📚🪴 Jardins d’hiver 2025 🪴📚 ❄️ Du 31 janvier au 2 février, aux Champs Libres à Rennes, venez partager votre amour de la littérature ! Un événement gratuit, avec des rencontres d’auteurs, des lectures musicales, des ateliers et des spectacles pour petits et grands. Un week-end pour toute la famille, avec des activités dès 3 ans dans une ambiance chaleureuse. 📖 Cette année, Lola Lafon est l'autrice associée du festival et vous invite à explorer le réel, la fiction et l'intime à travers ses écrits et ses invitées, la philosophe Claire Marin et la psychologue Noémi GICQUEL. Plus d’infos sur notre site ➡️ https://lcl.bzh/jdh25
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Un nouveau projet à découvrir
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Un aperçu du magnifique projet que j'accompagne depuis la rentrée 🤩
Violoniste, chef d'orchestre, directeur artistique chez Concert de la Loge Olympique - Quatuor Cambini-Paris
📚🪘[HIP BAROQUE CHOC - la rentrée] Nous avons été heureux de rencontrer les lycéens et leurs professeurs, lors des micro-chocs au sein même des établissements d’Île-de-France. Des échanges uniques et des moments hors-du-temps qui lancent à merveille cette neuvième édition du Hip Baroque Choc. La génération 2024-2025 est déjà sur les chapeaux de roues, en avant les ateliers ! #hipbaroquechoc #danse #concertdeloge #ecole #musique #pedagogie
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Les 1er et 2 février prochains, les classes de flûte à bec du CRR Besançon Métropole et de l'Esm Bourgogne Franche Comté auront le très grand plaisir d'accueillir Tiago Simas Freire pour une classe maître. 9H30 > 19H Salle BERLIOZ du Conservatoire · Besançon entrée libre · dans la limite des places disponibles NB : Dimanche à 17h, Tiago donnera une conférence Sujet : « La flûte Ganassi · Intrigue des faits et évidence de la fiction : Très brève histoire d’une flûte-à-bec moderne qui nous éloigne des sources historiques » La Fontegara de Sylvestro Ganassi dal Fontego, publiée à Venise par l’auteur en 1535, est probablement le premier traité publié consacré à un seul instrument, constituant une œuvre primordiale dans l’étude historique de la flûte à bec à plusieurs niveaux. En ce qui concerne sa dimension organologique, la Fontegara apporte des renseignements précis très singuliers qui ont fait l’objet de nombreuses discussions depuis les années 1970. Parmi ces nombreux écrits nous mettons en évidence notamment l’article réconciliateur d’Adrian Brown, auquel le titre parodié de cette communication adresse une révérence. Pour un regard critique et comparé de la dimension organologique de la Fontegara, nous organisons notre bref essai selon quatre sections : les instruments historiques ; les instruments dans la Fontegara ; la flûte SAM135 ; et, enfin, la « flûte Ganassi ». Plus d'infos : - https://lnkd.in/epEfJBu4 - https://lnkd.in/eDJUz4dx - https://lnkd.in/emXecJGn
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OVNIS : Débat littéraire entre curiosité et scepticisme (Par Yonnel Ghernaouti) Dans le cadre de nos lectures estivales, nous nous sommes plongés dans deux ouvrages en un, fascinants et contrastés, sur le thème des soucoupes volantes : Pour les soucoupes volantes d’Aimé Michel et Contre les soucoupes volantes de Georges Lehr. Cet ouvrage, publié en 1969 par Berger-Levrault, offrent des perspectives divergentes et enrichissantes sur un sujet qui continue de captiver et de diviser. https://lnkd.in/eKhhDiaq
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Bonjour à vous tous, Mille Félicitations aux #Créateurs, inventeurs, travailleurs 24/24 où le cerveau ne s’arrête jamais !!! Au TNG (#Théâtre Nouvelle Génération) de Lyon, le concept des casques multi-canaux entre dans la salle. Une folle écriture où l’auteur doit être adulé pour son œuvre, sans oublier la Compagnie et le lieu. En fonction de son âge et grâce à un dispositif de #casques #audio, chaque spectateur va vivre l’aventure depuis un point de vue différent. C’est à partir de ce concept que le metteur en scène Joris Mathieu a créé une fable d’anticipation. Construction autour d’un dispositif sonore original qui développe pour un même spectacle une pluralité de portes d’entrées narratives, chaque spectateur bénéficie d’une lecture radicalement différente de l’histoire. Conte philosophique contemporain, fable racontée à travers le filtre de la relation parents-enfants ou récit d’anticipation : trois niveaux de réalité s’expriment ainsi en écho à une même narration scénique. “HIKIKOMORI – LE REFUGE” caractérise un type de repli sur soi propre à certains adolescents en prise à des difficultés sociales faisant le choix de limiter leurs liens avec l’extérieur à l’unique satisfaction de leurs besoins vitaux. Cette passionnante aventure narrative nous rappelle qu’il y a autant de manières de comprendre l’existence que d’être au monde. Nils est un jeune garçon qui traverse une période difficile à l’école, dans ses relations avec les autres, dans son adaptation à la société. Du jour au lendemain, il décide de se réfugier dans sa chambre et de ne plus en ressortir… Que lui est-il arrivé ? Pourquoi s’est-il enfermé précipitamment dans sa chambre ? Propos recueillis https://lnkd.in/dDGh7ZtP
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ÉTUDE 📊 L’accompagnement des professionnel·les des arts et de la culture en Nouvelle-Aquitaine : état des lieux et catégorisations Après un partage des résultats bruts de l’enquête sur les structures d’accompagnement dans le Tome 1, le présent tome vise la proposition d’une typologie des accompagnements en région Nouvelle-Aquitaine, dernière étape avant de pouvoir cartographier, sur l’annuaire artistique et culturel, les structures d’accompagnement. Dans ce Tome 2, nous avons questionné des résultats du premier tome qui nous semblaient révéler des enjeux et problématiques autour de l’accompagnement. Aussi, il permet de (re)qualifier et (re)définir la notion d’accompagnement, en identifiant les pratiques, valeurs, savoirs, savoir-être et savoir-faire qui lui sont attachés. 👉 Découvrez l’étude en ligne pour en savoir plus : https://lnkd.in/dzMD55-K LOIC-Accompagnement est mené en lien étroit avec AGEC&CO et soutenu par le Ministère de la Culture (DRAC et DGMIC), la Région Nouvelle-Aquitaine et le Département de la Gironde. iddac, agence culturelle du Département de la Gironde Mairie de Bordeaux Astre - réseau arts plastiques et visuels en Nouvelle-Aquitaine RIM Réseau des Indépendants de la Musique Librairies Indépendantes en Nouvelle-Aquitaine (LINA) CINA - Cinémas Indépendants de Nouvelle-Aquitaine ALCA Nouvelle-Aquitaine GRAND'RUE, FEDERATION DES ARTS DE LA RUE EN NOUVELLE-AQUITAINE Réseau 535
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Bonsoir tout le monde ! Mon nouvel article est en ligne. Au programme aujourd'hui : les lais merveilleux des XIIe et XIIIe siècles. Vous pouvez le lire ici : https://lnkd.in/eGurk-35
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Sélection : 7 activités pour les Nuits de la lecture 2025: Pour cette 9e édition des Nuits de la lecture 2025, organisées par le CNL du 23 au 26 janvier autour du thème des patrimoines, Livres Hebdo présente une liste non exhaustive d'activités.@livreshebdo
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Il existerait une frontière bien réelle entre « l’initié.e » et « les autres ». Nous, professionnel.le.s artistes et xn--oprateur-c1a.rice.s du spectacle vivant subventionné l’aurions créé il y a des dizaines d’années, et nous persévérions encore, inconsciemment, à faire perdurer ce fossé dans le temps. Des pros complètement déconnectés de la réalité ? Serions-nous dans un délire collectif, tenus d’une mission symbolique que celle de délivrer une parole émancipatrice à laquelle le peuple se devrait d’adhérer ? Aurions-nous travesti à tord notre filière (ah, le tabou!), nos écoles (ah, l’élite!), nos relations de travail (ah, la communication!), nos repérages (ah, cette émergence !), nos codes (ah-ttention à utiliser le bon lexique!) .. ? Avec ses coups de gueule, le podcast de Mathis Grosos m’a interpellé. Je vous conseille de l’écouter, le découvrir et/ou vous le rappeler. La morale que j’en retiens ? Qu’il nous faut peut-être (encore et toujours) prendre du recul sur nos pratiques professionnelles, sur nos façons de conduire nos métiers qui composent une filière intrinsèquement liée à la loi de Baumol, que les politiques publiques n’arriveront pas à résoudre seules. Cette écoute me ramène à des réalités de terrain que j’entends chaque jour de la bouche des professionnel.le.s, artistes comme xn--oprateur-c1a.rice.s. L’ensemble de la profession est consciente et convaincue, mais quand aura-t’elle le temps et les possibilités de faire évoluer ses pratiques alors que 1/ les possibilités créatrices des artistes sont liées aux appels à projets et à la reconnaissance de leurs travaux dans la filière 2/ les xn--oprateur-c1a.rice.s n’ont plus les moyens suffisants pour développer le lien entre l’œuvre et les personnes, et qu’ils se retrouvent en face d’un nombre de sollicitations toujours croissant 3/ les administrations ne peuvent soutenir les acteurs culturels que par un cahier des charges politique et non sociétal, elles-mêmes survivants en budgets contraints 4/ l’inflation que nous connaissons ces dernières années ne permet pas aux personnes de bénéficier de plus d’activités culturelles, même si un soutien renforcé à la diffusion ou l’accessibilité des œuvres voyait le jour. Peut-être pourrais-je avancer timidement et naïvement quelques réponses que je vois s’amplifier en Nouvelle-Aquitaine, et probablement dans d’autres régions. Faire participer tout un chacun à la filière, comme il le souhaite. Créer avec ceux qui habitent, ceux qui vivent. Sortir du spectacle institué dans une boîte noire, un rapport frontal, et sortir. Réaliser des œuvres uniques et actuelles, en étant sur le territoire et avec les gens. Créer un théâtre qui parle d’aujourd’hui. Regarder la société telle qu’elle vit et non telle qu’on veut la qualifier.
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Chaque année à cette période, je prends un grand plaisir à découvrir la programmation des orchestres et des opéras de notre pays. C’est toujours une joie de découvrir ces nouvelles œuvres, ces nouvelles productions, ces nouveaux artistes. Une saison, c’est mettre au monde des mois, des années de réflexion. Je garde précieusement ces programmes au fil du temps qui deviennent comme des strates géologiques, on y découvre les marques, les empreintes de nos maisons lyriques et symphoniques, les sédimentations, les érosions, les transformations qui présentent le récit du milieu politique et sociétal dans lequel elles évoluent. Loin de moi l’idée de vouloir en faire une étude approfondie mais deux constats s’imposent. D’abord une richesse, une inventivité, une prodigalité dans les dispositifs d’action culturelle, dans les tentatives d’hybridation, d’ouverture, de convergence, dans la jonction des mondes associatifs, culturels, sociaux, économiques, scientifiques. Cette grande diversité d’actions permet à nos orchestres et opéras de s’adapter à une société en perpétuel changement qui ne mise plus sur la culture pour serrer les mailles de la cohésion sociale. Une grande part de l’action visible des opéras et des orchestres se déploie dans ce champ d’activité. Il n’y a qu’à constater la proportion en termes de pages qu’a pris le culturel dans les programmes de saison. D’un autre côté, la réduction drastique des titres d’opéras qui était encore il y a 10 ans le cœur de l’activité de ces maisons. Cela est amplifié par une forme de pauvreté programmatique, une répétition sempiternelle des mêmes œuvres lyriques ou symphoniques – que de Verdi, Puccini, Mozart, Brahms et Mahler - une frilosité dans la recherche de programmes thématisés innovants et dynamiques, une proportion marginale d’œuvres d’aujourd’hui ou d’œuvres composées par des femmes. Tout l’écosystème est concerné par la paupérisation du répertoire et cela dès le début de la formation des artistes. Ces tendances contradictoires (ouvrir le contenant en fermant le contenu) font partie d’un des nombreux défis que les opéras et les orchestres auront à relever dans les 10 prochaines années. Quel intérêt pouvons nous encore avoir de présenter un énième Don Giovanni ou une énième version de la 5e symphonie de Beethoven ? Croyons nous que le public ne pourrait pas aimer découvrir autre chose ?
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Chargée des Ressources Humaines Coach professionnelle certifiée
3 moisAmélie Régulier Claire Marin 😁