Post de Jour de la Terre France

Il y a un peu plus d’un mois se tenait la 54e édition du Jour de la Terre 🌍 Le bilan ? Plus de 53 entités mobilisées et 86 événements organisés en faveur de la protection de l’environnement. Un engagement partagé par notre mutuelle labellisée « Engagé RSE », avec l’organisation de deux éco-randonnées à Blois et à Vichy, et la collecte de plus de 50 kg de déchets. Cependant, la protection de l'environnement ne doit pas se limiter à des événements ponctuels. Tout au long de l'année, chaque geste compte pour réduire notre impact environnemental et préserver nos écosystèmes. Pour en savoir plus sur les initiatives et les résultats de cette édition, consultez le bilan complet du Jour de la Terre : https://ow.ly/V4Ms50RQriI

[AG du mouvement France Nature Environnement à #Marseille] Dans le contexte politique extrêmement préoccupant que nous traversons, l'assemblée générale de notre mouvement sera l'occasion de voter une motion sur les enjeux sociétaux le samedi 15 juin au matin. L'après-midi, nous maintiendrons une sortie en mer au sujet des petits fonds côtiers de Méditerranée, à bord du navire Baila affrété par AMC CAPE GRACE. La force de FNE repose sur un large maillage associatif : + de 6200 associations présentes sur tout le territoire. Ce moment fort de la vie associative sera l’occasion de dresser le bilan 2023 et de définir nos futures orientations. Fermement arrimés à notre objectif « 1 Planète par an » d’ici 2050, nous sommes convaincu·es qu’en ces temps de crises démocratique, sociale et environnementale, c’est en replaçant la #sobriété au centre des débats que nous construirons le #mondevivable de demain. C’est en faisant fédération, en s’appuyant sur des valeurs de partage et de cohésion que l’on construira ce monde.  À notre échelle régionale, cette idée de #cohabitation est présente dans les projets que nous portons. Nous avons ainsi souhaité présenter à l’occasion d’une promenade en mer comment FNE s’investit en faveur des milieux littoraux et côtiers, particulièrement soumis aux pressions humaines.   Cette navigation commentée s’inscrit dans notre projet « Petits fonds côtiers », une collaboration des fédérations régionales France Nature Environnement Occitanie-Méditerranée (FNE OcMed) et France Nature Environnement Provence-Alpes-Côte d'Azur. L’appellation « petits fonds côtiers » englobe les fonds entre 0 et 30m de profondeur, où se concentrent 80% de la vie marine. Posidonie, bancs de sables, lagunes : une véritable mosaïque d’habitats et d’écosystèmes s’y développent et cohabitent. Cependant, leur proximité sur le littoral les met aussi à la merci des activités humaines. Sur notre façade maritime, nous soutenons ainsi quatre projets concrets : - Étude et préservation des #cystoseires (île de St Honorat), - Étude et préservation d’un récif frangeant de #posidonie (St Mandrier), - Caractérisation des lentilles d’eau douce dans les dunes (Camargue), - Suivi de l’effet réserve au sein du Parc Marin de la Côte Bleue (Bouches-du-Rhône)   Ces projets, axés sur la connaissance du vivant, ont pour objectif de nourrir un plaidoyer afin d’accélérer la création de #zonesdeprotectionforte en Méditerranée. On se souvient du discours d’Emmanuel Macron lors de l’ouverture du congrès IUCN à Marseille en 2021 – et de cette promesse : « 5% de la surface des eaux françaises en Méditerranée seront sous protection forte en 2027 ». La préservation des écosystèmes va de paire avec notre adaptation au #changementclimatique. Ces enjeux d’avenir sont à (re)mettre sur un pied d’égalité. Il est urgent de passer à l’acte et d’agir ensemble. La mer est un #biencommun à préserver ; de sa bonne santé nous dépendons toutes et tous.

🎥 Un rendez-vous à ne pas manquer! Pour échanger sur les enjeux entourant les changements climatiques, discuter de notre impact et de ce qui peut être fait. 🌏Un documentaire réalisé par Eva Philippe Petit pour inciter les jeunes à devenir acteurs et actrices de changement.

Hier j’ai eu la super chance d’écouter Marine Calmet dans l’émission la terre au carré. Quelle bouffée d’air frais ! Parler de manière si pertinente et claire de l’importance de nos milieux de vie dans l’entreprise ou la collectivité ! Quelle joie j’ai ressenti a entendre ce que nous avons précisé dans nos formations #permaentreprise et #butterfly (c’est ça le papillon 🦋 à côté de mon profil 😉) A savoir : comment reagencer les parties prenantes en y intégrant le fleuve, ou toute autre partie naturelle emblématique de notre territoire, dans nos comités de décision ! Comment prendre conscience de notre appartenance à notre environnement naturel ? Comment se reconnecter au #vivant en nous et autour de nous ? ✨Piste d’action : redonner ses droits au fleuve. Ici la Seine mais près de chez vous, avec quel source de vie emblématique vivez vous ? Et comment intégrer cette nouvelle partie prenante dans votre cercle décisionnel ? Je vous joins ici le lien de l’émission, et si ça résonne en vous et vous ne savez pas par où commencer, discutons en 🤗 https://lnkd.in/eSkzbrTs ———————— Avec Metanoïa j’accompagne, la transformation écologique et humaine des entreprises #permaentreprise #regenerativebusiness #cooperation #Sustainability #alsace #esg #rse #businessmodel #raisondetre Contact@metanoiacoaching.fr

[ACTIS s'engage]🌳 Pour la troisième année consécutive nous sommes heureux de soutenir les Voies navigables de France et leur programme de replantation du Canal Du Midi 🌿 🌱 Préserver notre histoire, cultiver notre avenir 🌱 Inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1996, le canal du Midi est l’un des plus anciens canaux d’Europe. Il constitue un #patrimoine historique, culturel et #environnemental majeur pour le développement touristique et économique de La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée ☀️ Menacés par une maladie incurable, les platanes qui longent le Canal ont été décimé au long de ces dernières années. 😥 🌎 Agir maintenant pour un avenir durable 🌎 La reforestation des berges contribuera non seulement à préserver la #biodiversité locale, mais aussi à renforcer la résilience de notre #écosystème face aux défis environnementaux actuels. C'est une action concrète qui s'inscrit dans notre vision d'un avenir #durable et #responsable. Engagés depuis toujours dans une démarche responsable à 360° nous sommes fiers de contribuer, à notre échelle, à la préservation de ce joyau architectural et environnemental de notre belle région. Pour tout savoir sur notre #engagement 👇 https://lnkd.in/expeETNa #ActisIsolation #Mécénat #CanalDuMidi #Environnement #ResponsabilitéSociale

🚀 Les Canalisateurs, acteurs incontournables du cycle de l’eau ! Or pour faire face aux enjeux il faut séduire les nouvelles générations. C’est tout le sens de nos matinées de l’eau 2024.

Deuxième journée de la traversée des luttes de l’eau qui se tient du 2 au 8, et se termine au camp climat de Venise. L’étape du jour commence dans les plaines de la Limagne et se termine au bord du lac de Serre-Ponçon en passant par Grenoble. Ce sera l’occasion pour Bassines Non Merci et les Soulèvements de la Terre d’apporter leur soutien à StopMicro et à NoJo! #nobassaran ➡La traversée des luttes de l’eau 💧Quand ? du 2 au 8 septembre, à l’initiative de Bassines Non Merci et des Soulèvements de la Terre. Du 6 au 8 aura lieu le camp climat de Venise 💧De quoi s’agit-il? 1 300 km du Marais poitevin à la lagune de Venise pour mettre en lumière et unir les différentes luttes de l’eau contre l’accaparement et la pollution. ➡Le lien entre le marais poitevin et la lagune de Venise Deux territoires qui sont en proie à l'accaparement et à l’industrialisation : 💧les marais poitevin avec la construction de méga bassines le surtourisme, 💧la surexploitation et la pollution nécessité de protéger la lagune de Venise et les bois de Vicenza aussi menacé par le projet de LGV Turin-Venise ➡Mise en lumière des luttes Chaque étape sera le moment de soutenir une lutte locale : 💧avec BN63 contre les projets de giga bassines dans la plaine de Limagne 💧avec STopMicro contre Soitec et STMicroelectronics qui déversent de nombreux polluants dans les eaux 💧avec NoJO contre les Jeux 2030 soutien aux refugiés et les associations (Tous Migrants, Refuges Solidaires, Médecins du Monde et EKO!) qui les aident à Briançon, tandis que les pouvoirs publics préfèrent se concentrer sur la production de neige artificielle et l’arrosage des golfs 💧avec les habitants du Val di Susa et NoTav contre le projet de LGV Lyon-Turin ➡Source et crédit image: Les Soulèvements de la terre

Les ongulés sauvages en France métropolitaine : fonctions écologiques, services écosystémiques et contraintes pour la société Théma Essentiel | Mars 2023 | Synthèse du rapport  La France métropolitaine compte 11 espèces d’ongulés sauvages : cerf élaphe, cerf sika, chevreuil, daim, chamois, isard, mouflon de Corse, mouflon méditerranéen, bouquetin des Alpes, bouquetin ibérique et sanglier. Désormais présentes sur la quasi-totalité du territoire métropolitain, ces espèces emblématiques sont associées à de nombreux biens et services écosystémiques (chasse, observation…), mais aussi à des contraintes pour la société (collisions, dégâts, maladies). Les ongulés sauvages constituent également des acteurs majeurs du fonctionnement des socio-écosystèmes par leur action sur la dynamique des communautés végétales et des paysages. Les ongulés sauvages en France métropolitaine : fonctions écologiques, services écosystémiques et contraintes pour la société (PDF - 281.47 Ko) www.ecologie.gouv.fr 

"Depuis 2020, Bordeaux Métropole s’est lancée dans une véritable révolution verte. Son objectif est simple mais ambitieux : planter un million d’arbres sur l’ensemble des 28 communes de l’agglomération d’ici 2030. Où en sont-ils, et quels sont les objectifs de cette initiative ? On te dit tout. Combien d’arbres en quatre ans ?" 📱 Suivez l'actualité des projets de la métropole : https://lnkd.in/erwhsD9G #bordeauxmétropole #bordeauxmaville

#IfrecorPolynésie #ForCoral 🪸🐠 Le Comité local de Polynésie française 🇵🇫  de l’@Initiative française pour les récifs coralliens (Ifrecor) avance rapidement sur la co-construction en intelligence collective de sa Stratégie et de son Plan d’actions quinquennal 2024-2028. Plus d’une cinquantaine d’acteurs polynésiens de tous horizons (État, Pays, Communes, services publics, enseignement supérieur et recherche, entreprises privées et associations de protection de l’environnement) sont « sur le pont » pour la protection et la gestion durable des récifs coralliens et écosystèmes associés. ✅ La Task Force de l’Ifrecor Polynésie a ainsi adopté le cadre stratégique de son Plan d’actions et travaille désormais en collégialité à prioriser les actions concrètes à mettre en œuvre sur les 5 prochains années, avec une approche « bottom-up » et intégrée. Grâce à l’ensemble des expertises mises en commun, l’Ifrecor Polynésie élabore sa feuille de route levier pour les 5 prochaines années. Une stratégie polynésienne en cohérence avec les 7 thématiques nationales du 5e programme d’actions Ifrecor 2022-2026 qui sera finalisée fin mars. Le cœur de sa démarche : Fédérer et mettre en réseau les acteurs pour co-construire des projets intégratifs dans une approche multidisciplinaire et multi-acteurs, élargie au continuum Terre-Mer. Située au cœur du Pacifique Sud, la Polynésie française totalise 15 000 km² de récifs et lagons, soit plus d’un quart (26%) de la surface totale des récifs coralliens français. La surface récifale de Polynésie française est quatre fois plus vaste que les terres émergées, qui n’occupent que 3.521 km² de ce territoire grand comme l’Europe, constitué à 99,9% d’océan. C’est dire toute l’importance de la protection de son milieu récifo-corallien ! 🏝️ Les écosystèmes coralliens ont un rôle central dans la survie, la sécurité et le bien-être de la population de Polynésie française. Ils fournissent des ressources vitales aux communautés locales, protègent les côtes des événements climatiques extrêmes, absorbent près de 90% de l’énergie des vagues, et sont également intimement liés à la culture et l'identité des Polynésiens. Plus de 90% de la population polynésienne, proche de 280.000 habitants, vit sur les zones côtières. Sa dépendance sociale et économique vis-à-vis de l’écosystème marin est extrêmement élevée. Les écosystèmes coralliens contribuent chaque année à hauteur de 462 millions d’euros (55 milliards de FCFP) à l’économie locale. Plus de 21 000 emplois dépendent de leur bonne santé. Contact : Muriel Pontarollo, représentante de l’Ifrecor Polynésie au Comité national de l’Ifrecor.