Post de Malongo France

Soutenons cette action à forte valeur ajoutée pour ce territoire

Bravo Restaurant Le Tourbillon pour soutenir et valoriser de nombreux•ses jeunes à Genève 👨🍳👩🍳. Cela permet en autre de: ✅️ Favoriser la réinsertion sociale des jeunes en rupture. ✅️ Offrir une formation professionnelle et des opportunités d'emploi. ✅️ Encourager l'autonomie et la responsabilisation. ✅️ Créer un environnement de soutien et d'accompagnement. ✅️ Combattre l'exclusion sociale et l'isolement. ✅️ Contribuer à la réduction du chômage et de la délinquance juvénile. ✅️ Promouvoir l'inclusion et la diversité dans le secteur de la restauration. ✅️ Sensibiliser la société aux défis des jeunes en difficulté. ✅️ Créer des opportunités d'apprentissage et de développement personnel. ✅️ Favoriser la réhabilitation et la réintégration sociale.

À l’approche des élections européennes, l’occasion de se mobiliser pour politiquement et socialement soutenir des initiatives locales utiles, durables qui œuvrent en faveur de la collectivité et des plus fragiles.  

#Pépi'Nonière....Késako? La mission générale de l'association se structure autour du développement du pouvoir d’agir des populations en fédérant et développant des initiatives pour une autonomie alimentaire durable, la préservation de l'environnement et le renforcement du tissu social local, et en s'appuyant sur les valeurs de coopération, d'échange de connaissances et de mutualisation des ressources. Ses activités se déploient sous 4 axes.

Situé au sud du Sénégal dans la commune de kataba 1 , le village de katack est à quelque kilomètres de la frontière sène gambienne. Cette localité a vue la naissance d’une association nommée UDK union pour le développement de katack. En effet, cette organisation a pour objectif de contribuer au près des autorités terroriale et local, ainsi qu’au développement économique et social du village ; Promouvoir les initiatives entrepreneuriales da la population à la base Renforcer l’union des habitants mais également participer à la protection et à la promotion de la biodiversité forestière et maritime. À cet effet, ces derniers se retrouve chaque 2 ans pour discuter sur des thème de développement pour la communauté de katack . Pour trouver des fonds ,l’union pour le développement de katack a employé un stratégie de travailler main dans la main afin d’obtenir un budget solide pour leurs réalisations. Le modèle employé est la cotisation de chaque personne membre de UDK . En dehors de la plupart des parrains où marraines des événements, les participations sont réparties comme suit : ceux qui sont à l’extérieur donnent chacun 25000f par an. Les fonctionnaires donnent 5000f par an. Et les non salariés donnent 2000f par personne. Tout cela pour la réussite de l’événement. En ce qui concerne la réalisation des projets la barre augmente : fonctionnaire 25000f ,non salarié 5000f et ceux de l’extérieur donnent 50000f par an. « Chaque citoyen de katack doit être le parrain de l’événement et du développement du village » dit Saïdou DIATTA présent de l’union pour le développement de katack (UDK). Un développement qui était presque impossible dans cette localité à cause du conflit Casamançais qui la frappé le village dans le temps ,néanmoins ,l’UDK avec un bilan de réalisation positive , a construit 5 salle de classe, une boulangerie moderne mais a réussis également à stabiliser l’exploitation abusive de la forêt. Conscient que le développement de katack passera impérativement par la population elle-même,les membres du bureau et l’assemblée se retrouvent pendant ces 72 heure qui se tiennent chaque 2 ans pour faire le bilan et dégager des perspectives. Le champ de réflexion le déploiement sur lequel ils se sont positionnés ,leur a permis inéluctablement à penser au développement durable de la localité .Par ailleurs l’union pour le développement de katack (UDK) incite tout partenaire désirant contribuer à l’épanouissement des populations de katack de venir collaborer. H_D JRI sénégal#katack#developpementdurable

𝐔𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐮𝐢𝐬𝐢𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠é𝐞 𝐀𝐧𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐪𝐮𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞𝐫 𝐨𝐮 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 Près Saint Jean à Chalon-sur-Saône Avec la Maison de quartier qui organise des ateliers de cuisine, la Régie de quartier qui porte un jardin solidaire et vend à l’épicerie sociale, les Restaus du Cœur qui distribuent, l’association Le Bois Gourmand qui réalise des ateliers de découverte de la nature nourricière par plantations et entretiens d’un espace, la Soupe des Mamans, projet porté par le Secours Catholique de temps de cuisine et de restauration par des personnes isolées, l’Espace Prévention Santé du Grand Chalon... 🤝 En 2023 et 2024, 𝗣𝘂𝗹𝗽𝗲 𝗲𝘁 𝗔𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗼𝗻𝘁 𝗿𝗲𝗰̧𝘂 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗩𝗶𝗹𝗹𝗲 pour initier un premier temps sur le terrain 🚀 𝑫𝒆𝒔 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒂𝒖𝒓𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒆𝒑𝒉𝒆𝒎𝒆𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆𝒓, 𝒊𝒅𝒆𝒏𝒕𝒊𝒇𝒊𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒃𝒆𝒔𝒐𝒊𝒏𝒔, 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒊𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 Quoi de mieux pour parler projets autour de l’alimentation que de faire à manger et se restaurer ensemble ? Ainsi est venue l’idée de réaliser des restaurants et des cafés éphémères qui se déplaceront dans ce grand quartier. Une animation d’autant plus pertinente que le quartier ne possède plus de café, ni de lieu où se restaurer et se retrouver autour d’un plat ou d’un café… 👨🍳 𝑷𝒂𝒓 𝒆𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒂𝒃𝒊𝒕𝒂𝒏𝒕.𝒆.𝒔 𝒅𝒖 𝒒𝒖𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒓 Des supers 𝐂𝐡𝐞𝐟.𝐟𝐞𝐬 𝐂𝐮𝐢𝐬𝐭𝐨 d’un jour se sont greffé.e.s au projet. Des femmes (oui, pour l’instant, l’équipe est exclusivement féminine !) rencontrées au café blabla de l’épicerie sociale, en cuisinant à la Soupe des Mamans, via le relais des bénévoles des Restaus du cœur, ou encore des bénévoles du Bois Gourmand, constituent notre super groupe de cuisinières !

Un apéro solidaire et convivial au Roof de Rennes 🤝 En fin de journée, l’association La Cloche propose un apé’rue au Roof, rue de l’Hôtel Dieu. Un événement qui se veut à la fois festif et inclusif. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Rennes, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : rennes.lessentiel.fr LE CONTEXTE 🔔 ◾ La Cloche est une association qui existe depuis 2015. Elle est présente dans 10 régions en France, dont la Bretagne, avec une antenne à Rennes. ◾ Elle lutte contre l’exclusion et la précarité en organisant des événements et des activités ouverts à tous et, en particulier, aux personnes sans domicile. ◾ En parallèle, elle accompagne des structures dans des démarches inclusives. Par exemple, Le Carillon qui propose aux commerçants d’organiser des consommations solidaires. CE QUI EST PRÉVU ☕ ◾ Un apé’rue est organisé aujourd’hui, par l’association La Cloche, à The Roof, situé au 2 rue de l’Hôtel Dieu à Rennes. ◾ Durant ce temps convivial, il sera possible d’acheter une boisson qui sera ensuite offerte à une personne en situation de précarité. ◾ En complément, si vous avez une gourde qui traîne dans votre placard, pensez à la rapporter. Elle sera collectée par l’association Ma Gourde Solidaire Hoali et distribué aux personnes qui en ont besoin. EN SUPPLÉMENT ◾ Si vous souhaitez vous investir, plusieurs associations existent sur le territoire, en plus de La Cloche. ◾ Ainsi, COEURS RESISTANTS propose de distribuer des paniers alimentaires et effectue des maraudes. ◾ Bulles Solidaires, quant à elle, collecte et distribue des produits d’hygiène. #association #inclusion #solidarité #afterwork #rennes

💧 Le « Fonds pour l’eau » : zoom sur un projet inclusif 🔎 En #Equateur, les “paramos” ou landes d’altitudes alimentent les rivières et approvisionnent en eau les communautés. ⚠️ Mais ces écosystèmes sont sévèrement menacés par les activités agricoles extensives et le changement climatique. Les communautés andines qui dépendent de l’eau des páramos pour produire de la nourriture et pour leur propre consommation, voient leurs conditions de vie se dégrader. 💡 Pour préserver ces écosystèmes, CARE a mis en place un système de financement géré localement. 💸 les entreprises agricoles paient une contribution au fonds pour contrebalancer leur utilisation en eau 🌱 le fonds géré par les autorités locales finance des actions de protection de la nature initiées par les habitants de la région. Voilà un cercle vertueux qui profite à toutes et à tous et garantit la gestion durable des ressources ! https://lnkd.in/dawt7cPQ

C’est un véritable ras-le-bol qui s’exprime chez les maraîchers nantais. Montrés du doigt pour leur rôle présumé dans la présence de bidonvilles abritant des travailleurs roms sur le territoire, ils refusent aujourd’hui de porter le chapeau pour ce qu’ils considèrent comme l’échec des politiques locales d’accueil des migrants. Les maraîchers nantais refusent d’être les “boucs émissaires” Selon Johanna Rolland, présidente de Nantes Métropole, la présence importante de bidonvilles de Roms sur le territoire serait “notamment liée à l’activité de maraîchage”. Des propos qui ont fait bondir la Fédération des Maraîchers Nantais, un an après avoir déjà subi des dégradations de la part de militants écologistes. “Ras-le-bol d’être les boucs émissaires de politiques d’accueil ratées”, s’insurgent les maraîchers. S’ils reconnaissent employer de la main d’œuvre étrangère, souvent originaire d’Europe de l’Est, ils rappellent qu’ils n’ont aucune obligation légale de les loger. Pas d’obligation légale pour les employeurs En effet, sur le plan réglementaire, rien n’oblige les exploitants à fournir un hébergement à leurs ouvriers agricoles, qu’ils soient français ou étrangers. Un point sur lequel la Fédération des Maraîchers tient à insister : Nous embauchons de la main d’œuvre déclarée et dans les règles. Leur trouver un logement n’est pas de notre responsabilité, même si certains le font par souci éthique. Un porte-parole des maraîchers nantais Pour autant, les maraîchers ne nient pas la réalité des conditions de vie souvent précaires des travailleurs migrants. Mais ils refusent d’en porter seuls la responsabilité, pointant les carences de l’action publique. Un appel à une réponse collective Face à l’ampleur du phénomène des bidonvilles, les maraîchers nantais appellent à une réponse concertée des pouvoirs publics, des acteurs économiques mais aussi de la société civile. Ils soulignent que l’hébergement des travailleurs précaires, français comme étrangers, relève avant tout de politiques de logement et d’accueil des migrants : La question des bidonvilles ne peut pas reposer uniquement sur le secteur agricole. C’est un défi qui nécessite une approche globale et des moyens à la hauteur. Nous sommes prêts à y contribuer, mais pas à en faire les frais. Un représentant de la Fédération des Maraîchers Un message clair adressé aux élus locaux, à quelques mois des élections municipales. Les maraîchers nantais entendent bien peser dans le débat public et obtenir des engagements concrets sur la question épineuse des bidonvilles et de l’accueil des migrants les plus précaires. La balle est dans le camp du politique. The post Les maraîchers nantais en colère face aux accusations sur les bidonvilles first appeared on ViralMag.fr.