Post de Libération

"Si la santé de l'océan s'effondre, nous nous effondrerons avec lui..." Est-ce si difficile à comprendre, ou du moins à reconnaître le rôle capital des océans dans l'atténuation du réchauffement climatique ? Est-ce si difficile à voir les impacts actuels de la hausse des températures et plus largement la pression anthropique sur la biodiversité marine ? Et en particulier la pêche industrielle qui ravage les fonds marins ? Et quid des aires marines protégées qui sont censées justement imposer par le biais d'une législation des mesures, limitations et interdictions sur des activités humaines qui affectent ces environnements marins ? Des acteurs clés s'engagent... pardon le mot est léger... s'acharnent, luttent au quotidien pour préserver les océans, dont BLOOM Association avec Claire Nouvian, Camille Etienne et bien d'autres en France et en Europe qui sont nos porte-voix pour dire STOP à ce massacre ! Qui ont proposé un plan européen contenant 15 mesures pour l'océan et le climat à mettre en œuvre sur la nouvelle mandature européenne qui a démarré cet été. Alors j'interpelle à mon tour nos députés européens pour leur demander de s'engager à soutenir et défendre ces 15 points pour l'océan pour les 5 prochaines années. De s'engager à allier justice sociale et volontarisme écologique. Alors Aurore Lalucq, Valérie Hayer, Pascal Canfin, Marie Toussaint et Raphaël Glucksmann, les citoyens européens peuvent-ils compter sur vous ?

J'ai répondu à l'appel de BLOOM Association et ai rejoint la Coalition Citoyenne pour l'Océan. À l'heure où une limite planétaire, l'acidification de l'océan, est en passe d'être dépassée, je pense qu'il est essentiel de se mobiliser pour sa protection. Les causes qui me tiennent à cœur parmi les 15 propositions de la Coalition? La première, i.e. "Désarmer les bulldozers des mers d'ici 2030": les filets représentent la principale cause de mortalité des mammifère marins (Cf. WWF dans son rapport sur les "Blue Corridors"). La deuxième, i.e. "Créer de véritables aires marines protégées": créer de vraies zones de régénération de l'océan, c'est lui permettre de reprendre vie et cela favorise la conservation de la biodiversité marine. La Coalition défend 15 causes. Si l'une, ou plusieurs, d'entre elles retient votre attention, rejoignez la coalition!

🌍 L'océan au bord du gouffre : Comment agir à notre échelle pour éviter l'acidification des océans ? 🌊 Inquiétant mais vrai : selon l'Institut de Potsdam, la limite planétaire de l'acidification des océans est sur le point d'être franchie. Une urgence absolue pour nos collectivités, et particulièrement pour le secteur touristique, qui dépend de la santé de ces écosystèmes fragiles. 🐚Les océans, affaiblis par nos émissions de gaz à effet de serre, jouent un rôle essentiel dans la régulation du climat et le stockage du carbone. Cependant, l'acidification — cette baisse progressive du pH marin — menace la biodiversité et notre sécurité alimentaire mondiale. Alors, comment agir à notre échelle ❓ 🚍 Réduire notre empreinte carbone : Favoriser les déplacements doux (vélo, transports en commun) et l’usage d’énergies renouvelables dans les entreprises touristiques. 🍅 Encourager une consommation responsable : Dans nos restaurants et hébergements, proposer des produits de la mer issus de filières durables et éviter la surpêche des espèces vulnérables. 🐠 Sensibiliser les visiteurs : Informer nos clients sur l'importance de la protection des écosystèmes marins, par des actions simples comme le respect des plages et la limitation des plastiques. Agissons maintenant pour protéger nos océans et préserver les écosystèmes qui font la richesse de notre planète et la beauté de nos côtes normandes ! 🌊💚 #AcidificationDesOcéans #RSE #TourismeDurable #BiodiversitéMarine #Océan #RéductionCarbone #MarieLaureWacheux #Environnement

À nous d’agir pour l’océan ! C’est pour nous autre, êtres humains aussi qu’il faut se mettre à l’action.Les clés sont entre nos mains, et les solutions sont limpides et sans compromis. Nous pouvons toutes et tous soutenir les actions et initiatives de structures comme BLOOM Association et participer à l’énergie communicative qu’inspire des personnalités comme Claire Nouvian ! #ocean #vie #poumon #environnement #nature #engagement #europe #france Interpellons nos élu.es et demandons leur de s’engager à défendre les 15 mesures d’urgence pour préserver l’océan que nous avons identifiées, dont :  1. Créer de véritables aires marines protégées  2. Arrêter de subventionner la destruction des océans  3. Interdire la pêche industrielle dans les eaux côtières  Si ces député·es rejoignent notre Coalition citoyenne, nous serons + forts pour obtenir des avancées concrètes au niveau européen.

L'océan au bord du gouffre : la limite planétaire que nous devons éviter à tout prix ! Inquiétante nouvelle : une septième « limite planétaire », celle de l'acidification des océans, est sur le point d'être franchie. Selon le dernier rapport de l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat, nos océans, déjà affaiblis par nos activités humaines, subissent les conséquences de nos émissions excessives de gaz à effet de serre (lien en commentaire). Un enjeu urgent pour nos collectivités et notre secteur touristique !! Il y a quinze ans, des chercheurs du Stockholm Resilience Centre ont défini neuf grands équilibres qui déterminent la santé de notre planète. Malheureusement, six de ces limites ont déjà été dépassées, touchant le climat, la biodiversité, l'eau, la pollution chimique, le changement d'usage des sols, ainsi que les cycles du phosphore et de l'azote. L'acidification des océans (baisse progressive du pH des océans causée notamment par les pollutions humaines) menace non seulement la biodiversité marine, mais également la sécurité alimentaire mondiale. Les organismes à coquille calcaire, comme les coraux et certains mollusques, sont particulièrement vulnérables, ce qui pourrait entraîner l'effondrement des écosystèmes marins et compromettre la capacité de nos océans à stocker le carbone. Vert, le média qui annonce la couleur

Dans huit mois, le 8 juin 2025, la France va accueillir un événement historique : la conférence des Nations Unies sur l’océan (UNOC).   À cette occasion, des décisions MAJEURES peuvent être prises par les chefs d'État pour sauver l’océan, le climat et les animaux marins.     Pour rappel, l’océan est le poumon bleu de notre Terre et le régulateur du climat planétaire :  *Il détermine le cycle de l’eau et rend la Terre habitable  *Il absorbe 25% de toutes les émissions de CO2  *Il a déjà absorbé 90% de nos excédents de chaleur  L’océan est notre meilleur allié contre le changement climatique, mais il n'a jamais été aussi chaud, aussi pollué et mis en péril par les activités humaines. Nous vivons un véritable moment de bascule. Pour l'océan, pour le climat, pour la biodiversité marine et pour nous-mêmes.     La conférence des Nations Unies sur l’océan est une occasion historique de mettre un frein à cette course vers l'abîme. Nous avons une chance unique à portée de main.     Tout dépend de nous. Ou plus exactement : tout dépend de VOUS.   Avec l’équipe de BLOOM, nous avons un plan sur les huit mois à venir pour obliger les dirigeants politiques à être à la hauteur du péril et à mettre en oeuvre les 15 mesures portées par les 48 000 citoyens et les 135 ONG et mouvements de la Coalition Citoyenne pour l’Ocean (https://lnkd.in/dUuMi4gr).   Vous faites partie de ce plan.   Vous les citoyen·nes, les écologistes, les féministes, les humanistes.  Vous qui êtes l’arme la plus puissante dont nous disposions pour protéger la vie océanique, les animaux marins et notre propre avenir.   Nous avons huit mois pour remporter une victoire historique. Ensemble.   8 mois, 32 semaines, 243 jours.    Nous n’avons pas une minute à perdre. Tout commence aujourd’hui avec une 1ère étape décisive.      Nous vous demandons de cibler à nos côtés un espace de décision politique et législatif important : le Parlement européen.     L’objectif est simple : pousser des députés européens clefs à s’engager à défendre les 15 mesures d’urgence pour préserver l’océan que nous avons identifiées, dont :  1. Créer de véritables aires marines protégées  2. Arrêter de subventionner la destruction des océans  3. Interdire la pêche industrielle dans les eaux côtières  Si ces député·es rejoignent notre Coalition citoyenne, nous serons + forts pour obtenir des avancées concrètes au niveau européen.      La mobilisation d’aujourd’hui est déterminante pour la suite.   Merci d’interpeller les député·es pour obtenir une réponse claire à cette question : "Vous engagez-vous à soutenir et défendre les "15 points pour l'océan" tout au long des cinq années de votre mandat européen ?"     Sauver l’océan, c'est nous sauver nous-mêmes.  On compte sur vous !   🇫🇷 Aurore Lalucq et Pascal Canfin   🇪🇸 Irene Montero et Iratxe Garcia Perez  🇩🇪 Terry Reintke et Tiemo Wölken   🇵🇱  Robert Biedron et Michał Kobosko MEP   🇧🇪 Pascal Arimont et Sophie Wilmès   🇮🇹 Ignazio Marino et Annalisa Corrado

L’Ocean et moi ? -Plutot de vie citadine ou montagnarde, j’ai très peu considéré l’Ocean majestueux et Indispensable à mon écosystème .. pas plus de quelques jours par an en vacances.. -Dans l’entreprise Caterpillar Inc., c’était de même - assez éloigné de mes préoccupations - disons - terrestres.. Et j’avais bien tort 😞 Les #dirigeants d'entreprises peuvent-ils, tout comme moi jusqu’à récemment, continuer à ignorer l’état de l’#Océan quand leur #pérennité se trouvera affectée par sa dégradation… ? ✅Ignorer l'état de l'Océan dans les stratégies économiques pourrait avoir de sérieuses répercussions négatives au moment même où nos rejets de CO2 augmentent l'#acidification de l’Océan à un niveau de non-retour. ✅Que les activités soient liées à la mer ou non, les impacts économiques d'un Océan dégradé ont des conséquences bien au-delà de la seule filière du maritime et y compris les collectivités locales. Les structures qui dépendent de l'#eau douce, du transport maritime, des produits de la mer, de matières premières ou même d'ingrédients marins dans leurs productions sont déjà en première ligne. ✅Mais les effets en cascade ne s'arrêtent pas là. Même sans lien direct, la perturbation des écosystèmes marins impactera votre activité tôt ou tard. En douter, c’est prendre un #risque… Tandis qu'#anticiper sur les évolutions en cours ou à venir, et intégrer cet enjeu environnemental dans vos priorités stratégiques en visant la régénération des écosystèmes vous donnera un avantage #compétitif lorsque vont arriver de nouvelles règles, l'évolution des normes, l’inflation du prix de certaines matières ou des ruptures d’approvisionnement par exemple ! C’est pourquoi le parcours #CECOcéan de la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) vous offre l'opportunité unique de comprendre et d'agir aux côtés d'autres dirigeants “pionniers” qui ont pris conscience de ces défis. 💪Ensemble, vous avez le pouvoir d'inverser la tendance, en protégeant non seulement un écosystème vital, mais aussi l’avenir de nos entreprises. La #solution ? Elle se trouve dans l’action collective, la coopération et la capacité à s'engager dès maintenant pour préserver, au-delà de la pérennité de votre entreprise, l’un des "communs" les plus précieux de notre planète. 👉 Participez et découvrez comment votre entreprise peut prendre part à cette transformation nécessaire. 🌊 https://lnkd.in/dAM8cvxe

La Nouvelle-Calédonie déclare l’urgence climatique et environnementale : une étape cruciale pour l’avenir Le 11 septembre 2024, la Nouvelle-Calédonie franchit une étape historique en déclarant officiellement l’urgence climatique et environnementale. Cette déclaration, accompagnée d’une stratégie calédonienne du changement climatique, marque un engagement fort face aux défis de l’ère moderne. Ce territoire, particulièrement vulnérable en raison de sa localisation dans le Pacifique, est en première ligne des conséquences du réchauffement climatique. Le dernier rapport du GIEC met en lumière l’impact disproportionné des changements climatiques sur les îles du Pacifique, et la Nouvelle-Calédonie ne fait pas exception. L’élévation du niveau de la mer, l’érosion du littoral et les phénomènes météorologiques extrêmes mettent à rude épreuve non seulement l’écosystème local, mais aussi les secteurs vitaux comme l’agriculture, la pêche et l’élevage. La situation est d’autant plus préoccupante que la hausse des températures océaniques menace les récifs coralliens, indispensables à la biodiversité marine. En réponse, le gouvernement calédonien a élaboré une stratégie ambitieuse pour atténuer ces effets et renforcer la résilience du territoire. Cette stratégie s’appuie sur des contributions d’experts, des initiatives locales, et des exemples venus d’autres îles du Pacifique. Elle sera mise en œuvre par le comité calédonien du changement climatique, qui coordonnera les actions en s’appuyant sur le fonds de résilience calédonien du changement climatique. Ce fonds, destiné à financer des projets d’adaptation et à recueillir des financements extérieurs, est une réponse proactive aux défis climatiques. Cette déclaration d’urgence s’inscrit dans un contexte global de mobilisation pour le climat. Après le Vanuatu, la Nouvelle-Zélande et d'autres territoires du Pacifique, la Nouvelle-Calédonie montre l’exemple en prenant des mesures concrètes pour protéger son territoire, son économie, et sa biodiversité. Ce pas décisif témoigne d’une volonté politique forte d’anticiper et de s’adapter aux effets du changement climatique, tout en s’engageant à collaborer avec des partenaires régionaux et internationaux pour le financement et la mise en œuvre des projets. #ChangementClimatique #NouvelleCalédonie #UrgenceClimatique #Résilience #Environnement #Écologie

🌳 Ce climat qui cache la forêt 🌳 Si la lutte contre le changement climatique est érigée en "mère de toutes les batailles écologiques", peut-elle pour autant occulter d'autres enjeux environnementaux cruciaux comme la pollution de l’air ou de l’eau, l’érosion de la biodiversité ou la dégradation des sols ? Rien que poser la question peut paraître provocateur. Pourtant cette concurrence malheureuse entre climat et environnement se retrouve dans de nombreux cas d’espece. Deux exemples parlants : 🌬 D’ici 2050, la France devrait construire plusieurs milliers de nouvelles éoliennes en mer. Si ce développement est indispensable du point de vue climatique, il fait moins les affaires de la biodiversité. Sous l'eau, l'implantation d'éoliennes en mer peut perturber les écosystèmes marins et fragiliser les sols tandis que les hautes structures sont autant d'obstacles aux oiseaux en migration. 🚄 De même, le développement du train est indispensable pour donner des alternatives aux mobilités polluantes. Mais l'expansion ferroviaire, provoquant l'artificialisation des sols et l'abattage de nombreuses espèces d'arbres, entraine son lot d'effets indésirables pour le vivant. C'est notamment ce qui motive l'opposition de la Mairie de Bordeaux à l'extension de la LGV Paris-Bordeaux vers Toulouse. Alors dans la plupart des cas (et c’est tant mieux!), climat et biodiversité marchent ensemble - la sortie des énergies fossiles est un pas gigantesque en faveur de la biodiversité. Mais quand les deux entrent en concurrence, comment déterminer lequel des deux prend le dessus ? Parce que tous les yeux portent sur le climat, il est fort à parier que le climat poursuive sa domination d'ici à la neutralité carbone de nos économies, soit durant les 26 prochaines années (dans le meilleur des mondes). Autant d'années cruciales pour éviter le dépassement de nombreuses autres limites planétaires. Merci Yasmina Tadlaoui d'avoir laissé trainer le livre de Guillaume Sainteny sur ton bureau.