Post de La Tribune Bordeaux

C’est un séisme qui secoue actuellement le football français. Les Girondins de Bordeaux, club mythique et institution du championnat de France, traversent l’une des pires crises de leur histoire. Rétrogradé administrativement en National 1 par la DNCG et privé de son statut professionnel sur décision de son président Gérard Lopez, le club au scapulaire suscite l’émoi et la consternation de ses fervents supporters. Un club de légende en perdition Fondé en 1881, les Girondins de Bordeaux font partie des clubs les plus anciens et prestigieux de l’Hexagone. Avec six titres de champion de France et trois coupes nationales à son palmarès, le FCGB a marqué de son empreinte l’histoire du ballon rond tricolore. Des générations de joueurs talentueux ont porté haut les couleurs marines et blanches, de Alain Giresse à Zinédine Zidane en passant par Jean-Pierre Papin. Mais aujourd’hui, c’est un club en perdition qui fait la une de l’actualité. Criblé de dettes et victime d’une gestion calamiteuse, les Girondins ont été sanctionnés par les instances du football français. La rétrogradation en National 1, la troisième division, et la perte du statut professionnel sonnent comme un terrible coup de tonnerre pour les supporters bordelais. L’émoi et la colère des supporters Depuis l’annonce de cette décision, c’est la consternation qui règne chez les fans du FCGB. Sur les réseaux sociaux, dans les travées du Matmut Atlantique ou devant le siège du club, les supporters expriment leur tristesse et leur colère face à cette descente aux enfers. Pour un fan, c’est dramatique. C’est un club mythique, qui fait partie du top 5 du championnat de France. Valère, supporter Beaucoup pointent du doigt la gestion catastrophique du président Gérard Lopez, arrivé à la tête du club en 2021. Malgré les mises en garde, l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois s’est entêté dans une politique sportive et financière jugée désastreuse par de nombreux observateurs. Gérard Lopez a fait couler d’autres clubs. On savait très bien ce qu’il allait faire… On est dégoûté. Il faut qu’il s’en aille maintenant. Un habitué du Matmut Atlantique Un avenir incertain Avec la perte du statut professionnel, c’est tout un pan de l’institution Girondins qui s’écroule. Le centre de formation, pourvoyeur de nombreux talents, devra fermer ses portes. L’effectif professionnel sera démembré et l’avenir du club s’annonce des plus incertains. Pour les supporters, le spectre d’une liquidation plane comme une épée de Damoclès au-dessus du Matmut Atlantique. Malgré la détresse et le sentiment d’abandon, les fans bordelais veulent encore croire en des jours meilleurs. Beaucoup appellent à un sursaut, à l’image de Bixente Lizarazu, glorieux ancien des Girondins, qui a exhorté Gérard Lopez à quitter le navire. La mobilisation s’organise pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être et écrire une nouvelle page de la riche histoire du Football Club des Girondins de Bordeaux. Car pour tous les pas...

Alors que tout semblait perdu pour les Girondins de Bordeaux, un revirement de situation inattendu redonne espoir aux supporters. Fenway Sports Group, qui avait pourtant mis un terme aux négociations il y a une semaine, a renoué le dialogue avec le propriétaire actuel Gérard Lopez dans l’optique d’un rachat du club. Une réunion cruciale s’est tenue lundi pour évoquer les points de blocage, notamment le montant du loyer du stade Matmut Atlantique et la dette de 20 millions d’euros qui pèse sur les comptes bordelais. Un timing serré pour boucler le dossier Le temps presse pour les Girondins, qui doivent passer devant la DNCG mardi matin. Sans repreneur, la relégation en National prononcée en première instance sera confirmée en appel, signant la descente aux enfers d’un club historique du football français. Gérard Lopez, qui a déjà évoqué un risque de liquidation judiciaire, joue son va-tout dans ce dossier. Mais rien n’est encore acquis, comme le précise le quotidien Sud-Ouest qui a révélé l’information. Fenway Sports Group, un investisseur de poids Si Fenway Sports Group venait à concrétiser ce projet de rachat, ce serait un énorme coup de pouce pour les Girondins. La holding américaine, propriétaire de Liverpool, des Red Sox de Boston et des Penguins de Pittsburgh, a les reins solides pour relancer une équipe en perdition. Avec son expérience dans le sport business et sa vision à long terme, FSG pourrait bâtir un projet ambitieux pour replacer Bordeaux dans le top 10 français. On est à la croisée des chemins. Soit on trouve une solution avec des investisseurs capables d’apporter des garanties, soit le club va droit dans le mur. Il faut se préparer au pire en espérant le meilleur. Un proche du dossier bordelais Incertitude sur l’avenir à court terme Même en cas de feu vert de la DNCG suite à un rachat in extremis, les Girondins devront se reconstruire. Avec un effectif réduit et des moyens limités, le maintien en Ligue 2 constituera déjà un beau défi la saison prochaine. Il faudra laisser le temps au nouveau projet de se mettre en place, en espérant que la mayonnaise prenne rapidement. Les supporters bordelais, échaudés par les déconvenues à répétition ces dernières années, ont appris à se montrer patients. Un rachat de dernière minute pour éviter la relégation en National Fenway Sports Group, un investisseur solide pour relancer le club Passage clé devant la DNCG mardi pour valider le projet Reconstruction nécessaire pour retrouver le haut niveau Les prochains jours seront décisifs pour l’avenir des Girondins de Bordeaux. Entre espoirs et incertitudes, le club au scapulaire vit une énième semaine sur un fil, avec son destin en jeu. Réponse imminente sur la suite de cette histoire tourmentée… The post Bordeaux peut encore être sauvé par Fenway Sports Group first appeared on ViralMag.fr.

C’est une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe dans le football français. Les Girondins de Bordeaux, club historique et emblématique de la Ligue 1, viennent d’être relégués administrativement en National, la troisième division, par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG). Une véritable déchéance pour ce club qui a marqué l’histoire du ballon rond tricolore. La DNCG frappe fort Réuni ce mardi, le gendarme financier du football français a donc décidé de prononcer la relégation à titre conservatoire des Girondins en National, et ce malgré le sursis à statuer accordé il y a quelques semaines. En cause, l’absence de garanties financières suffisantes apportées par les dirigeants bordelais pour assurer la pérennité du club. Légalement, on ne pouvait pas obtenir de deuxième sursis à statuer donc la DNCG était obligée de prononcer une relégation à titre conservatoire – Une source proche du dossier Un véritable coup de massue donc pour le club au scapulaire, qui a pourtant tout tenté ces dernières semaines pour éviter ce scénario catastrophe. Mais visiblement, cela n’aura pas suffi aux yeux de la DNCG, qui n’a pas hésité à dégainer son arme fatale. L’avenir en pointillé Avec cette décision, c’est tout l’avenir du club girondin qui s’inscrit en pointillé. Car pour espérer repartir en Ligue 2 la saison prochaine, Bordeaux doit désormais trouver entre 30 et 40 millions d’euros dans les deux prochaines semaines, date de sa nouvelle audition devant la DNCG. Un défi aussi immense que le chrono est serré. Dans ce contexte, la piste d’une vente express à un fonds d’investissement américain, un temps envisagée, semble désormais s’éloigner. Place aux tractations menées par l’actuel propriétaire Gérard Lopez avec le groupe Fenway Sports Group, propriétaire de Liverpool. Des négociations cruciales, dont dépendra en grande partie le futur du club. Un appel pour exister Seule certitude, les Girondins vont a priori faire appel de cette décision de la DNCG. Une procédure qui leur offrira un court répit, le temps de boucler un dossier de reprise solide et enfin rassurer sur leurs capacités à redresser la barre sportivement et économiquement. Mais attention, l’appel n’est pas suspensif. Et c’est bien une course contre-la-montre qui s’engage désormais pour ce monument du football français, qui lutte pour sa survie après 140 ans d’histoire. Les supporteurs bordelais retiennent leur souffle. L’horizon des Girondins n’a jamais été aussi sombre. The post Les Girondins de Bordeaux relégués en National par la DNCG first appeared on ViralMag.fr.

DNCG : l'heure de vérité pour les clubs de National 1 ! 🚫Alors qu'Aubagne, 1e du groupe A de N2 la saison dernière, a été interdit de montée en N1 par la DNCG hier (ce qui devrait profiter au Puy Foot), d'autres décisions lourdes de conséquences vont intervenir aujourd'hui et demain, avec plusieurs clubs en grand danger. 🥶Le dossier le plus compliqué concerne le Chamois Niortais FC, dont l'avenir paraît très sombre, avec un réel risque non seulement de rétrogradation administrative mais aussi de dépôt de bilan. Verdict dans les prochaines heures... 🤒Autre dossier très difficile : celui du FC Rouen, dont la reprise par l'homme d'affaires turc Tarkan Ser n'est toujours pas validée, après de multiples rebondissements. Décision attendue demain. ⌛Les cas de Châteauroux (décision aujourd'hui), Orléans et, dans une moindre mesure, Nancy (décision aujourd'hui également) recèlent également beaucoup d'incertitudes. Pour rappel, les deux premiers avaient été rétrogradés en N2 à titre conservatoire par la DNCG au mois de janvier. ➡️En fonction de toutes ces décisions, la composition exacte du championnat de National 1 pour la saison 2024/2025 risque donc d'être bien différente de celle initialement prévue à l'issue de la saison précédente. 🤝A noter que demain la DNCG rendra également sa décision pour le Dijon FCO, qui ne devrait pas poser de problème. Le projet de rachat porté par Pierre-Henri Deballon paraît en effet solide et bien ficelé, avec par ailleurs un soutien fort des collectivités locales.

La reprise de la Ligue 1 ce vendredi avec le match des champions de France, le Paris Saint-Germain, contre Le Havre, se fait dans un contexte particulièrement difficile pour le football français. Quatre clubs majeurs, dont le SCO Angers, le MHSC Montpellier, Le Havre AC, et le Stade de Reims, n'avaient toujours pas réalisé de transfert payant à la veille de la saison, soulignant l'état préoccupant des finances des clubs. Joseph O. Oughourlian, président du RC Lens, a récemment décrit le football professionnel français comme une entité économique unique, où la valeur est dictée par le montant des droits de diffusion. Cependant, la situation est dramatique : les négociations catastrophiques des droits télévisuels, qui n'ont rapporté que 500 millions d'euros, ont mis en lumière la fragilité financière des clubs. Même les clubs historiquement stables, comme Montpellier avec Laurent Nicollin ou Reims avec Jean-Pierre Caillot, sont contraints de freiner leurs dépenses, tandis que ceux soutenus par des fonds d'investissement, comme le Lille OSC ou le Toulouse FC, sont également en difficulté. Le Paris Saint-Germain, malgré ses 170 millions d'euros dépensés lors du mercato estival, semble également affecté. Le club, désormais partiellement détenu par le fonds d'investissement américain Arctos Partners, montre des signes d'un désengagement progressif de Qatar Sports Investments. Les recrues de cet été, telles que João Neves (19 ans) ou Gabriel Moscardo (18 ans), sont de jeunes talents prometteurs, mais peu susceptibles de répondre aux attentes immédiates. Dans ce contexte de crise, la Ligue 1 doit se réinventer. La prudence devient la règle, avec un recours accru aux jeunes du centre de formation et une gestion minutieuse des ressources disponibles. Les ambitions affichées par l’Olympique de Marseille et l’AS Monaco, notamment par Ismaël Koné et Roberto De Zerbi, témoignent d'une volonté de rivaliser à un niveau supérieur malgré les contraintes. La Ligue 1 entre ainsi dans une période de bouleversements sans précédent, où les capacités d'adaptation des clubs seront plus cruciales que jamais pour survivre et prospérer dans un environnement économique de plus en plus hostile.

⚽ Découvrez le classement de l’affluence des stades en Ligue 1 ! La saison de Ligue 1 est maintenant terminée et en cette période de répartition des droits TV, il est intéressant d’analyser l’affluence et le taux d’occupation des stades en Ligue 1, ce qui est un bon indicateur de la qualité du spectacle proposé par les 18 équipes du championnat de France.

🔴 Bordeaux est depuis longtemps un bastion sportif, notamment avec les Girondins de Bordeaux, club de football historique. Cependant, ces dernières années ont vu l’émergence fulgurante de l’Union Bordeaux Bègles (UBB), dépasser les Girondins dans le cœur des Bordelais. Plusieurs facteurs expliquent cette transition spectaculaire, allant des résultats sportifs à l’ambiance dans les stades en passant par la politique sportive. #UBB #bordeaux #girondins

Un séisme. Un monument qui s’effondre. Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier la descente aux enfers des Girondins de Bordeaux, officiellement relégués en National 2 ce vendredi. Le club au scapulaire, six fois champion de France, a perdu son ultime combat devant le CNOSF qui n’a pas accordé de conciliation suite à la rétrogradation administrative prononcée il y a quelques semaines. Un couperet terrible pour ce pan de l’histoire du football français. La chute d’un géant du football français Difficile d’imaginer un tel dénouement il y a encore quelques années. Avec six titres de champion et trois Coupes de France, Bordeaux fait partie de l’élite du football hexagonal. Mais les errances des dernières saisons, entre changements de propriétaires, erreurs de gestion et résultats sportifs en berne, ont précipité le club dans l’abîme. L’arrivée de Gérard Lopez n’aura pas suffi à redresser la barre, bien au contraire. Les raisons d’un naufrage Comment expliquer une telle dégringolade ? Les raisons sont multiples mais le manque de vision à long terme et la gestion erratique ressortent en premier lieu. Les Girondins ont accumulé les dettes au fil des saisons, vivant largement au-dessus de leurs moyens. Un château de cartes qui s’est écroulé brutalement, laissant le club exsangue financièrement et sportivement. C’est une page sombre de l’histoire des Girondins qui se tourne. Le club va devoir repartir de zéro et se reconstruire patiemment. Un supporter bordelais Et maintenant ? Les Girondins vont devoir repartir d’une page blanche en National 2, soit le 4ème échelon national. Un purgatoire pour ce club habitué à jouer les premiers rôles en Ligue 1. Il faudra refermer le chapitre Girondins version XXL et bâtir patiemment un nouveau projet, viable et ambitieux. Les supporters, sonnés, continuent malgré tout de croire en des jours meilleurs. Mais cette descente en National 2 pose question sur l’avenir du club. Combien de temps faudra-t-il pour revoir les Marine et Blanc au plus haut niveau ? Le chemin s’annonce long et semé d’embûches. Les prochaines semaines seront décisives pour dessiner les contours du futur Bordeaux. Une statue de cire illustrant la descente aux enfers Pour bien illustrer la version Girondins en National 2, le club a présenté une statue de cire de 6 mètres au musée Grévin de Bordeaux. Elle représente un ancien joueur vedette de l’équipe avec ses maillots fanés et déchirés, symbolisant le parcours pénible du club des dernières saisons. Une œuvre qui tire la sonnette d’alarme quant à la suite de l’histoire des Girondins. Cette relégation laissera une trace indélébile dans l’histoire du football français. Un géant est tombé, terrassé par ses propres démons et une succession de mauvais choix. Il faudra du temps à Bordeaux pour panser ses plaies et réapprendre à rugir. Mais le football a ceci de beau qu’il laisse toujours une chance aux revenants. La résurrection des Girondins est déjà dans toutes les têtes. En atten...

L’heure est grave pour les FC Girondins de Bordeaux ⏰⏰… Je suis supporter de ce club, depuis que j’ai commencé le F⚽️⚽️T, mais ne me demandez pas pourquoi car je n’en sais rien… surtout qu’en Alsace nous avons le Racing et d’autres clubs comme sochaux, Metz, Nancy dans les régions voisines. Depuis quelques années et la vente du club par M6 Groupe, aux investisseurs américains, c’est de pire en pire et puis Gérard Lopez a reprit le club et puis ce n’est pas beaucoup mieux. L’année dernière le club a était repêché de peu en ligue 2… cette année la DNCG a rétrogradé le club en N1 a titre provisoire, autant dire que Gégé ne remettra pas encore 40 🥔🥔🥔 de sa poche ( entre nous je le comprend), concernant le sportif c’est pas mieux… bref pas grand chose ne fonctionne… À l’image du Racing club de Strasbourg, et comme l’a dit Christophe Dugarry il y a quelques semaines à la radio, il va falloir que le club reparte de N3 pour tout assainir autant le sportif que l’administratif et le financier! Certes il va y avoir la perte du statut pro, du centre de formation et des licenciements😢. Il faudrait repartir avec des personnes qui ont travailler ou évoluer, aux girondins, mais surtout qui aiment ce club historique, pour redonner ses lettres de noblesse au scapulaire et aux couleurs bleu et blanche! Je suis certain que quelqu’un comme Christophe Dugarry, même sans trop s’investir, pourrait trouver des investisseurs locaux qui seraient prêt à le suivre, a l’image de ce que Marc Keller a pu faire avec le Racing Strasbourg. D’autres joueurs passé par ce club pourrait se greffer à ce projet: Aurélien Tchouameni @jules Koundé @Bixente Lizarazu Zinedine Zidane Marius Tresor François GRENET RAME U. Tant d’autres joueurs et entraîneurs pourraient répondre présent

La ministre des Sports a annoncé un afflux de 2,5 millions de licenciés. Et d'ailleurs envoyé fin mai une lettre à toutes les fédérations, pour proposer des solutions, afin de faire face à l'afflux des nouveaux licenciés pour la saison sportive 2024-2025. ⚠️"Mais tous les clubs ne sont pas forcément dimensionnés pour. Il y a deux éléments limitants : les #infrastructures dans les communes, même si le plan équipements lancé par le gouvernement est un vrai succès ..." 🔴"L'autre sujet est le nombre d'#encadrants diplômés pour s'occuper de jeunes et des moins jeunes et cela ne se fait pas en cinq minutes. Il doit y avoir une montée en puissance du Mouvement Sportif sur ce sujet et on doit multiplier les formations d'encadrants pour pouvoir accueillir les nouveaux licenciés. Je leur tire leur chapeau car il y a aussi des bénévoles qui le font et on a besoin de ces millions de bénévoles qui tiennent le mouvement sportif." Je pense qu'il faut tout de même continuer à #sanctuariser le #budget des Sports : https://lnkd.in/eYMKBbvd