Post de Le Groupe Orchidées

⚓ CAP SUR LA VENDÉE ⚓ 📣 Flash info recrutement : « Un emploi qui a du sens ! 🇨🇵 » Hadley Search, cabinet de recrutement dédié aux acteurs des collectivités et du secteur public, recrute pour la communauté d'agglomération Terres de Montaigu leur Directeur du Centre Intercommunal d'Action Sociale F/H. 🌊Terres de Montaigu est un territoire ambitieux de 50 000 habitants, devenu Communauté d’Agglomérations en 2022 autour de sa Ville-centre, Montaigu-Vendée. Le territoire est porté par un écosystème économique riche et dense et par la jeunesse de sa population dont 40% a moins de 30 ans. Par ailleurs, sa situation géographique au cœur du triangle La Roche-Sur-Yon/Nantes/Cholet est un réel atout complété par une desserte via 1 gare et 3 haltes ferroviaires. 👵 Bien vieillir sur Terres de Montaigu : une priorité Le CIAS Terres de Montaigu emploi 300 agents et représente un budget annuel de fonctionnement de 20M€. Il gère 375 places médicalisées, non-médicalisées, et spécialisées dans les troubles cognitifs au travers de ses 9 résidences. Il est également tourné vers le maintien à domicile avec des hébergements temporaires, un service de soins à domicile, un service de portage de repas, un accueil de jour, et un Centre de Ressources Territoriale en phase de lancement. Depuis 10 ans Terres de Montaigu s'est engagé dans une démarche expérimentale d'organisation multipolaire et mixte de ses établissements et services, pour allier proximité, vie à taille humaine, qualité des soins et accessibilité, et pour proposer un parcours complet, diversifié et coordonné pour les personnes en perte d’autonomie, du domicile à l’établissement. 🤝 En tant que Directeur.rice du Centre Incommunal d'Action Sociale, vous pilotez ce projet grand âge du territoire et dirigez les établissements et services pour personnes âgées. ❓ Prêt.e à relever ces défis ? Margaux Devos vous en dit davantage. recrutement@hadleysearch.fr #haldeysearch #emploipublic #secteurpublic #collterr #solidarite #grandâge #actionsociale #experimentations #etablissements #direction #services #proximite #soins #accessibilite

Un éclairage passionnant qui interroge le développement de nos métropoles.

Deux belles équipes aux services de belles missions, à vos CV 👍

Un projet global et structurant en Dordogne pour les enjeux des métiers du grand âge, que le service SLI soutient de manière transversale sur les volets emploi, formation et insertion. Créer des vocations Changer les mentalités Accompagner dans l'emploi Développer la qualité de vie au travail https://pts24.fr

En France, les bassins de vie entourant les métropoles présentent les taux d’encadrement en fonctions présentielles les plus faibles En France, le nombre d’emplois dans les fonctions présentielles (services à la personne, artisanat) rapporté au nombre d’habitants varie du simple au décuple selon les bassins de vie (voir carte ci-dessous). En moyenne, on compte 26 emplois "présentiels" pour 100 résidents (principaux) mais ce nombre varie de 8 à Hettange-Grande (en Moselle) à plus de 100 à Val-d’Isère. Parmi les territoires bénéficiant des meilleurs taux d’encadrement figurent (voir la carte ci-dessous) : - les bassins de vie accueillant une ou plusieurs stations touristiques (en montagne ou le long du littoral), du fait de l’afflux de population pendant les hautes saisons (avec beaucoup d’emplois saisonniers souvent précaires) - les bassins de vie des principales agglomérations, grandes ou moyennes, qui concentrent des équipements centraux (hôpitaux, équipements universitaires, services administratifs, etc.) Remarque 1 : les bassins de vie des espaces de faibles densités (Est du bassin parisien, Massif central, Pyrénées intérieures, Alpes du Sud) bénéficient, dans l’ensemble, de taux d’encadrement proches de la moyenne nationale, notamment sous l’effet des principes d’équité présidant à l’allocation spatiale des équipements et des services publics. Remarque 2 : les bassins de vie présentant les plus faibles taux d’encadrement se situent pour la plupart autour d’agglomérations grandes et moyennes (cercles rouges sur le carton cartographique), dessinant une sorte de halo de sous-encadrement autour de Paris, Bordeaux, Lyon, Rennes, mais aussi Amiens, Besançon, Limoges, Pau, Roanne, etc. Ces espaces des deuxième et troisième couronnes périurbaines se composent de réseaux de bourgs et de petites villes, insuffisamment équipés en services collectifs pour répondre à la présence de résidents attirés par un immobilier pavillonnaire plus accessible tout en restant employés dans les agglomérations proches. Les fonctions présentielles ont plus de mal à s’y développer en raison de la concurrence exercée par les pôles urbains voisins (lycées, services commerciaux, loisirs, etc.), générant des flux, souvent dépendants de l’automobile, qui compliquent l’acceptabilité des ZFE. Le développement des fonctions de centralités y est donc au moins aussi important que dans les villes petites et moyennes plus éloignées des grandes agglomérations. Remarque 3 : ces territoires péri-métropolitains se caractérisent par un survote pour l’extrême-droite dans le Bassin parisien, le Midi méditerranéen, autour de Bordeaux et Lyon… mais pas dans le Grand Ouest ou le Sud-Ouest toulousain (à ce sujet, voir l’excellent article d’Arnaud Huc intitulé “FN du Nord contre FN du Sud ? Analyse sociogéographique des électorats Le Pen en 2017”, publié en 2019 dans la Revue Française de Science Politique).

Voilà une illustration intéressante des effets ambivalents de la périurbanisation qui, à la fois, dynamise les campagnes et petites villes proches des métropoles, et concentre les ressources. Dans du rural hors de l'influence des grandes villes, une commune de 2000 habitants est souvent un pôle local. Dans le périurbain d'une grande ville c'est souvent un village dortoir (même si les choses évoluent ces dernières années)

🔔🔔🔔 Le journaliste de Wunnen Magazine 📔 me posait la question: 🎤 Comment avez-vous intégré les préférences et les besoins des résidents dans la conception des espaces intérieurs ? 👩 Nous croyons beaucoup en deux principes fondamentaux. 👉 Premièrement, la résidence ne doit pas plaire qu’aux seniors. Si la résidence ne plaît pas aux autres générations, il y a peu de chance pour qu’une personne âgée ait envie d’y aller ou de s’y projeter. Cela doit plaire à tout âge, à nous, aux enfants et petits-enfants des seniors. Nous créons des espaces où nous aimerions vivre nous-mêmes. 👉 Le deuxième principe est que les aspects médicaux et santé, bien que parfaitement présents et disponibles, ne doivent pas être visibles. Il ne s’agit pas d’un hôpital, il s’agit d’un lieu de vie avant tout. Un endroit où l’on se sent bien, où on aime recevoir ses amis et sa famille. 🔔🔔🔔 Le sujet vous intéresse? L'interview complète dans cet article! ❤️ Merci à l'équipe : emeis Belgium Christophe Lermusiaux Marijke Verboven Stephanie Rondoz Patrick Roelens Laurence Ponchaut laurent nadin Olivier Van Houtte ❤️ Merci à mon associé: Alexis Letellier et à toute l'équipe spnkr

🌟 Hommage aux Responsables de Résidences pour Personnes Âgées et à leurs Équipes 🌟 Aujourd'hui, je souhaite mettre en lumière le travail exceptionnel des responsables de résidence pour personnes âgées et de leurs équipes dévouées. 👏 Ces professionnels jouent un rôle essentiel dans la vie de nos aînés, en veillant à leur bien-être, en créant un environnement chaleureux et en offrant un soutien inestimable. Leur engagement quotidien, leur empathie et leur capacité à créer des liens significatifs font une réelle différence dans la vie des résidents. Chaque jour, ils relèvent des défis avec passion et détermination, et il est important de reconnaître leur contribution précieuse à notre société. 💖 Je vous invite, responsables de résidence et membres de vos équipes, à partager vos expériences et vos réussites dans les commentaires ci-dessous. Comment travaillez-vous pour améliorer la qualité de vie de vos résidents ? Quelles initiatives avez-vous mises en place récemment ? Ensemble, valorisons le travail remarquable que vous accomplissez et inspirons d'autres à suivre votre exemple. #RésidencesPourPersonnesÂgées #ÉquipeDévouée #BienÊtreDesAînés #Leadership #Engagement

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Sous-louer le domaine public ? C'est possible ! La sous-occupation – ou « sous-location » – du domaine public peut se définir comme une occupation secondaire d’un immeuble relevant du domaine public, autorisée par l’occupant principal de la dépendance domaniale. Elle n’engage que l’occupant principal et le sous-occupant ; l’administration n’étant pas juridiquement liée avec le sous-occupant, mais seulement avec l’occupant principal. La sous-occupation du domaine public constitue une occupation superposée, simultanée et partielle d’un bien relevant du domaine public. Elle est aujourd’hui très fréquente. En pratique, elle permet à l’occupant principal de répondre aux besoins des usagers tout en valorisant la dépendance occupée. Que l’on songe par exemple à la sous-occupation d’un bien public culturel (théâtre, opéra, musée, etc.) pour l’exploitation d’une brasserie ou à la sous-occupation d’un équipement concédé au gestionnaire d’un service public pour y installer des panneaux photovoltaïques. Pourtant, le régime de la sous-occupation domaniale demeure difficile à appréhender, tant en ce qui concerne les conditions d’accès du sous-occupant au domaine public que ses droits lors de l’exécution et à l’expiration du sous-titre d’occupation. - L’occupant principal peut-il librement consentir un titre de sous-occupation ? - L’accès du sous-occupant au domaine public est-il subordonné à l’organisation d’une procédure de mise en concurrence domaniale ? - Quelle est la nature juridique d’un contrat de sous-occupation ? - L’occupant principal peut-il fixer librement le montant de la redevance de sous-occupation ?  - L’occupant principal peut-il conclure un bail commercial avec le sous-occupant ? - Quel est le statut des biens construits par le sous-occupant sur le domaine public ?  - Le sous-occupant peut-il contester une mesure de résiliation anticipée du titre d’occupation principal ? - Quelles sont les conditions d’indemnisation du sous-occupant en cas de résiliation anticipée du titre d’occupation principal ? Retrouvez toutes les réponses à ces questions pratiques dans le dernier numéro de la Revue Droit de la voirie : « La sous-occupation du domaine public en question(s) », Droit de la voirie, 2024, n° 239, p. 119.