Jamais trop de rappel de l’importance de l’œuvre de Legendre. Elle rappelle après celle de Berman et avant Schiavone que le droit tel qu’il vient des 2 Rome, celle de Ciceron et celle des papes, est l’un des piliers de notre monde et de notre humanité. Son seul problème est aujourd’hui cette crise sinon perte de référent que technique et économie ne suffisent pas à contrer. Il manque dans cet article le rôle que Legendre à fait jouer dans son travail à la psychanalyse, et Lacan en particulier. Bref, sa lecture ne fait que commencer!
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LA PEUR DOMINE-T-ELLE LE POLITIQUE ? ÉMISSION – La peur, clef de la domination ? Mardi 27 août 2024 FRANCE CULTURE le Pour Hobbes, une passion domine la politique, parce qu’elle est au fondement de l’institution de la société civile : la peur. Mais a-t-il vraiment raison ? La crainte est-elle la clef de la domination politique ? Avec Julie Saada Professeure de philosophie à Sciences Po Luc Foisneau Directeur de recherche au CNRS et enseigne la philosophie politique à l’EHESS Pour en parler Julie Saada, professeure de philosophie à Sciences Po. Ses travaux en philosophie du droit international portent sur les normes juridiques et éthiques de la guerre et de l’après-guerre, la justice pénale internationale et la justice transitionnelle, les droits de l’homme. Elle est l’autrice de : La guerre en question. Conflits contemporains, théorie politique et débats normatifs (dir., Presses Universitaires de Lyon, 2015) La justice pénale internationale face aux crimes de masse (dir. avec R. Nollez-Goldbach, Pedone, 2014) Julie Saada, Hobbes et le sujet de droit. Contractualisme et consentement (Éditions du CNRS, 2010) Julie Saada et Christian Nadeau, Guerre juste, guerre injuste. Histoire, théorie et critiques (PUF, 2009) Julie Saada, … …/…
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<< Il n'y a pas de faits, seulement des interprétations. >> À travers cette assertion, Nietzsche souligne la nature subjective de la réalité, et la manière dont les interprétations individuelles influencent notre compréhension de ce qui est juste ou injuste, vrai ou faux, etc. C'est dans ce sens que nous comprenons cette réplique de Doflamingo sur la justice, qui dit en substance : << La justice... Le bien et le mal... Ce sont des concepts qui varient selon le temps et l'espace. La vérité change selon l'opinion, la justice change selon le pouvoir. >> Derrida peut très bien intervenir afin de trancher sur ce sujet, car pour lui, les notions telles que la vérité, la justice, etc., sont souvent façonnées par des forces sociales et historiques. Il appelle cela, "l'arrière-fond métaphysique". Cet arrière-fond métaphysique biaise dès le départ, fausse, oriente la conception, la norme, sur une notion. C'est ainsi que la notion d'histoire a été refusé aux africains car le moyen de conservation des archives chez ces derniers, ne répondait pas aux normes établies, normes qui étaient dès le départ, orientées vers un pôle, celui de la culture occidentale.
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La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental : suivant ce principe, les actions humaines doivent être approuvées ou rejetées en fonction de leur mérite au regard de la morale (le bien), du droit, de la vertu ou de toute autre norme de jugement des comportements. La justice, principe à portée universelle, connaît des variations suivant les cultures. La justice est un idéal souvent jugé fondamental pour la vie sociale et la civilisation.Pour des raisons de clarté, cet article traite séparément de la justice dans plusieurs acceptions : la justice au sens philosophique d'idéal individuel ou collectif ; la justice comme norme émanant d'une société ou d'un corps d'autorité.
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La Tolérance : « La Voie de l’Harmonie et de l’Universalité » (Par Olivier de Lespinats) A partir d’un texte paru dans la revue du Rite maçonnique de Misraïm sur la Tolérance maçonnique du Frère Orateur conférencier en date du 18 novembre 1897, nous avons réinterprété le texte de 1897 en y intégrant des réflexions contemporaines pour chaque partie, afin de démontrer son actualité et sa pertinence dans notre époque. https://lnkd.in/eXxnEHDw
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Professeur de droit public à l’université Paris-Cité et écrivain, l’ouvrage de Frédéric Rouvillois , Politesse et Politique, montre l’imbrication des bonnes manières et de la politique à travers les siècles jusqu’à nos jours. Frédéric Rouvillois démontre, que politesse et politique partagent les mêmes structures, usent des mêmes moyens et visent les mêmes fins. Alors, quand la défiance vis-à-vis de la politique s’accentue, quand le savoir-vivre s’effondre, ce sont les deux faces d’une même conception de la civilité qui sont mises en cause. Et le nouveau visage de la barbarie moderne émerge, entraînant le processus de décivilisation. À l’aulne des événements actuels, la lecture de cet ouvrage est presque une nécessité, si l’on veut encore sauver notre Nation.
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Homme de foi, poète à ses heures perdues, bon vivant sans être épicurien, le Pr. Eric M. NGANGO est actuellement Vice Doyen Chargé de la Recherche et de la Coopération à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université de Garoua(Cameroun). Sa spécialité ? Le Droit constitutionnel qui concerne à la fois les institutions et les valeurs fondamentales qui sous-tendent un système politique. La fragmentation du cadre institutionnel (décentralisation, mondialisation, médiatisation instantanée) théorisée par le politologue Olivier Rouquan, la dimension spirituelle du Droit constitutionnel, la libéralisation de l'espace politique national, ... Telles sont quelques-unes des idées au sujet desquelles il a souhaité s'exprimer au cours de cet entretien que nous vous invitons à découvrir en cliquant ici
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Vous n'avez pas fini d'entendre parler de politique aujourd'hui. Vous pouvez aussi lire un angle théologique sur liberté et politique puisque ma position de thèse a été publiée dans le numéro d'Etudes théologiques et religieuses [article payant]. Si vous avez un peu plus de temps, il y a bien sûr le livre qui en est le résultat : La liberté et les premiers rois d'Israël, LES EDITIONS DU CERF https://lnkd.in/eEpajqhn
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✒ "Ecrire pour la Justice" à Strasbourg du 5 au 22 novembre "Les écrivains qui s’intéressent au droit et à la justice occupent une large place dans la littérature. Ils participent à la vie de l’imaginaire d’une société et permettent souvent aux citoyens de réfléchir le droit et la justice. Ce cycle en est un relais." Au programme : Crimes de guerre, Violence sexuelle ou managériale, Église catholique, Atteintes à l’environnement, Justice au théâtre, Justice et exclusion... ✅ La rencontre du mercredi 6 novembre est particulièrement consacrée à la CIASE. "Emprise systémique dans l'Eglise catholique", à 17h Librairie Kléber à Strasbourg. 📌 Organisation : Laboratoire Droit Religion Entreprises et Sociétés UMR 7354 Université de Strasbourg #ciase #justice #écriture #violences #strasbourg Librairie Kléber Université de Strasbourg ERAGE - Ecole Régionale des Avocats du Grand Est Programme :
