🌍 Crise de l'eau au Maroc : Une situation alarmante nécessitant des solutions urgentes 💧 La crise de l'eau au Maroc atteint des proportions inquiétantes, touchant désormais l'ensemble du pays, des zones rurales aux espaces urbains. Imane Messaoudi-Mattei, collaboratrice scientifique à l'Institut des sciences de l'environnement de l'Université de Genève, s'est exprimée sur ce sujet crucial dans une interview avec le magazine Challenge Maroc. Elle souligne que "la crise de l'eau au Maroc ne se limite plus aux espaces ruraux. Elle est désormais globale et s'étend aussi aux zones urbaines et péri-urbaines, menaçant la disponibilité en eau potable pour une grande partie de la population, et impactant de nombreux autres secteurs d'activités." Les six dernières années ont été marquées par des épisodes de sécheresses sévères, affectant l'ensemble du territoire marocain. Les faibles niveaux de précipitations observés pourraient s'aggraver à l'avenir en raison des effets du dérèglement climatique. Imane Messaoudi-Mattei explore également les solutions possibles pour atténuer cette crise hydrique et mieux préparer le pays aux défis à venir. Pour en savoir plus sur la situation et les perspectives d'avenir, l'intégralité de l'interview est disponible sur le site web de Challenge. https://lnkd.in/epf-MDiP #CriseDeLEau #Maroc #Environnement #ChangementClimatique #GestionDeLEau #Sécheresse #UNIGE #Challenge
Post de Institut des sciences de l'environnement (ISE) - UNIGE
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Co-fondateur, co-dirigeant et directeur développement Aquassay (efficacité hydrique pour l'industrie et les collectivités, territoires en transition hydrique, digitalisation de la gestion de l'eau)
La crise de l'eau devient dramatique pour le Maroc : surexploitation des ressources, changement climatique, ... la situation actuelle est mauvaise et le futur devrait être pire. Pour plus d'infos sur la situation locale et l'ampleur des problèmes, lisez les posts de Nechfate. et notamment "Comment les politiques d’économie d’eau assoiffent le Maroc ?" (https://lnkd.in/emzzymAz). Très intéressant sur l'effet rebond dans le domaine de l'eau : l'augmentation de l'efficience dégage de nouvelles marges de manœuvre, ce qui permet d'augmenter les usages et donc les consommations (effet shadok). En fait (ici comme ailleurs), le système de production et de consommation (agriculture, industrie, ville) se met systématiquement au maximum et lorsqu'un aléa climatique survient (sécheresse plus dure), les dégâts sont encore plus grands... (voir aussi la méga usine de dessalement de Barcelone, censée résoudre durablement les problèmes d'alimentation en eau potable, et paf, 15 ans après ils doivent importer de l'eau par bateau). Il semble que le Maroc commence à aller au delà des solutions techniques (barrage, transfert d'eau, dessalement, etc.) : "Le gouvernement a décidé de faire la chasse au gaspillage et de mieux rationaliser l’utilisation de l’eau. Dans ce cadre, le rapport parlementaire du 18 juillet 2023 souligne l’importance de la révision de l’arsenal juridique encadrant la gestion de l’eau. " "Ce changement législatif vise à rationaliser l’utilisation de l’eau, à lutter contre le gaspillage et à renforcer la gouvernance de l’eau." "Ces propositions illustrent la nécessité d’une approche holistique pour aborder la crise hydrique. Au-delà des actions gouvernementales, la crise hydrique appelle à une responsabilité collective." Qu'est-ce à dire ? Le techno-solutionnisme ne résoudrait-il pas tous les problèmes ? #findumondeopenbar #transitionhydrique https://lnkd.in/eau4Gjsa
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À 3 jours de la tenue du 10eme forum mondial de l’eau à Bali en Indonésie la communauté internationale doit saisir cette occasion pour reconnaître la forte perturbation du cycle de l’eau de la terre comme principal impact du changement climatique et pour réfléchir à un accord complémentaire à l’accord de Paris…Suivez moi si vous désirez saisir mes réflexions à ce sujet.
« L’Eau et l’alimentation, quel avenir face à la dérive du climat » par Dr. Raoudha Gafrej La question de l’eau est centrale pour tous les modèles de développement, mais aussi pour la nature et sa biodiversité, dont dépend la vie de l’homme. Dans le contexte actuel de dérèglement climatique et des impacts du changement climatique, le cycle de l’eau de la terre est bouleversé, entraînant une augmentation significative de la température, une baisse et une plus grande variabilité des précipitations, ainsi qu'une intensification des périodes extrêmes, rendant la gestion de l’eau de plus en plus complexe. Ce contexte particulier a des conséquences sur la sécurité alimentaire de l’homme et du cheptel, surtout pour les pays fortement dépendants de l’importation des produits alimentaires de base, comme c'est le cas pour la TUNISIE. Avec des ressources en eau renouvelables estimées à 351 m3/hab./an et un indicateur de stress hydrique de 98,11%, la Tunisie fait face à une pénurie d’eau absolue. Le transfert des eaux de surface du Nord vers la capitale, le Cap Bon, au centre et au Sahel ne permet plus de couvrir les besoins de l’eau potable et de l’agriculture irriguée surtout en période de sècheresse que la Tunisie affronte pour la 5eme année consécutive. Le recours massif aux eaux souterraines a été la conséquence désastreuse de la sècheresse fragilisant davantage ces ressources stratégiques. Aussi la Tunisie présente une efficacité de l'utilisation de l'eau faible (10 $/m3) comparée à la moyenne mondiale qui est de 19 $/m3. La Tunisie est l’un des pays les plus impactés par le changement climatique, ce qui nécessite une révision de la politique globale de l’eau intégrant le concept d’empreinte eau et de l’eau virtuelle. Les plus grands défis pour la Tunisie, ce sont les pertes considérables dans les réseaux d’eau potable et d’irrigation mais également les pertes de rendement de l’agriculture pluviale qui est irriguée directement à partir du ciel. En effet, en cas de déficit pluviométrique de 50%, ce sont plus de 8 milliards de m3 d’eau qui manquent fragilisant ainsi l’économie nationale puisque l’homme a oublié que le plus grand réservoir d’eau ce n’est pas un barrage ou une nappe mais le SOL. L'eau, source de vie et moteur du développement et synonyme de pouvoir, doit être étroitement surveillée par une haute autorité afin d’éviter l'accès illicite et la pollution, tout en garantissant l'équité et l'égalité pour tous les citoyens et les êtres vivants. Cela permet également de prévenir les spéculations mais aussi les risques de conflits internes et externes. ***** 🌱 N'oubliez pas ! Rejoignez-nous pour "Making Tunisia Green Again By Design" dans le cadre d'Optimistic Tunisia 4. Écoutez Pr. Imène Zaafrane et Dr. Raoudh Gafrej: Événement en ligne le 18 mai à 15h GMT. 🌐Réservez maintenant : https://lnkd.in/eeaYfwQQ 🌿 #TunisiaGreenAgain #OptimisticTunisia #TTU #TunisianTalensUnited
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« L’Eau et l’alimentation, quel avenir face à la dérive du climat » par Dr. Raoudha Gafrej La question de l’eau est centrale pour tous les modèles de développement, mais aussi pour la nature et sa biodiversité, dont dépend la vie de l’homme. Dans le contexte actuel de dérèglement climatique et des impacts du changement climatique, le cycle de l’eau de la terre est bouleversé, entraînant une augmentation significative de la température, une baisse et une plus grande variabilité des précipitations, ainsi qu'une intensification des périodes extrêmes, rendant la gestion de l’eau de plus en plus complexe. Ce contexte particulier a des conséquences sur la sécurité alimentaire de l’homme et du cheptel, surtout pour les pays fortement dépendants de l’importation des produits alimentaires de base, comme c'est le cas pour la TUNISIE. Avec des ressources en eau renouvelables estimées à 351 m3/hab./an et un indicateur de stress hydrique de 98,11%, la Tunisie fait face à une pénurie d’eau absolue. Le transfert des eaux de surface du Nord vers la capitale, le Cap Bon, au centre et au Sahel ne permet plus de couvrir les besoins de l’eau potable et de l’agriculture irriguée surtout en période de sècheresse que la Tunisie affronte pour la 5eme année consécutive. Le recours massif aux eaux souterraines a été la conséquence désastreuse de la sècheresse fragilisant davantage ces ressources stratégiques. Aussi la Tunisie présente une efficacité de l'utilisation de l'eau faible (10 $/m3) comparée à la moyenne mondiale qui est de 19 $/m3. La Tunisie est l’un des pays les plus impactés par le changement climatique, ce qui nécessite une révision de la politique globale de l’eau intégrant le concept d’empreinte eau et de l’eau virtuelle. Les plus grands défis pour la Tunisie, ce sont les pertes considérables dans les réseaux d’eau potable et d’irrigation mais également les pertes de rendement de l’agriculture pluviale qui est irriguée directement à partir du ciel. En effet, en cas de déficit pluviométrique de 50%, ce sont plus de 8 milliards de m3 d’eau qui manquent fragilisant ainsi l’économie nationale puisque l’homme a oublié que le plus grand réservoir d’eau ce n’est pas un barrage ou une nappe mais le SOL. L'eau, source de vie et moteur du développement et synonyme de pouvoir, doit être étroitement surveillée par une haute autorité afin d’éviter l'accès illicite et la pollution, tout en garantissant l'équité et l'égalité pour tous les citoyens et les êtres vivants. Cela permet également de prévenir les spéculations mais aussi les risques de conflits internes et externes. ***** 🌱 N'oubliez pas ! Rejoignez-nous pour "Making Tunisia Green Again By Design" dans le cadre d'Optimistic Tunisia 4. Écoutez Pr. Imène Zaafrane et Dr. Raoudh Gafrej: Événement en ligne le 18 mai à 15h GMT. 🌐Réservez maintenant : https://lnkd.in/eeaYfwQQ 🌿 #TunisiaGreenAgain #OptimisticTunisia #TTU #TunisianTalensUnited
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💧 Stress hydrique au Maroc : Nizar Baraka dévoile des mesures audacieuses lors d'une conférence cruciale - Comment le Royaume se prépare-t-il à la guerre de l'eau ? 🌍 Lors d'une conférence captivante sur le stress hydrique, le ministre de l'Équipement et de l'Eau du Maroc, M. Nizar Baraka, a souligné l'impact pressant du changement climatique sur le Royaume. Mettant en lumière la vulnérabilité du Maroc face à des phénomènes climatiques extrêmes, il a averti que des années de sécheresse et d'inondations seront inévitables. M. Baraka a rappelé l'importance cruciale des barrages pour stocker l'eau nécessaire, soulignant le rôle vital de ces réservoirs dans la préservation des ressources pour les populations, l'agriculture et l'industrie. Prenant des mesures audacieuses pour contrer l'exploitation excessive des aquifères, le ministre a annoncé une initiative innovante lors de l'événement. Il a déclaré l'installation prochaine de compteurs sur chaque puits à travers le Royaume, une démarche visant une gestion plus précise et responsable de l'eau souterraine. Cette mesure ambitieuse témoigne de la volonté du gouvernement de garantir la durabilité des ressources hydriques, tout en répondant aux défis croissants imposés par le changement climatique. La conférence, organisée par l'Alliance des Ingénieurs Istiqlaliens en collaboration avec la Fondation Konrad-Adenauer, a offert une plateforme stratégique pour discuter des enjeux cruciaux liés à la guerre de l'eau et du besoin urgent d'interventions gouvernementales. L'échange dynamique entre les participants a mis en lumière la nécessité de stratégies novatrices, plaçant le Maroc au centre des efforts pour optimiser la gestion de l'eau, tout en préservant les nappes souterraines et en assurant la sécurité hydrique pour les générations futures. #RessourcesHydriques #GestionDeLEau #SecuriteHydrique #ChangementClimatique #DeveloppementDurable #MoroccoCanSucceed
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Tous les observateurs s’accordent à dire que le Maroc vit une crise hydrique sans précédent. À quoi cette crise est-elle due ? Quelle est la pertinence des mesures prises par le ministère de l’Equipement et de l’Eau pour endiguer les effets de la sécheresse et de la surexploitation des ressources hydriques ? Co-fondateurs de la plateforme Nechfate qui partage les principales informations sur le changement climatique au Maroc, Ali Hatimy, agronome à Nitidae, et Karim Lasri, consultant à la Banque mondiale, livrent leur analyse de la situation. 🔗 https://buff.ly/49rtxdi
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🌍💧 La crise de l’eau au Maroc : Un appel urgent à une nouvelle gouvernance Imane Messaoudi-Mattei, géographe et agronome, chercheuse à l'Université de Genève et au Geneva Water Hub, met en lumière une vérité alarmante : la crise de l’eau au Maroc est avant tout une crise de gouvernance. Selon elle, les solutions actuelles, bien que bien intentionnées, manquent de profondeur et de concertation avec les usagers. Les chiffres sont préoccupants : des taux de remplissage des barrages historiquement bas, des nappes phréatiques surexploitées, et des coupures d’eau potable fréquentes. Pourtant, au-delà de ces indicateurs, c’est sur le terrain, au contact des populations, que l’on comprend l’urgence de réinventer notre approche. Pour une gestion durable de l’eau, il est impératif de co-produire des solutions adaptées aux réalités locales avec tous les acteurs concernés. Initiant un dialogue inclusif, nous pourrons envisager des alternatives plus durables, mettant en avant la justice sociale et environnementale. #Eau #Gouvernance #DéveloppementDurable #Maroc #GestionDesRessources #Environnement #ImaneMessaoudiMattei #ChallengeMA
Imane Messaoudi-Mattei: «La crise de l’eau est avant tout une crise de gouvernance»
https://www.challenge.ma
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« L’Eau et l’alimentation, quel avenir face à la dérive du climat » par Dr. Raoudha Gafrej Excellente vidéo pour inspirer en cette journée de l'environnement ceux qui veillent à la sécurité nationale en terme d'approvisionnement en eau, considérant le nexus eau-énergie-alimentation-écosystème... Une sensibilisation avec invitation à l'action, pour une question de survie. La question de l’eau est centrale pour tous les modèles de développement, mais aussi pour la nature et sa biodiversité, dont dépend la vie de l’homme. Dans le contexte actuel de dérèglement climatique et des impacts du changement climatique, le cycle de l’eau de la terre est bouleversé, entraînant une augmentation significative de la température, une baisse et une plus grande variabilité des précipitations, ainsi qu'une intensification des périodes extrêmes, rendant la gestion de l’eau de plus en plus complexe. Ce contexte particulier a des conséquences sur la sécurité alimentaire de l’homme et du cheptel, surtout pour les pays fortement dépendants de l’importation des produits alimentaires de base, comme c'est le cas pour la TUNISIE. Avec des ressources en eau renouvelables estimées à 351 m3/hab./an et un indicateur de stress hydrique de 98,11%, la Tunisie fait face à une pénurie d’eau absolue. Le transfert des eaux de surface du Nord vers la capitale, le Cap Bon, au centre et au Sahel ne permet plus de couvrir les besoins de l’eau potable et de l’agriculture irriguée surtout en période de sècheresse que la Tunisie affronte pour la 5eme année consécutive. Le recours massif aux eaux souterraines a été la conséquence désastreuse de la sècheresse fragilisant davantage ces ressources stratégiques. Aussi la Tunisie présente une efficacité de l'utilisation de l'eau faible (10 $/m3) comparée à la moyenne mondiale qui est de 19 $/m3. La Tunisie est l’un des pays les plus impactés par le changement climatique, ce qui nécessite une révision de la politique globale de l’eau intégrant le concept d’empreinte eau et de l’eau virtuelle. Les plus grands défis pour la Tunisie, ce sont les pertes considérables dans les réseaux d’eau potable et d’irrigation mais également les pertes de rendement de l’agriculture pluviale qui est irriguée directement à partir du ciel. En effet, en cas de déficit pluviométrique de 50%, ce sont plus de 8 milliards de m3 d’eau qui manquent fragilisant ainsi l’économie nationale puisque l’homme a oublié que le plus grand réservoir d’eau ce n’est pas un barrage ou une nappe mais le SOL. L'eau, source de vie et moteur du développement et synonyme de pouvoir, doit être étroitement surveillée par une haute autorité afin d’éviter l'accès illicite et la pollution, tout en garantissant l'équité et l'égalité pour tous les citoyens et les êtres vivants. Cela permet également de prévenir les spéculations mais aussi les risques de conflits internes et externes. Dr Raoudha Gafrej https://lnkd.in/dFTSrZgh
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La crise de l’eau au Maroc est principalement due à une sécheresse prolongée et à d’autres facteurs, entraînant une grave pénurie d’eau. Cette crise reflète un problème mondial de diminution des ressources en eau douce aggravé par le changement climatique. Elle a d’importantes répercussions économiques, notamment sur l’agriculture, ce qui affecte les zones rurales.... #Eau #Climat #climatique #économie #agriculture #Maroc #Crise
Maroc et crise de l'eau : une opportunité pour les régions/villes!
https://www.iemergence.network/odds
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💧 Le Maroc sous pression hydrique : Quelles stratégies pour préserver notre avenir ? ✨️ Lors de la conférence organisée par l'Alliance des Ingénieurs Istiqlaliens en partenariat avec la Fondation Konrad-Adenauer au Maroc, Mme Veronika Ertl, responsable du Programme régional sur la sécurité énergétique et les changements climatiques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, a souligné l'ampleur du stress hydrique. Avec 17 pays exposés au risque de pénurie, les données de 2019 indiquent que 83% de la population de ces régions est déjà confrontée à un stress hydrique extrêmement élevé. Cette situation, exacerbée par une demande croissante en eau pour l'industrie et l'agriculture ainsi que par les effets tangibles du changement climatique, est alarmante et pourrait avoir des conséquences graves. Mme Ertl a également mis en lumière le fait que le Maroc n'est pas seul à faire face à ces défis, soulignant que chaque pays de la région doit faire face à des contextes nationaux différents et complexes. Cependant, elle a exprimé sa conviction en l'existence d'un immense potentiel d'échange et de collaboration dans la lutte contre le stress hydrique. Des leçons peuvent être tirées des approches existantes, des meilleures pratiques et des solutions innovantes pour renforcer la résilience face à cette crise imminente. En conclusion, la conférence a mis en évidence l'urgence d'agir pour atténuer les effets du stress hydrique. Les interventions de Mme Ertl ont souligné la nécessité d'une action concertée, de la recherche de solutions adaptées à chaque contexte national et de la promotion de l'échange de connaissances et de meilleures pratiques pour garantir la sécurité hydrique et climatique dans la région. #ChangementClimatique #SensibilisationClimatique #ConservationDesRessources #GestionDeLEau #SecuriteHydrique #DeveloppementDurable #MoroccoCanSucceed
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Expert Entreprises - Partenaire financier des PME dans leurs besoins quotidiens, dans leurs réflexions stratégiques et leur transition durable (RSE).
💧 "Mais malgré son abondance, seuls 2,8 % de ce volume est constitué d'eau douce, propre à la consommation humaine. Depuis le début du XXe siècle, le volume des prélèvements d'eau pour les usages domestiques, agricoles ou industriels a été multiplié par plus de six à l'échelle mondiale, selon les données des Nations Unies (ONU), ce qui exerce une pression sur les réserves d'eau douce disponibles." 😰 "Aujourd'hui, il est estimé que plus de 2 milliards de personnes sont confrontées chaque année au stress hydrique, lorsque les ressources en eau douce deviennent insuffisantes pour répondre aux besoins." 😧 "Comme le montrent les projections du World Resources Institute pour 2050, basées sur le scénario climatique « business as usual » (+2,8°C à +4,6°C d'ici 2100), la raréfaction des ressources hydriques est malheureusement amenée à s'aggraver dans les décennies à venir, en raison de l'évolution du climat, mais aussi de la croissance démographique et du développement de l'urbanisation." 🇪🇺 "Selon les prévisions, 51 pays seront confrontés à des niveaux de stress hydrique « extrêmement élevés » ou « élevés » à l'horizon 2050, dont 9 en Europe."
Infographie: Pénurie d'eau : quels pays seront les plus affectés à l'horizon 2050 ?
fr.statista.com
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