Post de Le Havre Seine Métropole

[PORTRAIT DE PARTENAIRE] Présence médicale 64 tire sa force de son collectif partenarial, qui agit collectivement afin de faciliter l’accueil et l’installation des internes et médecins généralistes au sein du Département des Pyrénées-Atlantiques. Aujourd’hui, rencontre avec le docteur Christophe Jouhet, médecin installé dans l’est du département et représentant de l’Université de médecine de Bordeaux, organisme partenaire du dispositif depuis 2018. 🔷 Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Médecin généraliste installé depuis 2000 sur la commune de Coarraze, en secteur semi-rural, j'exerce au sein d'une maison de santé pluriprofessionnelle multisite, dont je suis co-gérant. Je suis également le président de la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) Est-Bearn, créée il y a peu. A côté de mes activités de soins, j'accueille chaque semestre des internes en stage dans mon cabinet en tant que maître de stage universitaire et suis également maître de conférence associé au département de médecine générale de l’université de Bordeaux. 🔷 Vous êtes membre du collectif PM64 depuis 3 ans, en quoi la démarche Présence médicale 64 fait-elle écho à vos engagements professionnels ? Je suis l'un des représentants de l'Université parmi les membres du collectif PM64. C'est un rôle double : porter la voix de l'université au sein de PM64 mais aussi représenter PM64 à la faculté de médecine de Bordeaux. Les discussions et travaux que nous menons tous ensemble (internes, médecins, administrations, élus), nous permettent d'imaginer des solutions pour pérenniser un accès aux soins de qualité et de proximité dans les territoires. Et ça fonctionne ! Faire partie du collectif PM64 me permet également de prolonger mon action d'enseignement des jeunes professionnels par leur accompagnement. Je les ai en formation, en stage et, avec PM64, on accompagne leur projet de vie une fois les études terminées. Au-delà d'être un guichet unique, savoir que Présence médicale 64 peut se mobiliser à tout moment pour nous accompagner et répondre à nos besoins est extrêmement sécurisant. C'est cet accompagnement personnalisé du projet de vie du médecin qui permet des installations pérennes dans les territoires. 🔷 Si vous deviez mettre en avant un trait de Présence médicale 64, quel serait-il ? La convivialité, l'accompagnement individualisé et le souci du bien commun sont dans l'ADN de Présence médicale 64. Cet ADN, décliné au bien être professionnel et personnel de nos jeunes confrères, est une spécificité du dispositif. #pm64 #le64

La santé est un domaine professionnel passionnant !

Le Centre Hospitalier Périgueux a investi dans la qualité de l’accueil de ses internes. afin de les inciter à poursuivre leur formation pratique au sein de l’établissement, et à en faire la promotion auprès de leurs pairs à la faculté de médecine. Proposer un tel internat est stratégique, c’est un vecteur d’attractivité des internes, qui sont les médecins, généralistes et spécialistes, qui s’installeront demain sur notre territoire, à l’hôpital ou en ville. La réhabilitation de l'internat s’inscrit plus globalement dans la politique d’attractivité et de fidélisation des personnels médicaux, dans ce contexte national de démographie médicale, particulièrement prégnant en Dordogne. Le bâtiment, intégralement réhabilité, construit en 1978 et qui n’avait jamais bénéficié de travaux majeurs, avait fait l’objet d’une fermeture administrative pour raison de sécurité en mai 2018. Les hôpitaux de Dordogne sont rattachés progressivement à la subdivision de la faculté de médecine de Limoges. Chaque semestre, l’établissement propose des postes d’internes dans les différentes spécialités, médicales et chirurgicales, mais il est en concurrence avec les autres hôpitaux de la subdivision. Car il y a plus de postes ouverts dans les hôpitaux, que d’internes à former, et ce sont les internes qui choisissent leur terrain de stage, selon un certain nombre de critères parmi lesquels, les modalités d’hébergement. En effet, au-delà de la qualité pédagogique du stage, l’internat est un facteur majeur d’attractivité pour un centre hospitalier périphérique, tel que le Centre Hospitalier de Périgueux. Si l’accueil des internes participe au bon fonctionnement du service public hospitalier, accueillir des internes à l’hôpital de Périgueux, c’est également favoriser la découverte d’une ville dynamique, d’un magnifique département, où il fait bon vivre, et in fine l’opportunité de nourrir un beau projet professionnel mais aussi un beau projet de vie en Dordogne. Dans ce contexte, et au regard de cet enjeu stratégique pour l’avenir de l’accès aux soins de la population du territoire, la réhabilitation de l’internat constitue le socle de la politique d’attractivité médicale de l’établissement. Parce que la santé est le bien le plus précieux, elle est une priorité de nos concitoyens, dont certains vivent les impacts délétères de la démographie médicale sur leur accès aux soins. La politique d’attractivité des internes du centre hospitalier de Périgueux vise à pourvoir en nombre le territoire de médecins libéraux et hospitaliers, afin de répondre aux besoins de santé des périgourdins, et l’accueil d’internes constitue une voie privilégiée de recrutement des médecins.        Le retour sur investissement de cette opération, en termes de couverture des besoins de santé de la population du territoire, est sans équivoque. Gaelle Ranchou ARS Nouvelle-Aquitaine - Agence régionale de Santé Ville de Périgueux LE GRAND Périgueux Nicolas Dufaud Delphine CAMBLANNE Chamouton Valérie  

Une mission à haute valeur ajoutée pour accompagner le changement des relations entre patients et professionnels de santé

💉 Découvrez les meilleures prépas santé à Paris et en Île-de-France ! Suivre des études médicales est un parcours extrêmement sélectif qui demande aux étudiants de se surpasser. Face à cette réalité, les prépas santé sont devenues indispensables pour ceux qui souhaitent embarquer dans cette aventure.

👋 Chez Annonces Médicales, nous saluons les initiatives des acteurs de la santé, qui comme nous, cherchent et proposent des solutions pour lutter contre la désertification médicale. 🔝Voici comment le Loiret agit : ✅ En accompagnant ses Padhue (Praticiens à diplôme hors Union européenne) jusqu’au concours permettant de faire reconnaître leur diplôme pour être autorisés à exercer en France, ✅En offrant la possibilité pour un étudiant d'être pris en charge par deux ou trois médecins lors des stages, ✅ En favorisant la montée en compétences d'autres professionnels de santé, telles que les infirmiers et les pharmaciens, ✅ En délivrant des bourses dès la 2e année de médecine, au lieu de la 5e en échange d’un engagement à exercer le même nombre d'années sur leur territoire. 📣 Au quotidien, Annonces Médicales s’active pour faire connaître les besoins de centaines d’établissements de santé situés dans des désert médicaux en déployant leurs messages sur notre plateforme et notre réseau partenaire. 💬 Vous souhaitez faire passer votre message ? ✔️ Prenons rendez-vous pour l’identifier, le formaliser et le déployer. 👇Rendez-vous dans les commentaires #recrutement #medecin #annoncesmedicales

Et si on écoutait aussi la voix et les savoirs expérientiels du patient ? Et si, pour améliorer la qualité de soin, on développait la collaboration interprofessionnelle dès les premières années d’étude en santé ? 👨⚕️ 👩⚕️ Au sein de mon immersion professionnelle au DERMG (Département d’Enseignement et de Recherche en Médecine Générale), je participe à un collectif innovant, où tous les savoirs sont les bienvenus : ce projet s’appelle IES Collab. Ce collectif co-construit un programme pédagogique pour les études en santé visant à développer la collaboration interprofessionnelle et le partenariat avec le patient, dans l’optique d’améliorer la qualité de soin. C’est un travail d’équipe, mélangeant les savoirs de professionnels de la santé dans les métiers médicaux et paramédicaux, de patients partenaires, d’enseignants-chercheurs en sciences de l’éducation, d’enseignants-médecins-chercheurs… Au sein de ce collectif, les patients-participants sont acteurs à part entière de la conception des enseignements pédagogiques du programme ! C’est innovant, et c’est ce qui m’interpelle le plus. Je démarre 2024 en entamant mon mémoire de recherche et mon travail va porter, entre autres, sur ces questions. En quoi l’implication des patients dans la conception d’enseignements en santé est essentielle, et pas juste anecdotique ? En quoi les savoirs expérientiels des patients enrichissent les enseignements, et notamment l’enseignement à l’interprofessionnalité ? Et si la prise en compte de la voix du patient dès l’ingénierie pédagogique changeait réellement la donne ? C’est parti pour plusieurs mois de recherche… 🔎 💡 Université Côte d’Azur INSPE de l'Académie de Nice DERMG - Faculté de Médecine - Université Côte d'Azur #CI3P #partenariat_patient

#Réforme du code de la (dé)route de la #santé publique ! Après les innommables panneaux « commune cherche #médecin, #dentiste, #pharmacien», voilà qu’apparaîssent « #CHU cherchent 1500 #internes ». Nous le paierons très cher si rien ne bouge! De quoi s’agit-il? 👇👇👇👇 Les étudiants en sixième année de médecine, nos futurs médecins généralistes, spécialistes et chirurgiens de toutes spécialités alertent de la profonde injustice dont ils sont victimes : l'inaccessibilité à de nombreux postes de spécialité pour la rentrée 2024-2025. Ils demandent à raison une réouverture de postes. Leurs études ont fait l’objet de nombreuses réformes dont ils essuient les plâtres. Réforme de la PACES-One (première année commune aux études de santé) mettant fin aux redoublements autorisés, puis celle de la R2C (Reforme du deuxième Cycle). Les termes de cette dernière n’avaient pas encore été posés clairement lorsqu’uls ont commencé leur deuxième cycle, et n’ont fait que changer au cours du cursus. Les référentiels du concours ne sont pas sortis en temps et en heure. Des épreuves orales classantes ont été intégrées au concours et passées pour la première fois cette année. Cet examen subjectif s’est passé dans des conditions de neutralité douteuses. Enfin ils avaient des points de parcours portant sur leurs cursus extra-médicaux, dont la notation a été fixée en pleine crise Covid, juste avant de commencer le second cycle, l’externat. Leur temps déjà partagé entre révisions et stages hospitaliers devait être investi dans des activités extra-hospitalières. Même leur temps de repos devait compter pour ce concours. Ces éléments ont fortement impacté la santé mentale de nombreux étudiants entrainant dépressions, burn out et la disparition de certains. Malgré tout cela ils ont courageusement passé les premiers ce concours de l’EDN (Epreuves Dématérialisées Nationales). Nombre d’étudiants ont préféré redoubler leur quatrième ou cinquième année pour éviter cela, environ 1000 étudiants. 400 autres n'ont pas réussi à valider ce concours. 😳😳😳 Devant ces désistements, les postes proposés pour l’internat ont été diminués en conséquence, sans toutefois prendre en compte la force des demandes pour certaines spécialités. À titre indicatif et non exhaustif, les postes de chirurgie plastique et reconstructrice ont étés diminué de moitié, tandis que la médecine générale à Bordeaux l’a été de 20%. 😳😳😳 En revanche, et contre toute attente, le nombre de postes en chirurgie pédiatrique reste inchangé. 🙃 Les rangs limites pour accéder à la plupart des spécialités ont bondi de 1000 places au moins lors de leurs premières simulations de choix. Par ex : un étudiant qui souhaite faire un internat de Chirurgie digestive à Paris doit être aujourd’hui classé parmi les premiers 23 % de sa promo, contre 35 % l’année passée. inacceptable. Pour signer cette pétition :👇 https://chng.it/9mB6Pp2JGN Hélène Hérubel ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France

[𝗦𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 : 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗺𝗲́𝗱𝗲𝗰𝗶𝗻𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗼𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗲́𝘀 𝗲𝘁 𝗲𝗻𝘁𝗲𝗻𝗱𝘂𝘀] La nouvelle maquette du DES de Médecine Générale offre la possibilité de personnaliser les parcours de formation des généralistes en intégrant de grandes thématiques prioritaires dont fait partie la #sante de l’#enfant. Elle renforce également l’exposition des étudiants à la prévention, au suivi et aux soins non-programmés de l’enfant, tout en permettant aux internes qui le souhaitent de bénéficier d’un deuxième stage dédié à la santé de l’enfant, ce qui n’était pas possible jusque-là. La fonction première de la maquette est de cadrer le parcours de formation, en répondant aux besoins en formation des étudiants et de santé de la population, pas de faire fonctionner les services pédiatriques hospitaliers avec comme main d’œuvre les internes en médecine générale. Afin de conserver un intérêt pédagogique, le stage libre doit être préservé. Les arbitrages ont été rendus, il n’est plus tant de reculer, alors que d’autres textes sont attendus pour finaliser le cadrage de la #4AMG. ReAGJIR ISNAR-IMG Officiel ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France MG France - Fédération Française des Médecins Généralistes CSMF Les Généralistes CSMF UFML SYNDICAT Fédération des Médecins de France COLLEGE NATIONAL DES GENERALISTES ENSEIGNANTS - COLLEGE ACADEMIQUE

[#Formation] Dans le cadre du projet de Recherche Hospitalo-Universitaire (RHU) « FAME » financé par l’ANR (Agence nationale de la recherche), le groupe Famiréa ouvre un Diplôme Universitaire (DU) sur les familles en réanimation pour la rentrée 2024-2025. Cette formation pluridisciplinaire de 77 heures s’appuie à la fois sur les données actuelles de la recherche et les expériences cliniques des intervenants. Elle doit permettre aux étudiants : - de mieux comprendre et prévenir les symptômes des proches, - de prévenir le #burnout des soignants, - de connaître les lois et principes éthiques dans les situations de #findevie, - d’améliorer votre communication avec les familles, - de vous initier à la recherche auprès des familles, - de travailler sur les concepts d’inclusion et de diversité. Pour en savoir plus sur le DU Famiréa, nous vous invitons à consulter le lien ci-après : https://lnkd.in/dWeRj8Nd