Post de Klee Interactive

🌴Pas facile, cette année, d’attraper un bout de ciel bleu cannois lors de cette 3ème édition du WAICF - World AI Cannes Festival, mais qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse ! Et il y avait du monde pour goûter à la liqueur. Des poids lourds du « compute » aux startups plus ou moins connues (qui gagnent, dans tous les sens du terme, à l’être), des célébrités de l’#IA – qui pour se plaindre qu’elles soient françaises ? – aux professionnels venus exposer leurs cas d’usage mis en production (et l’on sait tous le travail que cela représente !), ce cru est encore meilleur que les précédents.   Petit tour au rayon Conférences :    - Yann LeCun défend avec tact, mais conviction, ses positions (et celles de Meta) sur l’importance de l’open-source, plus à même, selon lui, de sécuriser les produits d’IA.    - Dr. Luc JULIA, arborant l’une de ses chemises hawaïennes signature, invite, dans un discours équilibré, un public venu l’écouter en nombre à prendre l’IA – en particulier générative (et pas « créative » !) – pour ce qu’elle est : un outil loin d’être exempt de défauts mais utile à certaines applications.   - Dr. Alessandra Sala, dans un anglais chantant (je suis un peu jaloux…) présente les applications de la génération d’images chez Shutterstock en rappelant qu’il ne faut pas juger la technologie telle qu’elle est aujourd’hui ; les progrès sont (très) rapides…    - Jean-Gabriel Ganascia, qui pointe, avec son brio habituel pas même amoindri par l’exercice de l’anglais obligato de cette édition, que la question de l’éthique en IA est complexe et comporte des « tensions ». Ex : Vous voulez de la transparence en IA ? Vous voulez aussi protéger votre vie privée ? C’est bien normal. Mais vous ne vouliez pas de la transparence à l’instant ?...   🎬 Si seules les stars du cinéma peuvent éclipser les hommes politiques (question de saison : les stars, comme les hirondelles, reviennent à Cannes au printemps), il faut admettre que ceux-ci éclipsent à leur tour, quoique brièvement, les stars de l’IA. Ainsi avons-nous été gratifiés d’une intervention de Bruno Le Maire. S’il est bien clair qu’elle a été écrite par des pros du domaine (lui ménageant un passage difficile et dispensable sur la « tokenisation »), les messages du Ministre de l’économie étaient clairs : - Réguler c’est bien, innover c’est mieux ! - Augmenter la rémunération des professionnels de l’IA (pourquoi ceux-là plutôt que d’autres ? 🤔) ; - Faire une union des marchés de capitaux (les banques ne seraient pas à l’échelle) ; - Créer une place de marché des données, afin qu’elles y trouvent leur juste prix (no comment). Bruno Lemaire rappelait que cette rupture technologique se greffe à des entreprises en situation de monopole et que derrière toutes les technologies, il y a une philosophie politique. Oui, M’sieur ! 😎   Ce salon était aussi l’occasion d’apprécier une fois encore l’organisation sans coutures, servie par le personnel discret mais efficace des lieux. Bravissimo !

Bien évidemment les intelligences artificielles bousculent notre relation à nos imaginaires et à notre créativité. Leur puissance et rapidité sont inhumaines et par conséquent nous effraie. Je pense qu'il va nous falloir composer avec et nous amuser de ce qu'elles offrent, mais surtout parfois créer des moment sans. Le Dry January se termine, il y aura peut-être bientôt des Dry IA où nous nous en remettrons à nos "simples" neurones et imaginaires, sans dopants (digitaux). J'observe et commence à utiliser ces outils doucement pour les comprendre, tel un paysan protégeant ses cultures de prédateurs car ils viennent directement piétiner mes plates-bandes. En attendant de voir où va nous conduire cette cohabitation de cerveaux digitaux et cogito (c'est pas Chat GPT qui l'aurait encore trouvée celle-ci), Cheh le Chat, je vous propose de découvrir ma carte de voeux délibérément en mode Arty et bout de ficelles ! Que les onze mois de 2024 qui nous restent soient l'occasion de célébrer la vie, l'amour, la joie et les idées folles. C'est pas forcement évident vu le contexte global, mais bon, on y croit ! Continuez à soutenir les créateurs en visitant des expos, des théâtres, des galeries, des échoppes...en attendant, j'écris avec mon ordi et word un beau projet qui me tient à coeur. A suivre... C'est l'année des mes 50 ans, faut plus faire patienter nos rêves...en 2023, j'étais sur scène pour Slâmer à We Love Green Paris, So Good Festival à Marseille en avant première de Eddy de Pretto, Insane festival à Apt, 2030 Festival à Montpellier, par écrit dans la boutique de la Comédie Française...et un peu partout dans des événements publics ou privés. 2024, hâte de voir où mes mots porteront leur sens Et dans quels oreilles ils déploieront leur puissance... SACD #poésiecontempo-reine #creativity #creativityproducer

Dans le paysage en constante évolution des technologies immersives, l'émission "VOUS+IA" a récemment offert un regard intime sur la collaboration et la créativité qui façonnent l'avenir de nos expériences numériques. Le KIF-KnowledgeIMMERSIVEForum est enthousiaste à l'idée de partager avec vous un extrait de sa dernière session, tournée le jeudi 29 février, centrée autour du projet "NOIRE". Cet extrait met en scène l'échange entre Alexandre MICHELIN et les co-fondateurs de Novaya, EMANUELA righi et Pierre-Alain Giraud, qui nous dévoilent avec générosité les coulisses de leur travail sur "Noire". À leurs côtés, Sandra Rodriguez artiste québecquoise qui est à la fois réalisatrice et conférencière au MIT Media Lab apporte sa perspective unique sur l'intégration des réalités mixtes dans le storytelling. 🔍 Pourquoi cet extrait mérite votre attention ? Il offre une fenêtre ouverte sur le processus de co-production et d'exploitation des réalités mixtes, un domaine encore mystérieux pour beaucoup. Il présente des témoignages sincères de créateurs qui naviguent à la frontière de l'innovation, partageant les défis et les réussites de leurs parcours. Il encourage à réfléchir sur le potentiel des réalités mixtes pour enrichir notre façon de raconter et de recevoir des histoires. L'invitation est lancée pour vous joindre à nous dans ce voyage exploratoire à travers "NOIRE". Ce moment de partage est une occasion de mieux comprendre comment la technologie et la créativité se rencontrent pour créer des expériences uniques. 👁 Je vous encourage à visionner cet extrait et à partager vos réflexions. Comment voyez-vous l'évolution des réalités mixtes influencer notre interaction avec les médias, l'éducation, ou même l'art ? #RéalitéMixte #TechnologieImmersive #Storytelling #VOUSplusIA #KIF2024 #NOIRE #changeonsdeperspectives

<Le Livre, le lundi. #20 30/04/2024. Vallée du silicium, Damasio (2024)> 💻🧠🥼💥 Il faut vous l’avouer, je n’ai jamais été un lecteur de SF. Mais quand l’une des meilleures plumes françaises du genre s’essaie à l’essai sur la technologie, il faut s’y frotter : et force est de constater que le texte est excellent. Fruit d’une résidence d’écriture à la Villa Albertine, Vallée du Silicium est une plongée au coeur d’une plongée dans la Silicon Valley et ses prophéties technologiques. C’est tour à tour les sièges des grands groupes, les quartiers pauvres de San Franciso, la voiture autonome, la corporéité et la technique, l’art et les désirs qui sont explorés. C’est un livre qui saura intéresser, à la mesure des pistes ouvertes du point de vue de l’éthique et de la philosophie de la technique, par la voie du ré-investissement du désir, des pistes parfois lumineuses. Le choix des extraits fut très (très) difficile: « L’innovation dans le capitalisme consiste 95 fois sur 100 à décalquer dans tous les champs d'activité possibles une poussée anthropologique de fond: passer de la puissance au pouvoir. Autrement dit: de la capacité humaine à faire, directement et sans interface, avec ses seules facultés céré-brales, physiologiques et créatives, à la possibilité de faire faire, qui est une définition primaire du pouvoir. Faire faire à l'appli, au smartphone, aux algos, aux IA, aux robots (…) ce qu'on ne veut pas condescendre à faire: ici se tient le pouvoir. » « Plus la délégation aux IA progresse, plus l'on connecte et collecte, plus les machines s'autogèrent et nous gèrent en nous digérant, plus notre dépendance s'étend. Devient arachnéenne. J'aime bien me demander: en connectant tout avec tout, la toile grandit, certes, elle s'élargit et s'épaissit prodigieu-sement. Mais la question pertinente ne serait-elle pas: quelle est la taille de l'araignée? Quelle mygale monstrueuse est-on en train d'enfanter, et de nourrir de nos petits actes d'insectes? » « Depuis trente ans, nous vivons en barbares des réseaux. Personne ne nous a appris à nous servir de Facebook ou d'Insta, personne ne nous a enseigné les algorithmes de clash, la mécanique du seroll, les boîtes de Skinner et le design de la dépendance. Aucune institution, aucune école, aucun parent. Nous avons appris les jeux vidéo avec nos potes, nous avons cherché à créer nos sites à coups de tutos, nous avons été influencés par des influenceurs, paramétrés à coups de cookies, dressés aux captehas et éduqués à jouir par le porno. Nos parents n'ont rien compris à ce qui arrivait, pas plus que nous n'avons su transmettre à nos gosses le peu que nous avons appris sur le tas (…). Trente ans après, les vagues s'abattent toujours et l'A générative augure un tsunami plus haut que tous les surfeurs encore capables de lire la houle. Alors il est peut-être temps d'éduquer. »

En 2021, nous avions rangé les casques pour nous lancer dans un projet plus grand : notre agence de communication, Le Club des Bernards. Vous voulez connaître l’histoire ? Si quelqu’un a su nous démasquer, c’est bien Nicolas Guyon. Fin mai, il nous a fait l’honneur de nous représenter au fameux Comptoir IA. Il nous a confié cette mission : - « Les Bernards ? Vous aimeriez conclure le comptoir et créer une ambiance pour l’apéro ? » - « Ok ! » - « Je verrais bien des sons faits avec l’IA et un diaporama d’images IA. » - « Ok ! » - « Pour le son, allez-y doucement, ne faites pas fuir avec du métal. » - 🤘 « OK ! » 🤘 Nous voilà donc investis d’une mission, avec ce brief : Nous devons créer une ambiance légère, en rapport avec le monde de l’IA générative, avec du son et de l’image. Moyens : nous ne disposons que d’un PowerPoint, capable de diffuser une ambiance sonore dans l’équipement de conférence de Publicis Live. Public : des passionnés, curieux, pionniers de l’IA générative… Ils ne feront pas vraiment attention à ce que nous allons créer, bien trop occupés à networker, manger des pizzas et boire les sublimes bouteilles d’hydromel de Jules REQUILLART… Ce que nous décidons : nous racontons une nouvelle histoire. Vous connaissez tous ces événements où un chanteur est payé pour créer l’ambiance musicale ? Très souvent, personne ne lui prête attention… et pourtant, il se donne comme s’il jouait au Stade de France… Triste, non ? Eh bien, ce travail ingrat, nous l’avons confié, comme on l’a dit, à notre nouveau larbin préféré… l’intelligence artificielle. L’IA devient donc un chanteur de mariage (vous savez, celui qui a réussi). Si vous écoutez les paroles des chansons générées, elles ont toutes le même thème : chanter sa frustration d’être une IA qui chante et que personne n’écoute. Pour les images, nous nous sommes dit que si le public du Comptoir IA était calme, alors sur les écrans, il faudrait au moins que la population fasse la fête. Ces « populations » sont choisies pour être des hommages à peine cachés. - Les personnes avec des mégaphones, c’est pour le Club des Bernards. - Les shibas sont un hommage à une affiche d'un des Comptoirs IA. - Les monstres ? Nos partenaires préférées de Braand Studio, Lea Simha Haddad, Lea Cohen Sebbagh et Charlotte Cohen. - Les lions ? Publicis, qui accueille l’événement. - Les animaux, dinos, et peuples du passé : nos passions de bernards. - Les vikings ? Ce sont des métalleux, Nicolas, eux aussi ont le droit de faire la fête ! 😉 C’est ainsi que nous avons décidé d’aborder notre mission : créer un super fond d’écran animé, qui a pour but de planter une ambiance festive… Et ce que je retiens : l’IA génère bien des émotions. Cette animation a été positivement perçue sur place et a mis l’ambiance, sans déranger l’apéro. Sur les réseaux sociaux, nous avons eu le bonheur de voir des personnes chercher une profondeur artistique dans la création de nos super fonds d’écran ! #ambiance #IA #comptoirIA #DJ

La place de la narration dans le documentaire 𝗞𝗮𝗶𝘇𝗲𝗻 d’Inoxtag 🌱 C’est le sujet chaud de la semaine dont tout le monde va entendre parler : 𝗹’𝗮𝘀𝗰𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝘃𝗲𝗿𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗬𝗼𝘂𝘁𝘂𝗯𝗲𝘂𝗿 𝗜𝗻𝗼𝘅𝘁𝗮𝗴 🏔 Rappel : Inoxtag est un Youtubeur de 22 ans qui s’est lancé le défi l’année dernière de gravir l’Everest après seulement 365 jours d’entrainement (il partait de zéro niveau physique). Il a sorti ce week-end le documentaire, nommé Kaizen, qui retrace son aventure tout au long de l’année avec ses succès, ses échecs, ses doutes, ses peurs. Sa vidéo fait beaucoup parler pour plein de raisons (éloges/critiques) : dépassement de soi, espoir insufflé aux jeunes, rapport aux réseaux sociaux, surtourisme et pollution de l’Everest, etc. De mon côté, et au-delà du message qu’il porte, j’ai pris une claque audiovisuelle 🤯 Les images sont belles à couper le souffle. Il y a de très belles incrustations 3D, maîtrisées et bien dosées (#tropde3Dtuela3D). Mais ce qui m’a vraiment bercé tout au long du film (2h26 !), c’est la narration et le sound design 🎶 Les voix-off qui ont été ajoutées apportent une toute autre dimension aux images. Les effets sonores accompagnent avec justesse chacune des actions. Les musiques choisies donnent le frisson. La qualité du montage classe ce documentaire comme une révolution pour YouTube 🎞 Bravo à Inoxtag Corp et à toutes les personnes impliquées de près ou de loin dans la réalisation de ce chef d’œuvre 👏 Si vous ne l’avez pas encore vu, je vous conseille vivement de vous y plonger dedans !

[INTELLIGENCE ARTIFICIELLE] Bilan d'Explor'IA Tour 🚀 L’#Urssaf Auvergne a proposé à ses collaborateurs une exposition itinérante (Explor’IA) afin de les acculturer à l’#intelligence artificielle (#IA). Cette exposition a été proposée aux Urssaf par la Direction de l’Innovation et du Digitale (#DID) de la caisse nationale. L’Explor'IA s'est terminé en Auvergne le 5 juillet, après une dernière présentation aux membres du conseil d’administration. 🙂 L’Urssaf Auvergne dresse un bilan plus que positif puisque 313 visiteurs ont été accueillis, représentant 71.3 % de l’effectif total. Les participants ont attribué la note de 7.8 à cette expérience inédite, recommandant ainsi largement l'événement. 📢 En ce qui concerne le niveau de connaissance sur l’IA générative avant de participer à l’exposition, 37 % des visiteurs ont indiqué qu'ils n’y connaissaient rien ou presque, tandis que 50 % ont déclaré avoir seulement un faible niveau de connaissance, ayant juste un peu testé le sujet. #ExplorIATour #UrssafAuvergne #IntelligenceArtificielle #Bilan #IA

TOURISME : Réalité virtuelle des combats de la Ferté Une immersion : En utilisant un casque de réalité virtuelle (360°) équipé de géolocalisation et de haut-parleurs, vous pourriez plonger dans le passé du conflit franco-allemand à l’ouvrage de la Ferté. https://lnkd.in/exkWt28W Une plus value : moderne, technologique, historique. https://lnkd.in/exkWt28W

La France pour créer l'iA des Lumières ? 😇 Une belle question pour notre fête nationale 🔥 Passionnant échange dans Trench Tech avec Anne Bouverot sur le positionnement de la France dans la course à l'iA 💡 Je vous mets les liens en commentaire 👇 Il y a l'idée que la France et l'Europe pourraient promouvoir une iA plus respectueuse des droits, de l'environnement, de la vie privée et globalement de l'humanité. Alors pensez-vous que MistralAI soit un meilleur vecteur de nos valeurs humanistes qu'OpenAI ? L'AI Act est publié depuis quelques jours... sera-t-il suffisant ? Bien curieux d'avoir vos idées sur ces délicates questions 💬

Alexis JUBERT, PDG de GPG Granit, souligne l'importance de tester et d'apprendre de l'intelligence artificielle (IA) tout en restant vigilant sur l'éthique. Depuis qu'il a repris l'entreprise il y a six mois, après y avoir passé sept ans, l'usage de l'IA a été exploré intensivement. GPG Granit, basée à Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes, est un acteur majeur dans la fabrication de pierres tombales, collaborant avec 1 200 agences de pompes funèbres en France et Belgique, et générant un chiffre d’affaires de 30 millions d’euros. Le PDG Alexis Jubert, passionné par les lectures et conférences sur l'IA, a d'abord voulu identifier où l'IA pourrait être bénéfique sans rencontrer de résistance de la part des employés. Un abonnement à ChatGPT Entreprise a été mis en place, permettant à chaque salarié de l'explorer pendant un an. Ce projet a conduit à des initiatives variées au sein des départements de l'entreprise. Le marketing a utilisé ChatGPT pour rédiger des articles améliorant le référencement en ligne de l'entreprise. Les finances ont développé un agent intelligent pour obtenir des informations sur le marché, tandis que les ressources humaines ont conçu des descriptions de postes. La direction des services informatiques a développé deux applications maison, l'une pour créer des affiches et l'autre pour la gestion des cadeaux clients. Les commerciaux ont remplacé les tableaux Excel pour la déclaration fiscale par une application qui réduit le temps de traitement de chaque client de plusieurs minutes à seulement dix secondes. Néanmoins, l’expérience initiale avec ChatGPT a révélé quelques défis, notamment la production de modèles de monuments funéraires anglo-saxons inadaptés au marché français. Alexis Jubert souligne l'importance de personnaliser l'IA avec des données spécifiques à l'entreprise. Des préoccupations concernant la sécurité des données sensibles ont également conduit à l'arrêt de l'utilisation de ChatGPT dans les finances et les ressources humaines. Actuellement, GPG Granit aborde la deuxième phase de son initiative IA, se concentrant sur la création d'un environnement d'IA propre, avec l'aide des informaticiens de l'entreprise qui utilisent des "large language models" open source pour développer des outils sur mesure. Un exemple est l'agent intelligent "Sailor", qui résume en quelques secondes les devis, commandes et interactions clients récents. Alexis Jubert voit un potentiel énorme dans l'IA, estimant que l'entreprise n'a exploité que 5% de ce potentiel. Il envisage de développer des agents intelligents pour chaque service, améliorant ainsi la performance et la valeur des métiers de l'entreprise. Son ambition est que chaque salarié puisse bénéficier d'un agent intelligent personnalisé pour optimiser sa performance.