Post de L'AGEFI

Société général perd -12.5% depuis lundi. BNP perd -7.2%. Crédit Agricole -6% Les principales actions bancaires française sont en difficulté depuis la dissolution de l’assemblée nationale qui continue de peser sur l’avenir de l’économie française. 10 milliards d’€ de capitalisation effacé avec les 3 grandes banques françaises en moins d’une semaine. #banque #market #price #action #target

On voit ce que rapporte aux actionnaires des grandes banques une gestion principalement axée sur la maximisation de leur profit au détriment de leurs clients. Or la Banque Nationale écrit que les banques disposent d’une marge financière suffisante pour augmenter la rémunération de l'épargne sans compromettre leur santé financière. Le cartel des grandes banques belges (pourtant vilipendé par l'Autorité belge de la concurrence) s'en fiche et ose même narguer le gouvernement en sabotant le placement du dernier Bon d'Etat. Morale de l'histoire en trois points: (1) il vaut mieux être actionnaire d'une grande banque que d'une petite. Ainsi, en annonçant sabrer dans les coûts (-400 millions) pour permettre la distribution de 20 milliards de dividendes, l'action BNPP Paribas s'est envolée de 2%; (2) Il vaut mieux être client d'une petite banque que d'une grande, pour autant que son management veille à une juste distribution de la richesse produite entre l’actionnaire, le personnel et le client et ceci, en mettant le focus sur la satisfaction de ce dernier; (3) quant aux déclarations offusquées de certains politiques sur ces "banquiers cupides", cela manque de sérieux: l'Etat actionnaire unique ou principal de 50% des parts de marché belge n'a aucun intérêt à changer le paradigme. #banques #épargne #concurrence

🏦 Les banques françaises n’échapperont pas à la surtaxe exceptionnelle / Mais son impact devrait s’avérer limité Les grandes banques françaises comme BNP Paribas, Groupe Crédit Agricole SA et Société Générale pourraient être mises à contribution dans le cadre de l’effort fiscal exceptionnel envisagé par le nouveau gouvernement. Pour autant, les premières estimations des analystes montrent que ces hausses d’impôts pourraient n’avoir qu’un impact mineur sur leur rentabilité. ➡https://lnkd.in/eRmBBKTc

La société financière internationale (IFC - International Finance Corporation) a signé un nouvel accord de #financement de 100 millions de dollars avec la Banque du Caire, dont la moitié sera allouée à des micros, petites et moyennes entreprises (#MPME) du secteur privé principalement celles dirigées ou détenues par des #femmes. Les 50 millions de dollars sont remboursables sur une période de 5 ans. L’autre moitié est une facilité de financement du commerce qui offrira à la Banque du Caire, des #garanties couvrant le #risque de paiement pour des #transactions liées au commerce.

Les bénéfices des banques ont explosé en 2023 🇱🇺🧐 L’ABBL a dressé un bilan positif de l’activité bancaire. Le secteur bancaire au Luxembourg, «comme dans les autres pays», se consolide. Le Grand-Duché comptait ainsi 118 banques autorisées à exercer fin 2023, contre 127 quatre ans plus tôt, selon le bilan annuel de l’ABBL, publié ce lundi. L’Association des banques et banquiers, Luxembourg relève que l’activité comme l’emploi restent stables. Le total de bilan des banques atteint ainsi 946 milliards d’euros en 2023, pour 26 285 employés dans le pays. L’association pointe les résultats exceptionnels des banques, qui ont enregistré une hausse de leur bénéfice de 67,3 % au cours de l’exercice 2023. «Ces résultats s’expliquent essentiellement par les liquidités que les banques replacent auprès de la Banque centrale, et ce dans le cadre de leurs obligations prudentielles. En effet, après une décennie de taux bas, voire négatifs, et une rentabilité très faible du secteur bancaire, ces placements sont de nouveau rémunérés», explique Guy Hoffmann, qui a passé la présidence à Yves Stein, CEO de la banque Edmond de Rothschild. Les impôts directs versés par les banques ont atteint 1,6 milliard d’euros l’an passé, soit un peu plus du double sur un an. #luxembourg #business #banque https://lnkd.in/eK9f3bjr

la prise en compte de fonds de commerce comme garantie dans le processus de financement est il un bon moyen de la flexibilité de crédit? Que se passe-t-il lorsque l'emprunteur cours le risque de liquidité sachant qu'il travaille avec deux ou plusieurs IMF?

💰 Les clients des banques françaises peuvent se frotter les mains. 🏦 Que ce soit en termes de rémunération de leur épargne ou bien du coût de leurs crédits, ils sont globalement mieux lotis que leurs voisins européens. 💸 Au mois de février, le taux moyen payé par les banques sur les comptes d'épargne s'élevait à 2,53 % en France, soit un niveau supérieur en moyenne à ce qui est appliqué ailleurs en Europe. 🇮🇹 En Italie, il s'élevait ainsi à 1,67 %. 🇧🇪 En Belgique à 0,87 %. 🇩🇪 En Allemagne à 0,72 %.

Les Echos Rien à foutre de l’épargne ! Les gens veulent vivre dignement chaque jours ! l’épargne est pour celui qui peux jouer avec l’argent. Vivre chaque instant vaut tout l’or du monde. Les épargnes ne devraient même plus existé ! Ça fait que engraisser les banques pour ceux qui savent 💪🏴☠️💪 et les assurances vie c’est encore pire ! Mais c’est un autre débat..:

Au mois de février, le taux moyen payé par les banques sur les comptes d'épargne s'élevait à 2,53 % en France, soit un niveau supérieur en moyenne à ce qui est appliqué ailleurs en Europe. En Italie, il s'élevait ainsi à 1,67 %, en Belgique à 0,87 % et en Allemagne à 0,72 % . Il demeure néanmoins supérieur en Autriche (3,66 %).

Le chiffre du jour: 10 milliards C'est le montant de la perte de capitalisation boursière cumulée de la Société Générale, BNP Paribas et Crédit Agricole suite aux élections européennes et à l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron. Les actions de Société Générale ont baissé de 12%. La volatilité persiste, les analystes de Citi soulignant l'incertitude sur la composition du futur gouvernement et la politique économique après les élections législatives de juin et juillet. Les grandes banques sont particulièrement sensibles à cette instabilité, avec des risques de hausse des impayés et de coût de refinancement. L'incertitude économique et politique actuelle a également provoqué une augmentation des taux d'intérêt français, exacerbant les préoccupations des investisseurs. La possibilité de nouvelles taxes spécifiques sur les banques est également évoquée, augmentant la prudence des investisseurs et des banquiers. #chiffredujour #banques #bourse #elections #dissolution #assemblée