Consultation publique : mobilisons-nous pour le blaireau ! La vénerie sous terre est une technique de #chasse qui consiste pour les chasseurs à extirper les blaireaux directement de leur terrier, après plusieurs heures passées à creuser la terre avec des pelles, des pioches et des barres à mine. 🦡 Pour arriver à leurs fins, les équipages de #vénerie s’aident de petits chiens qu’ils introduisent dans les galeries, empêchant les animaux de s’enfuir. ❌ Piégés dans leur propre maison, les blaireaux sont ainsi susceptibles d’être mordus par les chiens, et les plus petits et fragiles d’entre eux peuvent mourir avant même que les chasseurs ne les atteignent. 😢 Le 23 mai 2024, l’avis de consultation du public pour l’autorisation d’une période complémentaire pour la vènerie sous terre du #blaireau dans le Puy-de-Dôme a été publié sur le site internet de la préfecture. 😡 La consultation publique pour ce projet d’arrêté préfectoral est ouverte pendant une période de 21 jours à compter de sa publication sur le site internet de la préfecture où vous trouverez le projet d’arrêté et la note de la consultation du public 🔽 https://lnkd.in/dnCKQHdR 𝗠𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗼𝗻𝘀-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗱𝘂 𝗯𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝗮𝘂 et transmettez votre avis par courrier électronique à ddt-chasse@puy-de-dome.gouv.fr afin d’interdire cette pratique cruelle ! 👊🏼 Nous continuerons à nous battre jusqu’à l’arrêt total de la vénerie sous terre pour le blaireau. ⛔
Post de LPO AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
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Beaucoup d'animaux souffrent, pleurent, agonisent et meurent. Dans l'indifférence la plus totale. Ne fermons pas les yeux.
Démission de Willy Shraen, PRÉSIDENT DES CHASSEURS. Quelques petits arguments et un petit portrait de willy. "Toute la nature et la campagne ne correspond qu’à quelque chose de façonné par la main de l’homme depuis des siècles. On dit que les mecs sont des barbares parce qu’ils tuent des animaux en prenant du plaisir. Ok, dans l’acte de chasse on prend du plaisir, c’est un fait. Comme un jour on a tous pris plaisir génétiquement parlant. Si aujourd’hui il y a des gens autour de ce plateau c’est parce qu’un jour une bête plein de poils s’est demandé comment on allait bouffer l’autre à côté et c’est ça qui est développé la masse cérébrale et notre intelligence » « On dérègle tous les écosystèmes quand on arrête la chasse. Ça plait pas l’entendre mais c’est la vérité » Willy Schraen a été vent debout contre l’interdiction de toute chasse dite « traditionnelle », par le Conseil d’Etat, vent debout aussi contre l’idée d’interdire la chasse le dimanche, pour éviter que les gens – non chasseurs, n’aient peur. Puisque d’après un sondage IFOP de l’an dernier, plus des deux tiers des Français ne se sentent pas en sécurité quand ils se promènent à la campagne ou en forêt en période de chasse, et 78%, donc plus des ¾, se déclaraient FAVORABLES à ce que le dimanche devienne un jour non chassé, y compris en zone rurale. Et voici encore son argument préféré : « N’oubliez pas que les gens qui viennent sur ces territoires viennent sur des propriétés privées. La nature n’est pas publique » Et c’est vrai, les ¾ des forêts par exemple le sont, mais est-ce une raison? Et qu’en disent ceux qui qui SONT MORTS en se prenant une balle en conduisant sur une 4 voies alors qu’une battue avait lieu dans le coin, ou en coupant du bois tranquille chez soi ? Il a même tenté une opération de comm’ pour attirer les jeunes, à peine cliché : « Et là il débarque sorti de nul part. J’en vis des choses à la chasse ! » Le nombre de permis validés l’an dernier est passé sous la barre du million, les chiffres ne font que baisser, la chute est continue... Willy Schraen part, donc, après 8 ans. Une bonne chose? Pas sûre, car je pense comme l’un de ses opposants les plus connus, et actifs: Pierre Rigaux ( présent sur le réseau), ce n’est pas forcément une bonne nouvelle, il a écrit la semaine dernière sur Instagram que Willy était, je cite, « tellement une caricature sur pattes, et le sketch des Inconnus à lui tout seul, qu’il était probablement le meilleur ennemi des chasseurs », et pourrait être remplacé par quelqu’un de plus lisse, contre qui il sera plus difficile de lutter... " Donc même pas de quoi se rejouir.
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"Chroniqueuse France Inter" versus "Élue toulousaine", ou la déconnexion abyssale de nos élites radiophoniques. En rentrant ce soir je tombe sur un podcast dans lequel la chroniqueuse Camille Crosnier (qui sort de la même école de journalisme qu'Hugo Clément, ndlr) fustige le bilan de Willy Schraen, Président démissionnaire de la Fédération nationale des chasseurs. Cette chronique, aussi lisse et bien sous tout rapport que sans nuance et superficielle, dépeint une nouvelle fois la chasse comme un loisir sanguinaire, cruel pour les animaux, meurtrier pour les humains, confiscatoire pour le commun des mortels et incapable de se réformer. Tout ceci à grand renfort de Pierre Rigaud, animaliste de son état et anti-chasse de profession, et non sans oublier de rappeler que, d'après un sondage IFOP (commandé par 6 associations naturalistes voire animalistes, ndlr), 75% des Français seraient contre la chasse. Rien de nouveau donc : cette chronique anti-chasse - comme nous y a habitué France Inter - s'appuie sur des clichés usés jusqu'à la trame, à travers des extraits triés sur le volet de discours de Monsieur Schraen. Néanmoins, au-delà de cette forme critiquable, je ne peux que me désoler de ce "journalisme" parisien, bien-pensant et paresseux, qui répond certes à son public mais qui est si loin des problématiques de terrain. En effet, cet après-midi encore je donnais des conseils à une élue d'une commune du nord toulousain soumise à des problèmes de sangliers investissant les parcs urbains. Dans cette commune : plus aucun chasseur et pourtant, loin des studios d'enregistrement parisiens, c'est la Fédération des Chasseurs que les élus appellent pour obtenir de l'aide. Car oui, ici, en province, ce sont bien les chasseurs et leurs Fédérations qui conseillent les collectivités pour leur indiquer la manière de limiter les dégâts engendrés par la faune sauvage aux équipements publics et privés, les collisions routières et la manière de gérer les habitats naturels pour diminuer l'impact de certaines espèces. Du coup, il serait peut-être temps de rappeler à notre élite intellectuelle parisienne la réalité quotidienne de 90% du territoire, qui dispose encore d'espaces de nature, de moins en moins de chasseurs et de plus en plus de problèmes avec des espèces ubiquistes. On pourrait peut-être aussi lui rappeler que les chasseurs sont parmi les seuls capables de tendre une main pragmatique aux élus et aux habitants des territoires. Pourquoi ? Parce que ça fait partie de leur culture, associative, rurale, fédératrice. Willy Schraen n'a peut-être pas réalisé le score qu'il attendait aux européennes et n'a peut-être pas toujours le discours le plus consensuel, n'empêche qu'il a fait sortir du bois la chasse, ses enjeux, ses pratiquants et le bénéfice de leurs actions. N'en déplaise aux bien-pensants radiophoniques qui voudraient les y voir retourner.
Chasseurs de France : la démission de leur président (Willy Schraen)
radiofrance.fr
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[ tir récréatif ] Il faut faire attention en se promenant dans nos campagnes en ce moment : des gens tirent sur des animaux à plus de 200 mètres de distance. 210 mètres, c'est quand même 2 terrains de football. Ces tireurs d'élite bénéficient-ils d'une solide formation ? Non, la formation au permis de chasser est répartie sur quelques heures. Le permis de chasser n'apporte pas de réelle compétence technique pour le tir. Tuer des renards au fusil est autorisé en dehors de la période d'ouverture de la chasse, sur autorisation individuelle. C'est la conséquence du classement "susceptible d'occasionner des dégâts" de cette espèce. Quant à la période de chasse au renard, elle commence dès le 1er juin dans beaucoup de départements. Tuer des renards ne répond à aucune nécessité sanitaire, écologique ou agricole. Aucun scientifique ne promeut le tir des renards. L'autorisation d'éliminer massivement les renards résulte d'une décision politique, prise sous la pression du lobby de la chasse et d'une partie réactionnaire du milieu agricole. De même, l'autorisation de permettre à des gens d'utiliser des armes de longue portée pour leurs activités ludiques dans nos campagnes relève d'un choix politique. + d'info dans mes livres : ✅ RENARDS, UN MYTHE VIVANT aux éditions Delachaux & Niestlé ✅ PAS DE FUSILS DANS LA NATURE aux éditions Alpha ✅ MA CAMPAGNE aux éditions Belin [ Vous pouvez nous soutenir là 👉 http://bit.ly/TipeeeRigaux ou là 👉 https://lnkd.in/gJ8Zffc MERCI ❤️ ] #renard #animaux #écologie #faune #environnement #nature #agriculture #biodiversité #biodiversité
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[ Forêt ] Ce week-end j'ai rencontré des sympathiques chasseurs à courre en forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne). La chasse à courre a ceci de particulier qu'elle ne prétend même pas "réguler" les effectifs de "grands gibiers", car elle tue très peu d'animaux comparativement aux chasses à tir qui mettent sans cesse en avant l'argument de la "régulation". Elle provoque en revanche un énorme dérangement dans la forêt pendant des heures et maximise la souffrance pour les cerfs poursuivis jusqu'à leur épuisement total et leur mise à mort par toutes sortes de procédés (arme blanche, fusil, noyade dans les étangs...). Le cadavre du cerf n'est pas mangé par les veneurs mais donné aux chiens. Les élevages de chiens sont destinés uniquement à cette pratique. Les chevaux sont souvent d'anciens trotteurs de course. Il ne me semble pas exagéré de dire qu'ils sont utilisés à la vénerie comme des mobylettes. En fait, la chasse à courre ne sert strictement à rien, si ce n'est bien sûr amuser ses pratiquants, au mépris de l'intérêt général. + d'infos dans mon livre PAS DE FUSILS DANS LA NATURE aux éditions Alpha. [ Vous pouvez soutenir notre association NOS VIVENTIA ici https://lnkd.in/gJ8Zffc ou me soutenir sur Tipeee là http://bit.ly/TipeeeRigaux MERCI ] #cheval #équitation #chien #animaux #écologie #faune #biodiversité #forêt #environnement #nature
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PCI : Projet Occiminure : au cours d’une chasse [Promotion de la langue régionale occitane par l'enluminure] Découvrez quelques termes d'Occitan médiéval de Nouvelle-Aquitaine sur le thème de la chasse. Cette pratique est principalement réservée à l’élite et revêt une image symbolique notamment pour le développement des relations politiques entre membres de la noblesse. La pratique non réglementée de la chasse est nommée braconnage et constitue un délit majeur. La chasse nécessite une logistique relativement importante tant dans le transport de la nourriture, des armes et du mobilier. Ainsi, cette pratique regroupe des dizaines de personnes pour une seule sortie. La chasse est particulièrement représentée dans les enluminures et Le Livre de chasse de Gaston Phébus réalisé entre 1387 et 1389 permet d’avoir une vision documentée de la pratique durant le XIVe siècle. Barreyraditz : Clôtures de barrières généralement en châtaigner ou en noisetier. Le tressage nommé « plessis » permet de constituer des clôtures pour le bétail ou les chevaux (Chaval). Pichier : Vase à hanse généralement en terre cuite éventuellement émaillée. Sur l’enluminure, nous observons une sorte de gourde à lanière. Les trois récipients étant disposés dans un cours d’eau, nous pouvons penser qu’ils contiennent de l’eau, mais aussi de la bière pour les deux pichets. Il est courant de placer les contenants dans l’eau afin que les boissons restent fraîches. Chen : Les chiens sont employés pour la chasse notamment pour flairer les proies, mais peuvent également être utilisés comme chien de garde en complément des guetteurs circulant le long des remparts. Moyal : Gobelet en matériaux ferreux, ils peuvent également être en céramique ou en bois pour la population non noble. L’écuelle (Escullon) en bois fait également partie de la vaisselle standard à l’instar du couteau (Costel). Polalha : La volaille et le pain (Pa) sont les mets les plus couramment représentés sur les enluminures. Le pain en particulier est produit en grande quantité par les villes afin de nourrir les hommes de troupe partant en excursion ou encore pour nourrir les prisonniers. #histoire #Nouvelleaquitaine #patrimoine #valorisation #enseignement #culture #CNRS #DRAC #Périgueux #Périgord #inventaire #inventairegeneral #graphisme #illustration #patrimoineculturelimmateriel #PCI #languesregionales #politiqueculturelle #patrimoineculturelimmateriel #archeologie #médiéval #Moyenage #recherchescientifique #occitan #archives #developpementculturel #occiminure
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Depuis l’an 2000 on trouve sur les estives de part et d’autre du col du Tourmalet une vingtaine de lamas qui ont été introduit là par un éleveur de la Vallée de Campan. L’adaptation de cet animal en zone de montagne (Pyrénées, Vercors, etc..) ne pose pas de gros problèmes. Le lama est utilisé à travers le monde comme animal de bât, mais aussi pour l’encadrement et la protection des ovins ou des caprins et pourrait fournir une solution écologique pour tenir à distance les chiens errants, les loups ou les ours … Ah ces ours! un peu d’imagination permettrait de trouver d’autres solutions que le tir au petit plomb ou le suicide provoqué sur une 4 voies comme pour Franska pour protéger les troupeaux. Le lama blanc (Lama glama) est un camélidé domestique originaire d’Amérique du Sud. . Le lama réagit agressivement envers les animaux qui s’approchent d’un troupeau (chiens, coyotes, renards, loups). Les lamas qui pèsent entre 115 et 225 kg peuvent facilement effrayer les loups. Le lama émet des cris d’alarme aigus et pourchasse les prédateurs en s’interposant entre le troupeau et le prédateur. lama Comme le chien le lama doit avoir noué des liens étroits avec les moutons. On place d’abord le lama près des brebis, dans un enclos séparé. Dès que les brebis se sont habituées à sa présence, on laisse le lama entrer dans l’enclos des brebis. Peu à peu le lama adoptera sa nouvelle famille en adoptant des comportements doux avec les moutons. Il devient alors un compagnon très protecteur et défend son territoire et le troupeau avec énergie. Aux États-Unis où les grands prédateurs ne sont pas rares (ours, pumas), les lamas sont connus pour prévenir les bergers en cas d’attaque : le lama va signaler le danger en poussant le cri d’alerte : une sorte de hennissement que l’éleveur reconnaît parfaitement. En ce qui me concerne, j’ai observé une femelle alpaga (donc de taille moitié moindre qu’un lama) qui hennissait. Je me suis précipitée : elle signalait la présence dans le champ d’un taureau, animal qu’elle savait ne pas faire partie de notre élevage… D’autres éleveurs ont observé le lama se mettre entre les moutons et le danger. Tous les éleveurs qui utilisent des lamas aux États-Unis confirment l’arrêt presque total des mortalités dues aux prédateurs depuis qu’ils y ont introduit leur lama, et certains attestent de la reprise de cette mortalité lorsque, pour une raison ou une autre, ils ont enlevé le lama. C’est vrai qu’à la maison, je sais tout de suite s’il s’est passé quelque chose, les lamas le disent : une naissance, une barrière mal fermée, un lama qui n’est pas dans son parc, un sanglier ou un chien étranger… https://lnkd.in/gBV8vETA
Blog de Nezumi Dumousseau
nezumi.dumousseau.free.fr
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Prendre en compte les animaux en entreprise et en collectivité territoriale | transition écologique | RSE | facilitation | formation | Fondatrice de Drôle De Zèbre
Recommandation de lecture 🐺 En ces temps de discussions intenses relatives au plan National Loup 2024-2029, voici un livre qui ne devrait pas vous laisser indifférent·e : "Vivre avec les loups", de Jean-Michel Bertrand. En complément de son film du même nom qui est sorti mercredi 24 janvier, le cinéaste nous offre un livre passionnant mêlant photographies et récits relatant les tensions pouvant exister en raison de la présence des loups, les adaptations pour pouvoir coexister avec lui et les expériences à l'étranger de coexistence réussie. Extraits choisis : "Le paradoxe de la croquette Les chiens restent un des outils les plus pertinents pour parer aux attaques du loup mais ce n'est pas sans contrainte, difficulté, voire incohérence. En dehors des éventuels problèmes avec les randonneurs, il faut aussi prendre en compte l'instinct de chasse des chiens de protection et les dégâts causés à la faune sauvage sur les marmottes, cabris de chamois, lièvre, tétras, etc. Car "les chiens ne se contentent pas seulement de croquettes", comme le font remarquer Joseph et Olivier, éleveurs et bergers en Drôme provençale. Ces fameuses croquettes "fabriquées en Bulgarie, qu'on se fait livrer en hélicoptère par palettes entières, pour nourrir dans toutes les Alpes quelques 7000 chiens chargés de maintenir à distance un millier de loups", ironise Joseph, confronté aux incohérences du système. Comme d'autres bergers, les deux hommes cherchent un quelconque sens à cette débauche de moyens et d'énergie pour, in fine, fabriquer des merguez bio..." "En Mongolie, une cohabitation millénaire (...) En réalité, les loups causent mois de dommages que la météo. La préoccupation des éleveurs mongols, c'est moins le loup que l'impact des sociétés occidentales sur leur mode de vie. "Notre souci, constate t-il, ce sont pas les loups qui vivent à nos côtés depuis bien avant Gengis Khan. Notre problème, c'est vous, les Occidentaux, et c'est nous aussi." La vie des Mongols est touchée de plein fouet par les prospections pétrolières ou de terres rares mais aussi par l'intrusion des gadgets modernes comme les paraboles ou les téléphones portables. "Vous avez créé un monstre qui vous dépasse, un monstre qui est en train de tous nous engloutir, dit-il, et vous avez peur de quelques loups..." Pour connaître l'avis d'éleveurs, de scientifiques, de chasseurs, de bénévoles, c'est par ici ⤵️ https://lnkd.in/erCFX5zW
Vivre avec les loups
boutique.salamandre.org
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#Communiquédepresse | 𝐄𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐩𝐢𝐞́𝐠𝐞𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬, 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐂𝐡𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 La Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente (FDC 16) annonce le lancement d’une expérimentation innovante de piégeage des sangliers à l’aide de filets et de cages pièges, ciblant les zones où les dégâts agricoles sont significatifs et récurrents ainsi que dans des secteurs où la chasse n’est pas autorisée (zone d’opposition cynégétique…). Cet essai, qui représente une première en Charente, vise à répondre à la problématique croissante des dégâts causés par les sangliers tout en régulant leurs populations. L’expérimentation consiste en l'utilisation de filets et de cages pièges spécifiquement conçus pour capturer les sangliers. Ces opérations se dérouleront dans des zones stratégiques, identifiées comme étant particulièrement touchées par les dégradations, permettant ainsi de mesurer l’efficacité de cette méthode de piégeage Retrouvez le communiqué de presse officiel : https://lnkd.in/dyaYig55 #agriculture #viesyndicale #charente #fnsea
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Agriculteur passionné, Emetteur d'ondes Positives, Capteur de carbone et Futur producteur d'NRJ renouvelable.
Face à l'augmentation constante des populations de sangliers il faut multiplier les techniques pour réguler ces populations qui génèrent des pertes insupportables pour les agriculteurs et dont les indemnisations de dégâts ne sont plus supportable par les fédérations de chasse. Ici nous travaillons main dans la main entre agriculteurs et chasseurs pour garder des territoires vivants et dynamiques. #chasse #sanglier #agriculture
#Communiquédepresse | 𝐄𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐩𝐢𝐞́𝐠𝐞𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐠𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬, 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐂𝐡𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 La Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente (FDC 16) annonce le lancement d’une expérimentation innovante de piégeage des sangliers à l’aide de filets et de cages pièges, ciblant les zones où les dégâts agricoles sont significatifs et récurrents ainsi que dans des secteurs où la chasse n’est pas autorisée (zone d’opposition cynégétique…). Cet essai, qui représente une première en Charente, vise à répondre à la problématique croissante des dégâts causés par les sangliers tout en régulant leurs populations. L’expérimentation consiste en l'utilisation de filets et de cages pièges spécifiquement conçus pour capturer les sangliers. Ces opérations se dérouleront dans des zones stratégiques, identifiées comme étant particulièrement touchées par les dégradations, permettant ainsi de mesurer l’efficacité de cette méthode de piégeage Retrouvez le communiqué de presse officiel : https://lnkd.in/dyaYig55 #agriculture #viesyndicale #charente #fnsea
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Encore une mauvaise presse due au manque d'éthique de "confrères" continuant de vendre une méthode inefficace... L'effarouchement ne fonctionne pas à l'encontre du Pigeon domestique, espèce proie, qui compense la prédation par une très forte reproduction. Il fonctionne en revanche très bien à l'encontre des espèces prédateurs (Goéland, corvidés) ou des espèces migratrices (Etourneau sansonnet). Il suffit de regarder chaque cathédrale où un couple de Faucon pèlerin chasse et se reproduit, elle reste pour autant envahie de Pigeons domestique tandis que la présence d'autres espèces aviaires y est plus restreinte. Seule la régulation, notamment par piégeage, permet un contrôle efficient des populations de pigeon en milieu urbain.
Alfortville : malgré la campagne d’effarouchement, les pigeons toujours nombreux
leparisien.fr
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