Post de La Fabrique du Changement - Nantes

► Démarches de création et d'éducation artistique en ruralité. La fabrique du commun dans les territoires Réjane Sourisseau. NECTART, 2024/1, n° 18. pp. 26-35 Les singularités des territoires ruraux (absence de lieux dédiés, faible densité, engagements citoyens et professionnels…) produisent des effets tangibles sur les processus de création, d’éducation artistique et de médiation culturelle : des artistes engagés dans un travail « situé », une attention portée aux relations humaines et au vivant, des écosystèmes activés… Ces territoires nous donnent à voir une véritable fabrique du commun. https://lnkd.in/eQHkEnpN

► Démarches de création et d'éducation artistique en ruralité. La fabrique du commun dans les territoires Réjane Sourisseau. NECTART, 2024/1, n° 18. pp. 26-35 Les singularités des territoires ruraux (absence de lieux dédiés, faible densité, engagements citoyens et professionnels…) produisent des effets tangibles sur les processus de création, d’éducation artistique et de médiation culturelle : des artistes engagés dans un travail « situé », une attention portée aux relations humaines et au vivant, des écosystèmes activés… Ces territoires nous donnent à voir une véritable fabrique du commun. https://lnkd.in/eQHkEnpN

Très heureuse d'être lauréate avec mon très cher ami ethnologue Guillaume Lebaudy, de la résidence Paysage et bien commun au Centre International d'Art et du Paysage. Un grand merci au jury de sélection pour leur confiance et leur écoute. "En quoi la notion de paysage est-elle adossée à la dimension de bien commun ? Comment ces deux concepts peuvent-ils s’articuler, s’influencer, se répondre ? Dans un contexte où l’urgence de la protection des paysages naturels est de plus en plus présente dans les esprits, et où l’idée de bien commun se trouve fortement menacée par la privatisation des ressources terrestres et aquatiques, le CIAPV et le PNR souhaitent inviter les artistes et les scientifiques à proposer une vision singulière et créative de ces deux objets d’étude. Ces deux notions peuvent poser des questions à la fois politiques, philosophiques et éthiques, et même appeler à une redéfinition de notre conception de l’humanité et de son devenir." https://lnkd.in/ecNxN3Ux

LES COMMUNS DU FUTUR Recherche-création (2024 – 2026) > Nous lançons le projet « Penser le commun, panser nos communs », aussi appelé « Les communs du futur » dans le sens d’une réflexion à partir du passé et du présent sur les enjeux qui entourent les biens communs, en s’intéressant plus particulièrement aux « biens de section ». > Ce projet sillonnera des approches complémentaires : sociologique, artistique, juridique et historique afin de réaffirmer l’existence et le potentiel des biens communs. L’objectif étant de documenter la vie des biens de section, afin d’identifier le potentiel qu’ils représentent tant sur le plan humain qu’environnemental. Un héritage du Moyen âge qui a survécu et qui reste pertinent face aux enjeux du XXIème siècle. > Durant deux ans, chaque année sera ponctuée de rendez-vous afin de créer une dynamique plus large de prise de conscience de ces héritages communs à l’échelle de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Nous débutons notre action le week-end du 14 juillet 2024 à l’occasion du festival NUIT DE RÊVES (Blanlhac). Détails/infos : https://lnkd.in/dGD4FZ94

La Fédération des Récupérathèques dans la revue Culture et Recherche. Un numéro pour les artistes et les acteur·ice·s qui questionnent le rapport à la création. La FÉDÉRATION DES RÉCUPÉRATHÈQUES accompagne les étudiant.e.s dans la gestion d'espaces concrets qui questionnent le rapport aux matériaux et le geste de créer en école de création. Écoconception, réemploi et gouvernance partagée sont des thématiques clés que nous abordons avec les étudiant.e.s qui portent des projets de Récupérathèques. Comment trouver sa place dans le monde de la création ? C'est quoi "être un·e créateur·ice" aujourd'hui? Quels sont les valeurs et les imaginaires que nous avons envie de porter à travers nos pratiques? Ces réflexions portent la FÉDÉRATION DES RÉCUPÉRATHÈQUES et les jeunes de notre réseaux en écoles de création. "Une école d’art est selon moi le lieu où l’avenir s’invente et où nous ne nous préparons pas à réussir, mais à nous construire et par conséquent, à penser un futur." Chloé Boulet, étudiante porteuse de la Récupérathèque Le Déambulateur à l'esä Dunkerque. Le numéro de la revue : https://lnkd.in/eBDZ3urn Merci pour ce travail de mise en valeur. Ministère de la Culture alicia arco Julia Krisch Chloé Boulet Olivier Milis Emma De Meira Samuel Mecklenburg Maison de l'Écologie Tiphaine Calmettes Florence Roy Thierry Heynen Gilbard Anne Rivolet Célia Charbaut LA RESERVE DES ARTS ANdÉA Association nationale des écoles supérieures d'art École Supérieure d'Art Nord - Pas de Calais / Dunkerque - Tourcoing #creationartistique #cultureetrecherche #economiecirculaire #transitionecologique #reemploi

[Hors les murs] 🗣Quand on arrive en viiiiiille ! Les Rendez-vous de l'histoire à Blois commencent aujourd'hui. Et nous en sommes ! Pour la première fois, les équipes du Domaine national du château d'Angers y participeront pour parler de cette œuvre majeure, document historique incontournable et inscrit comme tel par l'Unesco, qu'est la Tapisserie de l'Apocalypse. 🤩 L'occasion de faire rayonner ce trésor national immobile, et de mettre aussi en valeur notre politique d'action éducative et culturelle puisque nous intervenons conjointement avec la DAAC de Nantes au sein d'un atelier sur les parcours pédagogiques. Car parmi les sujets sur lesquels nous eclaire l'Apocalypse d'Angers et qui peuvent être une matière à travailler avec les élèves, la ville, thème des Rendez-vous de cette année, est évidemment un motif (pour ne pas dire un personnage) central. 🏰 Cette tapisserie nous donne à voir un XIVe siècle urbain ainsi que de très nombreux détails d'architecture souvent disparus aujourd'hui : un support précieux pour l'enseignement de l'histoire ou des arts plastiques. ☯️ Elle développe aussi à travers sa symbolique eschatologique une réflexion sur la ville idéale et désirable (forme de salut littéralement extraterrestre puisque venu du ciel) VS la ville polluée par le péché et corrompue. Une réflexion furieusement contemporaine dans ses enjeux philosophiques (que l'on pense à la recherche d'exoplanètes, à la place de la ville dans les questions écologiques ou sociales) comme dans ses liens avec la pop culture : de Gotham city à Elysium (la cité orbitale miraculeuse qui guérit tous les maux dans le film éponyme de Neill Blompkamp) en passant par toutes les villes anonymes qui sont les théâtres de fin du monde de nombreux films dits "postapocalyptiques". 👉 Pour venir nous voir à Blois, c'est par là : https://lnkd.in/e6DXPBbW Xavier Mauduit Centre des monuments nationaux Magali Decraene #drac #rendezvousdelhistoire #Blois #eac #patrimoine

Vous aimez les belles histoires ? Il était une fois un jeune, engagé dans le développement des territoires ruraux dans le cadre d'une association : semer en territoire. Il a créé le chemin d'itinéraire bis à Vertolaye dans l'intention de faire vivre le commun récréatif de ce territoire. Belles initiative ! Il a été accompagné par un plasticien pour la réalisation des oeuvres artistiques tout au long du sentier. Sans aucun doute, on y retrouve l'intention de favoriser l'implication des locaux dans ce projet pour donner de la présence à l'habitabilité territoriale. https://lnkd.in/ehTS8tFD La question qui est posée concerne la manière de donner de la présence à l'art contemporain dans ce projet rural. Pendant une journée, nous sommes allés avec les étudiants du master CDESRI étudier cette création. Quelle place doit avoir l'artiste dans ce processus ? En première ligne ou au sein d'un collectif local ré-créatif ? C'est l'objet d'un article que j'ai écrit il y a quelques années pour, non pas valoriser l'art contemporain, mais le trans'art (cf pj) dans l'intention de développer une forme culturelle, ancrée dans les aménités locales. Cette disposition des artistes au trans'art ne va pas de soi. Elle nécessite de penser l'itinéraire au service du commun récréatif ; ce qui complexifie la démarche dans l'optique d'en faire un espace d'appropriation par le corps, le sensible et les pratiques vécues pour les habitants et les touristes embarqués dans cette itinérance. Pour illustrer le propos, je vous invite à consulter deux pratiques artistiques très différentes : celles du Centre d'art contemporain à Vassivières (https://lnkd.in/eC2H6CaT) et du Vallon du Villaret (https://lnkd.in/eRgtbzNM)... Dans le premier lieu, on contemple et regarde les oeuvres ; dans le second, elles sont incarnées dans les usages et les pratiques in situ. Deux conception très différentes des liens entre le lieu, les artistes, les publics, les pratiques corporelles et les imaginaires convoquées.

mon concours du Chefs-d'œuvre en péril l'émission de télévision culte de la télévision française des années 1960 et 1970, ainsi qu'un prix d'architecture sur le thème de la sauvegarde et de la restauration du patrimoine architectural en France. Créée et présentée par l'historien producteur Pierre de Lagarde, elle est diffusée sur RTF Télévision de 1962 à 1964, sur la deuxième chaîne de l'ORTF de 1964 à 1974 et sur Antenne 2 en 1984. nous avons expérimenté L’archéologie du geste, Nous étions tous des monsieur jourdain sans le savoir ,nous savions presque tout ,sauf les mots pour nous comprendre. L’archéologie expérimentale ma démarche : scientifique d apprentissage pour les bénévoles qui consiste à reproduire les gestes des hommes du passé pour mieux comprendre leur comportement et leur mode de vie. Elle a permis de reconstituer et de mieux appréhender un grand nombre des techniques.tel que monsieur jourdain nous avons fait de L’archéologie du bâti toujours sans savoir que c'était une méthode d'analyse archéologique des monuments, étrange non?, elle prend son essor au milieu des années 1980, à l’époque du développement de l’archéologie préventive. En réaction contre une archéologie limitée à la stylistique, bla, bla, bla.......... je voudrait et je veux te dire merci à toi jackie flaud le mentor de nos envie de bien faire. L'Histoire d’une utopie émancipatrice 1966 l’éducation populaire un outil d’émancipation humaine par la « culture » le général de Gaulle présidait à la création du ministère des affaires culturelles de André Malraux. La naissance de cette institution a précipité le déclin d’un autre projet, à présent méconnu : l’éducation politique des jeunes adultes, conçue dans l’immédiat après-guerre comme un outil d’émancipation humaine. Pour ses initiateurs, culture devait rimer avec égalité et l'universalité.

⭐ 3ème séance hier soir pour le groupe de travail (bénévoles, spectateur.ices, élu.e.s, habitant.e.s, agents...) chargé de réfléchir au prochain projet culturel de la commune de Ligné! Les échanges se poursuivent autour de thématiques fondatrices : ✅ le portrait de la commune (sa géographie, son urbanisme, sa démographie...) ✅ la charte des missions et des valeurs avec comme orientation : un projet culturel qui "soigne" la relation / qui favorise le vivre-ensemble / qui change notre quotidien / qui nous transforme intimement ✅ les droits culturels : accéder, pratiquer et contribuer en tant que personne à la vie culturelle ✅ l'identification des parties prenantes... Les sujets à venir dans les prochains mois : 👉 Témoignages/rencontre avec des artistes et des techniciens du secteur spectacle vivant 👉 Une visite inspirante dans une autre collectivité 👉 une fresque de la culture pour repérer concrètement les actions possibles afin de limiter l'impact de notre activité sur l'environnement. Un nouveau logiciel méthodologique se met en place. Le projet s'écrit petit à petit, dans une démarche de dialogue et de concertation, pour dessiner un nouveau visage à la politique culturelle de cette commune de 5500 habitants, située en milieu semi-rural. 📷 Jonathan PLANTIVE (vue de parapente)

🌍 28/10 Journée mondiale de la langue et de la culture créole : une occasion parfaite pour parler du 1% culturel et de la manière dont il peut valoriser notre patrimoine créole ! 🎨 Le 1% culturel est une mesure qui oblige les maîtres d’ouvrage publics à allouer environ 1% du budget de leurs projets de construction ou de rénovation pour la création ou l'acquisition d'œuvres d'art. Cette initiative permet d'intégrer l’art dans les espaces publics, enrichissant ainsi notre quotidien. Imaginez un instant... Chaque nouvelle école, mairie ou bibliothèque dans les territoires créolophones pourrait accueillir une œuvre inspirée de la culture créole ! Des fresques murales, sculptures, installations qui célèbrent la langue créole, les traditions, les histoires et les symboles qui nous unissent. 🎉Afin d'être en adéquation avec cette journée dédiée à la culture créole, rappelons que le 1% culturel est une opportunité pour : 1️⃣ Préserver et valoriser l’héritage créole : Des œuvres inspirées des contes, des proverbes ou des héros créoles peuvent être intégrées dans des espaces publics, rendant hommage à notre culture. 2️⃣ Encourager les artistes locaux : En donnant la priorité aux artistes créoles, le 1% culturel permet de soutenir la création artistique locale et d’offrir de la visibilité aux talents de nos territoires. 3️⃣Transmettre l’identité créole : Ces œuvres deviennent des vecteurs de transmission de notre culture et un moyen pour les jeunes générations de s’approprier leur patrimoine dans un cadre quotidien. 💡Le 1% culturel, c'est plus qu’une mesure artistique ; c'est un pont entre notre patrimoine culturel et nos espaces de vie. Utilisons-le pour que nos racines créoles prennent vie dans nos bâtiments publics ! #ODIADOM #UnPetitPasVersLaCommandePublique #1PourcentCulturel #CultureCréole #LangueCréole #JourneeMondialeCultureCréole #ArtPublic #Patrimoine #Créolité #ArtistesCréoles #EspacesPublics #Martinique #Guadeloupe #Guyane