31 octobre 2024. Mercure dans les poissons grands pélagiques, les profits passent toujours avant nos vies… EPLP a ouvert le dossier « mercure dans les poissons pélagiques » en 2011 après avoir eu connaissance de contaminations graves chez certains de ses membres. Alors que l’hexagone s’émeut vivement des taux de mercure dans le thon en boîte (taux jusqu’à trois fois supérieur à la norme –arbitrairement 3 fois celle fixée pour les autres poissons - de 1 mg / kg de chair fraîche), EPLP rappelle que dans des grands pélagiques vendus sur les étals calédoniens, les taux relevés par la DAVAR jusqu’en 2015 étaient jusqu’à plus de 20 fois la norme maximale de l’UE (et 70 fois la norme « ordinaire ») ! A noter que depuis lors, s’agissant des grands pélagiques, les analyses de la DAVAR ne portent plus que sur les thons blancs destinés à l’exportation en Union européenne. Les Calédoniens qui consomment d’autres pélagiques sont, eux, des quantités négligeables pour le service officiel en charge de la qualité de notre alimentation… Et les gouvernements successifs laissent faire ! A ce jour, nous attendons du gouvernement local qu’il nous communique les résultats d’analyses effectuées par le syndicat des pêcheurs hauturiers (on n’est jamais mieux servis que par soi-même !) doté en 2020 par les pouvoirs publics et à nos frais d’un appareil de mesure (incompréhensible attribution puisque la Nouvelle-Calédonie dispose d’un laboratoire officiel que l’on suppose compétent et indépendant…). L’attente est très longue puisque notre demande date de 2022 avec un avis favorable de la CADA !!!! Nous savons trop bien le pourquoi du silence gardé : les résultats démontrent à l’évidence des niveaux de contamination incompatibles avec la santé publique. Il faudrait donc ARRETER LA COMMERCIALISATION des marlins, espadons, et limiter drastiquement la consommation des saumons des dieux, thons bachi, thons jaunes, et autres tazards… pour tous ! Evidemment la profession préfère se taire et continuer à empoisonner les consommateurs en toute tranquillité. A ceux qui croient encore qu’EPLP est une association extrémiste, nous rétorquons que l’ANSES, saisi par le gouvernement de la NC suite à nos pressions, A CONFIRME TOUTES NOS CRAINTES en 2021. Mais ce fut un nouveau coup d’épée dans l’eau ! Conclusion ? Alors que le poison est identifié, que le danger est manifeste, les « gardiens » de nos assiettes, sont aux abonnés absents. Décidément, le secteur hauturier dispose de puissantes protections… Il est manifeste qu’il a signé avec les politiques un pacte toxique qui conduit à ce durable scandale de santé publique. Cette industrie se targue de nourrir le pays mais à quel prix le fait-elle (au sens propre ET figuré…) ?
Post de Martine Cornaille
Plus de posts pertinents
-
Du poison dans nos poissons ! Mercure dans les poissons grands pélagiques de Nouvelle-Calédonie, ne vous fiez pas aux journalistes ni même aux « autorités » (1) ! Le 18 novembre dernier la télé publique nous a (encore !) gratifiés d’un reportage qui n’en était pas un. C’était un dangereux publireportage tout entier à la gloire des pêcheries locales. Au risque de lasser, EPLP redit que les étals calédoniens regorgent de poissons qui devraient être interdits de commercialisation parce que trop contaminés par le méthyl mercure. Il n'est que de se rapporter au rapport de l'ANSES pour en avoir confirmation (avis du 23 décembre 2019 sur saisine du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie du 23 février 2016 - il a eu du mal à “sortir” ce rapport...-). Ou encore à l'Union européenne qui refuse d'importer d’autres espèces calédoniennes que le thon blanc (2). Dans ce dossier, la DASS s’est tristement illustrée en réalisant une étude biaisée (3) et en proposant des fréquences de consommation que nous qualifions de scandaleuses. S'agissant des préoccupations locales sur les effets sanitaires du mercure, elles existent bel et bien: c'est l'ASSNC qui a donné l'alerte à la DAVAR au début des années 2010 ! Nous sommes stupéfaits que tout cela échappe à des journalistes qui se réclament d'une éthique et d’un savoir faire PROFESSIONNELS (que, pour notre part, nous cherchons vainement chez nombre d'entre eux/elles). Triste tropique ! EPLP le répétera jusqu'à la disparition des marlins et espadons des étals calédoniens et jusqu'à la révision des scandaleuses préconisations de consommation de la DASS: GRANDS PELAGIQUES, ATTENTION DANGER ! Contrairement aux péroraisons des intervenants de ce pseudo reportage, pourtant réputés “sachants” , et dotés d'un temps de parole incomparable, nous pouvons prouver tous nos dires. A EPLP, on s'interroge: si l'idée était de défendre la profession hauturière, eh bien c'est gagné. Si le but était d'informer sur une question sanitaire, alors c'est le fiasco total ! Ces errements journalistiques conduisent inévitablement à mettre en danger une partie de la population. Ils doivent donc être dénoncés. Fermement. Sans relâche. Pour protéger les Calédoniens, nous re publions sur notre site les préconisations de consommation calculées par nos bénévoles en 2016. Et nous attendons les contradicteurs de pied ferme ! Pour EPLP, Martine CORNAILLE (1) Qu’elles soient politiques, administratives et même médicale avec l’énergumène du reportage médecin de son état. (2) Seul le thon blanc est exporté. Ce qui n'est pas bon pour les Européens serait acceptable pour nous ? Original... (3) Elle n'a par exemple pas distingué les femmes grandes consommatrices de pélagiques (puisque ce sont eux qui sont dangereux) et a négligé les autres groupes humains à risque ...
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Quand le Capitalisme place le profit avant la santé (humaine et planétaire - One Health) : Du mercure dans le thon, poisson de fin de chaîne alimentaire devenu une véritable poubelle des océans avec toutes les cochonneries qu'il contient. Pour ceux qui s'interrogent sur le lien direct avec l'objet de LinkedIn : le mercure, qui s'accumule sous sa forme la plus toxique - le méthylmercure - dans le thon, est un puissant neurotoxique dont il est très difficile de se débarrasser et peut influencer potentiellement sur votre performance au travail (perte de mémoire, dysfonctionnement moteurs et cognitifs). Deux groupes sont plus sensibles, les femmes enceintes (développement cognitifs du fœtus) et ceux ayant une exposition chroniques (pêcheurs). Lien vers la page "Mercure et santé" de l'OMS 👉https://lnkd.in/eAPpcuXT Lien vers la page du site BLOOM association : 👉https://lnkd.in/eMRnQAKF Lien vers une vidéo de BLAST d'une méthodologie de victoire contre les lobbies : 👉https://lnkd.in/e6fnwP4f
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon.
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Nous pourrions faire le diagnostic d'une économie à reconstruire, la où le 'principe de précaution' fait que la plus grande part de ce que l'on produit pour des raisons systémiques, n'est soumis à une analyse critique scientifique que bien après commercialisation. Pourtant, nulle obligation pour l'initiative, principe premier du libéralisme, que de s'appliquer à développer une économie toxique pour l'humain et l'ensemble du vivant. Justement la CSRD pourrait nous réorienter en ce sens !
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Bloom alerte sur la présence de mercure dans le thon avec un taux 4x plus élevé que celui toléré pour les autres produits de la mer. Pourquoi ? A cause du lobbie industriel des grands thonniers qui ont fait modifier les taux légaux mais aussi parce que l'océan est pollué au mercure et que le thon, grand prédateur, concentre les pollutions. Soutenez Bloom ainsi qu'Uramap pour limiter les pollutions de nos cours d'eau et nos océans. C'est à la source qu'il faut agir, en empêchant certains rejets industriels, incinérations illégales de déchets, dépots d'ordures...Le mercure d'une pile bouton usagée peut par exemple contaminer 400 L d'eau ou 1 m3 de terre pendant 50 ans. Le mercure est un métal lourd émis naturellement lors des éruptions volcaniques, de l'érosion de certains sols ou encore lors de feux de forêts. Il est également émis par certaines activités : combustion de combustibles solides comme le charbon, de mines d’or artisanales ou de petite échelle, par certains processus industriels comme la transformation de pâte à papier, la production de ciment ou de polychlorure de vinyle (PVC) ou encore via l'incinération des déchets. Très volatile, il peut rapidement passer en forme gazeuse à température ambiante, se disperser dans l’atmosphère et se propager très facilement sur l'ensemble du globe.
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
#Mercure de France, je préfère la boîte d'édition à la boîte de thon. L'article de Stephane Foucart dans Le Monde est édifiant, la vidéo de Claire Nouvian de BLOOM Association l'est tout autant. Merci pour cette enquête d'utilité publique. Ce qui m'a le plus choqué, c'est de constater que le seuil de toxicité a été fixé non pas du point de vue de la #santéPublique mais dans l'objectif de limiter les rebuts de pêche à moins de 5%, seuil de rentabilité des thonniers. Décidément, #agriculture, #pêche, #forêts, #santé et #biodiversité en général sont bien loin d'un cadre législatif et normatif garantissant la défense de l'intérêt général. #allegorieDesEffetsDuMauvaisGouvernement à lire: https://lnkd.in/eYR7vhcj
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La sécurité sanitaire des aliments, l’affaire de tous.
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Manger sain est le premier critère du « bien manger » en France (29 %), devant le fait de Manger bon (23 %). C’est ce qui ressort du dernier Observatoire Alimentation & Familles, une étude complète sur les comportements alimentaires des Français et Françaises de 2023. Malheureusement, l’offre alimentaire la plus répandue ne répond absolument pas à ce critère de manger sain… Pour nous prémunir, il est préférable de ne pas consommer de thon. En effet, l’enquête BLOOM Association a révélé que le seuil de taux de mercure autorisé dans les boîtes de conserve de thon n’a rien à voir avec la moindre justification sanitaire. Ce seuil correspond au plus haut niveau de contamination trouvé dans le thon ! Cela vous choque ? Signez et partagez la pétition citoyenne pour retirer le thon et les produits contenant du thon contaminé (au dessus de 0,3 mg/kg) des rayons de supermarché : https://urlr.me/Q7KbZ Il faut savoir que plus on consomme un gros poisson en fin de chaîne alimentaire, plus nous nous empoisonnons car plus nous consommons du mercure. Ingérer ce neurotoxique est très néfaste pour la santé et persiste jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des risques graves pour l'organisme humain. Cela peut causer des maladies cardiovasculaires, des problèmes de reins, des troubles neurologiques, mais aussi dérégler le système immunitaire et reproducteur chez l’adulte. Il met particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Ce que nous mangeons et buvons chaque jour a une incidence sur notre santé et notre bien-être, tant physique que mental. 🥗🍝🍲Une bonne alimentation bio (sans pesticide), associée à une bonne hydratation et une activité physique régulière, aide à maintenir un poids sain, tout en réduisant le risque de maladies (maladies cardiaques, diabète, cancers, maladies neurologiques…).
🚨 Alerte citoyenne 🚨 Du mercure dans chaque boîte de thon : c'est la découverte alarmante que nous avons faite avec BLOOM Association en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Le résultat est glaçant : 100% des boîtes de conserve testées sont contaminées au mercure. Mais surtout : plus d’une boîte testée sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons (0,3 mg/kg). Il faut bien saisir la gravité de ces résultats : le mercure est un métal dangereux qui peut persister jusqu’à plusieurs décennies dans le cerveau. Considéré par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l'une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l'amiante ou l'arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l'organisme humain. De faibles doses prises régulièrement peuvent entraîner des conséquences dramatiques sur l’organisme adulte et mettre particulièrement à risque le développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. Après 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé. 📕 Lien de notre rapport intégral : https://lnkd.in/eWsNVUPa L’urgence absolue, c’est de contraindre les enseignes de la grande distribution à retirer le thon qui dépasse cette limite maximale de 0,3 mg/kg. C’est un enjeu majeur de santé publique. Maintenant que vous savez cela, vous avez deux possibilités : 1/ Ne rien faire et passer à autre chose. 2/ Vous battre à nos côtés pour mettre fin à ce scandale sanitaire. Seule la mobilisation citoyenne pourra mettre fin à ce scandale. COMMENT AGIR ? Signez et partagez notre pétition citoyenne : https://urlr.me/Q7KbZ On compte sur vous!
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🐟 Une boîte de thon sur deux dépasse la limite maximale en mercure la plus stricte définie pour les poissons. C’est le résultat de la nouvelle enquête de BLOOM Association parue aujourd’hui sur l’industrie du thon. Julie Guterman, a mené l’enquête pendant 18 mois. Elle a analysé les teneurs en mercure de 150 boîtes qu’elle a faite tester par un organisme indépendant. Les résultats sont édifiants : 👉 Toutes les boîtes contiennent du mercure. 👉 90% de ce mercure est du métylmercure, la forme la plus dangereuse du mercure. 👉Plus de la moitié dépassent le seuil strict autorisé. 👉 Une boîte contenait plus de 13 fois le seuil autorisé. Le mercure est l’une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l’amiante ou l’arsenic qui présente des risques graves pour l’organisme : 👉 développement cérébral des fœtus et des jeunes enfants. (L’étude pointe même que l’on protège plus les chats que les enfants dont le seuil maximale est de 0,3 milligramme par kilogramme de poisson) 👉 maladies cardiovasculaires 👉 problèmes de reins 👉 déréglement du système immunitaire et reproducteur, 👉 troubles neurologiques Le thon est le poisson le plus consommé en Europe. En France, on en consomme en moyenne 4,9 kg par personne par an. Ce qui interpelle le plus dans l’étude, c’est que le seuil qu’on considère comme celui de référence pour le thon (0,3 milligramme par kg) est 3 fois supérieur à celui des autres poissons comme le maquereau, les sardines ou le cabillaud. (0,1 milligramme par kg) Pourtant les risques sanitaires sont les mêmes. Ce seuil, n’a pas été défini au hasard, pointe Bloom : il “correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière.“ "A rebours de la vigilance que devrait nécessiter un tel enjeu sanitaire, les contrôles sont quasi-inexistants sur la chaîne de production et de commercialisation du thon. Aux Seychelles, centre névralgique de la pêche thonière pour le marché européen, les autorités sanitaires se contentent d’une dizaine de tests chaque année pour garantir la conformité de millions de kilos de thon envoyés en Europe." Les demandes de bloom et de foodwatch : 👉 que la commission européenne aligne la teneur maximale pour le thon sur la teneur la plus stricte qu’elle a fixée pour d’autres espèces : 0,3 mg/kg. 👉 interdire la commercialisation des produits à base de thon dépassant 0,3 mg/kg de mercure en Europe. 👉 bannir des cantines scolaires, des crèches, des maisons de retraite, des maternités et des hôpitaux tous les produits contenant du thon. A titre individuel on peut aussi avoir un impact: 👉 consommer beaucoup moins de poisson! 👉 quand on en consomme, privilégier la pêche artisanale et durable, par exemple avec Poiscaille
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-