Post de Le Figaro

Aujourd'hui, plus que jamais, l'image semble parfois surpasser les idées elles-mêmes. Il est alarmant de constater que nous avons souvent du mal à aller au-delà de la surface des choses. Comme on le dit parfois en plaisantant : "le fond est la forme et la forme est le fond". Cette tendance à simplifier des questions complexes et à réduire notre compréhension à des impressions superficielles est devenue préoccupante, et ce, à l'échelle mondiale. En valorisant la pensée critique et en prenant le temps de comprendre les enjeux au-delà des apparences, nous pouvons enrichir notre perception du monde et prendre des décisions plus éclairées. Cependant, il est aussi possible de voir cela comme une opportunité pour réévaluer nos priorités et encourager une culture de réflexion plus profonde dans notre quotidien. Qu'en pensez-vous ? Comment pourrions-nous encourager cette culture de réflexion plus profonde dans notre quotidien ?

Un reportage de Mehdi Bouzouina

Trump a donc réuni hier plus de voix dans l’Iowa que ses 2 principaux rivaux républicains réunis (51% vs 21% et 19%, respectivement, pour DeSantis et Haley). L’assaut sur la Capitole ? Les électeurs s’en moquent ! Hier le seul candidat républicain à dénoncer le quasi-coup d’état trumpien du 6 janvier 2021… a fait un score de 0,2% ! Entre l’ex-Président et l’investiture républicaine, il n’y a donc guère que la justice qui semble pouvoir s’interposer (il fait l’objet de 4 procès distincts pour 91 chefs d’accusation). Quoique… … sur les 9 juges de la Cour Suprême (qui, in fine, devront statuer sur l’égibilité de Trump), 6 sont de sensibilité républicaine, 1 ayant été nommé par Bush père, 2 par GW. Bush (le fils) et 3 par Trump himself. Piece of cake.

Voici un extrait de mon intervention à la télévision québécoise de Radio Canada hier soir, après la condamnation pénale de Donald Trump à New York.

En effet, sa condamnation, pas plus qu’une éventuelle et encore hypothétique incarcération, ne lui interdit légalement de demeurer candidat à la Maison Blanche, et l’essentiel du parti républicain semble faire corps derrière lui, dans une remise en question outrancière de la légitimité du jugement. La peine qui attend désormais Donald Trump est laissée à l’appréciation du juge Merchan, qui pourra prendre en compte des facteurs allant des antécédents judiciaires à l’expression de remords (à ce jour inexistante) pour prononcer jusque quatre ans de prison par chef d’accusation (en principe non cumulables). A moins que le magistrat n’opte pour une alternative assortie d’amendes, comme une peine conditionnelle, un sursis avec mise à l’épreuve, voire d’improbables travaux d’intérêt général.

l'appel à manifestation qui bloque le parlement, le sénat, les ministères, etc.... et qui ont pour objet de faire pression et influencer des votes est qualifié de .....? Un syndicat qui voudrait agir à la place du peuple et voudrait marcher sur les institutions législatives outrepasse son pouvoir et sa délégation usurpe la qualité d'électeur votant pour la députation et appelle à la rébellion. pour rappel: Article 433-10 du code penal Version en vigueur depuis le 07 mars 2007 Modifié par Loi n°2007-297 du 5 mars 2007 - art. 44 () JORF 7 mars 2007 La provocation directe à la rébellion, manifestée soit par des cris ou des discours publics, soit par des écrits affichés ou distribués, soit par tout autre moyen de transmission de l'écrit, de la parole ou de l'image, est punie de deux mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. Lorsque le délit prévu à l'alinéa précédent est commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.

🔥💥 Nouvel article explosif sur les récents développements juridiques entourant l'ancien président Donald Trump ! 🇺🇸 Quelles sont les implications politiques et légales de ces affaires ? 🤔 #Trump #Justice #Politique #CourSuprême 📰👉 [Lien vers l'article] 🔗👀

de la liberté d'expression à la transgression de la loi. Il y a celles et ceux qui croient savoir. Il y a celles et ceux qui ne savent pas et s'en moquent. Il y a celles et ceux qui ne savent pas mais s'en remettent aux autorités compétentes. Il y a celles et ceux qui savent et défient les autorités compétentes et l'Etat de droit. Il y a celles et ceux qui se permettent de prêter des intentions d'antisémitisme à des individus, des mouvements des colorations politiques, alors que les ministeres et les tribunaux garants du droit ne le font pas. Il y a celles et ceux qui défient le droit et l'autorité de la justice. Il y a celles et ceux qui ne savent pas le sens et les conséquences de la diffamation publique. Je suis de celles et ceux qui font confiance en la Justice qui sait reconnaître tant par les actes antisémites que la diffamation publique, celles et ceux qui, sans vergogne et contre l'Etat de droit jouent sur les peurs, les amalgames et la dédiabolisation de la seule extrême. Et vous, comment vous positionnez vous ?

L’immunité penale de l’ancien Président Trump soumis à l’examen de la Cour suprême. L'analyse de la Cour suprême des États-Unis sur l'immunité pénale absolue réclamée par l'ex-président Donald Trump soulève des questions judiciaires importantes quant à l'équilibre des pouvoirs et la responsabilité pénale des dirigeants. Lors des audiences du 25 avril 2024, la cour, dominée par une majorité conservatrice, a examiné ces revendications qui pourraient influencer significativement le calendrier du procès fédéral de l'accusé. Ce débat juridique intervient suite à l'intervention de la Cour le 28 février, qui a provoqué un report du procès lié aux accusations de manipulation des résultats de l'élection de 2020. La position des juges varie, certains exprimant une forte réticence à accorder une immunité absolue. Cette affaire, qui se distingue par ses implications profondes pour la présidence et pour la gouvernance du pays, met en lumière les risques associés à une immunité sans limites. Les délibérations ont révélé des scénarios hypothétiques extrêmes, comme un ordre présidentiel de coup d'État, illustrant les dangers d'une telle immunité. La décision, attendue pour la fin juin ou début juillet, pourrait rediriger l'affaire vers une juridiction inférieure pour une clarification sur les actes susceptibles d'immunité, ce qui retarderait davantage le procès. Ce cas exemplaire démontre l'importance cruciale des délais judiciaires dans le contexte électoral, où un report du procès jusqu'après l'élection pourrait avoir des conséquences significatives sur l'issue du scrutin. #droit #immunite #trump #coursupreme #election