📈 Une étude menée par ARMEN et HEC indique que le carried interest reste le principal outil du partage de la valeur pour les sociétés de gestion. Chez les VC en particulier, il est un outil puissant pour aligner les intérêts et fidéliser les talents. 🗣️ « Le carried interest est un élément assez sain de performance dans l’industrie. C’est une portion de performance qui ne se touche qu’après la période d’investissement d’un fonds, quand ceux qui ont confié leur argent, les Limited Partners, ont récupéré un retour minimal. C’est un bon outil de partage de la valeur qui a des effets vertueux sur le long terme », explique Renaud Tourmente, directeur général adjoint et COO d'Armen.
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Série de webinaires Swissquote à but éducatif sur la gestion d’un portefeuille d’actions. Point sur le portefeuille avant le webinaire. #investir #finance #macro
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RENTABLES 💰 C'est avec une joie immense que j'ai le plaisir de vous partager cette nouvelle : VRD Studio a atteint la rentabilité, juste avant son troisième anniversaire. 🎂 Notre cher expert comptable Vincent Viaud a bien vérifié, notre CA a été multiplié par 2,4 depuis 2022 et il a atteint les 6 chiffres ! 📈 Nous avons même fait suffisamment de bénéfices pour renforcer nos fonds propres et les augmenter. Pour rappel, nous avions été déficitaires en 2021 et 2022, d'environ 8000 euros chaque année si ma mémoire est bonne. ⬇ Quelle analyse je tire de notre évolution financière ? - La maturité : Raffaele Venturelli et moi-même avions eu des auto-entreprises mais pas de sociétés, et nous avons eu tort de penser qu'on pourrait gérer les choses de la même manière. Nous avons dû faire des erreurs pour apprendre à bien gérer, mais aussi être bien conseillés pour savoir par exemple que nous avions droit à du crédit impôt innovation. Je remercie donc encore une fois Vincent mais aussi Alexis Poumeyrol de SELF & INNOV qui nous accompagnent à merveille. Être gérant, ça s'apprend. 🤝 - La résilience : apprendre à dire non à des projets ou des clients qui ne valorisent pas notre travail. Même si l'angoisse de ne pas faire tourner notre boîte me ronge en permanence, j'ai fini par comprendre qu'il valait mieux dépenser du temps à de la prospection efficace, de la stratégie et autres, plutôt que pour un client qui va nous sous-payer. Chaque minute est précieuse et doit être optimisée au maximum, et parfois il vaut mieux miser sur le long terme que sur le gain immédiat. 😉 - La confiance : nos produits ont fait leurs preuves. Il est grand temps d'avoir confiance en nous et en notre statut de professionnels. Cela nous a permis de briser plusieurs plafonds de verre, notamment celui sur nos prix. En 2021 et 2022 nous n'avons pas été en perte parce que nous n'avons pas eu de clients, nous avons été en perte en grande partie car nos tarifs n'étaient pas adaptés. Cette année, suite à un pilotage beaucoup plus précis de notre compta et en pensant "marge et bénéfices" 24/7, nous y sommes arrivés. 💲 - La stratégie : en 2023 j'ai beaucoup travaillé sur nos canaux d'acquisition. Je ne vais pas tous les énumérer mais un élément probant de notre stratégie a été de faire des salons en physique, même en tant que visiteurs. Il faut savoir où sont ses points forts, et clairement je peux miser sur mon hyper sociabilité et mon contact (trop ?) facile #MerciPapa Dans un prochain post je parlerai de nos objectifs 2024 qui ne vont pas être de tout repos. 🚀 J'en profite pour remercier encore une fois : - La French Tech Bordeaux CCI Nouvelle-Aquitaine Région Nouvelle-Aquitaine Charlotte Marchand Philippe METAYER Arnaud Jehl Laura ROCHA Laurent BRIET Philippe Racineux pour la confiance 🙏 - Nicolas Babin notre version business de "marraine la bonne fée" et Stéphane Garcia pour le soutien ❤️ Oui, Picsou est mon personnage préféré, 0 hasard.
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« Le non-coté recouvre une réalité dense et complexe […] Il convient donc « non seulement de diversifier les millésimes, mais aussi les 'vignerons', en repérant ceux capables de tirer leur épingle du jeu en toutes circonstances, que les taux soient bas et propices aux stratégies d'endettement, ou plus élevés et favorables au capital-développement et au capital-risque secondaire », conseille Jean-David Haas, co-fondateur et associé de NextStage AM. » Laurence David Delain, Les Echos. Depuis 22 ans, NextStage AM s’engage résolument dans l'économie réelle. Forts de cette expertise, nous avons créé, il y a près de 8 ans, le véhicule NextStage Croissance. 🚀 Ce véhicule ouvre les portes du capital-investissement aux épargnants français, aux côtés d'investisseurs institutionnels et de Family Offices. Il permet d'investir dans un portefeuille déjà constitué de private equity, soutenant ainsi la croissance d’entrepreneurs de qualité. NextStage Croissance est éligible à l’assurance-vie, au PER et aux contrats de capitalisation. 💰 NB : L’investissement dans ces fonds présente un risque de perte en capital (totale ou partielle). Pour plus d’informations sur les risques, nous vous recommandons de consulter votre conseiller financier habituel. Par ailleurs, il est important de noter que les performances passées ne préjugent pas des performances futures. #PrivateEquity #Investissement #CapitalDeveloppement #Croissance https://lnkd.in/exjFkiVs
Assurance-vie : diversifier pour doper ses performances, les bons choix et les pièges à éviter
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🎥 L’INTERVIEW COMPLÈTE EST DISPONIBLE 🎥 Vous vous demandez comment un conseiller en investissement financier parvient à innover dans un secteur réputé pour ses modèles traditionnels ? 🚀 Dans ma dernière interview, j’ai eu la chance de discuter avec Jonathan Kieffer, CAIA, fondateur de Jolka Invest et Senior Advisor chez Shares. 🔎 Une conversation qui m’a éclairée sur les évolutions de la gestion de patrimoine et les défis de l’avenir. Nous avons abordé des questions cruciales pour comprendre le futur du métier de CIF/CGP : 💡 Pourquoi Jonathan continue-t-il à travailler au sein de plateformes comme Shares, tout en gérant sa propre société de conseil en investissements ? Son approche surprend par sa complémentarité entre l’entrepreneuriat et son rôle stratégique chez Shares. 💡 Pourquoi ne pas opter pour un modèle de rémunération classique basé sur les honoraires et les frais d’entrée ? Jonathan nous explique pourquoi il a choisi un abonnement patrimonial à la place des méthodes traditionnelles. 💡 Quels sont les réels avantages de cet abonnement patrimonial pour les clients ? 💡 Pourquoi assiste-t-on à une explosion des plateformes d’investissement ces dernières années ? Une analyse passionnante de la transformation digitale du secteur et de ses impacts. 💡 Comment ces plateformes contribuent-elles à élever les compétences des investisseurs en matière de gestion de patrimoine ? 💡 Quel avenir pour les CIF et CGP à l'ère des plateformes ? Jonathan partage sa vision de l’évolution de ces métiers dans un monde où la technologie joue un rôle clé. Cette interview est un véritable concentré d’insights sur la transformation du conseil en investissement financier. 👇🏻 Regardez la vidéo complète en suivant le lien en commentaire et laissez-moi vos retours en commentaires. #Investissement #GestionDePatrimoine #TransformationDigitale #PlateformesInvestissement #Entrepreneuriat #Finance #ConseilFinancier
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INVESTISSEMENTS 150-0 B TER & VISION DE NOS MÉTIERS DE CONSEILS Hier soir, j'ai eu le plaisir d'être invitée par Sandra Busquet à un "atelier 150-0 B ter" organisé par Groupe Cyrus et animé par Lucia Bussiere Cazenave avec la participation de Benoît METAYER, Elodie Marcuccillli-Piscione, Sophie Lam-Detrait et avec pour invité le très inspirant Marc Menasé. Je retiens des différentes présentations une vision que Nénert Notaires partage pleinement : - de la même façon que les investissements éligibles au 150-0 B ter proposés par Cyrus sont des investissements que le groupe propose également à ses clients en dehors de ces contraintes de remploi, parce que ce sont des produits structurés pour être rentables ; - de la même façon que Marc investit à titre personnel dans les start-up que son fonds finance, car il envisage ses relations avec les fondateurs dans la durée ; - à l'étude, nous avons la conviction qu'UNE TRANSMISSION RÉUSSIE n'est pas une transmission qui n'a été guidée que par des considérations fiscales. Aussi l'absence, dans le projet de loi de finances, de certaines restrictions redoutées, notamment en matière de Dutreil, ne doit-elle pas conduire nos clients à reporter les opérations parfois initiées sous le coup de ces craintes. En effet, la transmission, et plus encore celle d'une entreprise, ne doit pas être précipitée, mais elle ne doit pas non plus être envisagée trop tard, car, au-delà de son capital, celui qui la dirige, transmet son savoir-faire : et cette transmission là doit s'inscrire dans la durée.
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Ceci est juste une question de logique pour amener à une réflexion profonde sur les choix en tant qu'investisseur.. Il est des nouvelles alarmantes du marché qui vous insistent à prendre beaucoup de recul pour une société dans laquelle vous aviez des espoirs. Imaginez que la société qui vous intéresse s'avère ne pas être ce qu'elle prétend... Vous êtes investisseur et vous vous intéressez à cette affaire. Vous faites vos recherches sur la solidité de ce merveilleux Eldorado dans lequel vous vouliez investir. et vous apprenez que se que vous pensiez être réel est finalement un beau mensonge. Voilà un cas d'école à réfléchir : - la société fait des déclarations trompeuses très sérieuse sur les allégations et la genèse même de son produit. Le produit apparaît comme un game changer ... (point important le dirigeant travestit la vérité aux investisseurs) - la société malgré ses apparences de super licorne future, n'est pas appréciée de 80% de ses salariés et a viré ou a fait partir des compétences très solides pour défendre des intérêts familiaux. (oui, en fait malgré des actionnaires normalement avisés). En moins de 3 ans alors qu'elle a une taille relativement faible 8 salariés ont fait les frais d'un management hasardeux. et que la.pluspart des embauches se font en CDD. Il faut noter que le savoir est la base de cette société) -un de ses principaux cadres vient d'être limogé pour des histoires douteuses montées par la compagne du dirigeant principal. - que les informations collectées pour vérifier la solidité financière de cette société pour sa levée de fonds apparemment loupée avec une valeur anticipés divisée par plus de 3,5. ex 1400 € contre 4500 €. - que la stratégie produits est incomplète car inapplicable voir impossible à cause des processes et réglementation. Les batchs de tests tombent systématiquement dans une fourchette très nettement en dessous des exigences du marché. (surtout quand vous même vous êtes un acteur lié à la santé et que votre produit risque de supporter ) - que des factures restent impayées pendant très longtemps. - parallèlement et de façon bien cachée vous apprenez qu'un gros investisseur étrangé s'est déjà retiré d'une offre alors qu'il avait fait signé un accord. Ceci montre surtout à quel point prendre des informations est précieux avant d'investir dans une belle image. Personnellement, j'essaie de vérifier chaque information afin de prendre la meilleure décision en tant qu'investisseur. Le pitch et la date room ne suffisent pas toujours .... Je pense que comme moi vous n'investissez finalement pas #investir #startup #gamechanger
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Président de la Fédération des Marchands de Biens 🏡, professeur agrégé USMB 👨🏫, conférencier formateur, financement d'opérations immobilières 📈, entrepreneur et pilote passionné 🛫😉
Exercice comptable 2023 Ça y est les amis, c’est le moment de l’année où mes experts-comptables commencent à me courir après pour récupérer les nombreuses pièces que je n’ai pas fourni 😅. Étant donné le nombre de sociétés sur lesquelles j’ai la main, j’ai même un peu de mal, parfois, à savoir moi-même sur quelles opérations j’ai investi en tant que simple financeur, associé fondateur, principal. L’heure du bilan 2023 a sonné 🕰️. Si je résume rapidement, 2023 a marqué une forme de tournant. J’ai multiplié les prises de participation dans des sociétés marchand de biens avec des membres de la fédération. Je me suis investi et j’ai investi dans les intelligences artificielles à côté de Florent ALBERO, Thomas DANSET, Florian Diguet et bien sûr, l’illustre Francis Lelong J’ai fait quelques conneries (par exemple, finir des travaux en ayant sous-estimé ces derniers, ce qui fait maintenant que le dernier lot de mon opération (ça c’est une opération d’une société qui m’appartient totalement) se retrouve quasiment invendable parce que pas du tout au prix du marché actuel 📉. J’ai aussi participé activement au comité de décision de plusieurs clubs d’investissement, notamment Mdb Partners, pour lequel je suis toujours actionnaire à 24,5%, et qui risque dans les jours qui viennent de prendre une décision stratégique dont je vous parlerai probablement si c’est confirmé, et où je dois avouer que nous ne pouvons que nous féliciter des opérations que nous avons financées ou sur lesquelles nous nous sommes associés. Il y a 24 mois, quand j’avais commencé à dire qu’une crise se profilait à l’horizon, beaucoup ne m’ont pas cru. J’avais pourtant développé ça dans des modules de formation et bien sûr, pendant nos rencontres. Les principes de prudence que nous avons appliqués ont tout de même largement porté leurs fruits 🍇. Si on prend un peu de recul, nous avons en réalité sur une dizaine d’opérations complexes, un lot dont une partie a dû être vendue en vente terme. Donc normalement, ce n’est plus qu’une question de temps pour récupérer, et effectivement, quelques terrains très difficiles à travailler en ce moment qui restent en stock, mais à mon sens, rien de très inquiétant car les ventes du bâti couvrent la majorité du risque lié. Toujours dans l’esprit du bilan 2023, je dirais que finalement, j’ai aussi appris à créer des compromis à tiroirs à renégocier pendant la durée du compromis, ce que je n’avais jamais fait auparavant pour sauvegarder la sécurité des systèmes économiques. Les bilans, finalement, malgré une situation un peu tendue sur le marché, sont globalement très positifs. 2024 s’annonce comme une année de continuité dans l’engagement, l’audace et le partage 🚀. Force et courage à tous pour les bilans comptables. Personnellement, je déteste ça 😂. Rendez-vous le 13 avril pour ceux qui viennent (commentaire). Je détaillerai quelques opérations dans ma newsletter aussi ;). #marchanddebiens #immobilier #finance #entrepreuneur #bonheur
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Le carried aligne-t-il vraiment les intérêts entre investisseurs et gérants ?🤔 On entend souvent en capital-investissement que les gérants doivent être “skin in the game” en investissant leurs propres fonds pour restituer le maximum de performance. En contrepartie, ils peuvent percevoir une récompense importante matérialisée par une répartition prioritaire de la plus-value réalisée sur le fonds. La logique est donc la suivante : tu risques, tu fais attention, tu perds ou tu gagnes 😨🚨💸 En général, le carried permet de bénéficier de 20% de la plus-value réalisée au-dessus d’un seuil minimum de rendement annualisé (hurdle). Celui-ci diffère selon le type de fonds (venture, growth, buy out). Mais dans la vraie vie, le carried n’est pas véritablement le moteur des gérants financiers (Managing Partners) qui préfèrent le considérer comme un os à ronger pour les équipes d’investissement que leur véritable moyen de s'enrichir. Cela est d’autant plus vrai en venture capital. Alors, qu’est-ce qui intéresse véritablement les gérants ? Lever plus de véhicules pour accumuler les frais de gestion et donc le chiffre d’affaires sur la société de gestion pour : 1️⃣ Se distribuer plus de dividendes au sein de la société de gestion qui est une manière plus certaine et prédictible (peu importe la performance) d'accroitre son patrimoine 2️⃣ Limiter le partage de l’actionnariat de la société de gestion pour ne pas avoir à diviser le gâteau des dividendes (ce qui a entraîné certains départs retentissants par le passé). Alors oui, le carried pourrait aligner les intérêts de l’équipe d’investissement (hors gérants) sur ceux des investisseurs du fonds car l'appât d’un gain potentiel substantiel peut les inciter à mieux choisir… ou à prendre plus de risque sur les deals sélectionnées pour accroître les gains théoriques en valeur absolue. Surtout que les sommes à débourser pour obtenir leurs parts de carried restent suffisamment raisonnables pour que le gain potentiel soit supérieur au risque immédiat. Finalement, le carried pour les gérants a-t-il encore du sens ? Difficile de donner une vérité générale. Néanmoins, s’il y a bien une chose à laquelle on ne peut déroger, c’est l’obligation pour les gérants de démontrer de la performance passée lorsqu’ils lèvent un nouveau véhicule (en tout cas à partir du 3e véhicule, cela commence à se voir si les fonds précédents sont mauvais). C’est cela qui leur permet d’accroitre significativement leur patrimoine dans la grande majorité des cas, de manière prédictible et récurrente🆗 Le simple carried ne suffit pas (plus ?) à convaincre les LPs de la motivation et sagesse des équipes. Et c’est bien normal. Peut-être serait-il temps d’associer beaucoup plus largement des équipes au capital des sociétés de gestion pour leur faire goûter au Graal des dividendes. Mais pour cela, il faut accepter de partager et être transparent sur les rémunérations globales (salaires, primes, dividendes) de chacun.
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🎙 La semaine dernière Nicolas Bouzou nous rendait visite sur le stand Consultim Partners lors de la 31e édition de Patrimonia… L’excellente occasion de parler de la bonne nouvelle de cette rentrée… la baisse des taux ! Pour approfondir ce sujet central dans nos métiers, inscrivez-vous à notre webinaire sur le thème « Fenêtre d’opportunité pour les SCPI » qui aura lieu mardi 8/10 à 9h30. 👇Lien d’inscription en commentaire.
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L’investissement des familles fortunées dans le #privateequity gagne du terrain La part de l’allocation des grandes fortunes françaises dans les actifs privés tend à s’accentuer, a rapporté mardi 19 mars l’AFFO-ASSOCIATION FRANCAISE DU FAMILY OFFICE. Face à des conditions restreintes d’accès à la dette, liées, en grande partie, au retrait de beaucoup d’institutionnels publics et d’acteurs bancaires, mais avec des besoins de cash de plus en plus importants (transition écologique, infrastructures, semi-conducteurs, intelligence artificielle…), le marché du non coté trouve de nouveaux relais de croissance auprès des fortunes familiales et leur #familyoffice. " Les actifs privés sont au cœur de l’allocation des grandes familles, que ce soit au travers de participations directes, de co-invest, clubs deals ou fonds spécialisés", rapporte le président de l’AFFO, Frederick Crot. « L’#investissement des family offices dans les actifs non cotés fait sens à plusieurs titres : outre le fait de disposer d’importantes liquidités, leur stratégie est orientée à long et à très long terme, car elles poursuivent un objectif de transmission intergénérationnelle. Les family offices ont par ailleurs le goût et la culture de l’#entrepreneuriat, la fortune de leur investisseur étant elle-même le plus souvent issue d’une réussite entrepreneuriale », souligne Evelyne Brugère, vice-présidente exécutive de l’AFFO. Découvrez l'intégralité de l'article de Barbara Vacher paru dans Boursier.com
L’investissement des familles fortunées dans le private equity gagne du terrain
boursier.com
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Directeur du développement Vidi & Vidi Capital
8 moisTellement vrai quand il est correctement dimensionné et équitablement répartit!! 👏