Post de L'Officiel du Cycle et de la Moto

Le recours à l’importation de véhicules depuis l’étranger, dont les avantages sont à énumérer, tels que la qualité des véhicules obéissant à des normes mondiales, roulant dans un environnement régi par des lois strictes, un choix diversifié et la disponibilité dans un délai court, comporte a contrario des risques accrus et des contraintes dont les acheteurs ne s’en aperçoivent qu’une fois le véhicule est mis en circulation sur le territoire national.

Ce matin, Le Parisien Aujourd’hui en France a publié une enquête sur le coût d'entretien des véhicules chez les concessionnaires et les réparateurs indépendants & réseaux multi-marques d'après une étude idGarages sur les prix de la réparation auto. Chez idGarages.com, nous sommes persuadés que les réparateurs multimarques jouent un rôle essentiel pour l'entretien et la réparation des véhicules à des tarifs compétitifs. Pour trouver les meilleurs prix et maîtriser son budget auto, il faut comparer !

La revue de presse du retail : Un risque pour la sécurité routière : sept Français sur dix ne font plus entretenir leur voiture ...: Tout comme la grande distribution, il existe sur le marché de la réparation automobile des marques de distributeurs de qualité, mais moins ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

⤵ 🎥 | SAV: à partir de quand la garantie du véhicule n’est plus valable ? Avec 4,5 millions de véhicules en circulation, le marché du #SAV est partagé entre #distributeurs et #concessionnaires, d’un côté, et garagistes informels, franchisés et agréés, de l’autre. Or, ces derniers accaparent 80% de ce marché contre environ 20% pour les premiers. Cela s’explique par le fait que les coûts d’entretien et de réparation sont plus «raisonnables». Néanmoins, selon les intervenants, la situation ne traduit pas nécessairement une «guerre» entre les protagonistes. C’est plutôt l’inverse puisqu’ils se complètent dans la majorité des cas. Pour Adil BENNANI , président de (Association des Importateurs de Véhicules au Maroc (AIVAM)), «les distributeurs ou encore les concessionnaires ne sont pas en mesure d’absorber tout le flux des millions de véhicules qui circulent». L’objectif, selon lui, n’est pas de capter les 4,5 millions de véhicules en termes de SAV. Il ajoute que réaliser 100% de rétention n’existe nulle part. En termes plus précis, le directeur général d’Auto Nejma met en avant la question du coût du SAV qui fait toute la différence. En outre, il met en exergue le fait qu’une fois la durée de la garantie passée, la plupart des clients ne peuvent supporter les prix d’entretien proposés par les concessionnaires. Pour sa part, Cédric Veau, directeur général de Bamotors Maroc, indique que la garantie ne peut intervenir si les standards de qualité prévus ne sont pas respectés. Il cite en exemple l’utilisation de l’huile dont les critères ne peuvent pas être mis en cause, sinon la garantie n’est plus valable. EL Mehdi ALLABOUCH Moulay Ahmed Belghiti Alaoui

Le fait d avoir interdit la vente de véhicules diesel du jour au lendemain sans savoir comment le marché fonctionne au nom de Jésus a étè le début du décrochage du marché. Pourquoi on a demandé aux concessionnaires de favoriser la commercialisation de véhicules hybride et essence au lieu des véhicules disel en neuf. alors que du jour au lendemain leur parc de véhicules d occasions à decoté du jour au lendemain de plus les concessionnaires achètent des véhicules neufs en fonction des ventes qui sont faites avec un pourcentage de progression supplémentaire pour l année suivante. Donc du jour au lendemain les concessionnaires se sont retrouvés avec des véhicules en stocks auquels ils ont du casser les prix pour les vendre. Donc il y a eu une perte au vo et au vn car il était moins intéressant d acheter un véhicule essence que disel vu le montant de l achat, après le marché de l automobile c est effondré l'an dernier car la vente de véhicules neuf électroniques ne compensent pas la vente des diesel de plus le système de production des industriels n était pas prêt, donc ils ont tout fait dans l urgence et on se retrouve aujourd'hui avec ce qui se passe sur le marché de l automobile au nom de Jésus.

Pourquoi les concessionnaires automobiles sont dans un état lamentable pour la plus part ? je me pose cette question car souvent je visite des concessionnaires, et ni les salles de montre ni les garages ne donne un aspect convivial ou même d'actualité. pour ne pas dire délabré. Des véhicules exposés n'importe comment sans savoir quel véhicule est sortis récemment et sans savoir comment reconnaître les différents segments d'énergie. ceux d'essence ou électronique et surtout comment reconnaître l'employé du client. #industrieautomobile #aia

Article très intéressant sur les flottes automobiles ou "Les responsables de parc désespèrent ainsi de retrouver des niveaux de «prestations raisonnables», tant en termes de coûts que de qualité de service auprès des loueurs."

Vendeurs de voitures, vous creusez votre propre tombe. Comment ? En gonflant de façon souvent abusive la facture d’achat pour le client. Avec des frais au mieux inutiles, au pire nébuleux et souvent présentés comme obligatoires au client. Des gravages de vitre, des traitements carrosserie, des « frais de mise à la route » dont la DGCCRF stipule pourtant qu’ils sont illégaux… Avec pour arguments « tout le monde le fait », ou bien « c’est avec ça qu’on paie la secrétaire » ou encore « si vous ne les payez pas, on vous jette les papiers par terre »… Moralement, ça va pour vous ? Vous savez pourtant que la préparation de la voiture, la fourniture de plaques et les 5 l de carburant sont légalement compris dans le prix de vente. Exemple avec ce devis effectué chez Dacia, où on ajoute plus de 800€ à la note. Le vendeur a même plus que doublé le montant de la carte grise, le cheval fiscal étant réduit de 50 % dans le Nord pour l’achat d’une voiture au GPL. Ce genre de pratique n’est strictement pas limité à Dacia ou Renault, je l’ai vu presque partout ailleurs, y compris sur l’occasion… Presque, car fort heureusement, il reste des vendeurs sérieux et honnêtes.

🛵 À partir du 1ᵉʳr avril 2024, le contrôle technique, jusqu'alors réservé aux voitures, s'élargit à la catégorie L de véhicules. Oui, vous avez bien lu, les scooters, tricycles motorisés et voitures sans permis seront désormais soumis à cette obligation ! ⏱️ Le contrôle technique sera mis en place progressivement et sa fréquence sera de tous les trois ans. Ici, la date de mise en circulation de votre deux-roues détermine le moment de votre contrôle. Quand on parle de contrôle technique, la question des coûts se pose. Le ministère des Transports souhaite que ce service soit accessible et tourne autour de 50 euros. 📝 Attention, l'absence de contrôle technique valide pourrait s'ajouter à la liste des exclusions de garantie chez certains assureurs. Pour toute question ou conseil d’assurance, nous sommes à votre écoute au 03 84 25 83 18. #ContrôleTechnique #DeuxRoues #Assurance

Les ventes de voitures neuves ne sont pas flamboyantes en ce moment, et les projets du gouvernement pour le malus automobile ne vont pas améliorer les choses. Selon « Le Monde », Bercy prévoit de durcir à nouveau le barème. L'an dernier, seuls les véhicules émettant plus 123 grammes de CO2 au kilomètre étaient frappés d'un malus à l'achat. Au premier janvier 2024, ce seuil a été ramené à 118 grammes. L'exécutif prévoit désormais de l'abaisser à 113 grammes, puis à 106 grammes en 2026, et à 99 grammes l'année d'après, indique le quotidien. Ce renforcement du barème va faire tomber sous le coup du malus un nombre croissant de petits modèles, ceux qui constituent le coeur du marché français. La version essence de la Peugeot 208, voiture la plus vendue en France depuis le début de l'année, devrait avec ses 117 grammes de CO2 au kilomètre tomber sous le coup du malus au premier janvier 2025, pour un montant encore inconnu. L'alourdissement du barème de 2024 a déjà fait de nombreuses victimes collatérales. Selon les calculs publiés cet été par le cabinet NGC Data, les modèles qui ont été les plus touchés par le malus au premier semestre ne sont pas des voitures de sport ou de luxueux SUV mais… les véhicules utilitaires dédiées au transport de personnes. En 2023, le Renault Trafic était soumis à un malus moyen de 13.900 euros. Avec le nouveau barème, la pénalité a bondi cette année à 35.900 euros en moyenne. Ce modèle a généré à lui tout seul 163 millions de recettes potentielles pour l'Etat sur les six premiers mois de l'année, selon les calculs de NCG Data repris par l'observatoire de la mobilité Arval.