Post de Le Soleil

Pour 39 % des passagers, la baisse du prix des billets doit être la priorité des compagnies ferroviaires, bien avant la ponctualité ou la réduction de l’impact environnemental, selon une enquête du cabinet Wavestone. Retrouvez l'article du Le Figaro sur le sujet : https://lnkd.in/d_whQY_U 🎫 Étude Wavestone : dans un contexte inflationniste, 39% des voyageurs ont classé la baisse de prix des billets comme priorité des entreprises du ferroviaire pour répondre au mieux aux attentes des consommateurs, devant la diminution des retards, la réduction du temps de voyage ou le développement de services à bord. 🚅 Ce constat se vérifie dans les 3 pays étudiés (France, Angleterre et Allemagne) et augmente même avec l'âge. Retrouvez plus d'informations dans l’édition 2024 du Baromètre des Tendances de Consommation publié par Wavestone 👉 https://lnkd.in/dfte2-sR #tendancesdeconsommation #transport #economie Julien Miniconi Sophie de Champs Romain Clémençon Morane Gour Guillaume Durand TransportShaker Rémi Juste Julien JOLY

Huit régions ont demandé au Conseil d’État d’invalider la hausse de 8 % du prix des péages ferroviaires pour 2024. Alors que la France pratique déjà en la matière des tarifs singulièrement élevés, elles craignent de devoir faire payer davantage les passagers.

🎫 Étude Wavestone : dans un contexte inflationniste, 39% des voyageurs ont classé la baisse de prix des billets comme priorité des entreprises du ferroviaire pour répondre au mieux aux attentes des consommateurs, devant la diminution des retards, la réduction du temps de voyage ou le développement de services à bord. 🚅 Ce constat se vérifie dans les 3 pays étudiés (France, Angleterre et Allemagne) et augmente même avec l'âge. Retrouvez plus d'informations dans l’édition 2024 du Baromètre des Tendances de Consommation publié par Wavestone 👉 https://lnkd.in/esScUhyB #tendancesdeconsommation #transport #economie Julien Miniconi Sophie de Champs Romain Clémençon Morane Gour Anne Kasriel Alessia Corsi Guillaume Durand TransportShaker Alizée Barioulet Rémi Juste Eloïse Devallière Olivier Chicheportiche

Bonjour à tous, Nous sommes GuideMeTv, et aujourd'hui, nous voulons clarifier la situation sur l'inflation et les tarifs aériens en Europe. La semaine dernière, Willie Walsh, Directeur Général de l'IATA, a révélé que les tarifs aériens achetés pour des voyages débutant en Europe en juin 2023 étaient en moyenne 16% plus élevés qu'en juin 2019. C'est environ quatre points de pourcentage en dessous de l'augmentation cumulative de 20% de l'Indice des Prix à la Consommation européen sur la même période. Ces données ont été publiées pour corriger la spéculation selon laquelle les tarifs aériens augmentaient bien au-delà du taux d'inflation. Cependant, ACI-Europe a affirmé que les tarifs aériens pour la période de pointe de juillet-septembre 2023 étaient 38-47% plus chers qu'en 2019. Les données ne mentent pas. Les tarifs payés par les consommateurs pour voyager en juin 2023 étaient 16% plus élevés qu'en juin 2019. Nous avons fait la même analyse pour juillet-septembre et avons trouvé le même 16%. ACI-Europe a utilisé des données d'une source qui recueille les tarifs aériens sur les sites web. Les données de l'IATA ont été calculées à partir des tarifs rapportés pour des billets réels achetés par de vrais voyageurs. La concurrence entre les compagnies aériennes profite aux consommateurs. Les augmentations des tarifs aériens sont également à la traîne par rapport aux hausses des prix du carburant, qui représentent désormais environ 30% des coûts d'une compagnie aérienne. En juin 2019, le carburant pour avion coûtait environ 77 $/baril et en juin 2023, il était à plus de 96 $/baril. Cela représente une augmentation de 25%, bien au-delà de l'augmentation des tarifs aériens et du taux d'inflation. Les aéroports, en tant que fournisseurs monopolistiques, ne sont pas familiers avec les marchés compétitifs comme ceux qui existent pour les tarifs aériens. Calculer une augmentation moyenne dans le secteur aéroportuaire, dominé par des monopoles, a peu de sens. La manière la plus significative d'analyser les frais aéroportuaires est par exemple individuel d'aéroport. Pour conclure, nous ne sommes pas intéressés par une dispute de données avec ACI-Europe. Mais nous sommes déterminés à faire en sorte que les chiffres présentés dans le cadre d'un débat politique soient correctement compris. Rejoignez notre chaîne GuideMeTv et partagez vos pensées avec la communauté GuideMeOperadoresLocales. Votre avis compte ! https://lnkd.in/dZugMv4V

Selon nos informations, la hausse moyenne des prix des billets pour les TGV Inoui ne sera pas supérieure à 2,6%. Les tarifs des TGV Ouigo ainsi que des Intercités seront au contraire gelés. Tout comme ceux de la carte Avantage. Le chiffre doit encore être validé par le ministère de l'Économie mais ce n'est qu'une question de jours. De quoi tenir la promesse de la SNCF qui indiquait en décembre que cette hausse serait inférieure à l'inflation moyenne annuelle en France. En effet, la plupart des prévisions envisagent une inflation entre 2,5% et 2,7% en France en 2024: 2,5% pour le FMI, 2,6% pour le le gouvernement tandis que la Banque de France prévoit une hausse généralisée des prix de 2,5% (et 2,8% hors énergie et alimentation). Les péages payés par SNCF Voyageurs flambent de 8% C'est surtout l'augmentation programmée de 8% des prix des péages payés par SNCF Voyageurs à SNCF Réseau qui justifie cette hausse. Ces péages sont parmi les plus élevés d'Europe et représentent jusqu'à 40% du prix d'un billet de TGV. https://lnkd.in/dVZ3ahxB Groupe SNCF SNCF Voyageurs

Toujours intéressant de lire le bilan de l’année de l’autorité de régulation des transports. Où l’on peut voir notamment côté TGV qu’en 2023 on a transporté un nombre record de clients, à des prix en moyenne inférieurs à 2019 (en neutralisant l’inflation) et au même niveau que 2022 (la légère hausse faciale par rapport à l’inflation entre 23 et 22 s’explique par la comparaison avec le premier trimestre 2022 encore très affecté par le COVID).

Low-cost ne signifie pas low-price. La mise en concurrence de services de transport de personnes ne conduit pas nécessairement à une baisse des prix. Les charges fixes représentent une part significative des coûts. L’atteinte du seuil de rentabilité dépend du taux de remplissage et des prix pratiqués. Gare aux illusions. https://lnkd.in/eeztn-bp

Entre mars et avril les tarifs des vols aériens ont augmenté de manière exponentielle en Italie et en France. Des facteurs tels que l'inflation, le coût du carburant et la demande accrue des usagers font que voyager n'est plus si bon marché.

Le Figaro Voyages consacre un article sur le Baromètre Consommation réalisé par Wavestone auprès d’un panel de voyageurs en France 🇫🇷, Allemagne 🇩🇪 et au UK 🇬🇧 Avec ma collègue Morane Gour nous y présentons les résultats de cette étude. 🔹Pour 39 % des passagers, la baisse du prix des billets doit être la priorité des compagnies ferroviaires, bien avant la ponctualité ou la réduction de l’impact environnemental 🔹 La baisse du prix est une priorité pour 28 % des 18-24 ans, ce taux grimpe à 43 % chez les 45-54 ans et 48 % chez les 55-64 ans : cela s’explique en partie par les tarifs préférentiels à destination des jeunes (abonnements dédiés, tarifs réduits) 🔹Pour baisser les prix, pas toujours simple pour les compagnies qui font face à l’inflation notamment sur les salaires et l’énergie. Les compagnies peuvent bien sûr proposer des produits plus abordables (comme OUIGO) Baisser le prix, c’est aussi le rôle du législateur : l’ouverture à la concurrence peut favoriser une diminution des prix même si cela n’est pas toujours le cas comme au UK. Dans tous les cas, la baisse du prix des péages ferroviaires en France (près de 40% du prix d’un billet longue distance) est l’un des leviers principaux à étudier. 🔗 Article de Jean-Marc De Jaeger : https://lnkd.in/guahE8tb Julien Miniconi Alessia Corsi Sophie de Champs Alizée Barioulet Amal Boutayeb Daniel Verschaere Guillaume Durand Rémi Juste Philippe Dajean Eloïse Devallière Olivier Chicheportiche

Aérien : près de 5 milliards de passagers prévus cette année selon l'IATA Les compagnies aériennes internationales revoient à la hausse leurs prévisions de bénéfices pour 2024 et tablent sur un chiffre d'affaires pour l'ensemble du secteur légèrement inférieur à 1.000 milliards de dollars (921 milliards d'euros), portées par un trafic record. L'Association internationale du transport aérien (IATA) a déclaré s'attendre à ce que le secteur génère 30,5 milliards de dollars de bénéfices à l'échelle mondiale cette année, soit plus que les 27,4 milliards de dollars de profits enregistrés en 2023. Quatre ans après le Covid Les compagnies aériennes s'attendent par ailleurs à transporter près de cinq milliards de passagers (4,96 milliards) dans le monde cette année, battant largement le record de 2019 à 4,54 milliards. Cette prévision intervient quatre ans après la pandémie de COVID-19 qui avait vu l'industrie accuser une perte de 140 milliards de dollars en 2020. Elle est relevée par rapport à celle d'un bénéfice de 25,7 milliards de dollars donnée en décembre. Meilleur que prévu "L'environnement est meilleur que ce à quoi nous nous attendions, en particulier en Asie", a déclaré le directeur général de l'IATA, Willie Walsh, à Reuters en marge d'une réunion annuelle de l'association à Delhi, en Inde. Toutefois, l'industrie du transport aérien a averti que sa capacité à répondre à une forte reprise de la demande de voyages était entravée par des perturbations dans les chaînes d'approvisionnement mondiales. Revenu par passager Le revenu par passager, soit le montant moyen payé par un passager pour chaque mile parcouru, devrait augmenter de 3,2% par rapport à 2023, a déclaré l'IATA dans ses perspectives économiques semestrielles. Cela s'explique en partie par le fait que la croissance de la capacité de transport des compagnies aériennes est limitée, ce qui entraîne une hausse des prix. En revanche, le chiffre correspondant pour le fret devrait chuter de 17,5% en 2024, le marché revenant à la normale après avoir enregistré une forte hausse pendant la pandémie.