🎤 Conférence : L’humour, arme puissante de lutte contre les inégalités de genre 📍 Lieu : 76bis rue de Rennes, 75006 Paris 🕒 Heure : De 19H00 à 20H30 📅 Date : Mercredi 12 juin Dans l’univers du stand-up, les boys clubs restent puissants. Loin des blagues sexistes et des plateaux mainstream, une nouvelle génération d’humoristes crée sa propre scène, à la recherche d’espaces plus bienveillants et inclusifs. Une bouffée d’air frais qui prouve qu’être drôle sans être sexiste est non seulement possible, mais surtout nécessaire ! Conférence animée par : 🎙️ Léa Drouelle, journaliste et co-fondatrice de Sorocité Lien d'inscription : https://lnkd.in/dZtakjr3
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🙅♀️ Aujourd’hui 25 janvier c’est la journée nationale consacrée à la lutte contre le sexisme ! (Oui, ça tombe bien, le lendemain de la journée internationale des sportives ! ) Une journée au cours de laquelle le Haut Conseil à l'Égalité rend son rapport annuel sur l’état du sexisme en France. La famille, l’école et le numérique sont les trois « incubateurs » du sexisme dès le plus jeune âge selon le HCE. Le Département de Loire-Atlantique est engagé dans cette lutte et est d’ailleurs labellisé « égalité et diversité » par l’Association française de normalisation depuis 2021. Un label important qui témoigne de notre engagement, notamment avec la mise en œuvre du plan d’action Égalité-Diversité pour 2022-2028 porté par @Myriam Bigeard. La lutte contre les discriminations et les préjugés, qui touchent plus particulièrement les femmes, est essentielle et nous sommes actif-ves ! Cela passe par exemple par l’exposition « Tous les métiers sont mixtes » qui sensibilise les collégiennes et les collégiens de Loire-Atlantique sur les stéréotypes de genre dans le monde professionnel. Nous sommes aussi partenaire de Resonantes afin de lutter contre les violences sexistes et sexuelles. Nos appels à projets « Stoppons les violences faites aux femmes » sont un soutien important pour les acteurs locaux. L’hébergement d’urgence est un autre levier d’action et l’objectif du Département pour 2028 est clair : aucun territoire sans solution d’hébergement d’urgence pour les femmes victimes de violence et leurs enfants ! Le rapport du HCE : https://lnkd.in/ebRyjkjN... Le plan d’action du @Département de Loire-Atlantique https://lnkd.in/eGAs_yRA
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Insultes, discriminations, abandons, harcèlements scolaires, guet-apens, agressions, violences. Le quotidien de toute une partie de la communauté LGBTQI+ n’a hélas pas changé. Si, en 2024, nous pouvons enfin nous féliciter d’avoir vu une proposition de loi reconnaissant les torts et les souffrances faits au nom du peuple français contre une partie de la communauté LGBTQI+, nous ne devons pas nous voiler la face sur les risques d'un grand retour en arrière. Depuis plusieurs années, malgré les nombreuses alertes de la part des associations engagées, la haine à l’encontre des personnes LGBTQI+ a trouvé ses voix et ses portes-paroles, que ce soit dans les médias ou en politique. Morale, éthique, mœurs, féminisme, masculinisme, protection des enfants, tous les angles d’attaque sont bons à prendre, et à tordre quand il s’agit d'invisibiliser nos luttes, nos combats et nos réalités. Les premières victimes sont aujourd’hui les personnes transgenre et en particulier les jeunes. Sans même daigner prendre en compte la réalité du terrain, ni le travail des médecins, des psychologues et des associations depuis plus de 20 ans sur la question du genre et sur les processus de transition, une partie du spectre politique français souhaite, d’un simple texte, revenir sur les quelques acquis sociaux mis en place pour les jeunes trans, et mettre en place des nouveaux protocoles, toujours plus contraignants et toujours plus excluant. Ces avancées, même partielles, étaient faites pour les protéger. Y toucher, c’est les condamner. C’est leur imposer de nouvelles souffrances, c’est faire prendre un risque terrible sur la santé psychologique et la vie des jeunes trans. En ce 17 mai 2024 nous demandons clairement au gouvernement de prendre position et à tous les partis politiques ayant la dignité humaine au corps de leur projets de *condamner cette proposition de loi et de la combattre*. Cette journée est mondiale, nous ne devons donc pas oublier que nos combats sont universels. Les souffrances que notre communauté continue de vivre dans de trop nombreux pays sont insoutenables. Les vies et les amours de nos adelphes n’ont pas à être les boucs-émissaires des idéologies politiques répressives et inhumaines. Nous devons les soutenir et les protéger. Face à ces pays et ces politiques, nous avons en Europe, en France, un devoir d’accueil et d’aide pour les membres de la communauté LGBTQI+ persécutés. Mais pour cela, nous devons aussi nous battre, nous devons continuer à lutter. Que ce soit en France ou en Europe, quand le bruit des bottes se fait entendre, nous devons utiliser tous les instruments à notre disposition, au travers de nos voix, de nos couleurs, de nos Marches et de nos votes. Luttons contre les haines, contre la Haine, pour nous, et pour toutes celles et ceux qui ne le peuvent pas. #17mai #journéeDeLutteContreLesLGBTphobies #Lgbt
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Philosophe - Consultant en Éthique appliquée - Spécialiste en Diversité, Inclusion et Discriminations
Un mois. C'est le temps qu'il aura fallu à Aurore Bergé, nouvelle ministre déléguée à la lutte contre les discriminations, pour s'attaquer aux associations féministes. Comment conjuguer le comble à la démagogie ? Aurore Bergé veut passer au crible les prises de position des associations féministes afin de couper les subventions à celles qui auraient eu des discours "ambigus" concernant l'attaque du 7 octobre et les crimes sexuels perpétrés par le Hamas. Si votre association a été tiède ou prudente sur ce sujet, elle risque une punition budgétaire. Peu importe s'il a fallu deux mois à l'ONU pour être en mesure d'en dire quelque chose, vous n'aviez qu'à être plus vives, et savoir mieux que tout le monde. Peu importe si votre association est d'utilité publique, si elle accompagne des femmes vulnérables, si elle constitue la différence entre des vies abandonnées et des vies soignées. Dans un contexte où le sexisme progresse inexorablement, Aurore Bergé n'a rien de mieux à faire que de fliquer et punir des associations dont le travail consiste à compenser les manquements de l'État sur ce sujet, sur des critères légalement et moralement douteux ? Mieux, elle annonce cette mesure au micro de Frédéric Haziza, accusé en 2018 d'agression sexuelle (agression caractérisée et accompagnée d'un rappel à la loi) ? Mme Bergé, vous n'avez #RienDeMieuxÀFaire ? Si vous manquez d'idée, voici quelques urgences : - concertation nationale et plan de lutte contre les féminicides, - accueil et accompagnement des femmes en situation d'asile, - lutte contre les VSS, à l'école, à la fac, à l'hôpital, dans le sport, etc - consolidation des droits sexuels et reproductifs, - plan de lutte spécifique aux discriminations lesbophobes, - protection juridique et accompagnement social des travailleuses du sexe, - plan d'action contre les dérives pornographiques, - la liste est LONGUE Mais nous savions… Nous savions qu'après avoir milité contre le mariage et l'adoption des couples homosexuels (et cédé au sens du vent), après avoir reçu deux figures majeures de la transphobie en France et amendé le projet de loi pour la constitutionnalisation de l'accès à l'IVG afin d'en exclure les hommes trans, après avoir refusé de reconnaître aux émeutes du meurtre de Nahel un quelconque caractère politique et refusé de parler de violences policières, nous savions que le mandat d'Aurore Bergé serait éprouvant pour les professionnels de la lutte contre les discrimination. J'ai honte de cette délégation ministérielle. J'ai honte de l'insulte qui est faite à toutes les personnes qui contribuent aux causes de la justice sociale et à celles qui en bénéficient. Quelle FATIGUE.
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🧻 On ne se torche pas avec nos droits. Insultes, discriminations, abandons, harcèlements scolaires, guet-apens, agressions, violences. Le quotidien de toute une partie de la communauté LGBTQI+ n’a hélas pas changé. Si, en 2024, nous pouvons enfin nous féliciter d’avoir vu une proposition de loi reconnaissant les torts et les souffrances faits au nom du peuple français contre une partie de la communauté LGBTQI+, nous ne devons pas nous voiler la face sur les risques d'un grand retour en arrière. Depuis plusieurs années, malgré les nombreuses alertes de la part des associations engagées, la haine à l’encontre des personnes LGBTQI+ a trouvé ses voix et ses portes-paroles, que ce soit dans les médias ou en politique. Morale, éthique, mœurs, féminisme, masculinisme, protection des enfants, tous les angles d’attaque sont bons à prendre, et à tordre quand il s’agit d'invisibiliser nos luttes, nos combats et nos réalités. Les premières victimes sont aujourd’hui les personnes transgenre et en particulier les jeunes. Sans même daigner prendre en compte la réalité du terrain, ni le travail des médecins, des psychologues et des associations depuis plus de 20 ans sur la question du genre et sur les processus de transition, une partie du spectre politique français souhaite, d’un simple texte, revenir sur les quelques acquis sociaux mis en place pour les jeunes trans, et mettre en place des nouveaux protocoles, toujours plus contraignants et toujours plus excluant. Ces avancées, même partielles, étaient faites pour les protéger. Y toucher, c’est les condamner. C’est leur imposer de nouvelles souffrances, c’est faire prendre un risque terrible sur la santé psychologique et la vie des jeunes trans. En ce 17 mai 2024 nous demandons clairement au gouvernement de prendre position et à tous les partis politiques ayant la dignité humaine au corps de leur projets de *condamner cette proposition de loi et de la combattre*. Cette journée est mondiale, nous ne devons donc pas oublier que nos combats sont universels. Les souffrances que notre communauté continue de vivre dans de trop nombreux pays sont insoutenables. Les vies et les amours de nos adelphes n’ont pas à être les boucs-émissaires des idéologies politiques répressives et inhumaines. Nous devons les soutenir et les protéger. Face à ces pays et ces politiques, nous avons en Europe, en France, un devoir d’accueil et d’aide pour les membres de la communauté LGBTQI+ persécutés. Mais pour cela, nous devons aussi nous battre, nous devons continuer à lutter. Que ce soit en France ou en Europe, quand le bruit des bottes se fait entendre, nous devons utiliser tous les instruments à notre disposition, au travers de nos voix, de nos couleurs, de nos Marches et de nos votes. Luttons contre les haines, contre la Haine, pour nous, et pour toutes celles et ceux qui ne le peuvent pas. #17mai #electionseuropéennes
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🚮 Nos droits ne sont pas des déchets ⤵️ Insultes, discriminations, abandons, harcèlements scolaires, guet-apens, agressions, violences. Le quotidien de toute une partie de la communauté LGBTQI+ n’a hélas pas changé. Si, en 2024, nous pouvons enfin nous féliciter d’avoir vu une proposition de loi reconnaissant les torts et les souffrances faits au nom du peuple français contre une partie de la communauté LGBTQI+, nous ne devons pas nous voiler la face sur les risques d'un grand retour en arrière. Depuis plusieurs années, malgré les nombreuses alertes de la part des associations engagées, la haine à l’encontre des personnes LGBTQI+ a trouvé ses voix et ses portes-paroles, que ce soit dans les médias ou en politique. Morale, éthique, mœurs, féminisme, masculinisme, protection des enfants, tous les angles d’attaque sont bons à prendre, et à tordre quand il s’agit d'invisibiliser nos luttes, nos combats et nos réalités. Les premières victimes sont aujourd’hui les personnes transgenre et en particulier les jeunes. Sans même daigner prendre en compte la réalité du terrain, ni le travail des médecins, des psychologues et des associations depuis plus de 20 ans sur la question du genre et sur les processus de transition, une partie du spectre politique français souhaite, d’un simple texte, revenir sur les quelques acquis sociaux mis en place pour les jeunes trans, et mettre en place des nouveaux protocoles, toujours plus contraignants et toujours plus excluant. Ces avancées, même partielles, étaient faites pour les protéger. Y toucher, c’est les condamner. C’est leur imposer de nouvelles souffrances, c’est faire prendre un risque terrible sur la santé psychologique et la vie des jeunes trans. En ce 17 mai 2024 nous demandons clairement au gouvernement de prendre position et à tous les partis politiques ayant la dignité humaine au corps de leur projets de *condamner cette proposition de loi et de la combattre*. Cette journée est mondiale, nous ne devons donc pas oublier que nos combats sont universels. Les souffrances que notre communauté continue de vivre dans de trop nombreux pays sont insoutenables. Les vies et les amours de nos adelphes n’ont pas à être les boucs-émissaires des idéologies politiques répressives et inhumaines. Nous devons les soutenir et les protéger. Face à ces pays et ces politiques, nous avons en Europe, en France, un devoir d’accueil et d’aide pour les membres de la communauté LGBTQI+ persécutés. Mais pour cela, nous devons aussi nous battre, nous devons continuer à lutter. Que ce soit en France ou en Europe, quand le bruit des bottes se fait entendre, nous devons utiliser tous les instruments à notre disposition, au travers de nos voix, de nos couleurs, de nos Marches et de nos votes. Luttons contre les haines, contre la Haine, pour nous, et pour toutes celles et ceux qui ne le peuvent pas. #17mai
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Journee internationale contre les LGBTIphobies : Pour la CFDT, un combat pour l'égalité et l'émancipation: Selon le rapport de l'Agence européenne des droits fondamentaux (FRA) publié le 14 mai, les violences à l'égard des minorités sexuelles et de genre ne cessent d'augmenter depuis cinq ans, dans toute l'Europe. Les cas de harcèlement et d'actes d'intimidation se multiplient dans l'espace public et à l'école. Cela est particulièrement notable pour les personnes transgenres. Le rapport de SOS Homophobie paru hier avec 2377 signalements évoque également un climat qui se dégrade et une « libération de la parole LGBTIphobe ». Pour enrayer cette montée des violences, il est urgent d'agir dans tous les espaces de vie collectifs par des actions de prévention : sensibilisation, formation, accompagnement mais également d'écoute et de défense des personnes concernées. Alors que désormais une personne LGBTI sur deux parle ouvertement de son orientation sexuelle ou de son (...) - Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) / Partenaires sociaux / Paritarisme / Syndicalisme / Association professionnelle, réservé aux abonné.e.s, Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT), Journée mondiale de lutte contre les LGBTphobies / International Day Against Homophobia and Transphobia (IDAHOT)
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(ter) Journee internationale contre les LGBTIphobies : Pour la CFDT, un combat pour l'égalité et l'émancipation: Selon le rapport de l'Agence européenne des droits fondamentaux (FRA) publié le 14 mai, les violences à l'égard des minorités sexuelles et de genre ne cessent d'augmenter depuis cinq ans, dans toute l'Europe. Les cas de harcèlement et d'actes d'intimidation se multiplient dans l'espace public et à l'école. Cela est particulièrement notable pour les personnes transgenres. Le rapport de SOS Homophobie paru hier avec 2377 signalements évoque également un climat qui se dégrade et une « libération de la parole LGBTIphobe ». Pour enrayer cette montée des violences, il est urgent d'agir dans tous les espaces de vie collectifs par des actions de prévention : sensibilisation, formation, accompagnement mais également d'écoute et de défense des personnes concernées. Alors que désormais une personne LGBTI sur deux parle ouvertement de son orientation sexuelle ou de son (...) - Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) / Partenaires sociaux / Paritarisme / Syndicalisme / Association professionnelle, réservé aux abonné.e.s, Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT), Journée mondiale de lutte contre les LGBTphobies / International Day Against Homophobia and Transphobia (IDAHOT)
Journee internationale contre les LGBTIphobies : Pour la CFDT, un combat pour l'égalité et l'émancipation
ess-et-societe.net
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🌍 Les MGF constituent une violation des droits humains, affectant le bien-être physique, la sécurité, l’intégrité, et mettant parfois des vies en péril. Unissons-nous pour y mettre fin : 💪 Pour la création d'environnements où les femmes peuvent faire des choix et bénéficier pleinement de leurs droits. ✊ Pour des initiatives portées par des survivantes dont le courage peut changer des vies. 🌸Pour les droits humains, l'égalité des sexes et l'éducation sexuelle, avec une attention particulière aux besoins des femmes ayant subi ces pratiques. #endFMG #HerVoiceMatters #tolérancezéro #droitsdesfemmes
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🌈 A l'occasion de la Journée de Visibilité des Lesbiennes, l'Institut du Genre en Géopolitique souhaite mettre en lumière la réalité complexe et souvent difficile que vivent les femmes lesbiennes. En 2022, les chiffres de SOS homophobie signalent 156 cas spécifiquement lesbophobes, soit 13% des cas de LGBTIphobies rapportés. Ces discriminations et violences persistent principalement dans le cadre familial (29%), dans les commerces et administrations (10%), et au travail (10%). Les lesbiennes subissent une lesbophobie ordinaire et décomplexée, se sentant constamment observées et en insécurité dans l'espace public. Les milieux scolaire et professionnel ne sont pas épargnés, représentant 18% des cas recensés en 2022. Le harcèlement, les menaces, et les insultes souvent déclenchés par un outing sont malheureusement trop courants, et la hiérarchie ou la direction reste souvent inactive face à ces situations. Le rapport de SOS homophobie révèle également des discriminations dans l'accès à des services médicaux et prestations, avec des témoignages décrivant la remise en cause de la capacité à être parent pour les femmes lesbiennes. En cette Journée de Visibilité des Lesbiennes, continuons à sensibiliser, à lutter contre la lesbophobie et à promouvoir une société plus inclusive et respectueuse de la diversité des orientations sexuelles. #VisibiliteLesbienne #GenreGeopolitique #EgaliteDesGenres
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17 mai : journée mondiale contre l'Homophobie 💥Selon le rapport de l'Agence européenne des droits fondamentaux (FRA) publié le 14 mai, les violences à l’égard des minorités sexuelles et de genre ne cessent d’augmenter depuis cinq ans, dans toute l’Europe. Les cas de harcèlement et d’actes d’intimidation se multiplient dans l’espace public et à l’école. Cela est particulièrement notable pour les personnes transgenres. Le rapport de SOS Homophobie paru hier avec 2377 signalements évoque également un climat qui se dégrade et une « libération de la parole LGBTIphobe ». 👉 Pour enrayer cette montée des violences, il est urgent d’agir dans tous les espaces de vie collectifs par des actions de prévention : sensibilisation, formation, accompagnement mais également d’écoute et de défense des personnes concernées. ✨ Alors que désormais une personne LGBTI sur deux parle ouvertement de son orientation sexuelle ou de son identité de genre, seulement 1 sur 4 ose le faire sur son lieu de travail. Permettre à chacun et chacune de s’épanouir pleinement au travail et en société est une des conditions de l’émancipation, valeur chère à la CFDT. L’action syndicale au plus près de ces travailleurs et travailleuses prend tout son sens dans ce combat.
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