La revue de presse du retail : OCCITANIE Le bio pour une souveraineté… viticole ? - Objectif Gard: On pourra noter que la filière des vins bio se démarque par sa faible exposition à la grande distribution. En effet, toutes filières confondues, tous ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Post de La revue de presse du retail
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[ crise viticole ] Le #BIO dévisse fortement en valeur et en volume. Preuve qu'il y a un fossé entre l'attente environnementale des consommateurs et la réalité des achats... tout cela sur fond de pouvoir d'achat fortement dégradé, et de massification de la production BIO... le saupoudrage d'aides ne permettra pas de relancer à moyen ou long terme le marché bio. Le #greendeal va renforcer cette décroissance à moyen et long terme en augmentant encore plus le marché BIO en volume... Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Marc Fesneau Vinseo | Grappe d'experts Vigne et Vin Cluster Provence Rosé WI&NE Vitisphere Alexandre Abellan Paysan du Midi - l'Agriculteur Provençal - En Pays Varois Les Echos Le Figaro Viti magazine - Media et Agriculture AIDV-IWLA American Association of Wine Economists AAWE FNSEA Jeunes Agriculteurs Coordination Rurale confédération paysanne Vignerons Indépendants de France La Coopération Agricole
La grande dédistribution de vins bio se poursuit : -7 % volume et -5 % valeur
vitisphere.com
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La filière viticole bio résiste en 2023 avec une hausse des surfaces de 1,6 %.
OCCITANIE Le bio pour une souveraineté… viticole ?
objectifgard.com
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Ces questionnements sont au cœur de ta vie de vigneronne, merci Noémie Tanneau - Château St-Ferdinand de partager ces doutes et tes tentations de remise en cause de ton métier. je ne m'autoriserais aucun conseil , aucune leçon à donner, tu es trop clairvoyante pour ne pas trouver ton chemin. juste une réflexion que m'inspire le changement climatique et la résistance que nos agriculteurs doivent y opposer. D'abord, chacun d'entre nous comprend qu'aucune entreprise, agricole vigneronne ou non, ne peut résister à 75% de chute de production 2 années consécutives. Ensuite la rigueur normée excessive des règlements européen pour le #bio notamment, ou les cahiers des charges des produits #AOP #IGP #labelrouge etc..ne prennent en aucun cas les variations climatiques en viticulture: sécheresse et arrachage dans le sud et le midi, maladies dramatiques ailleurs avec des récoltes anéanties par des pluies excessives. Est - il si difficile aux dirigeants de ces filières de déroger à certaines règles (traitement cuivre ou autres) lorsque la survie économique et sociale des ces filières est en cause? certes le métier d'agriculteur et donc de vignerons coopère avec la nature et ses caprices. Parfois il serait sage de s'opposer à la nature et de limiter ses dégâts ...au lieu de laisser faire au nom de règles intangibles? j'ai bien conscience d'être disgressif et à contre courant des démarches de sauvegarde du #bio.
Quel avenir pour la viticulture bio ? Les vendanges 2024 sont finies !!! On s'occupe bien des jus 🍇 et ils sont vraiment tous super bons 💥 L'année 2024 a été bien compliquée, le raisin difficile à emmener, entier, jusqu'à mon idéal ! Je me questionne beaucoup sur le climat, sur mes pratiques. L'agriculture biologique me semble évidente, et non discutable. Mais je vais devoir trouver des techniques pour accroître mes rendements.. 15hl/ha quand je pourrai en faire 45, le rendement idéal chez moi (55 à 60 pour l'appellation). Cette année pour la première fois, je trouvais vraiment que mes vignes avaient "de la gueule" : la croissance végétative, des belles grappes bien étalées, pas de coulure ou de millerandage, un feuillage équilibré.. la sensation qu'enfin le travail que l'on fait depuis 4 ans portait ses fruits. J'ai tenu les cadences de protection du vignoble. En bio nous sommes limités à 4kg cuivre/ha/an. Cette année encore j'ai été raisonnable car je cherche toujours à être modérée/équilibrée/raisonnée... Je n'ai pas dépassé cette quantité. C'est certainement là où ça a péché.. Avec juste 2 grappes par pied, le potentiel est concentré uniquement ici, et forcément les jus sont délicieux. Un petit coup de gel aussi au printemps avait endommagé mes vignes dans les bas. Mais en perdant 75% de récolte depuis 2 ans, mon modèle est-il pérenne ? Le consommateur veut des vins plus vertueux, plus responsables, plus écologiques, plus sains, sans pesticides. Mais il n'est pas toujours prêt à payer plus cher des vins biologiques, ou, ne peut tout simplement pas se les payer. Les vins bios sont-ils réservés à une élite ? La production en agriculture biologique telle qu'elle existe aujourd'hui, avec sa réglementation et ses contraintes techniques, peut-elle avoir un avenir face au changement climatique ? Le débat est ouvert. Est ce que vous consommez des vins bio ? Si oui, si non, pourquoi ?
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Quel avenir pour la viticulture bio ? Les vendanges 2024 sont finies !!! On s'occupe bien des jus 🍇 et ils sont vraiment tous super bons 💥 L'année 2024 a été bien compliquée, le raisin difficile à emmener, entier, jusqu'à mon idéal ! Je me questionne beaucoup sur le climat, sur mes pratiques. L'agriculture biologique me semble évidente, et non discutable. Mais je vais devoir trouver des techniques pour accroître mes rendements.. 15hl/ha quand je pourrai en faire 45, le rendement idéal chez moi (55 à 60 pour l'appellation). Cette année pour la première fois, je trouvais vraiment que mes vignes avaient "de la gueule" : la croissance végétative, des belles grappes bien étalées, pas de coulure ou de millerandage, un feuillage équilibré.. la sensation qu'enfin le travail que l'on fait depuis 4 ans portait ses fruits. J'ai tenu les cadences de protection du vignoble. En bio nous sommes limités à 4kg cuivre/ha/an. Cette année encore j'ai été raisonnable car je cherche toujours à être modérée/équilibrée/raisonnée... Je n'ai pas dépassé cette quantité. C'est certainement là où ça a péché.. Avec juste 2 grappes par pied, le potentiel est concentré uniquement ici, et forcément les jus sont délicieux. Un petit coup de gel aussi au printemps avait endommagé mes vignes dans les bas. Mais en perdant 75% de récolte depuis 2 ans, mon modèle est-il pérenne ? Le consommateur veut des vins plus vertueux, plus responsables, plus écologiques, plus sains, sans pesticides. Mais il n'est pas toujours prêt à payer plus cher des vins biologiques, ou, ne peut tout simplement pas se les payer. Les vins bios sont-ils réservés à une élite ? La production en agriculture biologique telle qu'elle existe aujourd'hui, avec sa réglementation et ses contraintes techniques, peut-elle avoir un avenir face au changement climatique ? Le débat est ouvert. Est ce que vous consommez des vins bio ? Si oui, si non, pourquoi ?
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[LE SAVIEZ-VOUS?] 92 milliards d'€ - 440 000 #emplois ... En France, du travail de la #vigne à celui des #CHR, la filière vitivinicole contribue énormément à notre #economie nationale. 🍇 6.27 mds de bouteilles produites 🍷3.33 mds de bouteilles consommées 💶 32 mds de valeur ajoutée - 1.4% du PIB national Ces chiffres montrent l'importance du marché des #vins et #spiritueux en France et illustrent bien les volumes considérables en jeu, ce qui souligne le besoin de solutions #logistiques efficaces pour la gestion de ces produits. 🙏 Vin & Société pour cette étude qui souligne le dynamisme économique de notre filière même si nous ne devons pas perdre de vue les évolutions et défis à relever. #stockage #préparation #reglementation #expertise #grandedistribution #dernierkm #livraison #lalogistiqueCstrategique
Retombées économiques et sociales de la filière vigne et vin en France
vinetsociete.fr
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Créateur de marques Réenchanteur de vins en phase avec le marché/Déclencheur d'achat de Rosés d'Occitanie, toute l'année, avec des bouteilles attractives 💡💗
Des marques de Vins ! Oui Ça existe déjà ? Oui C’est Une des Solutions pour aider la viticulture Française? Oui Regrouper des vignerons avec des marques innovantes, du sens, en phase avec le Marché⚡️? Oui Sans IA 🖥️ ?Oui Des vins d’Occitanie en Aop, Igp mais aussi en vin de France, qui défendent le Bio✊? Oui Voici donc notre plaquette de présentation tout simplement‼️
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La revue de presse du retail : REPORTAGE - Plébiscité, mais peu rentable : le paradoxe du vin bio en France | TF1 INFO: Pour limiter les pertes, Christian et Sabine envisagent désormais d'arracher certaines vignes et d'abandonner la grande distribution pour se ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
REPORTAGE - Plébiscité, mais peu rentable : le paradoxe du vin bio en France
tf1info.fr
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🍇 La viticulture, un atout majeur pour la France et pour l’Europe ! 🍇 La filière vin en France, c’est 4️⃣5️⃣0️⃣ 0️⃣0️⃣0️⃣ emplois, 9️⃣2️⃣ milliards d’euros de chiffres d’affaires et un rôle considérable dans notre culture commune. Malgré ses atouts, l’avenir de la #viticulture, en particulier des vins #AOC et #IGP qui représentent 80% de la production de vin 🍷, ne va pas de soi. À quelques semaines des élections européennes, soutenons notre filière face aux nombreux défis économiques, sociaux, climatiques. 🌍 ✊ Engageons-nous pour une Europe de l’origine et de la qualité avec les vignerons AOC et IGP. 🔗 RDV sur le site web créé par la CNAOC et la Confédération des vins IGP de France pour plus d’informations : www.vignerons-aoc-igp.fr.
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🍷 [ Comment gérer les aléas de la production de vins lorsque l'on souhaite investir dans cet actif ? ] 🍇 Investir dans les vins est une opportunité de diversification d'épargne intéressante, en fonction du profil de risque de chacun. 🔹 Mais comme le montre cet article (lien : https://bit.ly/3UqjL6D ), il n'est pas évident d'avoir de la visibilité étant donné notamment la fluctuation de la production, qui a atteint en 2023 son niveau le plus bas depuis 1961. ❓ Et comment envisager les conséquences des phénomènes climatiques sur la baisse progressive de la production de vins, ce qui participe indirectement à leur rareté et donc à la hausse des prix ? 👉 Dans ce contexte, il peut être pertinent de privilégier un fonds d'investissement sur des grands crus, géré par des experts et œnologues qui ont des visions de long terme sur les valorisations possibles et les phénomènes entrant en ligne de compte. C'est en tout cas le parti-pris d'Uzès Grands Crus. #grandscrus #opc #assetmanagement
Infographie : 2023, année difficile pour les vignobles du sud
fr.statista.com
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La filière viticole française est confrontée à une crise de surproduction significative, exacerbée par une baisse de la consommation de vin dans le pays. Despey Jerome, viticulteur et premier vice-président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles, souligne que la France produit entre 4 et 5 millions d'hectolitres de vin excédentaires chaque année, principalement dans les grands bassins viticoles de vins rouges. L'industrie viticole nationale subit de plein fouet les effets d'un changement dans les habitudes alimentaires des Français, qui privilégient de plus en plus des repas rapides et déstructurés, souvent en dehors du cadre familial traditionnel qui favorisait la consommation de vin. Joël Boueilh, président des Vignerons coopérateurs de France, observe la perte de cette tradition, accentuée par la pandémie de Covid-19 qui a encouragé des comportements de consommation plus isolés et rapides. Face à cette baisse de la demande domestique, les viticulteurs français se tournent de plus en plus vers l'exportation, où les vins français, y compris le champagne, ont généré des revenus significatifs, avec des ventes atteignant 11,2 milliards d'euros en 2023. Cependant, même à l'étranger, le marché est incertain, notamment en Chine où les ventes ont chuté de 25% en raison du ralentissement économique. En réponse à la surproduction, la région bordelaise a lancé un plan d'arrachage des vignes, financé par l'État et des organisations locales, avec pour objectif de réduire la superficie cultivée de 9 500 hectares. Régis Falxa, président des Vignerons indépendants de Gironde, exprime sa préoccupation quant à l'impact de ces mesures sur l'œnotourisme et la structure du marché local. Par ailleurs, le gouvernement a dépensé 80 millions d'euros pour une distillation d'urgence, transformant le vin rouge excédentaire en alcool pour des usages industriels. Cette mesure, bien que nécessaire, est perçue comme un "crève-cœur" par des producteurs comme M. Falxa. Afin de gérer le potentiel de production excédentaire à long terme, Jérôme Despey mentionne également l'étude de la transformation du vin en bioéthanol, bien que cette option offre une rémunération inférieure à la distillation. La crise actuelle pourrait mener à une vague de restructurations dans le secteur viticole français, avec des fusions et des acquisitions prévues parmi les coopératives viticoles. Les défis auxquels sont confrontés les viticulteurs dans les régions les plus touchées soulèvent des inquiétudes quant à l'avenir de la profession, déjà en déclin, avec une baisse du nombre de vignerons de 70 000 à 59 000 entre 2010 et 2020. Ce panorama met en lumière la nécessité pour la viticulture française de s'adapter à un paysage de consommation en mutation rapide, tout en cherchant des solutions innovantes pour gérer les excédents de production de manière économiquement et écologiquement viable.
La chute de consommation de vin redessine le paysage viticole français
lemonde.fr
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