoindre l'IMM, comment les conditions de travail qui lui permettent de concilier vie pro et vie personnelle, ainsi que la qualité des soins dont bénéficient ses patients grâce à une organisation du travail novatrice. Envie d'en savoir plus ? Rendez-vous sur https://lnkd.in/e7YpjVa8 #onrecrute #IMM #IDE
Post de Institut Mutualiste Montsouris
Plus de posts pertinents
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13 % des spécialistes du secteur de la santé ne peuvent pas s’imaginer rester plus longtemps dans ce domaine si leurs conditions de travail restent inchangées. C’est ce que montre la dernière étude de #Scohpica. La #Télémédecine peut contribuer à réduire les tensions que connaissent actuellement les cabinets médicaux et les urgences et offre une alternative aux professionnelles et professionnels qui quitteraient sinon complètement la profession. Vous trouverez plus d’informations sur ce thème ainsi qu’une vidéo au sujet des impacts de la télémédecine sur la pénurie de professionnelles et professionnels sur le site internet de la recherche sur les services de santé de #SWICA.
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📣 Depuis ce matin 180 professionnels du secrétariat sont réunis à LYON pour deux jours d’échanges et d’apports de connaissances et d’outils pour gagner en efficience professionnelle. 🤔Comment gérer le deuil d’une famille au décès d’un patient ? Comment faire face à l’agressivité ? Les secrétaires médicales échangent sur leurs pratiques professionnelles dans le cadre des ateliers. 😄 Une première cette année : des ateliers pour les encadrantes … gérer les plaintes lors des entretiens de recadrage; dynamiser ses entretiens annuels. Autant de thématiques qui ont suscité des échanges riches et constructifs.
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Être infirmière en EMS : une opportunité d'épanouissement professionnel et humain Dans le monde des soins infirmiers, le choix de travailler en EMS représente bien plus qu'un simple poste. C'est une occasion unique d'établir des liens profonds et significatifs avec les résidents, en leur offrant un accompagnement et des soins adaptés à leurs besoins spécifiques. Contrairement à l'environnement parfois effréné des hôpitaux de soins aigus, travailler en EMS offre une opportunité d'approfondir la relation soignant-soigné. Ici, l'accent est mis sur la qualité des soins et l'interaction humaine, permettant aux infirmières de prendre le temps nécessaire pour connaître vraiment les personnes dont elles prennent soin. Loin d'être un travail routinier ou simpliste, le rôle de l'infirmière en EMS est riche et varié. Il englobe non seulement les soins de base et techniques mais aussi une dimension relationnelle et émotionnelle forte, surtout dans les moments clés de la vie des résidents comme l'accueil ou la fin de vie. C'est une expérience professionnelle et humaine enrichissante, qui permet de s'épanouir en faisant une différence tangible dans la vie des personnes âgées. Travailler en EMS, c'est aussi bénéficier d'un environnement de soutien et de collaboration, où l'importance de l'évaluation clinique quotidienne, la gestion médicamenteuse, et la collaboration interprofessionnelle sont valorisées. Ce sont des compétences essentielles pour assurer une prise en charge sécurisée et efficace des résidents. Choisir les EMS, c'est opter pour une carrière où le soin prend tout son sens, où chaque jour est une opportunité d'apprendre et de grandir, tout en apportant un soutien inestimable à ceux qui en ont le plus besoin. Le travail en EMS en résumé : découvrez comment votre passion pour les soins infirmiers peut s'épanouir dans un cadre bienveillant dédié au bien-être et au respect des personnes âgées.
Dans sa dernière édition datée de novembre 2023, le magazine « GERONTOLOGIE.CH » a consacré un article à notre collaboratrice, Angela Banaco, infirmière aux Hirondelles à Clarens. Dans un contexte de pénurie de personnel et de difficultés de recrutement, les représentations négatives du rôle #infirmier en EMS ont la vie dure. Pourtant la réalité s’avère bien différente. L'Institut et Haute Ecole de la Santé La Source et la Fondation Claire Magnin ont mené un projet commun pour faire le point sur ces problématiques afin de valoriser le travail infirmer en #EMS. Découvrez l’article complet ici : https://lnkd.in/eCD3HBmY
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𝗖𝗛 𝗟𝗩𝗢 : « 𝗨𝗻𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝗱’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́𝗲 » 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗲 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗶𝗮𝘁𝗿𝗶𝗲 🤝 Au CH Loire-Vendée-Océan, le pôle santé mentale tend la main aux professionnels de santé du nord-ouest vendéen. À la fin de l’année 2023, le service des Equipes mobiles a été à l’origine de l’ouverture d’un « guichet unique », avec l’ambition de faciliter la prise en charge des patients et de mieux les orienter dans leur parcours de soin. 📈 Cette nouveauté a été rendue nécessaire en raison d’une demande croissante à l’échelle locale. « Notre pôle s’est considérablement étendu ces dernières années constate le docteur Erwann Dupuis, chef de service. Nous avons une grande diversité de missions. Cela peut être compliqué pour les patients, mais aussi pour les professionnels du département, qui ne savent pas à qui s’adresser en matière de psychiatrie ». 🗣️ Ce guichet unique, animé par une équipe ayant une bonne connaissance des différents dispositifs de soin du pôle, est d’abord destiné aux soignants, tels que les infirmiers libéraux, médecins (généralistes ou des hôpitaux du Nord-Ouest Vendée), kinésithérapeutes ou encore dentistes, qui repèrent une personne nécessitant une prise en charge. Mais il se destine également à d’autres corps de métier, comme les assistantes sociales, les professionnels du handicap, de l’Education Nationale qui prendrait en charge des majeurs ou les représentants de l’état. 👉 Décision collégiale 👥 Du lundi au vendredi, de 7h à 19h, il leur est possible de joindre ce service composé d’un médecin, d’infirmiers, d’un cadre de santé et prochainement d’une psychologue. Ensemble, ils pourront se concerter et analyser les situations qui leurs sont présenter pour décider de la meilleure orientation possible pour la prise en charge du patient. Ainsi, cette équipe pourra accompagner et soutenir le professionnel demandeur tout au long de la démarche pour faciliter le soin du patient et contribuer à la fluidification du parcours de soin par une orientation et un aiguillage adaptés aux besoins. 🙌 En lien direct avec le #CPTS et les établissements du secteur (Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Challans, Ile d’Yeu, Noirmoutier et Machecoul), l’équipe se satisfait « d’avoir pu mener à bien ce projet. On était tous impatients que cela puisse se réaliser ! »
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L’accès au soin: un enjeu de partenariat et de pragmatisme. Les collectivités en tête de file pour initier les solutions sur la base de diagnostics en lien avec les soignants. Mais n’est ce pas aussi un enjeu de bien positionner les maisons et centres de santé ? Et pourquoi pas à la porte d’entrée des territoires ? Pourquoi pas dans les gares ? Et nous le faisons déjà avec plusieurs cordes à notre arc. L’implantation au plus près des flux favorise l’inclusion sanitaire.
Comment agir en bonne intelligence pour combattre les déserts médicaux ? Que peut-faire, par exemple, une collectivité qui n’a plus, sur son territoire, qu’un seul médecin généraliste, qui plus est en fin de carrière, et pas de candidat potentiel pour le remplacer ? Ce billet de Bruno Petrescu invite à la réflexion et propose quelques pistes d'actions à explorer pour faire face à la pénurie de médecins en France. #désert #médical #santé #soins #medico_social #collectivités #territoires Isabelle Laudier Clara Sadrin El Mellah Audrey Van Hezel Anaelle mayer Elsa Peirolo
Déserts médicaux : comment changer la donne ?
caissedesdepots.fr
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En 2023, 5 400 #médecins ont arrêté d'exercer. Dire #stop à la #médecine parce que l'exercice est devenu trop #difficile, c'est un phénomène assez récent qui touche surtout les #médecins #généralistes. Jean-Marcel Mourgues, vice-président du Conseil national de l'Ordre des médecins : "C'est une donnée relativement #nouvelle mais qui prend toute son importance compte tenu de la pénurie de l'offre médicale. Il y a effectivement un problème, ou il y a une pression sur la '#productivité' du médecin traitant, qui est #antagoniste avec la #qualité des soins et les souhaits profonds des médecins, constate-t-il. Ils veulent allouer davantage de temps sur des patients devenus plus complexes puisque la population vieillie inexorablement dans le même temps." La grande majorité de ces médecins qui décrochent restent dans le domaine du soin. Anne-Sophie Minkiewicz a monté "Med reconversion" et en un an, elle a déjà épaulé une #centaine de médecins : "Les médecins restent dans 80% des cas dans le 'care', donc dans le #prendre #soin. Oui, on a quelques médecins qui font des trucs radicalement différents mais ce n'est pas la majorité. La grande majorité se questionne et se dit : 'Comment je peux #continuer à prendre soin des autres ?' " Les médecins décrocheurs se tournent aussi vers la #formation, ou vers d'#autres #spécialités médicales, comme la médecine #esthétique bien plus lucrative. Ils délaissent de plus en plus la médecine générale. Le conseil de l'ordre des médecins a estimé, en 2019, que les #étudiants en #médecine étaient entre 5 et 10% à #abandonner leurs études de médecine en cours de route, plus que dans n'importe quel autre cursus. François Vilain, syndicat d'internes ISNAR-IMG : "Tous les internes et toutes les internes connaissent des gens autour d'eux qui ont quitté leurs études de médecine. On s'est fait la réflexion autour d'une table avec des amis. On s'est posé la question de si c'était à #refaire. On était une dizaine et tout le monde disait : 'Si c'était à refaire je ne le referai pas c'est #trop de #sacrifices.' Trop de sacrifices et du temps de vie."
TEMOIGNAGES. "Trop de sacrifices et du temps de vie" : le blues des médecins généralistes, de plus en plus nombreux à délaisser la profession
francetvinfo.fr
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Lors de son audition au #Sénat, Doctolib s’est dit en difficulté face aux "zones grises" sur sa plateforme, en clair, sur les pratiques de soins non conventionnelles (PSNC) utilisées par des professionnels de santé. Doctolib estime que son rôle n'est pas de faire le tri et demande aux "autorités" de se positionner… Doctolib évoque alors la MIVILUDES ou les Ordres professionnels en santé pour cette tâche 🔺 Or ce travail nécessite un travail collégial, celui du comité d'appui technique l'encadrement des PSNC créé par Agnès Firmin Le Bodo, pas seulement l'avis de ces institutions qui n'ont ni les compétences #scientifiques ni les #cadres #conceptuels pour se repérer dans cette zone grise. 🔺 Etablir des listes de bonnes ou de mauvaises pratiques comme ont tenté de le faire le Conseil national de l'Ordre des médecins, le Conseil national de l'ordre des masseurs-kinésithérapeutes, ou le Ordre National des Infirmiers est illusoire car assimile une pratique à son usage. 🔺 Penser qu’à l’appui d’un paradigme scientifique seul, il est possible de déterminer le bon grain de l’ivraie est illusoire également... ❎ Aborder les zones grises nécessite une réflexion de fond, collective s'appuyant - sur une expertise universitaire, celle qu’apporte le CUMIC et d'autres membres académiques essentiels du comité, - sur le point de vue des patients France Assos Santé - sur le point de vue de la Fédération hospitalière de France (FHF) 👉 Nous proposons une approche de #réduction des #risques (lire: https://lnkd.in/efmWBmKu) dans lesquelles nous argumentons que: - ce ne sont pas les PSNC qui sont à risque mais certains usages - le risque d'une PSNC dépend de nombreux paramètres: sa toxicité éventuelle, son usage complémentaire ou alternatif, la sévérité de la maladie pour laquelle elle est utilisée, la formation du thérapeute - nous avons publié une grille d'évaluation des usages à risque qui va au-delà des simples #dérivomètres 👉 Des questions aussi importantes ne peuvent se satisfaire de réponses simplistes... 👉👉C’est pour cela que nous appelons à la #reprise des travaux du comité d’appui technique, dont l’interruption est regrettable ! La sénatrice Laurence Muller Bronn a d'ailleurs questionné la Ministre de la Santé à ce sujet le 19 mars. Nous attendons une réponse claire 🤔 La polarisation sur les #risques de #dérives sectaires (certes utile mais typiquement 🇫🇷 ) a occulté les enjeux tout aussi importants de ces pratiques: - les intérêts que les patients trouvent dans ces pratiques - l'encadrement des parcours de soins et des formations - la structuration de la médecine intégrative en 🇫🇷 en tirant les leçons des expériences concluantes qui existent dans d'autres pays voisins - la règlementation des praticiens non professionnels de santé Jean-Urbain Hubau Philippe MOUILLER Julien Nizard Professeur des Universités Thérapeutique Laurence Verneuil Fabrice Berna Frédéric Valletoux Chantal Gatignol Catherine Vautrin
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Notre livre « Addictions et Drogues : Comprenez-les pour réduire les risques » en librairie en septembre 2024 | Journaliste médical & Auteur de livres sur la prévention de santé | La Grande Interview 7 Dimanche/Sudinfo
#hôpital #prévention #sagefemme Sage-femme : un métier passion Au quotidien, au sein d’Helora, elles travaillent sans relâche les sages-femmes. https://lnkd.in/ez_ajFTy Helora
Sage-femme¬: un métier passion
sudinfo.be
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Cher Thiery Un accident, un problème aigu, les spécialistes sont en première ligne, ce sont effectivement des médecins de premier recours. On ne manque pas vraiment de ces spécialistes, en tout cas dans les centres urbains. C'est différent avec les 5% de la population qui sont responsables de 50% de coûts, les patients polymorbides et ou complexes. Un patient complexe se définit par le fait que le système de santé ne répond pas à leurs besoins. Ce peut être la conséquence d'un problème psycho-social, d'une dépendance, d'une déficience mentale ou d'une limitation physique. Ces patients arrivent souvent aux urgences faute de coordination et d'anticipation. Ils sont souvent hospitalisés pour de longues périodes Pour ces patients, il est maintenant établi qu'il faut construire une équipe de soins stable autour d'un spécialiste en médecine interne générale. C'est un médecin de premier recours, non pas parce qu'il se trouve aux urgences, mais parce qu'il est en première ligne pour ces patients. Ces médecins vont à domicile. C'était la raison de ma remarque un peu provocatrice. Ces médecins de premier recours sont en voie de disparition. on doit se poser la question de trouver une solution Amicalement Marc-André
Est-ce vraiment des médecins de famille dont la population a besoin ou des médecins de premiers recours ? (Urgentistes, pédiatres, psychiatres, gynécologues, chirurgiens de la main…) Attention aux directeurs cantonaux de ne pas tomber dans le piège de la planification. La médecine est un paquebot à grande inertie et qui doit faire face aux sauts technologiques. Faire sauter des bateaux n’est à priori pas réaliste. Enfin, j’ai sollicité M. Peytremann pour lire les études qu’il cite en soutien à sa position et ne manquerai pas de les joindre dans les commentaires ci-dessous sitôt reçues. Dans un article à la SVM en hiver 2022, il relevait alors: « Les données objectives manquent actuellement. Il existe certes quelques références internationales peu solides qui définissent la densité de médecins, souvent sans aller dans le détail des spécialités et qui ne prennent pas en compte le maillage hospitalier/ambulatoire particulier en Suisse, le travail à temps partiel et d’autres critères essentiels pour évaluer les besoins futurs. » À suivre donc.
Les cantons vont pousser les internes vers la médecine de famille
20min.ch
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🤗J'aide les soignants, les équipes de soins et les aidants à retrouver du sens et du plaisir au travail
Pourquoi devenir coach pour les soignants et les aidants ? Parce qu'après avoir exercé pendant 15 ans comme infirmière hospitalière en chirurgie, j'ai éprouvé le besoin de développer de nouvelles compétences et je suis devenue cadre de santé infirmière. Parce qu'après avoir exercé pendant 14 ans comme cadre de santé aux urgences adultes, puis en cancérologie et enfin en gérontologie, j'ai voulu étayer ma posture de manager des soins avec un nouveau regard : celui du coaching. Parce qu'après ces expériences riches, j'ai osé sauté le pas de l'entreprenariat pour accompagner : - les équipes de soin à trouver du sens dans le travail. - les soignants et les aidants à prendre soin d'eux. Parce que depuis janvier 2022, je rencontre des équipes qui ont à cœur de soigner et d'accompagner au mieux des patients, des résidents, des personnes en situation de handicap. Parce que je travaille avec des professionnels qui doivent composer avec un idéal de soin et une réalité autre. Parce qu'ensemble, avec l'équipe, nous construisons concrètement la relation de soin et d'accompagnement dans un contexte contraint certes, mais en s'ouvrant au champ des possibles. Un exemple d'action collective ? le temps des transmissions : comment s'organiser en équipe pour qu'il soit efficace et optimisé . Elaboration de principes de fonctionnement. Ces thèmes vous intéressent ? Echangeons ensemble par MP Pour en savoir plus : https://lnkd.in/eweKQRMZ #management #soin #équipe #professionnelsdesante #infirmière #cadredesante #accompagnement #coaching #expertise #hôpital VYV 3 Pays de la Loire LNA Santé Korian France emeis Hôpital Privé du Confluent - Vivalto Santé HOPITAL INTERCOMMUNAL DU PAYS DE RETZ ELSAN Centre Hospitalier Bel Air Corcoué sur Logne CENTRE HOSPITALIER CHATEAUBRIANT-NOZAY-POUANCE
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