Post de Quentin Le Bras

DLAL Le Comité de sélection et de pilotage du DLAL FEAMPA « #Galpa #Thau et son #littoral » a validé 2 nouveaux projets lors de sa réunion du 25 juin dernier. En effet, la coopérative « #conchyliculteurs de #Méditerranée » a été soutenue pour le recrutement d’une personne dédiée à la montée en puissance de la structure, ainsi que le lancement du projet #RESCOLOCO « du #poisson local dans les cantines scolaires porté par le Syndicat mixte du Bassin de Thau, avec le plan d’actions adéquate auprès de l’ensemble des acteurs et bénéficiaires. Un point a été également fait sur les avancées de l’Unité Installation TRansmission en conchyliculture (UITR), financé en 2023 par le Galpa « Thau et son littoral ». Rappelons que le Développement Local par les Acteurs Locaux du Fonds Européen pour les Affaires Martimes, la Pêche et l’Aquaculture est une initiative européenne visant l’ancrage et le développement des activités de pêche et de cultures marines sur un territoire littoral. Le programme est animé par une structure porteuse, à savoir le #SMBT, et bénéficie d’importants partenariats techniques et financiers. La stratégie DLAL 2021-2027 intègre les questions environnementales pour faire face aux changements climatiques et des partenaires de l’économie bleue. Faire rayonner les produits issus de ces filières auprès d’un large public est un objectif phare.

Que faisons nous avec des fonds européens? avec le fonds européens pour les affaires maritimes et la pêche plus précisément? Ces Étoiles illustrent qqs projets types. Dernière ligne droite pour voter à votre projet coup de coeur

[UN AVENIR POUR LE PORT DE PECHE DE LOCTUDY] Lorsque j’ai choisi de m’installer en Pays Bigouden, à Loctudy, il y a 25 ans, c’était pour la mer. Sa présence permanente, les paysages qu’elle propose, un lieu jaune tout frais avec des pommes de terre à l’eau et du beurre, des langoustines juste cuites, les bains toute l’année. Mais c’était également la mer « travailleuse », celle de la pêche, une certaine idée de la Bretagne, qui m’attirait. J’aimais particulièrement aller, la nuit, dans la criée voir les poissons de toutes tailles, les gueules de lotte ou de Saint Pierre, le travail précis et rapide des trieurs et trieuses de langoustines. Depuis des mois, la filière traverse une crise sans précédent. Je ne suis pas spécialiste mais, dans le restaurant de l’Hôtel du Port de Lesconil, nous mettons en valeur les produits des ports bigoudens. Et les professionnels de cette filière sont également nos clients. Leur grande inquiétude est perceptible. Leur envie d’aller de l’avant, et de surmonter les obstacles qui se dressent devant eux chaque jour, également. La récente réunion publique sur les propositions de l’Interprofessionnelle du port de Loctudy a été l’éclatante manifestation de la volonté de donner un avenir à ce territoire. Devant une salle comble, et très concernée, les professionnels du port, armateurs, mareyeurs, conchyliculteurs et tous ceux qui gravitent autour de ces activités, ont montré une unité rassurante. Loin des complaintes, des recherches de bouc émissaire, et de la volonté de tout casser, ce sont 20 propositions qui ont été annoncées. Et surtout, une volonté d’ouvrir la réflexion à toutes les bonnes volontés, avec un appel appuyé aux acteurs publics pour travailler de concert. Le développement des territoires passe nécessairement par une collaboration entre les acteurs publics et privés. Ecouter les professionnels est un impératif pour les décideurs publics car la mer est un bien commun où chacun peut et doit apporter quelque chose. Le slogan de ce collectif est fait de mots simples et forts, diablement enthousiasmants, qui donnent envie de relever nos manches pour laisser aux générations qui prendront la suite une place propre et désirable. "Un futur pour Loctudy, Tous ensemble, demain se construit aujourd’hui !" Ludovic Le Lay Communauté de communes du Pays Bigouden Sud Région Bretagne Quimper Cornouaille Développement #Interprofessionnelleduportdeloctudy #Demainsaintguenole

[Conseil Communautaire] Dernière assemblée pour le Président Renaud Beretti et les élus communautaires avant la période estivale 🏖️ pour une vingtaine de délibérations à l’ordre du jour. Si Grand Lac exerce en régie la compétence relative à la « collecte des déchets ménagers », la collectivité a transféré la compétence « traitement des déchets » à Savoie Déchets ; sa Présidente, @Marie Benevise et Jean-Marc Drivet, Vice-président délégué de Grand Lac sont intervenus pour présenter le bilan 2023 et les enjeux à venir de cette instance. Parmi les sujets à retenir, la présentation du projet de Plan de Mobilité 🚗 qui permettra de définir une stratégie globale des déplacements à l’échelle de l’agglomération. Son objectif est notamment d’améliorer les conditions de circulation, de stationnement et de sécurité routière, d’intégrer la mobilité dans une vision prospective en lien avec les projets du territoire et de disposer des incidences concernant la qualité de l’air. Une large concertation a été mise en place et l’assemblée a validé l’organisation d’une enquête publique👥 qui permettra d’optimiser cette démarche. Enfin, approuvés également d’une part, l’accord pour un espace de petite restauration 🍴aux Gorges du Sierroz qui manquait depuis son ouverture et d’autre part, le dépôt de la candidature de Grand Lac et de ses partenaires au titre de Réserve de Biosphère auprès de l’UNESCO dans le cadre de son programme « Homme et Biosphère ».

UNE CENTAINE DE PERSONNES MARCHE CONTRE L’USINE D’ENROBAGE À REIMS "Les opposants au projet de centrale à bitume à chaud, prévue au nord-ouest de Reims se sont de nouveau mobilisés ce samedi 13 avril. Panneaux à la main, une centaine de personnes a marché jusqu’au futur site de la centrale" "Élus, riverains, militants écologistes… Ils étaient environ 120 à s’être réunis contre le projet de centrale à bitume à chaud, ce samedi matin dans le parc Marcel Lemaire. « C’est un parc très agréable mais qui le sera beaucoup moins une fois que la centrale d’enrobage sera active », s’agace Benoît PANNETIER, président d’Air Environnement Grand Reims" "Ce collectif et quatre autres associations de protection de l’environnement (Champagne Ardenne Nature Environnement, Reims Vert l’Avenir, ATTAC Reims et Terres et Patrimoines de nos Villages) redoutent, en effet, que l’activité de la centrale ait des répercussions néfastes sur la qualité de l’air et donc sur la santé des riverains et l’environnement" Article L'Union 👉https://lnkd.in/ejAwgJZ7 PÉTITION NON À L'IMPLANTATION D'UNE CENTRALE D'ENROBÉS À CHAUD À REIMS (51) 15.165 signatures 👉https://lnkd.in/egrREUVB #pollution #santé

[exception aux sujet livre et lecture] Nous sommes adhérents à l’association et absolument « contre l’implantation d’une usine à bitume à Reims ». Les fumées toxiques vont de répandre de 8 à 10 kms selon les vents autour de l’usine. Pour réaliser des prélèvements et des relevés de données fiables, transparentes et avoir des données de référence sur la qualité de l’air, une campagne de financement participatif est ouvert : https://lnkd.in/ePshPvjs Elle servira aussi à payer un avocat et saisir le tribunal administratif si le préfet donne son autorisation. Il existe des solutions pour protéger les habitants, les sols, l’eau, le vivant : ENCAPOTER LES USINES pour que les fumées soient traitées par les industriels et non rejetées dans l’atmosphère. #environnement #bitume #beton #air #sol #pollution #lutte

A voir, une série de posts de la page Orthongel sur la prochaine session plénière de la CTOI, pour en mieux comprendre les rouages et les enjeux.

💧Face à la sécheresse, ces camions ramènent de l'eau achetée à 300 km de Perpignan " Pour aider à lutter contre la sécheresse dans les Pyrénées-Orientales, le SMEC de Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) vend de l'eau à la société de transports Raymondis, basée à Rivesaltes, près de Perpignan. Pour aider à lutter contre la sécheresse dans les Pyrénées-Orientales, le SMEC de Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) vend de l’eau à la société de transports Raymondis, basée à Rivesaltes, près de Perpignan. C’est l’une des conséquences de l’interminable sécheresse qui frappe les Pyrénées-Orientales : ces derniers mois, le département est devenu, un peu malgré lui, un laboratoire à ciel ouvert. Pour limiter l’impact de cette crise historique, de nombreuses expérimentations sont en cours en Pays catalan. L’une des dernières en date a été réalisée par le transporteur Raymondis, à Rivesaltes, près de Perpignan. Les camions ne voyagent plus à vide Cette société de transports multiplie les trajets entre les Pyrénées-Orientales et Bordeaux. Elle livre essentiellement du vin en Gironde. Au retour, le camion-citerne est donc vide. Pour éviter de voyager sans marchandise, Raymondis a proposé « d’acquérir, à titre expérimental, de l’eau dans des structures gestionnaires de l’eau dans des départements excédentaires, après leur livraison d’autres liquides », explique la préfecture des Pyrénées-Orientales à Actu Perpignan. La société catalane achète la ressource auprès du Syndicat Mixte Eaux Confluences (SMEC) de Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), à près de 300 kilomètres de Perpignan. Son prix est de 1,8357 euro du m3. Cette eau ne servira pas à la consommation humaine L’opération a déjà eu lieu plusieurs fois entre début avril et la mi-mai. Pour l’heure, 180 m3, soit 180 000 litres, ont été ramenés du Tarn-et-Garonne. Cette expérimentation, très marginale dans l’activité de l’entreprise restera ponctuelle, au vu des contraintes logistiques : chargement / déchargement / stockage. Elle illustre bien néanmoins, la dynamique des acteurs du territoire, à tester, à innover, dans le contexte de sécheresse. Préfecture des Pyrénées-Orientales Cette quantité ne résoudra pas la problématique de la sécheresse, mais elle a le mérite de rendre de précieux services. Les services de l’État expliquent que cette eau permet de répondre à de multiples usages « dans le strict respect des prescriptions des arrêtés sécheresse ». On peut notamment citer l’abreuvement des animaux, certaines opérations dans le BTP ou encore l’arrosage de jeunes plants. En revanche, cette eau ne sera jamais utilisée pour une consommation humaine" Lire l'article dans actu.fr ⤵️

C'est officiel ! 🌱💧 Le SDDEA et sa Régie et l’AESN (Agence de l’Eau Seine-Normandie) collaborent désormais avec trois filières industrielles auboises spécialisées dans des cultures à bas niveau d'intrants : le sainfoin, la luzerne, et bien sûr, le chanvre ! Ces cultures ont un rôle clé dans l'amélioration de la qualité de l'eau dans l’Aube. Ce projet, piloté par la Chambre d'Agriculture de l'Aube et de la Haute-Marne, s'inscrit dans le cadre de l'Appel à Manifestation d’Intérêt de la Région Grand Est. L’objectif est de développer des filières #BNI (bas niveau d'intrants) sur les Aires d'Alimentation de Captages (AAC) prioritaires de Champagne crayeuse. L’accord a été signé ce mercredi 4 septembre, à la Foire de Châlons Officiel, par Benoit Savourat, Président de notre coopérative, aux côtés de ses homologues des filières luzerne et sainfoin, ainsi que des élus et des représentants de la Région Grand Est, de l’AESN, du SDDEA et sa Régie, de la Chambre d’Agriculture Aube & Haute-Marne, et du Pôle européen du chanvre Être un acteur majeur au service de la qualité de l’eau, c’est aussi ça La Chanvrière ! #Chanvre #HempPassion #eau

👉Vendredi 15 mars dernier, Agglo Fécamp Caux Littoral a participé au lancement officiel de la phase 2 du programme Territoire d’Industrie Dieppe Côte d’Albâtre - TIDCA, qui rassemble 5 intercommunalités (Agglomérations de Dieppe et de Fécamp, Communautés de Communes de la Côte d'Albâtre, de Falaises du Talou et de Terroir de Caux).   🏭Dieppe-Maritime Communauté d'Agglomération de la Région Dieppoise a accueilli les binômes Elus-Entreprises et les partenaires pour ce rendez-vous. Ces acteurs sont engagés dans une démarche commune avec une feuille de route 2023-2027 riche, portant des actions ambitieuses (animation territoriale, cybersécurité, école de production, filière industrielle agroalimentaire, international, marque employeur, Rse...) pour le territoire. 📌Elles s'inscrivent dans les 4 axes stratégiques du programme national : transition écologique et énergétique, compétences et attractivité, foncier industriel et innovation. ➕ d'infos : https://lnkd.in/esUXSCWz #territoiredindustrie #developpementeconomique #agglofecampcauxlittoral #economie #entreprises #industrie #cotedalbatre